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social - Page 198

  • Le « trou de la sécu » atteindra les 5,4 milliards d’euros cette année

    Contrairement aux annonces faites par le Gouvernement fin 2018, qui prévoyait qu’en 2019, «pour la première fois depuis 18 ans, le régime général et le fonds de solidarité vieillesse (FSV) [seraient] excédentaires à hauteur de 700 millions d’euros», le «trou de la sécu», plutôt que de disparaître, atteindra cette année 5,4 milliards d’euros.

    Dans un rapport public publié mardi 8 octobre, la Cour des comptes explique cette tendance par le coût (2,7 milliards d’euros) des mesures d’urgence économiques et sociales de la fin de l’année 2018, aussi appelées «lois Gilets Jaunes», et par des prévisions trop optimistes, la masse salariale soumise à cotisation ayant augmenté moins que prévu avec un impact de 1 milliard d’euros.

    Depuis le début des années 1990, la sécurité sociale connaît un déficit permanent, (sauf en 2000-2001), que la récession économique de 2009 a porté à un niveau inédit. L’accumulation des déficits annuels a fini par constituer une dette sociale qui représente encore près de 120 milliards d’euros en 2019, répartis entre deux organismes, la Caisse nationale des Urssaf (l’Accos) et la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES).

    Source : RT

    https://www.tvlibertes.com/actus/le-trou-de-la-secu-atteindra-les-54-milliards-deuros-en-2019

  • L'Etat meurtrier ou le démantèlement d'EDF

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    Une fois de plus nos cranes d’œuf et les gaziers qui nous gouvernent veulent tuer l’un des fleurons de l’industrie française : EDF, entreprise intégralement payée par les Français et qui fait partie de leur patrimoine. Au même titre d’ailleurs que les autoroutes, bradés par un certain François Bayrou, alors ministre, au secteur privé.  Le projet « Hercule » porte bien mal son nom. Il vise à casser en deux EDF et lui ôterait ainsi toute force pour résister à la concurrence. Ce triste sort ne serait en fait que l’ultime étape d’un processus de démantèlement entamé depuis une vingtaine d’années, au cours desquelles se sont enchainées les fautes de gestion et les faiblesses des gouvernement successifs. La France vit un drame depuis Giscard : l’irresponsabilité de son personnel politique.

    Marianne dévoile le scandale

  • RETRAITES : LE VRAI PROJET DU GOUVERNEMENT

  • Terrorisme : le gouvernement face à la réalité – Journal du mercredi 9 octobre

    1) Terrorisme : le gouvernement face à la réalité
    VO: Après l’hommage, les justifications. Mardi, Christophe Castaner a été sommé de s’expliquer après l’attentat à la préfecture de police de Paris. Face aux députés, le ministre de l’intérieur a été chahuté alors qu’Emmanuel Macron a appelé à la plus grande vigilance.

    2) Retraite : les retraités toujours mobilisés pour l’augmentation des pensions.

    VO : C’est la 8ème fois depuis le début du quinquennat d’Emmanuel Macron. Les retraités ont défilé dans plusieurs villes de France avec pour principale revendication, une réelle revalorisation de leurs pensions et une augmentation de leur pouvoir d’achat.

    3) Yuka : l’appli qui vous veut du bien ?

    VO : Depuis quelques années, une application pour passer au crible vos achats fait un véritable tabac. Avec un système extrêmement simple, Yuka renseigne le consommateur au delà des messages marketing… Un procédé qui commence déjà à faire plier certains industriels de la distribution.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/terrorisme-le-gouvernement-face-a-la-realite-journal-du-mercredi-10-octobre

  • Dérision de nos sécurités d'État

    6a00d8341c715453ef0240a48e5e18200c-320wi.jpgOn met en cause le ministre Castaner dans l’affaire de l’attentat islamiste dans l’enceinte de la Préfecture de Police. Voilà qui semble bien compréhensible. Ce personnage est nul et il faut une grande solidarité gouvernementale pour ne pas le critiquer et le destituer. “Auteur de bourdes à répétition, le ministre de l’Intérieur se trouve une nouvelle fois sous le feu des critiques et des appels à la démission” soulignaient dans L’Opinion le 7 octobre Nathalie Segaunes et Ivanne Trippenbach[1].

    Mais on ne saurait se dissimuler, non plus, la part politicienne de l’angle d’attaque : il s’agit, aussi, pour la presse de gauche de mettre en cause le symbole de la répression bien plus que le dérisoire bobo ministériel.

    On le présente comme le maillon faible au sein du gouvernement. Soit. Mais alors quel est le maillon fort ?

