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social - Page 485

  • Quels Bonnets Rouges participeront à Jour de Colère ?

     

    BXgwtoaCcAA6UDU.png large A quelques jours de la manifestation Jour de Colère le 26 janvier à Paris, quels Bonnets Rouges de Bretagne y participeront ? On entend un peu de tout. Certes, on peut remarquer sur la page soutien de Jour de Colère la présence de Bonnets Rouges de manière générale. Mais la question se pose surtout sur  le mouvement le plus important de ceux qui ont commencé la lutte contre l’écotaxe en octobre dernier.

    Dans un communiqué sorti le 15 janvier, les Bonnets Rouges « officiels » du comité Vivre, décider, travailler en Bretagne ont annoncé qu’ils ne participeraient pas à Jour de Colère : « Cette manifestation intitulée « Jour de Colère » ne correspond ni aux objectifs ni aux valeurs des Bonnets Rouges tels qu’ils sont exposés dans la charte des Bonnets Rouges ». Le mouvement est dans une optique bretonne et pour l’instant se concentre sur les Etats-Généraux de Bretagne (...)

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  • Le travail contre la finance apatride.

    « Et pour qu’elle le soit véritablement, pour que ce capital immobilisé dans les banques ne soit pas immobilisé chez les particuliers, pour qu’il travaille et crée à son tour du travail, il faut qu’il veuille travailler  ; pour qu’il le veuille, il faut le mettre en appétit et lui proposer un grand but rémunérateur.

    Ce but en temps de guerre ne peut être que de conquête. Dans la guerre actuelle, il ne peut-être que la conquête de l’empire commercial allemand, Empire autrement riche que ces plaines de Lombardie que tous les conquérants de l’histoire ont offertes à la convoitise de leurs soldats  ! » Charles Maurras, éditorial du 21 août 1914, Les Conditions de la victoire.

    « Un peuple a le devoir de demeurer une individualité libre, pour que soit conservée la pluralité des nations libres, sans laquelle est perdue la liberté commune du genre humain. » Henri Hude

    Dans un silence médiatique digne des plus grandes heures de l’autocensure politique, deux nouvelles impliquant les argentiers cosmopolites passés maîtres des décisions économiques mondiales ont été révélées cette semaine. La première concerne l’assouplissement des règles dites de Bâle III qui visaient à une meilleure réglementation des couvertures de risques par les grandes banques cosmopolites, la seconde mettait en cause les traders de la Deutsche Bank accusés d’avoir manipulé certains cours à Wall Street. Ce retour d’une finance cannibale alors que la commission européenne a du se résoudre à infliger 1,7 milliards d’euros d’amende aux grands groupes ayant manipulés les cours entre l’euro et le yen montre combien les argentiers de l’oligarchie sont devenus la clef de voute des systèmes de domination internationaux qui régissent les lois de production de l’élite et les contraintes assignées aux Peuples réduits à l’Etat de multitude afin d’empêcher toute reprise en main des détenteurs de la légitimité politique. Dans une société liquéfiée par la dictature des rapports marchands érigés en modèle de l’organisation sociale restaurer ce pouvoir sur ses propres choix implique de trouver un médiat d’expression de sa résistance : le travail en tant que lieu mais aussi en tant qu’investissement de soi dans les limites de sa Nature peut devenir un ressort de l’opposition à la dégradation oligarchique du pouvoir. [...]

    Charles de Meyer - La suite sur Nouvel Arbitre

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-travail-contre-la-finance

  • Camping pour Tous s’associe au Jour de Colère

    Chaque jour qui passe apporte à Jour de Colère son lot de soutiens : des collectifs, des associations, des communautés sur réseaux sociaux, des citoyens anonymes… La Colère peut prendre de nombreux visages et les Français ont fait montre d’une imagination et d’une créativité qui leur fait honneur pour manifester leur indignation, leur lassitude, leur désapprobation, de manière calme, digne et bien souvent avec cette touche d’humour bien français.

    Camping pour tous est l’un de ces collectifs. Medias-presse.info a eu le plaisir de rencontrer l’un de ses membres, Jean-Louis. « Le Camping pour tous a vu le jour le 25 Mars 2013, au lendemain de la manifestation contre la loi Taubira pendant laquelle des familles ont été gazées par les forces de l’ordre » nous explique Jean Louis. On se souvient en effet de la violente répression policière à l’égard des manifestants pro-famille lors de la manifestation du 24 mars qui a rassemblé environ 1 million de personnes ainsi que de la grossière falsification des chiffres officiels, digne de l’URSS à la belle époque.

