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  • Vers un Waterloo des européistes?

    6a00d83451619c69e201bb09e60c68970d-120wi.jpgC'est le sens de l'analyse d'Hilaire de Crémiers dans le dernier numéro de Politique Magazine.

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    Bien des choses sont en train de changer en Europe. Chacun veut s’en rendre maître. C’est une lutte de projets.

    Le dernier sommet européen qui s’est tenu à Bruxelles, le jeudi 14 décembre, s’est déroulé dans une lourde atmosphère. Aucun accord n’en est sorti. Il n’est pas douteux que les sommets suivants s’en ressentiront. Le Conseil des chefs d’ État et de gouvernement qui était le lieu habituel des discussions et des compromis, dominé par les principaux États qui s’assuraient une sorte d’hégémonie, Allemagne, France principalement, se transforme en lieu d’affrontements. L’actualité médiatique en a fait peu état. Ce dernier Conseil de l’année 2017 fut, pourtant, révélateur de la profonde disharmonie qui, maintenant, caractérise l’Union européenne : elle devient, chaque jour davantage, une désunion.

    La querelle migratoire

    Les Vingt-Sept se sont disputés sur la question migratoire puisque tel était l’ordre du jour. L’Allemagne de Merkel est, une fois encore, à l’origine des désaccords. On se souvient comment les décisions du gouvernement allemand, en 2015, avaient aggravé le problème des flux migratoires, en provoquant des surplus d’arrivées massives, incontrôlées et incontrôlables, de migrants, qualifiés , à l’époque, de Syriens. Il ne s’agissait pas seulement d’ouvrir les frontières, il fallait encore accueillir, « relocaliser », surtout répartir les migrants par pays et par quotas.

    C’était pour la chancelière Merkel « la solution » qu’elle prétendait apporter et surtout imposer par voie européenne et communautaire, avec l’appui de Juncker, à tous les pays de l’Union, sans même, d’ailleurs, les consulter. Les résultats sont connus. Les flots devinrent ininterrompus, se frayant tous les passages possibles maritimes et terrestres en colonnes continues. Chaque pays n’avait plus qu’à essayer de faire front pour échapper à la submersion. L’Allemagne et les pays du Nord en ont, d’ailleurs, subi les conséquences ; les Allemands ont de quoi s’en souvenir : les incidents de Cologne restent gravés dans leur mémoire.

    Merkel tenta de régler, seule encore, et souverainement – financièrement aussi à coups de milliards – au nom de l’Europe – Hollande n’existant pas –, avec la Turquie cette question des frontières.  

    La Turquie, bien évidemment, en profita et en profite, d’ailleurs, encore pour exercer son chantage ; Erdogan mène sa politique sans scrupule et menace, une Europe qui avait décidé fort imprudemment de l’accueillir en son sein ; l’Allemagne en a su quelque chose, insultée qu’elle fut par le Sultan !

    Et maintenant qu’Erdogan se hisse au rang de haut représentant des intérêts musulmans, il est à prévoir que ses exigences seront de plus en plus implacables.

    Réalités et idéologies

    Sur tout le pourtour de la Méditerranée le même genre de pression se fait sentir sur l’Europe, alimentée en outre par les migrations de plus en plus importantes et organisées venues d’au-delà du Maghreb, du Sahel, voire de l’Afrique profonde. Macron voudrait, lui aussi, résoudre le problème à la source ; louables intentions, mais encore faudrait-il avoir une politique africaine dont il a déclaré qu’il ne voulait plus, pour mieux rompre, paraît-il, avec le passé, remettant l’avenir, là aussi, à une Europe future qui n’existe pas et qui, elle-même, n’en veut pas.

    Alors que faire ?  Verrouiller l’Europe ? Mais où et comment ? Aucune troupe, aucune flotte n’y suffirait et, d’ailleurs, il s’agit plutôt de sauver tant de malheureux livrés aux hasards de la mer !  Laisser le contrôle à la Turquie qui abuse de sa situation, et à la Libye où les passeurs et les modernes négriers ont installé des marchés d’esclaves ?  