    Frédéric Péchenard ne passe pas pour un soutien du pouvoir actuel. Il souligne cependant que “le procès fait à Castaner, c’est l’arbre qui cache la forêt. Quand on s’acharne sur un individu on passe à côté de l’essentiel.“[2]

    Une partie de ceux qui le clouent aux gémonies ne visent pas les incertitudes du pouvoir face à l’islamisme pas même l’incapable en tant que tel, mais tout simplement le chef des méchants flics.

    L’auteur de cette chronique n’a pas attendu pour dénoncer ici, plutôt deux fois qu’une, ses responsabilités[3]

    Chaque jour qui passe voit se préciser ce qu’on appelle du terme un peu trop technique de “dysfonctionnements” dans la protection du cœur même de la centrale policière parisienne. Faillir dans sa propre sécurité augure mal du rôle de protection qu’en attend le public et pour lequel sont supposés contribuer les lourds impôts que nous supportons.

    On n’a su en haut lieu gérer correctement, ni la crise des gilets jaunes en elle-même, ni sa captation par la stratégie des blacks blocs.

    La médiocrité des autorités républicaines continue, tout simplement, ses ravages à balles réelles.

    Or, l’horrible crime commis par un islamo-terroriste, doublement traître, et le sang de ses victimes pourrait aussi contribuer à éclairer l’opinion, sur quelque chose de plus large.

    Nous avons, de façon logique et légitime, de moins en moins confiance en l’État. Surtout quand il prétend nous protéger.

    Yannick Jadot, à sa manière lourdingue habituelle, car ce citoyen n’a pas inventé l’écol-eau tiède, le soulignait à l’envi ce 3 octobre sur les ondes de RTL[4], entrecoupé hélas par les hoquets publicitaires et les gloussements de basse-cour de Ruquier, il s’époumonait à réclamer “une plus grande crédibilité de la parole publique”. Son intervention portait sur l’affreux mais révélateur incendie, petit tchernobyl chimique, survenu dans l’usine Lubrizol de Rouen filiale du conglomérat constitué par Berkshire Hathaway du génial boursier Warren Buffet.

    Ne nous encombrons pas ici de généralités excessives, mais si ce type d’investissements étrangers met beaucoup moins la France à l’encan que les folies de l’étatisme, constatons que l’entreprise américaine semble bien d’après les informations qui se dégagent, avoir violé les règles élémentaires de précaution, nonobstant l’inscription chiraquienne de ce principe dans la constitution, et contourné les contrôles de notre si prétentieuse et si coûteuse administration.

    C’est pour toutes ces raisons que les protections d’État paraissent de plus en plus dérisoires aux personnes de bon sens.

    [1] cf. “Attentat, explosion, violences…: le problème Castaner”
    [2] cf. entretien du 8 octobre avec Nicolas Beytout
    [3] cf. L’Insolent du 26 novembre 2018 “Castaner ministre de la chienlit”
    [4] L’invité de RTL Alba Ventura

    Jean-Gilles Malliarakis

    https://www.insolent.fr/2019/10/derision-de-nos-securites-detat.html

  • Nouvelle baisse de l’impôt sur le revenu en 2021: c'est non pour Edouard Philippe

    edouard philippe.JPGÉdouard Philippe a écarté dimanche 6 octobre une nouvelle baisse importante de l’impôt sur le revenu en 2021, dans un entretien au Journal du Dimanche

    Édouard Philippe s’est montré catégorique. Il n'y aura pas de nouvelle baisse importante des impôts en 2021, après celle de 5 milliards accordée en 2020.

    "Si vous me demandez si l'on baissera à nouveau l'impôt sur le revenu de 10 ou même de 5  milliards d'euros en 2021, je ne le crois pas !", a déclaré le Premier ministre dans un entretien au Journal du Dimanche.
    Pour le chef du gouvernement, la priorité demeure "la revalorisation du travail". "Nous voulons que le travail paie davantage", a-t-il expliqué. "Ceux qui travaillent doivent avoir un avantage réel sur les autres. Le pouvoir d'achat, il vient d’abord du salaire !", a ajouté Édouard Philippe.

    En avril dernier, à l’issue du Grand Débat, Emmanuel Macron avait annoncé, lors d'une conférence de presse à l’Elysée, une baisse de 5 milliards de l'impôt sur le revenu pour les classes moyennes applicable dés le 1er janvier 2020. Cette baisse concernera 15 millions de Français.
  • Elections municipales et monnaies locales

    Le groupe des Gilets Jaunes Constituants s’intéresse aux élections municipales de mars 2020. Cette vidéo est une réflexion sur les monnaies locales.

