
De Marion Duvauchel, Professeur de français :
Nul ne l’ignore : nos assemblées parlementaires montrent la concentration du pouvoir entre les mains d’une minorité de privilégiés, à peu prés tous issus des mêmes écoles et des mêmes milieux et qui se cooptent. La langue fait partie de ces problèmes que la classe politique bien-pensante ne veut pas aborder ou plus exactement qu’elle aborde désormais à la mode Macron, entre illusionnisme et mots d’esprit de mauvais goût.