     Merkel a trop usé de sa position dominante pour faire avaliser par l’Europe les dispositions qu’elle avait cru devoir prendre au nom de tous : un système de répartition qui était censé résorber naturellement  les flux migratoires. Les pays de l’Europe centrale ne s’y sont pas pliés. La Commission présidée par l’inénarrable Juncker,  n’hésita pas à traduire devant  la Cour de justice de l’U.E. les pays récalcitrants, Hongrie, Pologne, Tchéquie, au motif qu’ils n’ont pas rempli leur quota ! Inutile de souligner que de telles procédures ne laissent pas de créer des tensions dans la prétendue « Union » européenne qui, en tant qu’entité supranationale, passe son temps à faire la guerre sociale, économique, politique, non aux ennemis extérieurs, mais à ses propres membres qui n’entrent pas dans son idéologie.

    C’est ainsi qu’à peine 32.000 réfugiés ont été, selon l’expression consacrée « relocalisés » sur les 160.000 qui avaient été sélectionnés – en quelque sorte ! – pour être répartis dans l’année 2016 ! Alors, aujourd’hui…

    Et voilà que ce sommet de décembre se réunissait, dans de telles circonstances, pour reprendre et réexaminer le même problème mais en imposant toujours la même « solution », cette fois-ci de manière définitive et non plus provisoire devant la certitude que, de toutes façons, la crise migratoire n’était plus en soi « une crise », mais un « phénomène permanent » et « régulier » auquel il convenait d’apporter en conséquence des « règles permanentes » !. C’est ce qui se pense dans les hautes sphères des stratégies mondiales et mondialistes. Sur cette ligne se retrouvaient en principe Bruxelles, Berlin et Paris.

    Le refus des peuples

    Mais les peuples rechignent de plus en plus !

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    Paula Corbulon

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  • Vers le ministère de la vérité

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    L'OJIM poursuit son admirable de travail d'investigation dans la médiacratie oligarchique, et relève notamment que "les grands journaux français (sont) payés par Facebook pour traquer les "fake news"". En cliquant sur le lien précédent, vous découvrirez, sous l'article que nous reproduisons ci-dessous, d'autres articles décrivant les multiples cas concrets de réduction de la liberté d'expression en France.

    La crise de la presse gagne en intensité – la preuve, la propagande médiatique contre les « fake news » ne suffit pas à convaincre les Français de ne lire que les médias du système, alors Emmanuel Macron veut les y contraindre de force avec une loi sur les « fake news » ouvertement dirigée contre les médias du web et les sites d’information russes (Sputnik et surtout RT) en France. Le Canard Enchaîné (3.01) met en lumière une autre facette de la crise : les grands journaux français sont payés par Facebook pour traquer les « fake news », vraies ou fausses… mais surtout pas les leurs !

    La collusion n’est pas une illusion, c’est un meurtre d’état

    Depuis février dernier Facebook a en effet pris langue avec certains journaux, notamment Le Monde ou l’Express pour traquer les fake news. Le « pragmatisme » financier l’a emporté sur les considérations morales. D’autant que certaines proximités personnelles ont pu jouer – ainsi Julien Codorniou, vice-président de Facebook chargé des partenariats, est membre du conseil de surveillance du Monde, révèle le journal satirique. Et ce « grand ami de Xavier Niel », copropriétaire du quotidien de centre-gauche, « figure aussi depuis peu au conseil de surveillance de Mediawan, le fonds d’investissement cofondé fin 2015 par un certain Niel Xavier ».

    Huit médias français ont signé un partenariat avec Facebook, expliquait le média spécialisé Next Impact le 26 avril dernierà savoirl’ExpressLibération, 20 Minutes, LeMonde,BFMTV et les agences d’État que sont l’AFP, France médias monde et France Télévisions. Mélange des genres garanti, d’autant que Facebookleur achète aussi (fort cher) des espaces publicitaires ou y diffuse des Facebook lives. Ce partenariat-ci passait par l’achat d’espaces publicitaires où Facebook mettait en avant son tutoriel pour repérer les fausses nouvelles, mais aussi la rémunération des médias pour le repérage des « fake news ».

    Éric Mettout, directeur adjoint de la rédaction de L’Express, l’avouait à Next Impact du bout des lèvres : « au début, c’était totalement gratuit. Ils sont ensuite revenus vers nous en disant qu’ils allaient rémunérer notre travail ». En revanche les responsables de Facebook, BFMTV ou encore Libération ont préféré ne pas répondre aux questions de Next Impact – un manque de transparence bien étonnant si le but est présenté comme louable. En fait, la discrétion est compréhensible : c’est un délicat fumet de collusion qui plane au-dessus de toute cette histoire, dénoncé avec force par RT (Russia Today). De quoi rappeler une fois de plus le slogan des nationalistes irlandais (collusion is not an illusion, it’s a state murder).

