
Pierre-Guillaume Mercadal, paysan, a été interrogé dans le Bien commun, à propos de la crise paysanne. Extrait :
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Pierre-Guillaume Mercadal, paysan, a été interrogé dans le Bien commun, à propos de la crise paysanne. Extrait :
Logique ne veut pas dire que je trouve cela bien ou qu’il faudrait se venger contre les retraités actuels trop nombreux pour le nombre d’actifs actuels !!
Toutes les réformes des retraites ne servent globalement à rien.
Vous savez pourquoi ?
Synthèse nationale
Au moment où Donald Trump vient d'entrer en fonction (avec la ferme intention de relancer vigoureusement l'économie américaine) et où la Banque de France vient de publier les (très mauvais) derniers chiffres concernant les défaillances d'entreprises (1), le visionnage de la dernière vidéo de l'économiste Marc Touati apparaît quasiment d'utilité publique, tant la gravité de notre situation appelle une prise de conscience urgente et une réaction nationale en conséquence...
Jusqu’à la Révolution Française, quiconque voulait entrer dans une ville avec des marchandises devait s’acquitter d’une taxe qui se nommait « octroi ». Cet octroi servait, au début, à financer l’entretien des fortifications des villes. C’est attesté depuis Philippe Auguste au moins. Bien évidemment, il s’agissait d’une noble cause : protéger les habitants des villes (bourgeois : étymologiquement, celui qui vit dans un bourg) contre les atteintes extérieures et empêcher l’assaillant d’envahir la ville et de s’y livrer aux joyeusetés habituelles du temps (pillages, incendies, viols et meurtres). L’avantage de l’octroi, c’est qu’il ne frappait pas celui qui habitait à l’intérieur de la ville, mais seulement celui qui venait de l’extérieur y apporter les marchandises nécessaires au bon fonctionnement de la Cité.
Le litige empoisonne les relations franco-algériennes de longue date. Chaque année, la dette de l’Algérie vis-à-vis des hôpitaux publics français s’alourdit. Les factures laissées par ces patients étrangers pris en charge par l’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris), les Hospices civils de Lyon ou les Hôpitaux de Marseille ne sont pas payées. Elles s’accumulent au point d’atteindre 44,9 millions d’euros en 2023 pour la seule AP-HP, selon une source proche du dossier – l’AP-HP, qui accuse un déficit de 460 millions en 2024, se refusant à donner cette information à l’Opinion.
Grande première : malgré l’opposition des grandes centrales, le syndicat Union professionnelle des Gilets jaunes a été autorisé le 30 décembre par le tribunal administratif de Paris à se présenter aux prochaines élections des TPE (très petites entreprises). De son côté, invité le 19 décembre de France 2, le Premier ministre François Bayrou considérait le mouvement des Gilets jaunes, qui débuta le 17 novembre 2018, comme « l’un des événements les plus importants de ces dernières décennies », exigeant donc attention et action. Nous avons ainsi interrogé l’un des meilleurs spécialistes de la question : Yvan Hardoy, qui a suivi tous les « actes » du mouvement (lequel continue de se manifester chaque samedi à Paris comme en province avec des fortunes diverses) depuis son origine et fut l’un des maîtres d’œuvre et le mémorialiste du passionnant livre-album Gilets jaunes – Une année d’insurrection et de révolte dans Paris (ÉditionsYellosphere).
Il est talentueux, Emmanuel Macron. La question est de savoir s’il est plus compétent en politique étrangère, en politique économique ou en politique intérieure. Car le président français, indéniablement infatigable dans ses multiples activités, a pleinement profité du système présidentiel français pour intervenir dans tous les domaines possibles.
Ainsi, grâce à sa clairvoyance, la France a été évincée de l’Afrique, perdant crédibilité et prestige, mais surtout d’énormes revenus et des ressources stratégiques à faible coût.