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  • Dimanche dernier, "Le retour aux sources" était à la 12e Journée de Synthèse nationale

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    Jean-Michel Vernochet, Lucien Cerise et Patrick Gofman sur le stand des éditions "Le retour aux sources" cliquez ici

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    L'Ami Gofman toujours audacieux lorsqu'une jolie fille passe devant lui...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Montpellier, rond point militant : la PMA sans père, c’est non

    Montpellier, rond point militant : la PMA sans père, c’est non

    Jeudi 18 octobre soir, des sympathisants de LMPT 34 ont investi joyeusement et pacifiquement le célèbre rond point du « grand M » afin de sensibiliser les nombreux automobilistes sur les dangers de la PMA sans père.

    Accueil chaleureux d’une majorité des automobilistes qui ont échangé des signaux de sympathie avec les manifestants, parfois sonores. Le moment était particulièrement propice à cette action, en fin de journée au retour du travail, ainsi que le lieu, le rond point du « grand M » étant emprunté par des milliers d’usagers.

    Si le gouvernement En Marche pense passer une loi « PMA sans père pour toutes » comme une lettre à la poste, il s’expose à de sacrées déconvenues. Rappel de circonstance : le PS et son mentor le président de l’époque ont laissé leurs peaux politiques avec la loi Taubira relative au « mariage pour tous » et à la filiation bidonnée. La majorité des Français ne se laissera plus faire sur ces questions primordiales de civilisation.

    https://www.lesalonbeige.fr/montpellier-rond-point-militant-la-pma-sans-pere-cest-non/

  • Eté caniculaire : taisez-vous, Jouzel, c'est le froid qui nous menace...

    MARTIN Mlynczak, diplômé de Météorologie de l'Université du Wisconsin, en Philosophie et en Science Atmosphérique de l'Université du Michigan, est un des grands chercheurs scientifiques de la NASA. Pas de ceux pourtant auxquels on donne souvent la parole, parce que ce qu'ils ont à dire n'est pas dans l'air du temps. Les recherches qu'il poursuit traitent du bilan énergétique et du climat de l'atmosphère depuis la surface de la Terre à la limite de l'Espace. Il dirige le développement de techniques innovantes — instruments, technologies, modèles, algorithmes — afin de détecter à distance l'atmosphère des satellites, des fusées suborbitales, des avions, des ballons à haute altitude. L'éventail des sujets actuellement étudiés couvre le couplage solaire-terrestre dans la thermosphère aux processus de rétro-action climatique due à la vapeur d'eau troposphérique et aux cirrus.

    En d'autres termes les travaux qu'il mène avec ses équipes, dans le cadre de la NASA, mais surtout dans l'évolution de notre situation climatique, sont du plus grand intérêt. Et elles entrent en conflit brutal avec les théories nébuleuses qui se sont emparées des têtes d'oeuf onusiennes et de la pseudo-science si parfaitement illustrée par le Giec dont les bafouillages sont scrupuleusement repris en boucle par tous les analphabètes médiatiques qui ânonnent les mots d'ordre quotidiens de l'Organisation Mondiale Météorologique.

    Selon le site Internet Space Weather.com qui se consacre à l'étude de l'environnement solaire-terrestre « le soleil est entré dans l'un des minima solaires les plus importants de l’ère spatiale. Les taches solaires ont été absentes pendant la plus grande partie de 2018 et la production de rayons ultra-violets du soleil a fortement diminué. Une nouvelle recherche montre que l'atmosphère terrestre réagit ».

    Evidemment, puisque cette nouvelle recherche émane du Dr. Mlynczak et de son équipe, il serait bon d'y porter la plus grande attention. Mais il n'en est pas question alors que depuis des mois tous ceux qui ont accès aux média ne cessent de nous assourdir avec leur fake-news concernant le prétendu été caniculaire 2018 la Suède en feu, la banquise fondue, les ours polaires faméliques au Nord, les bébés pingouins morts d'inanition en Antarctique et tout à l'avenant.