    Le Décodex du Monde mis à contribution

    Le Décodex du Monde – financé par Google– a été mis à contribution pour passer à la moulinette les vraies et fausses informations sur Facebook. En s’érigeant juge et partie du journalisme, Le Monde a aussi laissé à la postérité un outil partial et partiel – ouvertement dirigé contre la concurrence sur le web et les médias qui véhiculent des idées différentes – qui s’est retourné contre ses inventeurs. À force, il est même devenu une sorte de boussole qui indique le sud : un site marqué en rouge par le Décodex est digne de confiance, car il participe à dynamiter un monopole de la presse du système si utile et si solide qu’il faut l’imposer par la force.

    Quels sont les résultats après huit mois de travail ? Pas grand chose. Le Décodex a repéré 2865 infos bidon sur Facebook. Près de 1198 pages ont été épinglées et 147 fermées. Beaucoup de contenus n’ont été supprimés que le temps des élections présidentielles et législatives, principalement à la demande des structures d’État comme la plateforme gouvernementale PHAROS – comme l’a expliqué Facebook très récemment.

    Cependant les « fermetures sont plus souvent liées à des contenus haineux ou racistes qu’à la chasse aux bobards », remarque le Canard.

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    Paula Corbulon

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  • Bistro Libertés avec le colonel Jacques Hogard (état major/ forces spéciales)

  • La réalité, ce n’est pas l’islamophobie, mais l’occidentophobie

    Par Chantal Delsol, membre de l’Institut, professeur des universités, écrivain ♦ TRIBUNE – Pour la philosophe (*), il est vain de chercher des causes économiques ou psychiatriques au terrorisme. La matrice idéologique des djihadistes est la haine de la civilisation occidentale. Le problème est que nous non plus ne nous aimons pas.

    Le terrorisme qui nous frappe s’impose à nous comme un objet non identifié.

    Nous sommes capables de mettre en place l’état d’urgence, de détenir des services secrets performants qui sans aucun doute nous évitent bien d’autres attentats. Mais nous sommes incapables de mettre le doigt sur les causes. Au début, à partir du 11 Septembre, on a commencé par prétendre que des raisons économiques poussaient ces jeunes garçons au meurtre de masse et au suicide. L’empreinte marxiste est déterminante dans les sociétés occidentales du tournant du siècle : on pense encore que le crime ne provient que du chômage et du mal-être social. Puis on s’est rendu compte qu’il n’en était rien, puisque les coupables étaient parfaitement intégrés et instruits. Aujourd’hui une nouvelle explication, non moins risible, court sur les antennes : les terroristes seraient des malades mentaux. On installe des “cellules de déradicalisation” aussi ridicules qu’inutiles, comme si on pouvait lutter contre des croyances avec les armes de la raison bureaucratique. La seconde explication a aussi peu de sens que la première. Car la véritable raison est étalée sous nos yeux, pendant que nous refusons de la voir, comme la lettre volée.

    Le déni de réalité est tel qu’on voit ces jours-ci des Espagnols défiler contre le terrorisme aux cris de “non à l’islamophobie”, comme si la raison de tout cela n’était pas, évidemment, l’occidentophobie. Qu’on le croie ou non, l’aveuglement des ex-communistes vis-à-vis des crimes de Lénine/Staline a été encore dépassé par l’aveuglement de nos contemporains devant les meurtres de masse auxquels nous sommes pratiquement habitués…
    On ne parle pas de l’occidentophobie. Et probablement, il est suspect d’en parler, parce que c’est une manière de mettre en cause une branche de l’islam. Pourtant, les attentats qui secouent nos villes à intervalles de plus en plus rapprochés, sont bien le fruit de l’occidentophobie. Il s’agit d’une récusation profonde de notre culture telle qu’elle se déploie dans nos sociétés, Europe et Amérique confondues. L’Américain John Updike a bien décrit cela dans son roman Terroriste: son héros, le jeune Ahmad Mulloy, ne supporte pas le spectacle de la vie quotidienne américaine : la consommation permanente et la passion des choses superflues ; les filles offertes dans un abus de nudité et de laxisme, où plus rien n’est interdit ; la vulgarité, la bagatellisation de tout, le refus de toute spiritualité.