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  • Les promesses de Hollande enterrées devant Pôle Emploi

    Grands discours, fausses promesses... Tandis que les politiques parlent, le chômage ne cesse d'augmenter.

    Ce matin, devant une agence Pôle Emploi du XVIIIe arrondissement de Paris, cinq tombes symboliques ont été dressées, où sont enterrées les promesses de Hollande, l'inversion de la courbe du chômage, l'emploi des jeunes, les promesses sur la croissance et le pouvoir d'achat.

    L'emploi, c'est l'un des thèmes du Jour De Colère parce que nous ne pouvons pas nous résoudre devant l'incapacité du gouvernement à tenir ses promesses. 5,5 millions de personnes inscrites à Pôle Emploi en novembre 2013, c'est un bien triste record!

    Jour De Colère veut donner la parole à tous ceux pour qui avoir un toit et se nourrir est devenu un vrai défi.

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     http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • l’enjeu du 26 janvier

    Depuis des années, le Conseil représentatif des Institutions juives en France (CRIF) défend l’immigration en Europe tandis que son bras armé, la LICRA, harcèle tous ceux qui s’opposent à l’invasion. De cette dernière surgissent des monstres comme Fofana ou Mohamed Merah. Aujourd’hui, c’est monsieur Mbala Mbala qui pousse le bouchon trop loin et un roquet en profite pour rétablir la censure en France.
    Les résistants n’ont pas à prendre parti entre deux cliques qui souhaitent le remplacement de notre population, de sa culture et de sa civilisation. Certes, on peut déplorer ce nouvel arbitraire mais, de toute manière, l’état de droit n’existait déjà plus dans notre république bananière. Laissons-les donc s’entredéchirer par le biais de leurs médias et Dieu reconnaîtra les siens.
    Exigeons plutôt la démission de ce président qui a la quenelle en folie. Au moment où tant de Français souffrent, il ne s’intéresse qu’à ses galipettes. Le 26 janvier prochain, avec jour de colère, donnons-lui l’occasion de s’y consacrer à plein temps, en abandonnant des fonctions qu’il a ridiculisées !
    Gerard Pince

  • « Jour de Colère » le 26 janvier : un mouvement né des réseaux sociaux peut-il mobiliser les foules ?

    « Aujourd’hui, celui qui symbolise tous les sujets de colère est le président de la République, devenu lui-même un symbole à abattre…»
    Selon le dernier baromètre YouGov pour Itélé et le Huffington Post publié jeudi 16 janvier, 46 % des Français interrogés ont un avis très négatif sur l’action menée par François Hollande comme président.

    ♦ Une « plateforme logistique » s’est constituée sur Facebook et sur internet en novembre 2013 pour appeler à une manifestation le 26 janvier à Paris sous l’intitulé « Jour de Colère ». Un collectif citoyen qui veut pointer et rassembler autour de  l’incompétence de François Hollande, au-delà des divergences politiques.

    A la différence d’autres mouvements de protestation plus ou moins populistes, Jour De Colère est une initiative originale à la fois par sa sociologie et son mode opératoire.

    logoPassant par-dessus les représentations instituées, des citoyens issus des classes responsables et laborieuses sonnent un signal d’alarme. Ils choisissent de le faire à rebours des mécanismes institutionnels, en s’adressant non pas aux décideurs politiques par la voie des partis, mais par un appel au peuple. En cela, le Jour de Colère n’est pas populiste mais profondément citoyen.

    Il dit, en d’autres termes, ce que les sondages font dire aux Français lorsqu’ils les interrogent : qu’il y a à peine 20 % des citoyens qui soutiennent encore la politique actuelle, et guère plus qui fassent confiance aux élus.

    Le Jour de Colère, qui n’émane ni d’un parti ni d’un syndicat, se présente comme l’argument ultime du citoyen qui revendique d’être reconnu comme cette part minoritaire du « tout » qui constitue, en démocratie, la volonté générale. Il est une forme d’expression de la minorité qui réclame à la fois le respect de sa voix dans le pacte social et de son désaccord avec les orientations majoritaires. En démocratie, la minorité la plus radicale, c’est le citoyen pris individuellement. Lorsqu’il agrège avec d’autres citoyens ses sujets de désaccord, cela donne le Jour de Colère.

