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social - Page 193

  • FRANÇAISE DES JEUX VERSUS PMA : CONTRE LE LIBERTARISME

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    Franck BULEUX

    Un an après, qu’est devenue la dynamique des Gilets jaunes du 17 novembre 2018 ?

    Fruit des réseaux sociaux, du spontanéisme apolitique, d’une espèce de révolte fiscale de ceux qui n’ont rien face aux élites, ce mouvement avait commencé, fort opportunément, en mettant en cause le système dirigeant incarné par Emmanuel Macron, élu par la conjonction des puissants, c’est-à-dire par celles et ceux qui estiment que la société leur apporte consumérisme économique et joie (s) sociétale (s). Une économie libérale dans une société de droits individuels illimités, double fondement de notre pouvoir actuel, qui doit nous apparaître comme l’élément structurant du système à combattre.

    Le libéral libertarisme est l’idéologie du système, une forme d’aile libérale du Parti démocrate américain, où il est de bon ton d’organiser le « laissez faire ».

    Illustrons cette politique par des actes, a priori sans lien. D’un côté, la vente des aéroports de Paris (ADP) et de la Française des jeux (FDJ) mêlés, d’un autre côté, à la PMA (procréation médicalement assistée) pour toutes, c’est-à-dire sans pères, illustrent bien la cohésion de cette politique : le libéralisme libertaire. Vendre des sociétés nationales qui fonctionnent bien au profit d’actionnaires et rendre les droits individuels supérieurs à toute notion d’intérêt général, c’est la double structure idéologique de notre Président.

    La politique menée est amorale. Vendre la FDJ, c’est laisser à l’entreprise privée le soin de gérer des jeux d’argent. Dans quelques années, il n’est pas très compliqué de penser qu’il y aura des dérives. Les jeux de hasard (sic) ne le restent pas souvent lorsqu’ils sont dans les mains de personnes peu scrupuleuses. Un vieux fond de moralisme, français notamment, a toujours condamné les jeux d’argent, à telle enseigne qu’il a fallu attendre la captivité du roi François 1eraprès la défaite de Pavie, pour que l’État se décide de créer une loterie nationale dans le but de payer l’exorbitante rançon imposée. Plus près de nous, après la Grande Guerre, l’association des Gueules cassées et la Fédération Maginot prenant en charge des anciens combattants furent les bénéficiaires de la Loterie nationale. Ces deux associations sont d’ailleurs toujours actionnaires de la FDJ, qui a succédé à la Loterie nationale. Avec la FDJ, l’État exerce une tutelle morale sur le monde des jeux d’argent, évitant la politique des bookmakers véreux torpillant les sports avec des paris truqués. Or, voilà que l’État macroniste, selon la logique libérale qui l’inspire, décide de privatiser, donc de vendre la FDJ.

    Nous ne doutons pas que des investisseurs seront intéressés mais ces investisseurs protégeront-ils les intérêts des anciens combattants et des blessés de guerre ?

    FDJ, ADP… L’État se désengage économiquement tout en s’engageant pleinement dans notre vie privée, en permettant la PMA pour toutes, PMA qui n’est, probablement, qu’une marche vers la gestation pour autrui (GPA). Une loi pour les époux Fogiel, en quelque sorte ? Il s’agit, ici, d’orienter notre futur, l’enfant sur catalogue, en fonction de critères imposés, bien entendu. On le voit clairement, l’État ne veut plus contrôler l’économie (la Seine-Saint-Denis, nouvelle « Californie » dixit Macron, s’auto-gère d’ailleurs via l’économie parallèle) mais se place clairement sur la case « vie privée ».

    Le pouvoir semble attendre ses limites économiques mais perçoit un intérêt à devenir un guide sociétal.

    C’est ce système, libéral-libertaire, contre lequel il faut s’opposer. Les Gilets jaunes n’ont été qu’un espace de furtivité médiatique limité au samedi et à des considérations liées au pouvoir d’achat.