    Au fond, ce qui est mis en cause ici, c’est l’athéisme, la sécularisation générale, l’égalité des sexes, le matérialisme, la priorité du plaisir. Les terroristes sont d’abord des gens qui ne supportent pas les droits égaux pour les femmes, la laïcité, la fin du machisme patriarcal.
    Un certain pourcentage de musulmans hébergés par l’Occident hait l’Occident. C’est un fait. Ils ont été accueillis ici mais se révoltent contre leur culture d’adoption. Ce sont des choses qui arrivent, et ce n’est pas la première fois dans l’histoire. Il ne s’agit pas d’un simple dégoût, sinon nos terroristes pourraient aller vivre dans des pays où le gouvernement est musulman et les femmes voilées. Il s’agit d’une haine, d’une volonté de faire disparaître une culture : une idéologie – cet islam veut le monde. Beaucoup d’Occidentaux croient naïvement que les idéologies, après l’enfer puis après le communisme, ont été supprimées. En réalité nous nous trouvons devant une nouvelle “guerre contre l’Ouest”, héritière de celle dont parlait le Hongrois Aurel Kolnai en parlant du nazisme.
    Les Occidentaux ont énormément de mal à admettre que des gens commandités par l’islam (même si évidemment aucun islam n’est tout l’islam) ont désigné l’Occident comme ennemi au point d’y commettre des massacres de masse. Car les musulmans, comme anciennes minorités opprimées, ont toujours raison : tel est notre mode de pensée. Incriminer des causes économiques ou psychiatriques des attentats, est chaque fois un moyen d’en rejeter la faute indirectement sur nous.

    Cet aveuglement a des raisons intéressantes, et des conséquences non négligeables. Nous sommes parfaitement capables d’expliquer pourquoi nous, Occidentaux, devons être occidentophobes : toute la culture de la déconstruction nous le répète à satiété depuis un demi-siècle. Nous sommes capables d’expliquer comment la culture occidentale, responsable des guerres de religions et des guerres mondiales, est haïssable. Mais nous sommes bien incapables de comprendre et d’expliquer pourquoi un jeune musulman d’aujourd’hui, abrité et éduqué par l’Occident, va haïr la laïcité et l’émancipation des femmes : nous n’avons pas encore accepté cette réalité, tant elle nous insupporte, parce qu’elle déprécie une minorité que nous avons opprimée, c’est-à-dire un groupe de héros.
    Nous avons depuis longtemps perdu l’habitude de défendre notre culture, de plaider pour elle. Faire l’apologie de la culture occidentale, nous pensons que c’est vichyssois, voilà tout. Aussi demeurons-nous pétrifiés et impuissants, incapables de comprendre avant même de répondre. Il faudrait justifier nos propres racines, que nous passons notre temps à ridiculiser depuis cinquante ans. Nous ne savons même plus où elles sont. La tâche est pour nous effrayante. Elle nous demande un retournement complet.

    On ferait bien de cesser de pleurnicher sur la soi-disant islamophobie, qui n’existe que dans la mauvaise conscience, en ce cas mauvaise conseillère. La vraie réalité, qui se compte en nombre de morts, et cela est bien réel, c’est l’occidentophobie (qu’il vaudrait mieux appeler misoccidentie, si le mot n’était dissonant) : la haine de l’Occident. Il est probable qu’à force de vouloir nous déconstruire nous-mêmes, nous avons donné des armes à ceux qui déjà ne nous aimaient pas beaucoup – quand on bat sa coulpe en permanence, on finit par apparaître comme un raté. Mais enfin le mal est fait. Il nous faut tenter de comprendre, quand nous serons parvenus à prononcer ce mot, pourquoi pullulent les occidentophobes, habités par la nostalgie d’une société religieuse, patriarcale et machiste. Il ne nous suffira pas de les traquer physiquement, car c’est une bataille de croyances – on n’embastille pas des croyances. Où sont nos croyances ? Nous pourrions, avec profit, les rattraper dans le ruisseau où nous les avions imprudemment abandonnées.

    Chantal Delsol 07/09/2017

    (*) Membre de l’Institut, fondatrice de l’Institut Hannah Arendt, Chantal Delsol est philosophe et historienne des idées. Elle a dernièrement publié Un personnage d’aventure. Petite philosophie de l’enfance (Éditions du Cerf).