  • Brexit : l’offensive de Boris Johnson – Journal du jeudi 3 octobre 2019

    1) Brexit : l’offensive de Boris Johnson

    A moins d’un mois du divorce, Boris Johnson met la pression sur l’Union européenne. Le Premier ministre britannique a proposé une alternative sur le sort de la frontière irlandaise tout en rappelant que le Brexit aurait lieu, quoiqu’il arrive, le 31 octobre prochain.

    2) Réforme des retraites : Macron l’hyperprésident

    En tournée pour défendre sa réforme des retraites, le président se met en scène avec le haut-commissaire Delevoye… une réforme controversée et une tournée d’Emmanuel Macron qui s’inscrit de plus en plus comme un “hyperprésident”.

    3) Le Big Brother gouvernemental

    Les réseaux sociaux, nouveau terrain de jeu du fisc. Dans le projet de loi de finances 2020, le gouvernement veut autoriser l’administration à traquer les fraudeurs sur les plateformes numériques. Une collecte de masse pas au goût de la CNIL.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/brexit-loffensive-de-boris-johnson-journal-du-jeudi-3-octobre-2019

  • L’Allemagne fabrique une génération de pauvres

    Les causes sont multiples et diffèrent en fonction des pays, mais la disparition progressive des classes moyennes dans les économies ultralibérales au profit d’armées de pauvres et de quelques « très fortunés », s’accélèrent. Si des politiques de gauche réclament un « revenu universel » afin d’assurer au peuple quelques subsides,  c’est également une idée défendue par beaucoup de libéraux – notamment américains – qui espèrent en contrepartie supprimer des aides sociales, baisser les salaires et empêcher des révoltes.

    Trouvé sur la Tribune de Genève : « Les bas salaires progressent fortement en Allemagne. Plus d’un retraité sur cinq vivra sous le seuil de pauvreté dans 20 ans.

    Malgré la pauvreté qui augmente chez les personnes âgées, l’Allemagne n’a toujours pas engagé une réforme de fond de son système de retraite par répartition. Plus les années passent, plus le nombre de retraités qui vivent dans la précarité progresse. Selon le dernier rapport de l’Institut de conjoncture à Berlin (DIW), plus d’un retraité sur cinq (21,6%) vivra sous le seuil de pauvreté dans vingt ans, contre 16% aujourd’hui.

    Ces chiffres sont d’autant plus alarmants qu’ils sont calculés avec l’hypothèse d’une économie évoluant «positivement». «Le fond du problème n’a pas été réglé», constate Johannes Geyer, l’auteur de l’étude. «Les ajustements, comme une meilleure prise en compte du congé maternité ou la retraite à 63 ans à partir de quarante-cinq ans de cotisations, n’apportent rien de significatif sur le fond. Ce ne sont que des réformes cosmétiques», poursuit l’expert du DIW.

    Glaner pour survivre

    «Les retraités glanent aujourd’hui des bouteilles consignées pour arrondir leurs fins de mois. Ils n’ont plus honte», déplore Sabine Werth, directrice de la soupe populaire de Berlin. «Le développement du secteur des bas salaires décidé par le gouvernement social-démocrate de Gerhard Schröder (ndlr: dans les années 2000) a été une catastrophe. Les retraités sont de plus en plus nombreux à venir chez nous», insiste la bénévole.

    Selon le DIW, l’Allemagne compte 6,5 millions de contrats en «minijob», qui permettent une dispense partielle des cotisations sociales. Or, 4,5 millions de ces derniers sont considérés comme l’emploi principal des gens concernés, et non pas, comme le voulait l’idée de départ, un job d’appoint. «Tous ces gens seront dans des situations de précarité quand ils arriveront à la retraite», prévient Sabine Werth.

    «Les retraités d’aujourd’hui ont également une biographie complètement différente de leurs aînés. Ils n’ont pas accumulé autant de trimestres – ou points – parce que le marché du travail s’est transformé. Ils comptent plus de périodes de rupture (chômage, formation, etc.) et ont moins cotisé», ajoute Johannes Geyer.

    La grande coalition d’Angela Merkel, une alliance entre conservateurs (CSU/CDU) et sociaux-démocrates (SPD), a tenté une réforme des retraites pour anticiper cette pauvreté de masse. L’objectif est la stabilisation d’ici à 2045 du niveau des pensions à 46% des revenus nets (contre 48% aujourd’hui) et un financement des déficits par l’impôt (4,5 milliards d’euros à partir de 2030 et 8 milliards en 2040). L’âge légal de la retraite va passer progressivement de 65 à 67 ans. Cette réforme a prévu aussi des cotisations retraites obligatoires pour les travailleurs indépendants.

