“On nous a découvert une maladie très contagieuse, non transmissible à l’homme, mais à cause de laquelle l’Etat Français va nous abattre notre cheptel…” Le témoignage d’un paysan consterné par la décision prise par les autorités de tuer tout son cheptel. Les bêtes de ce paysan auraient été contaminées par la maladie d’Aujeszky. Est-ce un hasard si ce paysan est bien connu pour son investissement public dans le mouvement de colère paysanne ?
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La nouvelle attaque contre les paysans
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Le courage de Sandrine Rousseau sur « l’aide » sociale à l’enfance en plein naufrage.
Les témoignages que je peux recevoir sont tous accablants et confirment point par point le dramatique constat posé par Sandrine Rousseau qui va s’attirer « l’eau propre » de la ministre Sarah El Haïry, à la tête d’une protection de l’enfance qui n’a jamais été brillante en France, et qui est désormais, comme le reste des administrations du pays, en plein naufrage. En parlant d’enfance et de la ministre Sarah El Haïry, il ne faudrait pas qu’elle veuille jeter l’eau sale du bain avec le bébé dedans… parce que des enfants jetés avec l’eau du bain, c’est le quotidien de l’ASE.
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51 000 « vilains » patrons, deviennent de « gentils » chomeurs !
Je trouve qu’il y a dans notre pays une forme de détestation des « patrons » assimilés à des « riches » forcément vilains qui est assez détestable.
Lorsqu’un « patron » échoue, que sa société fait faillite, par sa faute ou en raison, ces dernières années d’évènements terribles pour les entreprises comme le Covid ou l’inflation et la guerre en Ukraine avec des tarifs de l’énergie devenants délirants, ils essaient d’abord de garder leurs salariés car sans salariés pas de de société pouvant tourner, donc pas de chiffre d’affaires. Alors ils les gardent même s’ils ne doivent plus se payer eux. Je ne parle pas des patrons-salariés du CAC 40, qui ne sont que salariés comme les autres et qui ne méritent en aucun cas des salaires plusieurs dizaines millions d’euros.
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Yvelines: le corps d’une septuagénaire découvert dans une cabane de jardin, en partie dévoré par les rats
9 mars 2024Les conditions dans lesquelles vivait Jeanine, à Maule (Yvelines), étaient totalement insalubres.Ce dimanche 3 mars, cette femme âgée de 74 ans a été retrouvée morte, une partie de son corps ayant été dévoré par les rats.Cette septuagénaire, qui habitait depuis une dizaine d’années dans un cabanon de jardin sans eau courante, s’est éteinte dans des conditions déplorables, ainsi que le rapporte Le Parisien. Elle vivait avec ses chats au milieu des rats. Elle a été dévorée par ces derniers.
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6 mois après avoir voté la loi ZAN (Zéro artificialisation nette), le député toulousain macronniste Jean-François Portarrieu découvre qu’elle empêchera Airbus de construire une ligne d’assemblage à Toulouse pour exécuter une commande de 2100 avions
La loi ZAN (Zéro artificialisation nette) a été votée l’an dernier pour réduire de moitié, puis stopper, à horizon 2050, les nouvelles artificialisations de sols, pour des constructions immobilières ou industrielles. Une mesure écologique, votée par le député centriste de Haute-Garonne Jean-François Portarrieu. Mais il alerte désormais sur les contraintes qui pèsent sur l’industrie aéronautique, et les risques pour son développement.
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On y arrive…. asphyxié par la dette, le gouvernement veut s’attaquer au modèle social
Je vous en parle dans l’édito du jour.
« Asphyxié par la dette, le gouvernement veut s’attaquer au modèle social » nous dit Europe 1.
« L’État doit faire des économies. Pour cela, l’exécutif cherche des solutions : baisse de l’assurance-chômage, la sous-indexation des retraites sur l’inflation, moindre prise en charge de certains remboursements de santé. Le gouvernement n’écarte donc aucune piste pour faire des économies.
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Agriculture. La FNSEA possède un patron en or
Ces dernières semaines on a vu les militants de la FNSEA manifester ici et là : barrages routiers, « visites » aux grandes surfaces, défilés avec les tracteurs… Pourtant, il y a un endroit où ils ont « oublié » de se rendre : le siège du groupe agroalimentaire Avril situé à Bruz (près de Rennes). Ce sont donc les militants de la Confédération paysanne qui se sont dévoués le 9 février ; manifestation symbolique devant le bâtiment : « Avril, c’est le l’exemple type de ce qu’on ne veut pas », disent-ils (Ouest-France, Ille-et-Vilaine, 10-11 février 2024) Rebelote le 22 février, cette fois ce sont les militants de Greenpeace qui s’introduisent sur le site et dérobent l’enseigne avec une perceuse et repartent avec. A la place, ils déroulent une banderole : « Avril se gave, agriculteurs exploités » (Ouest-France, Ille-et-Vilaine, vendredi 23 février 2024).
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[Entretien] « Les importations massives d’Ukraine ont déstabilisé des filières agricoles »
Cette spécialiste des questions de développement et de famine a présidé l’ONG Action contre la faim et publié bon nombre d'ouvrages sur les enjeux agricoles et alimentaires (elle vient d’être promue officier du Mérite agricole). Son dernier livre Sa Majesté le maïs : la plante que nous adorons détester mais qui sauve pourtant le monde (Éditions du Rocher) est un plaidoyer en faveur de cette céréale cible des écoterroristes et qui régresse en France. À l’heure de la révolte de la paysannerie française, Sylvie Brunel revient sur les productions nationales et les distorsions de concurrence avec d'autres pays du monde, notamment l'Ukraine.
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Les paysans, l'hôpital, l'éducation nationale, les retraités, tout ça peut attendre
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La France revendique 3,8 milliards d’euros d’aide militaire versée à l’Ukraine depuis février 2022Le bilan a été publié le 3 mars par le ministère français des Armées.
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Défendre le mode de vie (identitaire) ET le niveau de vie (social). Réponse à Jean Montalte
Suite à la réaction de Jean Montalte au livre de Rodolphe Cart, « Feu sur la droite nationale ! Réponse à Daniel Conversano et aux identitaires » (La Nouvelle Librairie), ce dernier a décidé de ramasser le gant pour s’expliquer. La parole est à la défense.
Cher Jean Montalte,
Vous commencez votre réponse en m’objectant que « l’identité est la condition nécessaire d’une politique vraiment française ». Autant dire que je me range derrière une telle proposition. Il ne peut y avoir d’État souverain s’il est dépossédé de son identité, car la liberté d’action et de décision d’une entité politique – à l’intérieur de ses frontières (contrôle étatique) ou sur la scène internationale (diplomatie, indépendance nationale) – dépend directement de sa population (composition, natalité, pyramide des âges, diversité, nombre). Et pourtant, est-ce suffisant pour faire de la question identitaire un programme de gouvernement ? Je ne le crois pas…