    Source : Le Figaro, 7 septembre 2017

    https://www.polemia.com/la-realite-ce-nest-pas-lislamophobie-mais-loccidentophobie/

  • Les migrants : des «envahisseurs musulmans», selon le Premier ministre hongrois

    Connu pour son opposition frontale aux quotas européens de migrants, Viktor Orban s'est livré à de nouvelles déclarations fracassantes. Qualifiant les réfugiés d'«envahisseurs», il estime que des «sociétés parallèles» ont émergé en Europe. 
    Dans un entretien au journal allemand Bild le 7 janvier, Viktor Orban s'est livré sur les raisons du refus de Budapest d'accueillir des réfugiés. «Nous ne considérons pas ces gens [les migrants] comme des réfugiés musulmans», a lancé le Premier ministre hongrois, précisant les voir plutôt comme des «envahisseurs musulmans»
    «Si quelqu'un veut venir dans votre maison, il frappe à votre porte et demande : "Pouvons-nous entrer, pouvons-nous rester ?" Ils [les demandeurs d'asile] ne font pas cela, ils ont franchi la frontière illégalement», a encore déclaré Viktor Orban. 
    «Sociétés parallèles»
    Poursuivant son raisonnement, le Premier ministre hongrois a qualifié le multiculturalisme d'«illusion», jugeant que les sociétés musulmane et chrétienne «ne s'unir[aient] jamais». Quant à l'arrivée d'un grand nombre de musulmans sur le Vieux continent, elle aurait résulté selon lui en l'apparition de «sociétés parallèles»
    Viktor Orban a aussi estimé que les personnes tentant de rejoindre la Hongrie depuis la Syrie ne risquaient «pas leur vie» car elles traversaient des pays relativement stables : la Turquie, la Grèce, la Macédoine et la Serbie. «Ce sont plutôt des migrants économiques en quête d'une vie meilleure», a conclu le Premier ministre. 
    Estimant que le but de la plupart des réfugiés était de s'installer en Allemagne, il a taclé la politique d'accueil des demandeurs d'asile de la chancelière Angela Merkel. «Je n'ai jamais compris comment le chaos, l'anarchie et le franchissement illégal de frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l'Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi», a lancé Viktor Orban. 
    Critique acerbe de l'immigration et des quotas de répartition de migrants obligatoires prévus par l'Union européenne, Viktor Orban multiplie les sorties fracassantes sur le sujet. Il avait déjà notamment qualifié les demandeurs d'asile de «cheval de Troie pour le terrorisme»
    Le renforcement de la frontière de la Hongrie avec la Croatie et la Serbie, par la construction d'un mur, a valu de nombreuses critiques de pays européens à Budapest. 
    La Hongrie n'infléchit pourtant pas son discours et s'est trouvée des alliés européens refusant eux aussi les quotas, comme la Pologne et la République tchèque, et ce malgré les mises en garde de la Commission européenne.

  • Le SIEL appelle à participer à la 12ème Marche pour la Vie

    6a00d83451619c69e201b7c944e17d970b-250wi.pngDe Brigitte Dussouds, Déléguée régionale SIEL de Ile-de-France, Responsable nationale Famille – Bioéthique :

    "Pour sa 12ème édition, la Marche pour la Vie réaffirmera à nouveau son attachement inconditionnel au respect de la vie, à une époque où la banalisation de l’avortement n’a jamais été aussi forte. Les défenseurs de la vie humaine entendent ainsi sauvegarder un modèle de société qui refuse le drame de l’avortement, en proposant pour cela une véritable politique de santé visant à diminuer les 220 000 avortements annuels.

    La Marche pour la Vie revendique ainsi :

    • la mise en œuvre d’une politique de santé protégeant réellement les individus de leur conception à leur mort naturelle ;
    • l’application d’une politique visant à diminuer le nombre d'avortements, en proposant des alternatives à l'avortement et une véritable politique familiale, comme c'est déjà largement le cas dans la plupart des pays européens où ce nombre diminue d'année en année ;
    • le maintien de l'interdiction de l'euthanasie, ce qui passe par une volonté véritable d'appliquer enfin les décisions prises en faveur des soins palliatifs : le médecin ne doit pas soigner d'une main et tuer de l'autre ;
    • une reconnaissance de l'embryon humain en qualité de personne et non pas d’objet ou de matériau.