    Viennent donc de paraître dans Le Journal de Physique Atmosphérique et solaire terrestre, les résultats d'une étude qu'ils ont effectuée et titrée : « Indices climatiques de la thermosphère : plages de cenûles et descripteurs adjectivaux ». Par thermosphère on entend «. la couche supérieure de l'atmosphère terrestre qui commence à 95 km d'altitude et qui est caractérisée par une augmentation de la température continue avec l'altitude ».

    Il s'agit donc dans cet article de définir un nouvel indice solaire terrestre avec de nouveaux descripteurs — très chaud, chaud, neutre, froid, très froid — Etant précisé que la thermosphère du cycle solaire 24 qui vient de s'achever, le plus faible depuis 100 ans, a connu le maximum le plus froid des sept derniers cycles solaires. La lecture "froid" de la thermosphère actuelle tient donc compte de cette nouvelle situation.

    La thermosphère dramatiquement refroidie

    Le commentaire de Martin Mlynczak est sans ambiguïté. « Nous constatons une tendance au refroidissement. Au-dessus de la surface de la Terre, près de la limite de l’espace, notre atmosphère perd de l’énergie thermique. Si les tendances actuelles se poursuivent, la haute atmosphère pourrait bientôt établir un record de l’âge de l’espace ». Et de conclure « Nous n'en sommes pas encore là mais cela pourrait se faire en quelques mois ».

    Ces informations ont été transmises par l'instrument de radiométrie Saber, dont Mlynczak est l'analyste en chef. Saber est à bord du satellite de la NASA Timed. Lequel a pour fonction de relever les émissions infrarouges de dioxyde de carbone et de dioxyde nitrique, deux substances jouant un rôle clé dans le bilan énergétique de l'air situé entre 100 et 300 km au-dessus de nous. Saber peut ainsi évaluer l'état thermique du gaz situé dans la thermosphère.

    Comme les individus qui ont confisqué la climatologie du futur et imposé Numériser.jpegpar la force leur idéologie du Réchauffement Climatique ont totalement occulté ces questions et rangé toute forme d'influence solaire sur le climat de la Terre parmi les « théories du complot », il y a peu de chance pour que les travaux de Martin Mlynczak et d'autres soient connus du public. Voici en tout cas un graphique (ci-dessus) qu'il a publié dans son rapport concernant le nouvel indice climatique de la thermosphère. Et sur lequel on peut réfléchir avec intérêt. Bien que le satellite Tïmed ne soit en service que depuis 17 ans, le calcul de l'Index Climatique de la Thermosphère remonte aux années 1940 :

    « La thermosphère se refroidit toujours pendant le minimum solaire, précise Mlynczak. C'est l'un des moyens les plus importants pour le cycle solaire d'affecter notre planète. En ce moment, c'est vraiment très bas. SABRE mesure actuellement 33 milliards de watts de puissance infrarouge à partir de Dioxyde Nitrique. C'est 10 fois moins que ce que nous voyons pendant les phases plus actives du cycle solaire ».

    Jim REEVES. Rivarol du 3 octobre 2018

  • Le Samedi Politique : Qui est Vladimir Poutine ? avec Frédéric Pons

  • De Mayotte à Anjouan : le verrou de l’immigration sur le point de sauter

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    Les Comores sont entrées en ébullition ces derniers jours. Le président en poste Azali Assoumani, au pouvoir depuis 1999 à la suite d’un coup d’Etat, veut rester président à vie. Les habitants d’Anjouan, l’une des trois îles qui composent ce pays, ne l’entendent pas de cette oreille. Ils sont entrés en rébellion au début de cette semaine. A 70 kilomètres de Mayotte, et donc de terres françaises, des combats à l’arme lourde se déroulent actuellement dans les rues de Mutsamudu, la capitale locale, dont la médina est assiégée. Les rares témoins ont vu des morts, des blessés, des barrages sur les axes routiers, des hommes masqués qui s’affrontent à la kalachnikov ou au coupe-coupe.

