
Subventions publiques, comptes opaques, vie de luxe : retour sur une affaire qui interroge la gestion des millions déversés dans le tissu associatif nantais
Le tribunal correctionnel de Nantes a examiné cette semaine un dossier qui, une fois encore, met en lumière les dérives possibles d’un système associatif sursubventionné et très peu contrôlé. Brahim Hadj C, ancien président de plusieurs structures implantées dans le quartier Bellevue, est accusé d’avoir siphonné pendant des années l’argent public confié à ses associations, avant de poursuivre ce train de vie luxueux dans une entreprise privée.








