
Voulant expliquer, au micro de Sonia Mabrouk sur Europe 1, pourquoi il avait eu des difficultés à contacter la famille, Bruno Retailleau l’a révélé : Aboubakar Cissé, la victime de la mosquée de La Grand-Combe, était en situation irrégulière.
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par Elsa Boilly
Une purge active de tous les rivaux potentiels de Volodymyr Zelensky a commencé à Kiev dans le contexte des changements de la situation dans le conflit ukrainien. Sanctions, emprisonnement et exil, toutes les méthodes sont employées.
Dans le désastre permanent qui n’en finit pas de se banaliser, nous apprenons terrifiés, du moins devrions nous l’être, que la France fait face à une situation qualifiée pudiquement d’alarmante, car des seniors se retrouvent à fouiller les poubelles pour vivre. Le terme a quelque chose déjà d’indécent, comme une insulte feutrée à l’humanité, à ce qui nous y rattachait : ce lien que l’on croyait éternel et imprescriptible avec nos anciens et leurs conditions de vie. Ceci alors que nombre de faux migrants sont logés dans des hôtels avec piscine réquisitionnés. Mais c’était sans compter avec ces nouvelles générations rompues à la haine et la hargne, au renversement des valeurs, l’oubli et l’aversion et de l’empathie érigés en progressisme, qui déversent leur acrimonie en conclusion d’un dogme qui se veut politique et économique. On se souvient des propos de madame Astride Panosyan Bouvet, fustigeant les retraités qui gagnent plus de 2000 euros comme d’infâmes profiteurs, et leur devoir de contribution pour combler un déficit construit et accumulé par l’impéritie des politiques eux-mêmes. Mais c’est désormais un fait avéré, ils creusent le déficit et nous devons le boucher.
Selon La Voix du Nord, plusieurs personnes ont récemment été victimes de vols traumatisants à Valenciennes : elles ont été contraintes de remettre leurs effets personnels sous la menace d’un couteau. Ce mardi, une nouvelle victime s’est rendue au commissariat de la ville. « Elle a dû remettre à ses agresseurs ses écouteurs connectés, ses bijoux, son téléphone… », précise une source au quotidien régional du nord.
Libre journal de la Nouvelle Droite
Pour ce nouveau numéro du « Libre Journal de la Nouvelle Droite », sur Radio Courtoisie, Xavier Eman reçoit Rodolphe Cart, journaliste et essayiste, Romain Petitjean, coordonnateur de l’Institut Iliade, et Jean-Eudes Gannat, porte-parole du Mouvement Chouan, pour évoquer la question du racisme antiblanc en France à l’occasion de la sortie du livre-enquête de François Bousquet sur ce sujet tabou.
(Chronique à lire dans Causeur de mai)
Parions : rien n’arrêtera la révolution des œillères. Le réel aura raison des croyances mondialistes. Telles les œillères, ces récitations erronées rétrécissent la vue. Timidement, François Hollande a concédé le renversement des consciences (RTL, 10 avril) : « Le politiquement correct avait sans doute ses défauts ». L’ancien président socialiste s’est gardé cependant de creuser sa clairvoyance. L’exercice l’aurait contraint à reconnaître ses bévues. Le confort du moralisme n’a cessé, en effet, de « donner à manger du mensonge » (Simone Weil). Jamais les informations tendancieuses ne se sont si bien portées. C’est pourquoi le besoin de vérité s’annonce plus fort que les rappels à l’ordre des clercs.
En transportant des pilules abortives en Pologne, où l’aide à l’avortement est passible de prison, deux élues LFI défient ouvertement un État souverain, posant la question d’un trafic international de médicaments et d’une forme d’ingérence politique.
Fabrice Leggeri et son camp demandent « des explications ». Dans un communiqué publié vendredi 18 avril, le député européen Fabrice Leggeri, du groupe Patriotes pour l’Europe, a critiqué la future stratégie de lutte contre le racisme de la Commission européenne :
Précisons tout d’abord d’abord l’aspect polytechnique : la saturation du réseau serait à l’heure actuelle (mardi 29 avril 2025 au matin) l’hypothèse la plus vraisemblable comme le suggère Le Point :
“(…) À 12 h 30, au moment de la panne, la production espagnole d’électricité dépassait 28 gigawatts, dont 60 % générés par le solaire, selon les données compilées par Electricity Maps. Or l’Espagne est mal équipée, en cas de pic de production, pour gérer les excédents. Ses capacités de stockage restent limitées. Et la péninsule, sorte « d’îlot énergétique », a des interconnexions limitées avec l’Europe : le pays peut exporter quelque 3 000 mégawatts vers la France, autant vers le Portugal, et 1 400 mégawatts vers le Maroc. Que faire, à l’instant T, si ses voisins n’ont pas besoin de surplus d’électricité ? « La dépendance aux renouvelables expose à des pointes imprévisibles », avance un expert. (…)”
Une soixantaine d’élèves et trois enseignants d’EPS ont été menacés de mort par des guetteurs d’un point de deal alors qu’ils étaient en séance de sport sur le stade du quartier des Escanaux à Bagnols-sur-Cèze.