    En 2018, 100 actifs en Allemagne finançaient les retraites de 31 personnes de plus de 67 ans. Avec l’arrivée des «baby-boomers» (pic de natalité de la fin des années 60), ce sera en 2038 pratiquement deux actifs pour un retraité (100 pour 47).

    Cotisations trop faibles

    L’introduction en 2015 du salaire minimum (8 euros 50 de l’heure) n’a pas réglé le problème. Les cotisations restent trop faibles. «Il faudrait être payé au moins 14 euros de l’heure. Un tiers de la population active est en dessous de ce barème», remarque Ulrich Schneider, président de l’Union des associations caritatives d’Allemagne.

    Pour freiner les effets pervers du système, le gouvernement prépare un projet de loi sur une retraite minimum accordée à ceux qui ont cotisé au moins trente-cinq ans. «Mais elle concernera surtout les classes moyennes. Elle ne permettra pas de lutter contre la pauvreté. Ceux qui n’ont pas cotisé cette durée resteront à l’aide sociale, qui est très faible, comme les chômeurs de longue durée, les travailleurs indépendants, qui n’ont pas d’obligation de cotiser, et les étrangers qui sont arrivés tard dans le pays», poursuit l’expert.

    Le phénomène devrait s’amplifier avec l’arrivée à l’âge de la retraite des chômeurs de longue durée est-allemands qui n’ont jamais retrouvé de travail après la réunification. «Aucune catégorie de la population n’est autant concernée par la précarité», estime Ulrich Schneider. «Avec eux, la pauvreté des retraités va exploser dans les vingt prochaines années», ajoute-t-il. C’est également la conclusion du rapport du DIW. »

    http://www.contre-info.com/lallemagne-fabrique-une-generation-de-pauvres#more-59511

  • Royalisme social : lfar en accord complet avec Jean-Philippe Chauvin...

    2501835773.jpgLes circonstances aidant, des multiples drames sociaux de ces derniers mois aux Gilets Jaunes, et grâce à mes amis Franck J., Thibault D. le chouan, et tous les amis du Groupe d'Action Royaliste, ainsi que quelques autres, je me suis, depuis quelques temps, replongé dans la "question sociale" et dans l'étude et la réflexion sur l'alternative "corporative", en cherchant des pistes crédibles et des propositions utiles, et sans tabou ni démagogie.

    J'ai aussi relu nombre de vieux textes royalistes "sociaux", de Villeneuve-Bargemont à Albert de Mun, de L'Accord Social à Notre Avenir Français (des années 1970-80), de la NAF des origines aux études de Royaliste-Cahiers Trimestriels et du Lys Rouge, et redécouvert la richesse d'un héritage que le GAR, dans ses brochures comme dans ses vidéos de SACR-TV, essaye de valoriser depuis déjà une bonne dizaine d'années.

    Ma conviction de la nécessité d'une Monarchie sociale en sort renforcée, et je crois de plus en plus que, actualisé et, surtout, redéfini, un "corporatisme français" original (sans tomber dans l'utopisme ni le dogmatisme, ennemis de la raison économique) est possible, sans doute combiné à certaines formes économiques déjà existantes, comme nous le démontrent les "caisses autonomes de retraites", de nature corporative assumée par quelques professions en France depuis la Libération…

    Mais un héritage n'est qu'une collection de souvenirs nostalgiques si l'on ne prend soin de l'utiliser, de l'actualiser, de l'enrichir : l'actualité sociale à venir doit marquer le retour visible des "royalistes sociaux de proposition" sur le terrain des idées et dans les combats, pas toujours simples mais toujours nécessaires, pour la justice sociale.

    Vos remarques, vos questions, vos propositions, vos critiques aussi, me sont utiles, autant pour approfondir ma réflexion sur cette "Monarchie sociale et corporative" pour laquelle je milite ardemment, que pour en forger, sinon une doctrine, du moins un ensemble de principes et quelques axes de pratique (et d'arguments) : quelle réponse sociale aujourd'hui "par" le politique ? Quelle stratégie économique et sociale face à la mondialisation actuelle ? Quel "modèle corporatif" possible et crédible ? Quelle "économie d'entente" dans une société abîmée et soumise, tant aux souffles mauvais de la division sociale qu'à l'oligarchie mondialisée ? "Que faire" pour les royalistes sociaux du XXIe siècle ?

    Jean-Philippe Chauvin

    C'est avec un très grand intérêt que lafautearousseau a pris connaissance de cette déclaration; dans toute la mesure de nos moyens, de nos possibilités, de nos capacités, nous ne demandons qu'à y contribuer, à la relayer, à la faire progresser au maximum...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/30/royalisme-social-lfar-en-accord-complet-avec-jean-philippe-c-6179363.html#more