
Les Celtes de l’antiquité se détournaient des cités pour chercher le reflet de la divinité sous les frondaisons des chênes.
Renouant avec cette attitude, Bernard Rio ) dans son nouvel ouvrage La forêt sacrée des Celtes (Yoran Embanner) s’est interrogé sur les mythes et les légendes qui fondent la culture occidentale, il perçoit la forêt comme un lieu d’ensauvagement et d’enseignement. La forêt au milieu du monde et l’arbre au milieu de la forêt comme symbole de l’axis mundi, telle est l’idée maîtresse de cette immersion dans les traditions populaires, les romans médiévaux ou les chantiers archéologiques.