    L’esprit « gilet jaune » ne peut se concevoir que s’il définit un ennemi principal, cette politique libérale-libertaire qui se conçoit sans la volonté populaire.

    Seules les notions de conservatisme (protéger ce qui est, par essence, de la tradition) et de populisme (comprendre les exigences du peuple) réunies peuvent lutter contre cet esprit progressiste, qui met en place un panurgisme systémique.

    Un an après, que reste-t-il d’un mouvement qui, en se focalisant sur l’attitude provocante d’un homme, en a oublié de s’en prendre à son idéologie.

    Que l’État s’occupe de la FDJ et non de la PMA, et pas l’inverse ! Mais l’inversion des valeurs semble être dans la nature du nouveau pigiste de Valeurs actuelles

    Source Métainfos.fr cliquez ici

  • Franck Abed analyse la révolte des Gilets jaunes

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    Franck Abed est un historien engagé. Il est monarchiste et catholique de tradition. Et cela ne l'empêche pas de s'intéresser de près à ce qui se passe dans le monde et en France en particulier. De la même manière, il a toujours privilégié les moyens modernes de communication. Ainsi, il y a une dizaine d'année, il fut un précurseur en réalisant des entretiens filmés de qualités avec les responsables et les écrivains de notre famille politique, assurant ainsi la promotion de bien des les projets qui voyaient alors le jour.

    Il est aussi un observateur et un théoricien politique qui analyse l'actualité en restant fidèle à ses idées. Il a donc suivi de près les Gilets Jaunes, mouvement de protestation apparu en France en novembre 2018.

    Au fil des semaines, il a rédigé des articles d’analyse sur ce phénomène social, politique et culturel, en rappelant qu’un combat mené sur de mauvaises bases ne pouvait déboucher sur un « Grand Soir » tant espéré par les protestataires. Effectivement, les différentes manifestations organisées par les Gilets Jaunes, loin de montrer la force de la France des sans-grade, ont rappelé que, sans doctrine sûre et sans une organisation digne de ce nom, il était extrêmement difficile de faire vaciller la République.

    Nous ne pouvons que vous conseiller de lire le petit livre qu'il vient de publier sur ce conflit qui, bien que démarré avec des références intéressantes, s'est très vite vu récupéré par les larbins du Système.

    S.N.

    Gilets jaunes, les raisons d'un échec dévoiléFranck Abed, Editions orviloise, 80 pages, 8 euros

    Pour acheter ce livre cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Émeutes de banlieue à Chanteloup-les-Vignes : la France se consume – Journal du lundi 4 novembre 2019

     

    Émeutes de banlieue : la France se consume

    Alors que les médias se concentrent sur quelques villes, la situation dans les banlieues françaises est exsangue. Entre les guet-apens contre les forces de l’ordre et les incendies criminels, la France sombre de plus en plus dans un désordre où le ministère de l’Intérieur brille par son incompétence.

    Les Gilets jaunes vers la convergence des luttes

    Un an après le début du mouvement, les gilets jaunes entendent fêter dignement leur anniversaire. A l’occasion de leur assemblée des assemblées, ils ont appelé à rejoindre la grève du 5 décembre lancée par les syndicats de la SNCF et de la RATP. Une convergence des luttes qui devrait faire des étincelles.

    France/Chine : Macron ou la recherche d’une aura internationale

    A la peine en matière de relations internationales, Emmanuel Macron se déplace en Chine où il rencontrera pour la 6ème fois son homologue Xi Jinping. Le président français met en scène un déplacement qui n’a finalement rien d’exceptionnel.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/emeutes-de-banlieue-la-france-se-consume-journal-du-lundi-4-novembre-2019

  • Le nombre de blessures oculaires causées par les LBD en forte hausse depuis la crise des Gilets jaunes

    Le nombre de blessures oculaires causées par les LBD en forte hausse depuis la crise des Gilets jaunes

    C’est le résultat d’une étude menée auprès des CHU de France et publiée dans la revue médicale britannique The Lancet.