    Le Jour de Colère ne met pas en avant ses chefs mais ses thèmes : c’est sa deuxième originalité

    Il expose des sujets d’insatisfaction variés : fiscale, bien sûr, mais aussi éducative, sécuritaire, économique, touchant au monde rural ou à celui de la santé, aux questions du chômage, de la famille ou de l’identité française. Face à un chef de l’Etat qui avoue avoir lui-même sous-estimé la crise, le Jour de Colère exprime la révolte du réel contre les technocrates. Ce qu’il suggère, c’est que les acteurs publics sont incapables de traiter des vrais sujets, de la vie et de ses difficultés. Alors que le microcosme politico-médiatique bruisse de sujets futiles, les Français ont conscience d’autres urgences. Ce décalage entre le discours et les actes publics, entre les programmes et les priorités, est ainsi perçu comme un découplage entre la réalité et sa traduction politique.

    Les citoyens rassemblés par le Jour de Colère veulent donc imposer leurs thèmes politiques, économiques, sociaux, culturels, à leurs yeux trop longtemps négligés. Il serait dangereux de les conforter dans cette opinion en traitant cette impatience par le mépris, en refusant de considérer leur agenda politique au motif qu’il s’exprime dans la rue. Le débouché de ce mouvement est certes entre les mains de la classe politique, mais il risque bien de lui brûler les doigts.

    La dernière, et non la moindre, caractéristique du Jour de Colère est qu’il s’adresse directement au chef de l’Etat

    2 jour deAujourd’hui, celui qui symbolise tous les sujets de colère est le président de la République, devenu lui-même un symbole à abattre. L’objet de la colère s’est transféré sur un individu, désigné comme une cible.

    Il s’installe donc une dialectique des symboles contraires : alors que pour les manifestants, c’est le président qui concentre sur lui la critique, pour le gouvernement, c’est un humoriste polémique qui représente toutes les forces à combattre.

    Or le rabais du chef de l’Etat au rang de coupable à châtier n’est pas une simple dévalorisation de la fonction présidentielle. Il s’agit d’une réaction profonde du corps social, révélatrice d’un changement de paradigme politique : en cas de crise profonde, les citoyens réclament le droit de sanctionner le président de la République comme des actionnaires qui réclament la tête d’un PDG défaillant.

     Michel Olivier
    17/01/2014

     Source : économie matin.fr

    http://www.polemia.com/jour-de-colere-le-26-janvier-un-mouvement-ne-des-reseaux-sociaux-peut-il-mobiliser-les-foules/

  • Puy-de-Dôme, Isère, Marne… Jour de Colère mobilise la France entière

    « Commerçants étouffés, contribuables matraqués, jeunes désespérés, retraités ponctionnés, ouvriers trahis, enfants déboussolés, délinquants libérés, valeurs bafouées…..TOUS A PARIS LE 26 JANVIER 2014 ! » peut-on lire sur le manifeste Jour de Colère Puy-de-Dôme.

    La grande manifestation nationale Jour de Colère qui vise à dénoncer la désastreuse politique du gouvernement et son mépris du peuple français attire toujours plus de Français las, désabusés et en colère. Medias-presse.info a rencontré trois responsables locaux de Jour de colère: Isère, Marne et Puy-de-Dôme. Nous ne pouvons que saluer leur dévouement et leur courage inlassables au service de leurs concitoyens.

    MPIQuelles activités avez-vous privilégiées afin de faire connaître Jour De Colère sur le terrain et mobiliser la population locale ? et quel accueil recevez-vous ?

    Puy-de-Dôme : Concernant les actions de terrain pour faire connaitre JDC, les plus importantes devraient se faire bientôt : le plus dur est de faire passer le message. Le tractage est la meilleure solution : comme en politique, vous pouvez avoir un contact direct et pertinent avec les gens auxquels vous donnez un tract. Ils vous parlent, vous demandent plus de détails et cela les motive à venir. La mobilisation est fondamentale, elle est le cœur de notre mouvement. Je ne désespère absolument pas : il faut une mise en place mais le temps nous est compté. Après tout,qui sait, je ne doute pas que nous aurons de grosses surprises le 26 Janvier à Paris ! Contrairement à la Manif Pour Tous, notre mouvement s’étend et ne cible pas qu’un seul mécontentement. Pas facile donc de rassembler des gens du premier coup même si je constate ces jours, une hausse des intéressés et participants. En général, la colère et la motivation d’un changement durable pousse les gens à agir !

