
Michel Barnier vient d'annoncer à l'Assemblée nationale qu'il activait l'article 49.3 de la Constitution pour faire passer le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2025.
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Du côté du Sénat, c’est la foire aux taxes qui continue à battre son plein. Il y a eu le rétablissement d’une forme d’ISF avec un élargissement total de l’IFI mais sans la suppression de ce dernier, puis aujourd’hui cette taxe avec une TVA à 20 % sur les bouteilles d’eau.
Comme on pouvait le craindre, les mesurettes annoncées en début d’année n’ont pas vraiment changé la vie de ceux qui nous nourrissent, et qui ne gagnent pas justement leur vie. Alors qu’une nouvelle révolte grandit sur fond de négociation d’un accord de libre-échange avec le Mercosur, le traitement des deux informations par les éditorialistes de RTL et de Radio France diverge sérieusement.
Mardi 26 novembre 2024, à l’occasion d’un vote consultatif, les députés de l’Assemblée nationale ont majoritairement rejeté le Mercosur, source de toutes les inquiétudes chez les éleveurs et agriculteurs français, et au-delà, notamment en Allemagne. L’Assemblée a ainsi voté à 484 voix contre 70, approuvant le gouvernement français, qui est « contre la signature de cet accord tel que la Commission européenne l’envisage ».
Vous pouvez ne pas partager la même crèmerie politique que le sénateur Stéphane Ravier, il n’en reste pas moins qu’il n’y a rien à retrancher à son intervention devant le Sénat.
Si.
Il dit “bienvenue en république soviétique de France”.
De mon côté j’ai l’habitude de dire… “bienvenue en Corée de l’Ouest” !
Vous noterez ces deux constats que je partage.
La colère monte dans le monde agricole, notamment face à la possible signature de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les pays du Mercosur. Cependant, pour Philippe Grégoire, éleveur de bovins dans la région d’Angers interviewé par le journal Epoch Times, cette problématique n’est qu’un symptôme d’une crise bien plus profonde. Selon lui, le véritable mal qui ronge la paysannerie française réside dans la captation de la valeur ajoutée par l’industrie agroalimentaire et les multinationales.
Il existait autrefois une marque européenne symbole de confort, de luxe, de qualité et de silence, mais aujourd’hui, Peugeot, ce n’est que des maux de tête avec des moteurs comme le thpum, et dernièrement son fameux putretech, avec sa foutue courroie baignée d’huile.
Dans cette vidéo, vous verrez comment une marque est capable de ruiner complètement son image, la conduisant à acquérir l’une des pires renommées qu’aucune marque ne souhaiterait avoir. C’est-à-dire le déclin de Peugeot, bienvenue à Andresito.