
Face au retrait de ses prestations et après avoir, selon elle, « épuisé tous les recours », cette mère de famille a entamé une grève de la faim devant la mairie de Tence.
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Face au retrait de ses prestations et après avoir, selon elle, « épuisé tous les recours », cette mère de famille a entamé une grève de la faim devant la mairie de Tence.
C’est une très sérieuse étude sur l’état des lieux du travail mondial (source ici) qui démontre qu’en France ce n’est pas franchement la joie et que les salariés français sont parmi les moins motivés au monde ce qui correspond parfaitement à l’état d’esprit général qui se dégage du monde du travail.
Le groupe ArcelorMittal, en annonçant la disparition prochaine de plus de 600 emplois en France (dont près des deux tiers sont des emplois de production industrielle) sur sept sites du Nord et de l’Est de la France, menace la pérennité de certains écosystèmes des régions touchées et risque d’accroître une désindustrialisation néfaste pour notre pays.
par Philippe Rosenthal
La France et l’Union européenne n’ont pas de réelles possibilités pour procéder à un réarmement à grande échelle. Le leader mondial de la sidérurgie, ArcelorMittal, annonce la suppression de 600 emplois en France. La porte-parole du gouvernement français, Sophie Primas, s’inquiète car «l’acier ça fait les canons Caesar».
Aujourd’hui, la direction d’ArcelorMittal a décidé de licencier environ 600 salariés sur sept sites industriels du Nord de la France : Basse-Indre, Desvres, Dunkerque, Florange, Mardyck, Montataire et Mouzon, en arguant de « la crise qui frappe l’industrie de l’acier en Europe », alibi classique de toutes les politiques asociales des grandes firmes capitalistiques transnationales.
Licencier un salarié fraudeur d’arrêt maladie ? C’est la proposition qui fait grand bruit à l’Assemblée nationale. Déposée par le député Antoine Vermorel-Marques (Les Républicains), la proposition de loi entend répondre à un fléau bien connu des chefs d’entreprise mais jusqu’ici soigneusement occulté par les arcanes de l’État social : la multiplication des arrêts de travail de complaisance.
Un homme de 38 ans a été maintenu en détention, ce mardi 22 avril, par la chambre de l’instruction de Paris. La justice lui reproche de faire partie d’une bande d’escrocs qui s’attaquait à la Caisse primaire d’assurance maladie.
C’est une dépêche de l’agence Reuters source ici qui nous apprend que Roche va investir 50 milliards de dollars aux États-Unis pour éviter les droits de douane de Trump et créer 12 000 emplois.
Pour sauver la France de la banqueroute, tapons sur ces chiens de retraités pétris d’avantages et qui ont une vie facile sans jamais être sollicités pour redresser les comptes publics, mis à mal par cinquante ans de dérives budgétaires et de choix catastrophiques. Mais de cela n’en parlons pas, le crime des retraités, ne plus participer à l’effort de redressement du pays, paraît-il. C’est vrai qu’ils ont cotisé pendant quarante et un an ou plus, mais ça ne compte plus. Notre brillantissime ministre Amélie de Montchalin néglige ce détail. Elle croit sans doute qu’elle ne le sera jamais, retraitée… Qu’ils aient payé taxes et impôts plein tarif quand ils étaient actifs n’est pas un argument, ils doivent continuer à cracher au bassinet ! Qu’ils aient signé dans les années 80 pour 55 ou 60 ans et se soient faits prolongés jusqu’à 63 ou 65, ne compte pas non plus.
Il faut oser. Il faut être culotté, ou totalement hors-sol, pour venir sur un plateau de CNews balancer tranquillement que « les familles qui ne travaillent pas et qui touchent 2000 euros par mois grâce aux aides sociales vivent mieux que ceux qui bossent ». C’est la petite phrase de Kevin Bossuet, journaliste de droite en quête de buzz et de reconnaissance médiatique. Une phrase lâchée comme une grenade dans le débat public, au mépris de toute décence.