    La suite sur MPI

  • On ne nomme pas la CGT : nommons la

    Ce 15 janvier, au lendemain de l'annonce du "tournant hollandais" un dirigeant du Medef s'adressait à un public d'investisseurs français. Il faisait comprendre à ses auditeurs attentifs que, "sans naïveté", son organisation représentative des grosses entreprises, allait jouer le jeu et prendre au mot le p. de la r.

    Il souligna un certain nombre de revendications de bon sens que l'on ne peut que partager. Globalement la simplification de la réglementation, des 3 200 pages de droit du travail, et l'allégement d'ensemble des 147 taxations qui étouffent l'économie française relèvent des nécessités de salut public.

    On doit déplorer évidemment qu'une fois de plus, les travailleurs indépendants, artisans, commerçants, professionnels libéraux, exploitants agricoles et petites entreprises restent en marge des préoccupations du nouveau cours proposé par le pouvoir. S'il s'agit de relancer l'emploi ce ne sont pas les grands groupes industriels, même aidés par l'État qui résoudront le problème du chômage.

    Mais on doit se préparer aussi à une situation en voie d'évolution.

    Jusqu'aux municipales, où il a conclu des alliances de terrain avec les socialistes locaux, le parti communiste en tant que tel devrait laisser un demi-répit au gouvernement. En cela on doit prendre conscience du désaccord avec le matamore Mélenchon. Celui-ci ne dispose que d'une très faible implantation locale et les adhérents de petit son "parti de gauche" restent assez marginalisés dans les bastions industriels.

    Le 13 janvier le camarade Pierre Laurent secrétaire national du PCF l'annonçait sans feinte. Son mot d'ordre : "Construisons une autre voie, une autre politique alternative de gauche". Ceci veut dire : réfléchissons ensemble aux bases de la lutte politique et sociale qui suivra les "élections pièges à sots". Au "pacte de responsabilité" il oppose un concept de "pacte de solidarité" et il annonce des "États généraux de la justice fiscale" —‑ mais attention : "avant l'été". Cela laissera donc même le temps pour la campagne du parlement européen.

    Ce qui a toujours préoccupé les staliniens s'appelle une fois encore "plumer la volaille socialiste" ... celle de leurs voisins idéologiques, alliés circonstanciels mais aussi, depuis 1920, ennemis permanents. Le but de l'exercice consiste à attirer, piéger et avaler l'aile gauche du Parti socialiste.

    Comme d'habitude cela commence par des déclarations de Mme Marie-Noëlle Lienemann :

    "La sénatrice socialiste, écrit L'Humanité du 13 janvier, avec d'autres représentants de l'aile gauche du PS, a exprimé sa circonspection."

    La gauche de la gauche déplore "une petite musique, un vocabulaire" qui "nous a un peu inquiétés", a abondé Emmanuel Maurel au nom du courant "Maintenant la gauche" (...)

    "Nous allons être vigilants sur le Pacte de responsabilité", a renchéri Marie-Noëlle Lienemann, en s'interrogeant notamment sur "quel échelon, les branches ou les entreprises" il sera discuté. "Qu'est-ce qu'on met dans la discussion sur les contreparties ?", notamment en termes d'emplois, salaires, précarité, innovation (...) Et enfin, quelles sont les sanctions qui pourraient être appliquées si les entreprises ne jouent pas le jeu ? "S'il y a des aides publiques, elles doivent être remboursées si les engagements ne sont pas tenus", etc.

    Mais toutes ces réserves politiques seront complétées par une contestation de la CGT et par un blocage généralisé des syndicats.

    Le camarade Lepaon secrétaire général de la CGT se tiendra en travers des tentatives de concertation.

    Déjà le 25 novembre 2013, les quatre centrales syndicales CGT, CFDT, FSU et UNSA avaient annoncé une riche doctrine revendicative. Elle s'exprime en termes clairement fiscalistes qui laissent peu de place aux espoirs d'une évolution sans heurts.

    Retenons la partie fiscale de ce beau programme :

    En matière de fiscalité : nos organisations syndicales considèrent indispensable de réhabiliter l’impôt, outil de la solidarité nationale, notamment pour répondre aux besoins de la population. Cela implique d’abord de privilégier l’impôt direct sur l’impôt indirect. Cela nécessite aussi de renforcer la progressivité de l’impôt direct. Cela passe par :
    - Un nouveau barème de l’impôt sur le revenu : augmenter le nombre de tranches, revoir les taux ;
    - Une évaluation des niches (dépenses fiscales) et la suppression de celles qui ne démontrent pas leur efficacité dans l’emploi, environnement…
    - Une réforme de la fiscalité locale pour mieux prendre en compte les revenus des occupants et la réalité de l’habitat.
    - La mise en place d’une véritable fiscalité écologique pour financer les investissements notamment en faveur des économies d’énergie et de ressources naturelles, en en atténuant le poids sur les ménages à bas et moyens revenus (tout particulièrement avec des mesures spécifiques en faveur des transports).
    - Un renforcement des moyens de lutte contre la fraude et l’évasion fiscale.

