Il faut oser. Il faut être culotté, ou totalement hors-sol, pour venir sur un plateau de CNews balancer tranquillement que « les familles qui ne travaillent pas et qui touchent 2000 euros par mois grâce aux aides sociales vivent mieux que ceux qui bossent ». C’est la petite phrase de Kevin Bossuet, journaliste de droite en quête de buzz et de reconnaissance médiatique. Une phrase lâchée comme une grenade dans le débat public, au mépris de toute décence.
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Social, Tribune libre Assistanat, pauvreté et mépris : réponse à Kevin Bossuet (Cnews), depuis la France qui se lève tôt… et qui n’en peut plus [L’Agora]
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[L’INVITÉ] « Avec Les Gueux, contre les ZFE », il veut soulever la France
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« L’aérien n’a pas d’avenir pour Sandrine Rousseau… qui n’imagine pas pouvoir se tromper ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Le problème de certains de nos politiques, encore plus quand ils sont habités par une idéologie qui confine au religieux et au dogmatisme ce qui est évidemment le cas de tous les saints croyants de l’église de l’écologie, c’est un manque évident d’humilité.
La véritable humilité.
On peut se tromper.
Affirmer n’est jamais argumenter.
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La lutte contre l’extrême droite est un combat syndical !

Une de mes connaissances qui fait partie de l’Éducation nationale vient de me transmettre une copie du courriel que le syndicat Sud Éducation Alsace lui a fait parvenir pour assister à une formation syndicale dont le sujet est totalement politique et sans rapport réel avec l’enseignement.
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La méthode Trump est-elle la bonne ?

Il est de bon ton dans les salons économiques de dire que Trump est un abruti qui n’a plus toute sa raison. Il est surtout de droite et le personnage déplaît, donc ce qu’il fait est idiot par définition. Au RPF, chez les gaullistes, nous sommes plutôt pour la régulation du capitalisme sauvage et ce n’est pas vraiment une position iconoclaste. C’est la base keynésienne de nos économies des années d’après guerre, jusqu’au milieu des années 70. Et puis nous avons commencé à « déréguler ». En sommes nous plus heureux ? Non. Nous y avons perdu nos industries, nos usines, nos savoir faire, nos ouvriers qualifiés… ce qui reste a été « actionarisé », vendu à des fonds de pension qui ont délocalisé, asséché, revendu, avec à la clé des pertes d’emplois et des friches industrielles.
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Aide sociale à l’enfance : un nouveau dispositif permet de vérifier les antécédents judiciaires des intervenants. Face au manque de personnel, des personnes étaient recrutées sans contrôle

Face au manque de personnel, les associations du secteur reconnaissent faire appel à des gens sans vérifier leurs antécédents, une situation qui s’est aggravée avec le recours accru à l’intérim. Un nouveau système de vérification des antécédents judiciaires des intervenants expérimenté dans la Petite enfance et l’Aide sociale à l’enfance a déjà permis d’écarter des profils potentiellement dangereux.
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[ÉDITO] Fiscalité : après les gueux, les vieux ?
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Syndicats : moins d’adhérents et plus d’argent

L’argent magique coule à flots chez les syndicats. On pourrait penser que moins un syndicat a d’adhérents, moins il a d’argent. Et bien non, c’est tout l’inverse. Plus un syndicat a moins d’adhérents, et plus il a de pognon. Un pognon de dingue. C’est ce que relève le Canard :
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« Si c’est pour se faire accueillir par des tomates, ce n’est pas la peine » : Le groupe Safran ne veut plus investir dans les villes écologistes

Olivier Andriès, directeur général du groupe Safran, a annoncé qu’il refuserait désormais toute implantation industrielle dans des villes dirigées par des majorités écologistes. La décision fait suite à l’accueil hostile reçu lors de l’installation d’une fonderie à Rennes en février 2024, où certains élus écologistes locaux s’étaient publiquement opposés au projet.
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Rennes, symbole de l’écologie punitive : quand l’idéologie verte fait fuir les industriels (Safran)
Créer 500 emplois, redonner vie à une friche industrielle, investir 80 millions d’euros dans une usine high-tech respectueuse de l’environnement : sur le papier, le projet de Safran à Rennes cochait toutes les cases. Mais c’était sans compter sur la véritable guerre idéologique déclenchée par les élus écologistes locaux. Résultat : une fracture politique, un patron outragé… et un avertissement clair lancé aux autres villes gouvernées par les Verts.