    Du coup des bateaux, des « kwassas » (ou mangeoires à requins) surchargés de réfugiés ou de militants anti-régime débarquent actuellement à Mayotte.

    Or Mayotte est déjà submergée par l’immigration sauvage, l’île étant considérée comme la porte régionale vers l’Europe. Venus du continent africain, les immigrés passent d’île en île, de la Grande Comore à Mohéli, et de Mohéli à Anjouan, pour gagner Mayotte, qui est la France. Les femmes sont nombreuses aussi, les femmes enceintes, s’entend. Car une naissance à Mayotte, c’est la carte d’identité à la clé. Et la criminalité explose.

    Naufrage par submersion migratoire

    Les Mahorais avaient choisi de rester Français en 1974 et font partie de la Communauté européenne. Mais Mayotte est prise d’assaut, suscitant de violentes réactions des autochtones. Ce mercredi des bagarres ont éclaté entre Mahorais et immigrés, à Mamoudzou, la préfecture de Mayotte. Les manifestants tentent d’empêcher les immigrants d’avoir accès aux salles de soins d’un dispensaire, pour éviter qu’ils s’implantent définitivement.

    Les violences d’Anjouan risquent de créer une vague d’immigration telle que les habitants de Mayotte ne pourront plus s’opposer, que le verrou sautera, provoquant le premier naufrage par submersion migratoire d’un département français.

    Bizarrement, en métropole, un voile pudique est jeté sur cette situation. Et comme les anti-immigrants sont noirs de peau, personne ne s’avise de dénoncer leur racisme et leur xénophobie . Ils ont au moins cette chance, dans leur malheur.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • L’esclavagiste Fogiel devrait être en prison !

    L’esclavagiste Fogiel devrait être en prison !

    De Benoît Dumoulin dans l’Incorrect :

    Il est odieux de devoir rappeler des évidences. Il y a encore quelques années, on ne croyait pas qu’un jour, il faudrait prendre la plume pour s’opposer à cet immonde trafic de la GPA, que l’on devrait plutôt rebaptiser MEPA (marchandisation et esclavage pour autrui). Il est encore plus odieux de voir les médias – à commencer par Paris-Match – faire la promotion tranquille de l’ouvrage de Marc-Olivier Fogiel, sans lui rappeler les vérités les plus élémentaires.

    Car contrairement à ce que prétend Fogiel, il ne peut y avoir de GPA éthique. La GPA fait entrer, par principe, le corps humain dans le domaine du marché. Fogiel a acheté 9 000€ sur catalogue l’ovocyte d’une Américaine en prenant soin – dans un eugénisme désormais revendiqué – de choisir celui qui paraissait le plus sain (« il n’y a pas de maladie génétique dans la famille de Jane »). Question : sur son catalogue, le prix variait-il en fonction des qualités de la donneuse ? Fogiel fait sortir l’être humain du domaine de l’être pour le faire entrer dans le domaine de l’avoir. Supprimant la distinction fondamentale du code civil entre les personnes et les choses, il rend possible l’appropriation juridique et financière du corps humain et de ses produits. En cela, il est un esclavagiste des temps modernes.

    Il a ensuite loué deux fois de suite le même utérus d’une autre femme pour y implanter l’ovocyte choisi, au tarif de 15 000€ la grossesse. Qui pourrait légitimement soutenir qu’aucune relation psychique n’existe entre une femme et l’enfant qu’elle porte ? Serait-ce la même chose de porter un enfant et un panier de courses au supermarché ? Il y a confusion de l’être et de l’avoir. D’ailleurs, voit-on beaucoup de femmes très riches accepter d’être mère porteuse ? Il y a aussi, au cœur de toute GPA, une exploitation de la détresse des femmes. En cela, Fogiel est aussi un esclavagiste.

    En France, « Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l’objet d’un droit patrimonial » (article 16-1 du code civil) et « il n’y a que les choses qui sont dans le commerce qui puissent être l’objet des conventions » (article 1128). C’est pourquoi, « toute convention portant sur la procréation ou la gestation pour le compte d’autrui est nulle » (article 16-7).

