Réservez vos dates :
social - Page 207
-
La mobilisation ne fait que commencer
-
Me Frédéric Pichon : « Toute forme de contestation sociale est désormais réprimée de manière disproportionnée ! »
Mardi, la manifestation des pompiers à Paris à laquelle s’étaient joints des infirmiers, des aides soignants, des policiers municipaux et des urgentistes a tourné à l’affrontement avec les forces de l’ordre.
Boulevard Voltaire a interrogé Me Frédéric Pichon, qui donne son analyse de la situation.
-
En France, 3,1 millions de personnes ont plus de 100 ans !
Pieter KERSTENS
C’est le chiffre relevé par le très officiel Répertoire National d’Identification des Personnes Physiques et dévoilé dans un pré-rapport sur l’immigration publié par la sénatrice N. Goulet et la députée C. Grandjean le 3 septembre 2019.
De son côté l’INSEE avait recensé 21.000 centenaires en 2016. A qui donc, pour quels montants et durant combien de temps auraient bénéficié les prestations sociales de ces 3.080.000 « fantômes » ?
Autre curiosité : la France compte 67 millions d’habitants, mais 110 millions sont inscrits au RNIPP et 84 millions seraient toujours en vie. C’est grotesque.
Au royaume du Docteur Micron, tout est possible quand le laxisme, la complicité et l’incompétence dirigent nos administrations :
- Depuis des années 1,8 million de Cartes Vitales auraient été délivrées à des étrangers vivant hors de France, sur base de documents falsifiés.
- En septembre 2013, un rapport de l’Inspection Générale des affaires Sociales relevait que 8 millions de Cartes Vitales surnuméraires étaient toujours actives.
- Le magistrat Ch. Prats, membre de la délégation nationale à la lutte contre la fraude de 2008 à 2012, avait évalué en décembre 2018 que la fraude aux prestations sociales correspondait à 14 milliards d’euros tous les ans, et cela en violation de l’article L.114-12-3 du code de la Sécurité Sociale.
De nombreux parlementaires ont, depuis plus très longtemps, relevé que « l’immigration clandestine était un vecteur très important de fraude ». Mais ce sujet tabou a été ignoré par les gouvernements successifs, au prétexte de ne pas remettre en cause le multiculturel et le pluriethnique, piliers du « Vivrensemble » et du « Padamalgam ». Ces 280 milliards d’euros (au minimum) ont été volés dans les caisses de l’Etat par des délinquants immigrés et augmenté les déficits publics et la dette nationale.
Quand donc les crétins humanistes et progressistes qui sévissent dans nos administrations vont-ils cesser de nous mentir et mettre en place des contrôles efficaces pour en finir avec ce scandale de faux documents et de fraude documentaire ? Il suffirait de croiser les fichiers…
Les responsables de cette gabegie sont ces chantres de la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste, ces gourous du métissage à tous les étages. Ces saltimbanques du devoir de mémoire et de la repentance obligatoire. Ces inquisiteurs de la Police de la Pensée qui refusent toute contestation et composent cette mafia socialaud-écolo-libero-capitaliste qui impose sa doctrine et ses dogmes depuis 40 ans et nous ont conduits au fiasco général.
Selon Ch. Prats « il faut tordre le cou à ces études qui prétendent que l’immigration rapporte plus qu’elle ne coûte. Elles oublient l’imputation des coûts des services publics et des infrastructures ». La main-d’œuvre clandestine et les chefs d’entreprise délinquants alimentent une fraude massive aux cotisations sociales. Il est grand temps que cela cesse. Il vaut mieux aller chercher l’argent dans la poche des fraudeurs plutôt que d’augmenter les prélèvements ou baisser les prestations des Français, comme leurs retraites.
« Frauder le fisc et la Sécurité Sociale, c’est voler nos concitoyens ! »
-
L’Acte 48 des Gilets jaunes a rassemblé des milliers de manifestants samedi à Toulouse
Plusieurs milliers de gilets jaunes se sont rassemblés samedi à Toulouse à l’occasion du 48e acte du mouvement contestataire, soit la manifestation la plus importante depuis plusieurs semaines. Un rassemblement marqué par de nombreux affrontements avec les forces de l’ordre, qui ont interpellé 17 personnes et fait un usage massif de gaz lacrymogène et de canon à eau. Ailleurs en France, quelques centaines de manifestants ont battu le pavé à Metz, Paris, Bordeaux, et Lille notamment.