    Les auteurs de l’étude « blessures oculaires causées par des armes non-létales en France » ont fait parvenir une « enquête rétrospective » à tous les CHU de France, où sont traités les patients les plus gravement atteints, pour recenser les cas suspectés de blessures oculaires par LBD, sur la période allant de février 2016 à août 2019.

    Deux cas sont recensés en 2016, un en 2017, mais 25 en 2018 – année du début de la crise des Gilets jaunes – et 15 sur la période étudiée de 2019.

    Sur le total de 43 cas étudiés, 20 ont été traités à Paris par l’AP-HP. L’âge moyen des victimes est de 26 ans. Il y a 38 hommes et cinq femmes. Vingt-cinq patients présentent des blessures ouvertes au globe oculaire et 18 d’autres traumatismes, notamment à la rétine (10 cas). Il y a 25 cas de fractures orbitales, 12 de fractures de la face et deux de dommages au cerveau. Trente des 43 patients ont dû être opérés, à une ou plusieurs reprises. Parmi eux, neuf ont dû être énucléés.

    Parmi ces dernières, Florian Lignier, qui vient de témoigner dans un ouvrage paru aux éditions Via Romana : Tir à vue. Samedi 8 décembre 2018 sur les Champs-Élysées, lors de l’Acte  IV du mouvement des « Gilets jaunes , les forces de l’ordre, censées réprime les casseursr, tirent une volée de grenades lacrymogènes sur des manifestants pacifiques regroupés de l’autre côté de l’avenue. Touchée en plein visage, Fiorina est opérée le soir même : fractures du nez, du visage, traumatisme crânien et l’œil gauche perdu. Dans son témoignage elle raconte que le personnel médical, qu’elle a longtemps fréquenté au cours de l’année écoulée, avouait découvrir pour la première fois autant de blessés aux yeux suite à des manifestations.

    Fiorina témoigne que, si elle est venue d’Amiens pour manifester au côté de son fiancé, c’est tout autant pour défendre la dignité des travailleurs de la France « périphérique » que pour s’opposer au Pacte mondial sur les migrations des Nations unies qu’Emmanuel Macron s’apprêtait à signer à Marrakech. Face au silence des médias, à l’indifférence voire au mépris du gouvernement, à la lenteur de la justice, la jeune étudiante en philosophie, marquée par plusieurs opérations qui la marquent désormais pour la vie, a décidé de ne pas baisser les bras. Sans être pour autant animée par un esprit de vengeance :

    https://www.lesalonbeige.fr/le-nombre-de-blessures-oculaires-causees-par-les-lbd-en-forte-hausse-depuis-la-crise-des-gilets-jaunes/

  • Un an après la crise des « gilets jaunes », rien n’a été fait pour les plus pauvres, selon la Fondation Abbé-Pierre

    Le 14 avril, Christophe Robert avait demandé un profond sursaut politique avec un pacte du pouvoir de vivre après la crise des « gilets jaunes ». Rien n’a été fait depuis, selon le délégué général adjoint de la Fondation Abbé-Pierre. « Globalement, le taux de pauvreté a augmenté en France en 2018. Nous voulons pousser avec les citoyens à une société plus juste, plus solidaire, plus écologique également ».

    Les ferments de la colère qui avaient entraîné la crise des « gilets jaunes » l’an dernier sont-ils toujours là ? « Ça dépend de quelle catégorie de population on parle. Dans la redistribution qui a eu lieu, la classe moyenne inférieure s’est vue proposer des solutions, mais les plus pauvres sont encore descendus plus bas. Les APL ont beaucoup baissé, la réduction des impôts ne les concerne pas, la prime d’activité non plus », estime Christophe Robert dans les « 4 Vérités » lundi 4 novembre.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/un-an-apres-la-crise-des-gilets-jaunes-rien-na-ete-fait-pour-les-plus-pauvres-selon-la-fondation-abbe-pierre

  • Patrick Sébastien : »le gouvernement a organisé des choses pour décrédibiliser le mouvement des Gilets Jaunes. »

    Sur le plateau de C à Vous ce vendredi 1er novembre, Patrick Sébastien a fait quelques confidences sur sa relation avec les gilets jaunes. Il a notamment expliqué comment le gouvernement a organisé des choses pour décrédibiliser le mouvement.