    2018 sera l'année de la révision de la loi de Bioéthique, précédée des ‘’États Généraux de la Bioéthique’’. Autant dire que l'année 2018 sera celle de tous les dangers en ce qui concerne la Vie ! Ces menaces se dissimulent pour l’heure sous couvert d’opérations d'enfumage médiatique : le sondage biaisé du journal ‘’La Croix’’ indiquant qu’une majorité de Français serait favorable à des lois qui iraient contre la vie, sondage où l'on évoque également la GPA « médicalisée » ; les questionnaires préalables aux ‘’États Généraux des agences régionales de biomédecine’’ où l'on demande aux citoyens s'ils sont favorables à la PMA pour les couples d'hommes…

    Il est capital que la manifestation la Marche pour La Vie soit un succès cette année encore, davantage même que les années précédentes ! La Marche pour La Vie sera un interlocuteur incontournable dans les débats à venir et développera un vrai travail de veille au bénéfice de nos concitoyens. Une forte mobilisation sera ainsi un signal puissant en direction du gouvernement qui doit plus que jamais se convaincre de l’existence d’une opposition forte face aux dérives bioéthiques à venir !

    Conscient des enjeux politiques à venir et déterminé à défendre à chaque instant la dignité humaine, le SIEL invite tous ses adhérents et sympathisants à participer nombreux, le dimanche 21 janvier à Paris, à la 12ème édition de la Marche pour La VieUne délégation sera présente autour de notre président Karim Ouchikh qui vous invite personnellement à le retrouver à partir de 13h30, Porte Maillot, devant le « Congrès Maillot » (80 avenue de la Grande Armée, 75016 Paris) pour défiler ensemble, sans drapeau ni bannière."

    Michel Janva

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  • SAMUEL LAFONT : « ON PEUT SOULIGNER UN REJET MASSIF, CHEZ LES FRANÇAIS, DU RETOUR DES DJIHADISTES, QU’IL S’AGISSE D’HOMMES OU DE FEMMES »

    Que faut-il faire des djihadistes partis en Irak ou en Syrie qui veulent à présent revenir ? Le débat fait rage en France. Samuel Lafont, à l’origine de la pétition Damoclès, qui rassemble déjà plus de 63.000 signataires, met solennellement en garde contre le danger que représenterait ce retour et relève que l’opinion publique y est massivement opposée.

    http://www.bvoltaire.fr/on-souligner-rejet-massif-chez-francais-retour-djihadistes-quil-sagisse-dhommes-de-femmes/

  • Anvers (Flandre) Filip Dewinter lance une nouvelle campagne :

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    Filip Dewinter, porte-parole de Vlaams belang à Anvers, a lancé une nouvelle campagne sur la capitale flamande : "Les nouveaux arrivants ? Nous les faisons nous-même..."

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    Source Lionel Baland cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Remplacement de la taxe d'habitation par un nouvel impôt : Marine Le Pen l'avait prédit

    Suite à l'aveu du secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur Jacqueline Gourault, annonçant que la taxe d'habitation sera en fait compensé par un nouveau prélèvement, voici ce qu'en disait Marine Le Pen lors du fameux débat du second tour face à Emmanuel Macron :

    Michel Janva

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  • Éric Zemmour : « La politique du droit d'asile est un grand théâtre »

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    Le groupe de Visegrad auquel s'ajoutent la Pologne, l'Autriche et quelques autres pays ... 

    BILLET - Le cap des 100.000 demandeurs d'asile a été franchi en 2017. Pourtant les associations d'aide aux demandeurs d'asile ont rompu les discussions avec un gouvernement qui, selon elles, n'a jamais été aussi répressif.  [RTL 9.01]. En quelques mots brefs et lucides, Zemmour démonte cette légende ou ce bobard. Ici, nous sommes de ceux qui pensent qu'il y a des moyens de contenir la vague migratoire hors de nos frontières. Les pays de Visegrad et quelques autres, avec des moyens bien inférieurs aux nôtres, en montrent l'exemple. Chez nous, malgré les paroles, la volonté n'y est pas. Voilà tout.   LFAR


    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    C'est comme au théâtre. Des portes qui claquent, des bouderies, des éclats de voix, de grandes tirades, des cadavres dans le placard, des accords secrets. Des réconciliations au dernier acte. La politique de l'immigration, en général, et du droit d’asile, en particulier, est un grand théâtre où chacun joue son rôle.

    Les associations et les grandes consciences ont le beau rôle : celui du gentil, du généreux, de l'humaniste, des bras ouverts. D'autant plus ouverts que c'est l'État qui paye, subventionne et rémunère leurs services (...). L'État, c'est-à-dire vous et moi, c'est-à-dire nos impôts. Nous payons avec nos impôts pour accueillir des gens dont nous ne voulons pas. 

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/