-
Il faut sauver l'hôpital
La romancière Marie Desplechin n’est pas vraiment notre tasse de thé. Disons plutôt que son œuvre ne correspond pas aux critères que nous recherchons en littérature. On pourrait aisément la classer du côté de la gauche bobo. Mais, à l’image de nombre de nos concitoyens, de nos frères Gaulois, on a tous été confrontés à la réalité de l’hôpital où l’on a pu constater l’extraordinaire dévouement du personnel hospitalier, du brancardier au grand patron, du chef de service aux infirmières. Or, l’Etat maltraite depuis trop longtemps cette institution où le moindre syndicaliste de la CGT serait en grève illimitée depuis longtemps. Sauf qu’à l’hôpital on ne prend pas les « usagers » en otage. Et on fait le gros dos face aux horaires infernaux, aux rémunérations aléatoires, aux conditions de travail souvent limites. C’est la raison pour laquelle on souscrit aux propos de Marie Desplechin, prononcés au CHU de la Pitié-Salpétrière à Paris devant plusieurs cadres et soignants du « collectif inter-hôpitaux » réunis en assemblée générale pour la première fois. A la différence de nos adversaires, nous ne sommes pas sectaires.
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/13/il-faut-sauver-l-hopital-6182607.html
-
Le « trou de la sécu » atteindra les 5,4 milliards d’euros cette année
Contrairement aux annonces faites par le Gouvernement fin 2018, qui prévoyait qu’en 2019, «pour la première fois depuis 18 ans, le régime général et le fonds de solidarité vieillesse (FSV) [seraient] excédentaires à hauteur de 700 millions d’euros», le «trou de la sécu», plutôt que de disparaître, atteindra cette année 5,4 milliards d’euros.
Dans un rapport public publié mardi 8 octobre, la Cour des comptes explique cette tendance par le coût (2,7 milliards d’euros) des mesures d’urgence économiques et sociales de la fin de l’année 2018, aussi appelées «lois Gilets Jaunes», et par des prévisions trop optimistes, la masse salariale soumise à cotisation ayant augmenté moins que prévu avec un impact de 1 milliard d’euros.
Depuis le début des années 1990, la sécurité sociale connaît un déficit permanent, (sauf en 2000-2001), que la récession économique de 2009 a porté à un niveau inédit. L’accumulation des déficits annuels a fini par constituer une dette sociale qui représente encore près de 120 milliards d’euros en 2019, répartis entre deux organismes, la Caisse nationale des Urssaf (l’Accos) et la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES).
Source : RT
https://www.tvlibertes.com/actus/le-trou-de-la-secu-atteindra-les-54-milliards-deuros-en-2019
-
L'Etat meurtrier ou le démantèlement d'EDF
Une fois de plus nos cranes d’œuf et les gaziers qui nous gouvernent veulent tuer l’un des fleurons de l’industrie française : EDF, entreprise intégralement payée par les Français et qui fait partie de leur patrimoine. Au même titre d’ailleurs que les autoroutes, bradés par un certain François Bayrou, alors ministre, au secteur privé. Le projet « Hercule » porte bien mal son nom. Il vise à casser en deux EDF et lui ôterait ainsi toute force pour résister à la concurrence. Ce triste sort ne serait en fait que l’ultime étape d’un processus de démantèlement entamé depuis une vingtaine d’années, au cours desquelles se sont enchainées les fautes de gestion et les faiblesses des gouvernement successifs. La France vit un drame depuis Giscard : l’irresponsabilité de son personnel politique.
-
RETRAITES : LE VRAI PROJET DU GOUVERNEMENT
-
Terrorisme : le gouvernement face à la réalité – Journal du mercredi 9 octobre
1) Terrorisme : le gouvernement face à la réalité
VO: Après l’hommage, les justifications. Mardi, Christophe Castaner a été sommé de s’expliquer après l’attentat à la préfecture de police de Paris. Face aux députés, le ministre de l’intérieur a été chahuté alors qu’Emmanuel Macron a appelé à la plus grande vigilance.2) Retraite : les retraités toujours mobilisés pour l’augmentation des pensions.
VO : C’est la 8ème fois depuis le début du quinquennat d’Emmanuel Macron. Les retraités ont défilé dans plusieurs villes de France avec pour principale revendication, une réelle revalorisation de leurs pensions et une augmentation de leur pouvoir d’achat.
