
« Changeons le système, pas le climat. » C’était le slogan écolo inscrit sur le capot des petites voitures grises, ces électriques en libre-service qui devaient nous changer la vie : les Autolib’.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
C’est un article du Figaro (source ici) qui revient sur les dernières déclarations de notre ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet en se demandant si elle raison de dire qu’en France, « on n’a pas assez de gens qui travaillent » ?
Le problème, selon la ministre, ne proviendrait pas des individus en emploi, qui « eux travaillent beaucoup, si ce n’est plus que les Allemands et les Britanniques », mais plutôt du nombre de personnes qui travaillent.
Une nouvelle taxe sur les emballages des baguettes: énième coup porté aux boulangers !
Le journal des Chouans, sur son compte Telegram, rapporte ces faits délirants qui nous font dire que « vraiment, on marche sur la tête ! ».
François Bayrou a exclu tout retour à l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans, réaffirmant la nécessité de rétablir l’équilibre du système d’ici 2030.
La Malus auto ce sera pour toutes les voitures ! Mais qu’est-ce que cette punition supplémentaire inventée par nos politicards pour soutirer de l’argent sous couvert de lutte pour « sauver la planète ». Avez-vous remarqué, nos responsables n’ont jamais autant voulu sauver de trucs ! Le climat, parce que tel qu’il est il ne doit plus changer, c’est une décision unanime et irrévocable du grand conseil planétaire de Davos. La démocratie, version UE, c’est unique en son genre, ça consiste à veiller à ce que les seules idées saines et validées par la même autorité que le climat puissent gagner en toute sécurité à toutes les élections. Les dissidents seront écartés par la force, souvent déguisée en arrêt juridique parce que c’est plus classe et c’est surtout indiscutable. La paix ? Ils veulent la sauver à tout prix, c’est dans ce but que notre agité de président crie partout qu’il va envoyer des soldats en Ukraine et qu’au besoin il larguera plein de bombes atomiques sur la Russie, car les méchants ce sont ceux qui ont envahi cette belle démocratie qu’est l’Ukraine.
Le terme « protectionnisme » est généralement considéré comme péjoratif dans le monde économique, au même titre que « isolationnisme » et « populisme ». À une époque où le globalisme est considéré comme la panacée de l’évolution sociale et géopolitique, l’idée de prendre du recul et de reconsidérer la notion d’indépendance et d’autonomie est odieuse. Les globalistes et les progressistes soutiennent qu’il n’y a pas de retour en arrière possible et qu’eux seuls connaissent la voie à suivre.
Il est plutôt commode qu’ils soient devenus les prophètes autoproclamés de la bonne politique économique, n’est-ce pas ?
On n’en peut plus de voir nos compatriotes se débattre avec des squatters, pour la plupart des « migrants » venus de la zone afro-arabo-musulmane, qui ne veulent rien entendre sur le droit à la propriété en vigueur en Occident et qui considèrent à la fois qu’ils ont le « droit de » et que l’Occidental à le « devoir de ».