En 2006, sortit sur les écrans « Indigènes » de Rachid Bouchared. Le parcours de quatre soldats de la Première armée française en 1943-1944. Un sous-officier « pied-noir » et trois nord-africains. La critique fut louangeuse. Du JDD à L’Humanité en passant par Le Figaro, Le Monde, Télérama ou Ouest-France. Il y eut quelques réserves et lorsque les quatre acteurs (dont Djamel Debouzz) reçurent le prix d’interprétation à Cannes, le critique des Inrocks fit du mauvais esprit :
« On ne peut s’empêcher d’y voir une repentance du jury, la vague honte obligeant à se débarrasser promptement d’un fardeau, à faire un prix de gros. »