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social - Page 444

  • Développer la possibilité d'instaurer un salaire parental d'éducation

    Dominique Martin, député européen FN, a défendu devant la commission de l'Emploi et des Affaires sociales du Parlement européen l'idée du salaire parental:

    "Égalité des chances et de traitement entre hommes et femmes. Evidemment, pourquoi pas, difficile de s'y opposer. Mais à aucun moment je n'entends parler d'égalité à la liberté. Et notamment de la liberté des femmes à ne pas travailler. Vous en connaissez tous. Toutes ces femmes qui vont travailler à temps partiel pour 8-900 euros par mois (…) Croyez-vous qu'elles le fassent pour s'épanouir? Pour entrer dans la vie active? Pour être l'égal de l'homme ? Non elles le font parce qu'il manque entre 900 et 1100 euros pour subvenir au besoin du foyer. Et c'est ça qui est inacceptable

    J'aimerais bien que l'on développe la possibilité, que l'on laisse la liberté aux femmes de s'occuper de leur foyer, notamment par un salaire parental d'éducation… À égalité avec les hommes, si vous voulez. Ça aurait l'avantage de libérer des emplois, ça aurait l'avantage de donner une meilleure éducation à nos enfants, ça aurait l'avantage de sécuriser nos rues parce qu'ils ne traîneraient pas nos rues et ne seraient pas soumis à la drogue (...)"

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le chômage sonne-t-il le glas des espoirs électoraux de Hollande ?

    Après une courte embellie en janvier, le chômage est reparti à la hausse de 0,4% en février. Pourtant l'exécutif rêve toujours d'inverser durablement la courbe du chômage. Sur un plan électoral, il y a plus que jamais urgence.
    Sur le front de l'emploi, les bonnes nouvelles de ce début d'année sont déjà oubliées. Après une baisse surprise en janvier, le chômage est reparti à la hausse en février (+0,4%). Aussi bien pour les demandeurs d'emploi sans activité que pour ceux ayant une activité réduite. La nouvelle est douloureuse pour le gouvernement qui espérait secrètement pouvoir savourer ses deux premiers mois consécutifs de baisse. Elle est cruelle, puisqu'elle intervient entre les deux tours d'élections départementales, qui promettaient déjà de laisser de nombreux élus socialistes en rase campagne. Mais surtout, elle pourrait sonner définitivement le glas des espoirs électoraux de l'exécutif. C'est ce que suggère le modèle de prévisions électorales de deux économistes.
    Véronique et Bruno Jérôme, tous deux chercheurs à l'université Paris II ont mis sur pied depuis plusieurs années un modèle de prévision politico-économique qui s'appuie principalement sur l'évolution du taux de chômage pour anticiper le comportement des électeurs dans les urnes. Ils avaient ainsi prédit "une grande vague bleue, pas bleue marine", aux élections départementales. En attendant confirmation ce dimanche, le premier tour leur donne largement raison. Et à moins d'une inversion durable et imminente de la courbe du chômage, après laquelle le Président Hollande court vainement depuis le début de son mandat, la débâcle n'est sans doute pas achevée. Les élections régionales de la fin de l'année, en attendant l'élection présidentielle de 2017, seront très probablement synonymes de nouvelles défaites pour la majorité, prévient Véronique Jérôme-Speziari. 
    En quoi le chômage est-il un facteur pertinent de prévision du comportement des électeurs ?
    Pour établir un modèle de prévision économétrique fiable, on a besoin de s'appuyer sur des éléments objectifs. A ce titre, le chômage et surtout son évolution, sont une variable fondamentale car elle résume parfaitement le climat politico économique d'un pays, ou, disons, la bonne santé de son économie. Le taux de chômage n'est pas la donnée la plus intéressante, parce que ce chiffre est mal connu du grand public. En revanche, l'électeur est plus au fait de sa variation. Il sait quand le chômage monte, ou quand il baisse, parce qu'il est directement impacté par ces tendances à travers son entourage et son expérience. 
    Bien sûr, nos modèles prennent en compte d'autres facteurs, et notamment la popularité, les zones de force locales, c'est à dire l'implantation politique, ou encore le mode de scrutin. Mais le chômage est l'indicateur clé de nos prévisions. 
    De bons ou de mauvais chiffres entre les deux tours d'une élection, ont-ils la capacité de retourner une tendance électorale ?
    Pour que le chômage puisse avoir un impact sur des élections, il faut qu'il y ait une ampleur importante dans l'évolution constatée, mais également une certaine précocité. Il faut que la tendance semble pérenne. Cela ne prend pas un jour, une semaine ou un mois pour produire ses effets, mais au minimum de trois à six mois. En tout état de cause, les chiffres publiés ce mercredi n'auront qu'un impact marginal sur le vote de dimanche. Quoi qu'en disent les sondeurs, les intentions des électeurs sont déjà largement arrêtées. Et comme toujours, ils feront d'abord le procès des sortants, car les promesses de l'opposition n'engagent que ceux qui les écoutent. Par ailleurs, la sanction est toujours plus forte que la récompense.
    Au delà des départementales, le sort électoral de François Hollande et de sa majorité est-il conditionné par la courbe du chômage ?
    Chaque élection a ses spécificités, mais pour simplifier, on peut affirmer que ce sera le cas. Si le chômage continue à augmenter en 2015, cela aura un impact sur la popularité de l'exécutif. Mais cela pèsera également sur les comptes publics, donc sur les marges de maneuvre politiques du gouvernement qui doit déjà composer avec les exigences de Bruxelles. 
    Il y a toujours de l'espoir de voir la situation de l'emploi s'améliorer parce que la France bénéficie d'un alignement des planètes favorable avec la conjonction, d'un euro faible, d'un pétrole bon marché, et de taux d'intérêts faibles. Mais ce sont des facteurs extérieurs, conjoncturels par essence. Ils n'apportent qu'un faible bénéfice politique en l'état. Et même si le chômage s'améliorait, l'exécutif serait toujours à la merci d'un retournement de conjoncture. C'est ce dont avait été victime Lionel Jospin que tout le monde donnait pourtant gagnant en 2002. c'est aussi ce qui avait favorisé la victoire de Nicolas Sarkozy en 2007 puis sa courte défaite en 2012. Dans chacun de ces cas, la courbe du chômage avait changé de direction quelques mois avant les élections. 

