Aujourd’hui, s’est ouvert le Salon de l’Agriculture. La colère légitime des agriculteurs grandit et a eu raison du débat dérisoire proposé par Macron, également refusé par Michel-Edouard Leclerc. Outre la mise en place d’un vrai protectionnisme, comme en Asie, la claire communication de l’origine des produits est une autre revendication légitime. Dans les deux cas, l’UE est l’obstacle à franchir.
social - Page 21
-
Quand l’UE occulte l’origine des produits agricoles
-
L’hiver démographique est-il inéluctable ?
-
Politique & Eco n°425 avec avec Jean-Philippe Chauvin : Deux siècles d’histoire sociale à la lumière des monarchistes
Nous recevons aujourd’hui Jean-Philippe Chauvin militant royaliste de toujours et professeur d’histoire dans un grand lycée d’Ile-de-France. En sa compagnie nous découvrons un aspect méconnu de la monarchie et de l’Ancien régime : sa dimension sociale.
1) Louis XVI et la question sociale. Une image à repenser en général sur la monarchie mais particulièrement sous Louis XVI. Au moment de la grande peur des campagnes à la suite de l’explosion d’un volcan islandais qui plonge l’Europe dans un grand trouble climatique assorti de mauvaises récoltes, Louis XVI consacrera une part du budget pour venir en aide aux paysans.
-
Ils veulent tuer les paysans (Alain Escada)
Alain Escada était samedi dernier l’invité d’une journée paysanne en Vendée. Il y a tenu un discours rappelant la tragédie que vivent les paysans, victimes d’un plan orchestré par les mondialistes pour les faire disparaître, s’accaparer les terres agricoles et décider de l’alimentation qui sera encore à disposition ou non.
-
L’Union européenne contre les paysans
Partout dans l’Union européenne, les paysans se dressent contre la Politique agricole commune (PAC) qui pourtant les subventionne. Les gouvernements leur répondent avec des mesures d’ajustement, des simplifications bureaucratiques et quelques paroles de réconfort. En réalité, ils sont impuissants face à une structure conçue pour appliquer une idéologie qui se révèle folle.
Le désespoir et la colère des paysans européens
Dans toute l’Europe occidentale et centrale, les paysans manifestent. Ce fut d’abord aux Pays-Bas, en Italie, en Suisse et en Roumanie, aujourd’hui en Espagne, en France, en Allemagne et en Pologne. Cette jacquerie à l’échelle continentale se soulève contre la Politique agricole commune (PAC) de l’Union européenne.
-
Journée paysanne réussie en Vendée
Une journée paysanne s’est tenue en Vendée. L’occasion de découvrir très concrètement les différentes facettes du métier de paysan, les difficultés vécues par eux, les contrôles qu’ils subissent (avec des contrôles par satellite !) mais aussi leur détermination à défendre un métier essentiel qui est pour eux une vocation transmise de génération en génération.
-
Captation des fonds des retraites du privé : l’État multirécidiviste
« Il faut prendre l’argent là où il est » . Quand il s’agit de ponctionner l’argent du fonds de retraite Agirc-Arrco, l’État français semble faire sienne cette vieille formule du parti communiste avec obstination !
L’argent de l’Agirc-Arrco, géré par les « partenaires sociaux » (organisations syndicales et patronales), et non par I'administration, appartient légitimement aux cotisants et retraités affiliés à ce régime. Mais le fric-frac est tentant, pour un État qui a accumulé plus de 3 000 milliards d'euros de dette publique et prévoit encore un déficit de 145 milliards d'euros en 2024. Et les tentatives se sont multipliées ces dernières années.
-
[Bruxelles] De nouveau, un millier de tracteurs font pression sur l’UE
-
Agriculture : Rousseau, Macron et la FNSEA s’écharpent sur le protectionnisme
Ces derniers jours, on a un peu tout vu, en termes d’agriculture. Le plus médiatique ? Cette tentative totalement ratée du président de la République, qui a voulu jouer à Chirac et n’a réussi qu’à faire du Ceaușescu en bout de piste. Débat ridicule en bras de chemise (probablement parce qu’il imagine que les agriculteurs n’ont jamais de veste), évacuation misérable sous les assauts des paysans en colère… et jusqu’à ces moments surréalistes, captés par l’œil des caméras, dans lesquels, tour à tour, il perd ses nerfs face à une jeune fille ou explique comment il comprend le programme du Rassemblement national. Pour lui, le RN est le « parti du Frexit », alors que « sans Europe, il n’y a pas d’agriculture ». C’est dire deux bêtises en une phrase, ce qui ne surprendra pas les admirateurs de ce Président surdoué, qui fait tout beaucoup plus vite que tout le monde.
-
Pourquoi Macron et Bardella baladent les Français sur la crise agricole
Dans cette capsule, Eric Verhaeghe rappelle que la crise agricole survient essentiellement du fait de la politique de sanction contre le gaz russe, qui fait flamber le prix des intrants agricoles de plus de 50 % et étrangle les agriculteurs. Mais, visiblement, ni Emmanuel Macron ni Jordan Bardella n'ont envie d'en parler.