3) Yuka : l’appli qui vous veut du bien ?
VO : Depuis quelques années, une application pour passer au crible vos achats fait un véritable tabac. Avec un système extrêmement simple, Yuka renseigne le consommateur au delà des messages marketing… Un procédé qui commence déjà à faire plier certains industriels de la distribution.
4) L’actualité en bref
-
Dérision de nos sécurités d'État
On met en cause le ministre Castaner dans l’affaire de l’attentat islamiste dans l’enceinte de la Préfecture de Police. Voilà qui semble bien compréhensible. Ce personnage est nul et il faut une grande solidarité gouvernementale pour ne pas le critiquer et le destituer. “Auteur de bourdes à répétition, le ministre de l’Intérieur se trouve une nouvelle fois sous le feu des critiques et des appels à la démission” soulignaient dans L’Opinion le 7 octobre Nathalie Segaunes et Ivanne Trippenbach[1].
Mais on ne saurait se dissimuler, non plus, la part politicienne de l’angle d’attaque : il s’agit, aussi, pour la presse de gauche de mettre en cause le symbole de la répression bien plus que le dérisoire bobo ministériel.
On le présente comme le maillon faible au sein du gouvernement. Soit. Mais alors quel est le maillon fort ?
Frédéric Péchenard ne passe pas pour un soutien du pouvoir actuel. Il souligne cependant que “le procès fait à Castaner, c’est l’arbre qui cache la forêt. Quand on s’acharne sur un individu on passe à côté de l’essentiel.“[2]
Une partie de ceux qui le clouent aux gémonies ne visent pas les incertitudes du pouvoir face à l’islamisme pas même l’incapable en tant que tel, mais tout simplement le chef des méchants flics.
L’auteur de cette chronique n’a pas attendu pour dénoncer ici, plutôt deux fois qu’une, ses responsabilités[3]
Chaque jour qui passe voit se préciser ce qu’on appelle du terme un peu trop technique de “dysfonctionnements” dans la protection du cœur même de la centrale policière parisienne. Faillir dans sa propre sécurité augure mal du rôle de protection qu’en attend le public et pour lequel sont supposés contribuer les lourds impôts que nous supportons.
On n’a su en haut lieu gérer correctement, ni la crise des gilets jaunes en elle-même, ni sa captation par la stratégie des blacks blocs.
La médiocrité des autorités républicaines continue, tout simplement, ses ravages à balles réelles.
Or, l’horrible crime commis par un islamo-terroriste, doublement traître, et le sang de ses victimes pourrait aussi contribuer à éclairer l’opinion, sur quelque chose de plus large.
Nous avons, de façon logique et légitime, de moins en moins confiance en l’État. Surtout quand il prétend nous protéger.
Yannick Jadot, à sa manière lourdingue habituelle, car ce citoyen n’a pas inventé l’écol-eau tiède, le soulignait à l’envi ce 3 octobre sur les ondes de RTL[4], entrecoupé hélas par les hoquets publicitaires et les gloussements de basse-cour de Ruquier, il s’époumonait à réclamer “une plus grande crédibilité de la parole publique”. Son intervention portait sur l’affreux mais révélateur incendie, petit tchernobyl chimique, survenu dans l’usine Lubrizol de Rouen filiale du conglomérat constitué par Berkshire Hathaway du génial boursier Warren Buffet.
Ne nous encombrons pas ici de généralités excessives, mais si ce type d’investissements étrangers met beaucoup moins la France à l’encan que les folies de l’étatisme, constatons que l’entreprise américaine semble bien d’après les informations qui se dégagent, avoir violé les règles élémentaires de précaution, nonobstant l’inscription chiraquienne de ce principe dans la constitution, et contourné les contrôles de notre si prétentieuse et si coûteuse administration.
C’est pour toutes ces raisons que les protections d’État paraissent de plus en plus dérisoires aux personnes de bon sens.
[1] cf. “Attentat, explosion, violences…: le problème Castaner”
[2] cf. entretien du 8 octobre avec Nicolas Beytout
[3] cf. L’Insolent du 26 novembre 2018 “Castaner ministre de la chienlit”
[4] L’invité de RTL Alba VenturaJean-Gilles Malliarakis
https://www.insolent.fr/2019/10/derision-de-nos-securites-detat.html