    Benoist Fechner

    L'Express :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EukZFFlFFZWiDEvfqX.shtml

  • Politique & Eco n°36 - La sécurité sociale, organisme socialo-communiste de redistribution.

  • Marisol Touraine, surnommée « MST », commence à se fâcher !

    La manifestation des médecins et des internes dimanche 15 mars 2015 a réuni 19.000 personnes contre son projet de loi santé et le ton monte !

     manif-médecins

    Le député UMP Arnaud Robinet, a tweeté en plein débat en commission des Affaires sociales de l’Assemblée, et repris un des slogans vus dans les cortèges dimanche, qui surnomme Marisol Touraine, la ministre de la Santé, « MST ».


    Arnaud Robinet « ne regrette » pas son tweet par LCP

    «J’ai beau être décrite comme froide et glaciale et imperméable à tout ce qui se dit, à tout ce qui s’écrit, je ne suis ni imperméable, ni sourde ni aveugle sur ce qui circule, se dit et se fait dans les manifestations.» 

     

    «J’ai le droit en tant que personne, en tant que femme, en tant que ministre au respect comme toute personne a droit dans ce pays.» 

    «Je ne vois pas ce que nos débats ont à gagner à des formulations qui sont d’une violence, je le dis, d’une violence qui me sidère.» 

    UN RAPPEL DE 2013 

    Sans faire d’amalgame, rappelons que le fils de Marisol Touraine a été écroué pour extorsion de fonds. 

    Gabriel Reveyrand de Menthon, le fils de la ministre des Affaires sociales et de la Santé Marisol Touraine, a été condamné à 3 ans de prison ferme pour extorsion de fonds et séquestration, selon Le Parisien. 

    http://www.medias-presse.info/marisol-touraine-surnommee-mst-commence-a-se-facher/27868

  • 290 djihadistes ont touché des prestations sociales en 2014

    Nos impôts. Lors de la séance questions d’actualité au Gouvernement, le député UMP Alain Marsaud a interpellé le ministre de l’Intérieur sur le versement des prestations sociales aux djihadistes partis combattre en Syrie ou en Irak.

     

    « Impuissance à contrôler et à stopper le versement de ces prestations »

    Le Député a jeté un pavé dans la marre de Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur : « comment expliquer que un ou deux milliers de Français (…) quittent la France pour aller combattre à l’étranger ou y vivre (…) A maintes reprises, j’ai eu l’occasion d’interpeller le ministre de l’intérieur sur l’utilisation supposée des allocations familiales ou prestation de toute nature que continuent à percevoir lesdites familles dans ces zones ». Le député poursuit en relatant des échanges qu’il a eus avec des directeurs de caisses d’allocations familiales, « qui [lui] ont fait part de leur impuissance à contrôler et à stopper le versement de ces prestations au profit de ces personnes ». L’ancien magistrat antiterroriste a « constaté hélas que ces versements se poursuivaient aujourd’hui et que certains Français faisaient usage de leur carte de crédit (…) pour débiter leur compte crédité en France par nos organismes sociaux ». Le député UMP a ajouté : « Il est temps que nos services de renseignement croisent leurs fichiers avec les caisses d’allocations familiales ». [....]