    Lire la suite sur Les moutons rebelles

  • HOPITAL PUBLIC : LES VRAIES RAISONS DE LA CRISE (Dr Jean Philippe de la Ribausière)

    L’hôpital public traverse aujourd’hui une crise sans précédent, que certains qualifient même d’existentielle, c’est dire ! D’abord révélée par les services d’urgence saturés (chaque année, 21 millions de personnes se présentent aux urgences, dont 4 millions sans en avoir besoin), elle s’est étendue à la majeure partie des services, au point qu’un Collectif Inter-Hôpitaux s’est récemment créé parmi les professionnels de santé hospitaliers et les patients (appelés dans la novlangue « usagers de santé ») afin d’organiser une rébellion contre les politiques d’austérité mises en œuvre depuis déjà de nombreuses années.

    UNE CRISE EXISTENTIELLE…

    D’après ce Collectif, l’état des lieux est le suivant : les économies demandées aux hôpitaux publics, année après année, ont entraîné des difficultés majeures d’accès aux soins, une dégradation de la qualité et de la sécurité des soins, un épuisement des personnels hospitaliers.

    Ils estiment que les pertes de chances pour les patients, par manque de moyens, sont devenues réelles. Effet pervers de cette dégradation chronique, les soignants et les médecins quittent l’hôpital, entraînant des vacances de poste et une majoration des sous-effectifs en personnel dans les services, l’hôpital public devenant de moins en moins attractif.

    L’INSUFFISANCE DES CREDITS N’EST QU’UN ASPECT DU PROBLEME

    C’est pourquoi ce Collectif associé au Collectif Inter-Urgences demande un plan d’urgence pour l’hôpital public avec un financement à hauteur des besoins de santé.
    Ce mouvement de protestation tombe à pic dans le calendrier, avec le vote prochain de la loi de financement de la sécurité sociale qui ne prévoit qu’une augmentation de 2,1 % de l’ONDAM (Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie) hospitalier, alors qu’il faudrait une augmentation d’au moins 5% pour compenser l’argent non affecté des années précédentes.
    Si la loi est votée en l’état, les restrictions budgétaires pour les hôpitaux se poursuivront, avec l’aggravation du phénomène décrit précédemment.

    L’opposition entre directeurs d’hôpitaux et personnels risque de se renforcer, dans la mesure où les directeurs cherchent avant tout à réduire les déficits et n’évaluent les services qu’à partir de lignes budgétaires, ce qui n’empêche pas certains, comme Martin Hirsch, de se gargariser dès lors qu’il peut mettre en avant (avec toute sa coûteuse « com ») la qualité et l’innovation dans les soins dans les hôpitaux de l’AP-HP.

    Les directeurs d’hôpitaux, soumis aux diktats des Agences Régionales de Santé (ARS), organisent d’énormes groupements hospitaliers, qui facilitent la fermeture progressive des lits et donc la réduction du personnel, motivant leur décision en ne jurant à l’avenir que sur la prise en charge ambulatoire, alors que cette dernière ne peut en fait s’étendre à tous les types de pathologies ni à tous les patients.

    La question des moyens alloués aux hôpitaux publics est certes d’importance majeure, mais ne demeure dans le fond qu’une partie du problème. En effet, si l’Etat se décidait enfin à accorder un budget décent aux hôpitaux, les personnels se plaindraient encore et toujours de conditions de travail dégradées et de souffrances au travail, avec à la clé un manque d’attractivité persistant et préoccupant.