    Mais bizarrement, le code pénal ne punit que l’intermédiaire qui s’entremet dans un but lucratif entre deux personnes en vue d’une GPA et non celui qui la réalise à son profit. Si le gouvernement voulait vraiment s’attaquer au trafic d’êtres humains et respecter la dignité de la femme, il devrait faire voter une loi pour incriminer pénalement Marc-Olivier Fogiel et le faire mettre en prison.

    De plus, sa justification est confondante : il explique avoir eu recours à une vendeuse d’ovocytes différente de la mère porteuse, évitant ainsi à celle-ci de se sentir mère de l’enfant qu’elle porte. En dissociant la génitrice de la gestatrice, il brouille encore plus les repères de l’enfant qui, déjà arraché à sa gestatrice au lendemain de l’accouchement, ne pourra jamais savoir qui est sa vraie mère. Cela ne sera pas sans conséquences pour l’enfant, qui, un jour, sera en droit de demander des comptes à son père.

    Fogiel n’ignore pas que l’un des reproches fait à la GPA est d’instaurer une séparation radicale entre la mère et l’enfant. Qu’à cela ne tienne ! Ses filles iront voir leur mère porteuse une fois par an aux États-Unis. Passons sur la rareté d’une visite censée nourrir les besoins affectifs légitimes de l’enfant. Fogiel espère-t-il qu’un aller-retour Paris-Miami sera remboursé par la Sécurité Sociale ou pense-t-il réserver ce privilège à une élite financière ?

    Par ailleurs, il affirme avoir dépensé à peu près 100 000€ pour ses GPA. Imagine-t-on le poids qu’il fait peser à ses enfants et le peu de liberté qu’une telle relation marchande instaure ? Si ces derniers ne correspondent finalement pas au modèle souhaité, il pourra être tenté de leur rappeler qu’il a dépensé 100 000€ pour eux ! Quand on sait qu’il n’est jamais facile pour un père de laisser son enfant faire sa vie librement, on devine qu’il est d’autant plus dur de se détacher d’un enfant qui est le fruit d’une appropriation juridique et financière.

    La séquence médiatique ouverte avec la publication de l’ouvrage de Fogiel participe donc d’une banalisation scandaleuse et criminelle de la GPA qui aurait mérité des rappels à l’ordre de la part du gouvernement et du CSA. Car, malgré ses dénégations, son témoignage ressemble à une opération de propagande voyeuriste dont l’unique objet est de nous faire accepter la GPA, pardon la MEPA. Mais, on ne lâchera rien, jamais, jamais, jamais !

    Cela étant dit, le livre de Fogiel fait un bide. Malgré l’intense propagande médiatique, ce livre n’est que 50ème dans le classement officiel editstat des 200 meilleures ventes. A titre de comparaison, le “Destin français” d’Eric Zemmour est toujours classé 10ème après 5 semaines de présence (et après avoir été classé directement 1er). Et ceci, en dépit de la censure des médias.

    D’après nos informations, en 12 jours (du 3 au 14 octobre), Fogiel n’a vendu que 4 643 livres. Même les LGBT ne s’intéressent pas à la GPA… Pour rappel : Zemmour vendait plus de 2 000 livres par jour lors de la parution.

    https://www.lesalonbeige.fr/lesclavagiste-fogiel-devrait-etre-en-prison/

  • 2018 : le Titanic macronien fonce vers l’iceberg

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    Par Michel Geoffroy, essayiste, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦  L’affaire Benalla a gâché le bel été d’Emmanuel Macron. L’automne s’annonce encore plus meurtrier, avec son accumulation de petites phrases malheureuses, de photos polémiques et la démission de Nicolas Hulot puis du ministre de l’Intérieur. Et pour couronner le tout, l’étonnante lenteur avec laquelle l’exécutif a procédé à son remaniement.