    Dès l'annonce des velléités de réforme de Hollande, le 14 janvier ceci était rappelé, dans L'Huma, comme il se doit ...

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/2014/01/on-ne-nomme-pas-la-cgt-nommons-la.html

  • French bashing : Messieurs les Anglais, tirez les premiers !

    Mais tirez-vous surtout de l’Europe. Ce qui est déjà à moitié fait.

    Ce qu’il y a de bien, avec les Anglais, c’est que lorsqu’il n’y en a plus, il en reste encore. Comment s’occuper quand on s’ennuie ? En tapant sur les Français, pardi : d’où le fameux French bashing. En 2003, lors de la seconde guerre d’Irak, alors que Tony Blair mentait comme un arracheur de dents à son propre peuple, Jacques Chirac avait les honneurs de leur presse de caniveau, la tristement célèbre « gutter press ». Parce qu’il s’opposait à cette ratonnade internationale, il n’était qu’un « ver ». Photomontage à l’appui avec notre Président d’alors en forme de lombric.

    Là, voilà que ça les reprend. Une véritable manie depuis Fachoda et Mers el-Kébir. À tel point que Bernard Émié, notre ambassadeur en perfide Albion – plénipotentiaire incarnant la fine fleur du Quai d’Orsay –, a dû remettre les pendules de Big Ben à l’heure. Motif de cette énième fâcherie ? Un article publié par City A.M., quotidien économique gratuit. Lequel assure que « l’expérience socialiste de la France tourne à la tragédie » et stigmatise au passage notre « haine généralisée pour le commerce, le capitalisme, les succès et l’effort »… Ambiance.

    Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire

  • France: Le retour du peuple pour améliorer le fonctionnement de la démocratie

    • Selon une majorité de Français (56%), la liberté est bien appliquée en France, contrairement à la fraternité et à l’égalité. En effet, seuls environ deux Français sur dix estiment que ces deux valeurs sont bien appliquées (respectivement 23% et 19%) dans la société actuelle dont 3% « très bien appliquée ».
    • De plus, une profonde dichotomie se dessine entre, d’un côté, les Français qui déclarent que la démocratie fonctionne de façon satisfaisante en France (51%, dont 71% des sympathisants de Gauche et 57% des plus diplômés) et ceux qui pensent le contraire (47%, dont 75% des sympathisants du Front National et 56% des CSP-).
    • Plus de huit Français sur dix (83%) estiment qu’il faudrait donner plus de pouvoir aux citoyens pour améliorer le fonctionnement de la démocratie. Une majorité (56%) pense qu’il faudrait donner plus de pouvoir aux experts et un peu plus d’un tiers (38%) aux organisations syndicales de salariés. En revanche, 83% ne pensent pas que pour améliorer le fonctionnement de la démocratie, il faudrait donner plus de pouvoir aux syndicats patronaux d’une part, et aux responsables politiques d’autre part.
    • Enfin, d’une manière générale, les Français se déclarent disposés à participer davantage aux processus d’élaboration de politiques publiques. Plus particulièrement, au moins huit Français sur dix indiquent qu’ils souhaiteraient participer davantage en contrôlant la mise en œuvre des politiques et en jugeant de leur efficacité, en choisissant entre différentes propositions issues de concertations ou encore, en expérimentant de nouveaux modes de participation démocratique comme le vote électronique ou le budget participatif. Dans une moindre mesure (75%), ils souhaiteraient également participer davantage en répondant à des consultations, forums et autres formes de concertation publique (dans le monde « réel » ou sur internet). Enfin, proposer des idées en vue de l’élaboration de ces politiques publiques est le mode de participation le moins envisagé par les Français (69%). Si les Français font donc montre d’une forte envie de davantage prendre part aux politiques publiques, c’est donc davantage au moment du choix ou de l’évaluation, plutôt qu’au moment de leur conception.
    • http://www.harrisinteractive.fr/news/2014/CP_HIFR_editionarchipel_14012014.pdf

    http://francelibre.tumblr.com/