    Car l’hôpital public souffre de maux qui sont très rarement mis en avant…

    DES PROFESSIONNELS DE SANTE PARASITES

    Il y a tout d’abord les nombreux professionnels de santé qui travaillent à l’hôpital public comme des parasites. On peut citer par exemple les médecins dont l’activité est essentiellement libérale et qui profitent de toutes les ressources offertes par leur service. C’est pour eux tout bénef ! Certains ont même le toupet de marchander leurs honoraires avec leurs patients comme dans un souk, d’une façon totalement éhontée. D’autres aggravent leur cas lorsqu’ils sont universitaires, passant leur temps dans des congrès où ils aiment faire les beaux, alors que la majorité des publications scientifiques présentées lors de conférences scientifiques ne valent pas grand-chose…

    On ne les voit pas souvent dans leurs services (pourtant, pour l’administration hospitalière, ils sont bien là, sur le papier !). Les hôpitaux publics étant très souvent des centres hospitaliers universitaires, les doyens des facultés des sciences de la santé, irresponsables, favorisent toujours plus le recrutement de jeunes médecins universitaires ayant un pur profil de chercheur, à l’activité hospitalière fantomatique, alors qu’ils sont pourtant payés pour !

    DES SOIGNANTS PLANQUES

    Il y a aussi tout un tas de soignants planqués. Dans une équipe d’infirmières et d’aides soignantes, il n’est pas rare de voir des professionnels faisant en plus de leur boulot une bonne partie du travail du collègue, la palme de la fainéantise revenant sans doute aux Antillais (qui n’ont un rythme de travail efficace que lorsqu’ils travaillent au black…), très (trop !) nombreux dans nos hôpitaux publics.

    Certains sont assez adroits pour faire bonne figure jusqu’à leur titularisation, et après, ne font plus aucun effort. Et sauf faute grave, ils peuvent ainsi glandouiller dans leur service jusqu’à la retraite.
    L’idéal serait de pouvoir virer tous ces vilains petits canards.

    L’ISLAMO-AFRICANISATION

    L’autre mal qui mine nos hôpitaux publics, c’est le phénomène d’islamo-africanisation. Au fil des années, il est devenu de plus en plus frappant, y compris dans les hôpitaux parisiens des beaux quartiers. Si, individuellement, cela peut ne pas poser de problème, à plus grande échelle, c’en est toujours un, d’autant plus prégnant dans le contexte actuel où la France est soumise à des attentats de façon récurrente.

    Au point de donner presque raison à Brenton Tarrant, qui écrivait en substance dans son manifeste que les allogènes non-armés sont plus dangereux que ceux qui ne le sont pas. Les professionnels de santé de confession musulmane ne sont-ils pas en effet montrés en exemple aux Français quand il est question de « ne pas faire l’amalgame » ?  

    urgences-islam-300x150.jpgPourtant, l’islam est un vecteur constant de violences de toutes sortes, y compris psychologiques, du fait qu’il s’agit d’un système politique et juridique d’essence totalitaire. Ces violences qui n’épargnent personne sont responsables d’une maltraitance chronique des personnels hospitaliers qui finissent par craquer.

    Patients ou familles de patients mahométans véhiculent à longueur de temps, en particulier aux urgences, des revendications communautaristes de plus en plus agressives.

    Côté personnel, on ose certifier des hôpitaux alors que de très nombreux médecins pratiquent le ramadan, mettant en danger la sécurité des patients pendant un mois chaque année. Sans compter que rien n’empêche que l’un d’eux ne se radicalise (tout musulman étant un djihadiste en puissance) et fasse un carnage dans un hôpital, un fusil d’assaut à la place du stéthoscope.