    La suite sur Valeurs Actuelles

  • 480 SDF sont morts dans la rue en 2014

    En 2014, un collectif d’association a recensé 480 personnes mortes dans la rue en 2014. Des victimes dont le décès aurait pu être évité selon l’organisation qui appelle le gouvernement et les élus à se mobiliser.

    Il y a encore 50 ou 60.000 personnes qui vivent dans la rue. Est-ce qu’on ne peut pas faire quelque chose? Il y a des places d’hébergements à ouvrir et du logement à développer“, estime Christophe Louis, du collectif “les morts de la rue“.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • L'économie française a détruit 74 000 postes en 2014, selon l'Insee

    Malgré une stabilisation au quatrième trimestre grâce à l'intérim, l'année a été plus morose que prévu pour l'emploi salarié.
    L'économie française a détruit 74 000 postes (- 0,5 %) en 2014 dans le secteur marchand, malgré une stabilisation au 4e trimestre grâce à l'intérim, selon des données définitives moins bonnes que prévu publiées mercredi par l'Insee. Au dernier trimestre, le secteur marchand a connu 1 300 suppressions nettes d'emploi (- 0,0 %). Dans son estimation publiée en février, l'Institut national de la statistique était plus pessimiste pour le 4e trimestre (- 5 100 emplois) mais plus optimiste pour le chiffre annuel (- 67 600 emplois). Entre-temps, l'organisme a révisé à la hausse les destructions du 3e trimestre, à 59 900 contre 55 200 précédemment.
    Sur le dernier trimestre, en revanche, l'emploi temporaire a permis de limiter les dégâts. Selon les chiffres définitifs, l'intérim a créé au 4e trimestre 24 100 emplois (+ 4,7 %), effaçant une baisse de même ampleur sur la période précédente. Ces bons chiffres ont permis de compenser de nouvelles baisses dans les secteurs de l'industrie (- 10 400 postes, - 0,3 %) et de la construction (- 17 700, - 1,3 %). De son côté, le secteur tertiaire hors intérim s'est stabilisé : 2 700 postes créés (+ 0,0 %). Même tendance sur l'année, où seuls les secteurs tertiaires (+ 0,1 %) et de l'intérim (+ 0,1 %) sont dans le vert. L'industrie (- 1,2 %) et la construction (- 3,5 %) ont continué de se dégrader.
    Tendances lourdes
    Il s'agit de tendances lourdes. Dans l'industrie, la situation s'est détériorée sans discontinuer depuis 2001, le secteur ayant perdu en quatorze ans un quart de ses effectifs, soit près d'un million d'emplois. La construction, quant à elle, a rayé de la carte 160 000 emplois (- 10,6 %) depuis le 3e trimestre 2008. En 2014, c'est la faible croissance qui est responsable des mauvais résultats. Le produit intérieur brut (PIB) n'a progressé que de 0,4 % l'année dernière, comme en 2013. Mais le gouvernement est plus optimiste pour 2015. Il espère dépasser sa prévision de 1 % de croissance et, "à partir de 1 %, on recrée de l'emploi", assurait en février Michel Sapin, ministre des Finances, lors de la publication des chiffres provisoires.
    L'Insee s'attend, elle aussi, à une amélioration, notamment grâce aux effets du crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE) et des autres mesures du pacte de responsabilité. Mi-décembre, l'institut évaluait leur impact à 80 000 emplois sauvés ou créés en 2015. Insuffisant toutefois pour faire repasser le secteur marchand dans le vert puisque l'Insee table sur 11 000 suppressions nettes de poste au premier semestre de 2015. Mais le gouvernement compte notamment sur les emplois aidés pour faire mentir les pronostics. Il a donné la consigne d'accélérer les signatures de nouveaux contrats aidés en ce début d'année, sans toutefois dépasser les 445 000 contrats prévus en 2015, a indiqué une source gouvernementale, confirmant une information des Échos. Coût de l'opération : 170 millions d'euros supplémentaires.

    fp via le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukypZluuVybUFWbSW.shtml

  • RSI : Racket Sans Interruption

    Artisans, commerçants, « petits patrons ». Ils ont défilé dans les rues de Paris le 9 mars contre le RSI, le Régime Social des Indépendants. Venus de toute la France, ces travailleurs indépendants qui représentent près de 5 millions de personnes en France se disent victimes, depuis sa création en 2006, d’un « racket organisé » par l’état. Le RSI qui assure la protection sociale des travailleurs non salariés, serait responsable selon eux, de la faillite de dizaines de milliers de très petites entreprises en France. Il faut dire que le niveau de leurs cotisations sociales atteint 55% de leurs bénéfices. Récemment, dans une interview, le vice Président du Medef avouait que deux chefs d’entreprise se suicidait chaque jour en France… Réinformation TV a suivi la manifestation à Paris.

    Michel Janva