    Ce phénomène d’islamo-africanisation des hôpitaux est un facteur majeur de leur perte d’attractivité, sachant qu’il est directement responsable d’un processus de « shitholisation » * au quotidien que tout Français de cœur et d’esprit, même formaté façon bobo gauchiste, finit par fuir comme la peste.

    750 M€ DANS LES 2 ANS ? MOINS QUE LE COUT DE L’AME (1 Milliard €) !

    Confrontés à cette situation inadmissible (dont certains sont conscients, d’autres encore dans le déni), les directeurs d’hôpitaux, les ARS, le ministère de la santé ne font rien, strictement rien.

    Ils accordent tout au plus une aumône, comme l’a fait récemment Agnès Buzyn avec son annonce de débloquer 750 millions d’euros d’ici 2022 pour tenter de résoudre cette crise. C’est en fait se moquer du monde, quand on connaît le montant de l’AME destinée à assurer des soins aux clandestins pseudo-réfugiés toujours plus nombreux ainsi que le coût de l’immigration pour l’Etat, que certains économistes évaluent à plus de 100 milliards d’euros par an.

    Une bonne partie de ces milliards pourrait être investie prioritairement dans la santé si la France disposait d’un Etat sain gouvernant selon une politique fondée sur la raison et non sur cette superstition mortifère de la dignité et de l’égalité entre tous les hommes. Il faudrait les consacrer en priorité à la santé de tous les Français respectueux des lois de la République et sachant garder leurs croyances religieuses dans la sphère privée lorsqu’ils consultent à l’hôpital public.

    A défaut d’une prise de conscience de nos gouvernants que ce n’est absolument pas le rôle des hôpitaux français de soigner la moitié de l’Afrique (véritable tombeau de l’humanité au XXIe siècle), les professionnels de santé pourraient déjà réduire de façon simple et rapide leur charge de travail, en particulier aux urgences.
    Il suffirait en effet de faire appliquer dans les hôpitaux publics des règles drastiques de laïcité, afin que toute manifestation ostentatoire d’une religion soit formellement interdite (en particulier vestimentaire, à commencer par le voile).

    Emmanuel Macron s’est d’ailleurs lui-même récemment prononcé à ce sujet en soulignant le devoir de neutralité dans les services publics. Les patients de confession musulmane ne seraient pris en charge dans les hôpitaux publics que s’ils font passer les lois de la République au-dessus de la charia. Ceux pour qui la charia passe avant tout pourraient toujours se soigner avec de la pisse de chameau, dont les sciences islamiques ont démontré l’efficacité. Si, si !

    L’état désastreux actuel de l’hôpital public n’est que le reflet tragique de notre société en proie à une œuvre politique de destruction amorcée dès les années 70-80.
    Il faudrait une révolution pour enrayer le processus, à commencer par une révolution spirituelle.

    Mais je crains que les choses ne se clarifient qu’une fois nos hôpitaux civils transformés par la force des choses en hôpitaux militaires…

    * de l’anglais : « shit hole » ; en français : fosse à purin ; « purinisation », pourrissement…

    Dr Jean Philippe de la Ribausière
    30 octobre 2019

    https://www.minurne.org/billets/21894

  • Politique-Eco n°234 avec Roland Hureaux : Les maux de la France sont-ils l’effet d’une volonté ?

    Roland Hureaux l’affirme sans ambages : « Dix ans encore et nous serons redevenu un pays sous-développé ! ». Dans son ouvrage publié chez L’Harmattan : « Les Gilets Jaunes ont raison… et bien plus qu’ils ne croient », l’ancien élève de l’ENA attaque les effets du mondialisme. Cette idéologie, sorte de « carcan mental », consiste à singer des modèles étrangers inadaptés et à s’autodénigrer jusqu’à ce que mort s’en suive. Roland Hureaux, qui préconise un tournant politique complet, car, oui, la France PEUT être mieux gouvernée, est l’invité de « Politique-Eco ».

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n234-avec-roland-hureaux-les-maux-de-la-france-sont-ils-leffet-dune-volonte