    A l’évidence, la macronie est en crise et les photos officielles, pour une fois, ne trompent pas. Emmanuel Macron n’arbore plus le sourire du « gendre idéal » et du winner. Il apparaît désormais contracté et amaigri.  Manifestement, Jupiter est à cran. Et il paraît même que tout l’Elysée l’entend se quereller avec sa Junon.

    Pourtant cette crise était prévisible, conséquence fatale de l’ascension artificielle d’Emmanuel Macron.

    Car en ces heures décisives tant pour l’Europe que pour la France, on se rend compte qu’Emmanuel Macron n’est tout simplement pas à la hauteur de la situation.

    Une élection en trompe l’œil

    Emmanuel Macron a en effet accédé à la présidence de la République grâce à un complot médiatique et juidiciaire orchestré à son profit. Car la Davocratie voulait éviter à tout prix une contagion populiste en France, après le Brexit et la victoire de Donald Trump.

    Emmanuel Macron a donc été élu grâce à l’élimination médiatico-judiciaire de François Fillon et parce que Marine Le Pen n’était pas prête à gouverner. Et aussi parce qu’il a réussi à obtenir le soutien de politiciens, transfuges de la gauche comme de la droite et sortis de la naphtaline pour la circonstance.

    Mais cette victoire est en trompe l’œil. Car cette coalition de rencontre implique qu’Emmanuel Macron, président parachuté par la Davocratie, n’incarne en réalité aucune dynamique politique dans notre pays. Et c’est d’ailleurs ainsi que la Davocratie le tient.

    En Marche ! Rien qu’un slogan

    Le taux d’abstention au second tour de la présidentielle de 2017 s’élevait à 57 %. Et aux législatives qui ont suivi, seulement 38,4 % du corps électoral a voté pour les candidats qui se présentaient.

    Les élus de La République en Marche ne représentent donc qu’une minorité de Français et ne doivent qu’à la fiction du système électoral de se retrouver en position de « majorité » à l’Assemblée. Avec la circonstance aggravante que beaucoup sont dénués de toute expérience politique.

    De même, Emmanuel Macron ne s’appuie sur aucun parti réel. En Marche ! n’est en fait qu’une… fake news ou un slogan. Ce n’est qu’un site internet où il suffit de s’inscrire pour se retrouver adhérent !

    Ce n’est pas avec cela que l’on gagne l’opinion, dans un pays déchiré et en proie au doute.

    Un président dénué d’expérience politique

    Au surplus, Emmanuel Macron lui-même ne brille pas par son expérience politique personnelle.

    Ancien haut fonctionnaire passé par la banque d’affaires, il n’a jamais exercé de mandat électoral ni même syndical. Son expérience politique se limite à son soutien à la candidature de François Hollande pour l’élection présidentielle de 2012. Ce n’est en effet qu’un homme d’intrigues, de réseaux et de groupes de réflexion, qui ne connaît ni les électeurs ni les militants. Et encore moins les Français.

    Il n’a surtout aucune idée de ce que peut être le combat politique : la violence des adversaires, la trahison des proches, l’opposition des médias ou le harcèlement des juges et des administrations. Et surtout le heurt permanent avec la réalité.

    Un ministre de la parole

    Emmanuel Macron a certes été « ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique » de 2014 à 2016.

    Mais dans un pays où l’économie et la finance sont dérégulées et où la monnaie ainsi que la politique commerciale sont de la compétence de l’Union Européenne, un ministre de l’Economie fait avant tout de la figuration et de la communication. Rien à voir avec un maroquin nettement plus risqué comme par exemple l’Education, l’Intérieur, la Justice voire le Budget. Un ministre de l’Economie parle, participe à des rencontres internationales mais il regarde surtout passer les trains de la conjoncture économique mondiale.

    Le bilan ministériel d’Emmanuel Macron n’est d’ailleurs guère probant, entre la cession calamiteuse d’Alstom, une « loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques » (sic) qui a surtout débouché sur… la libéralisation du marché des autocars, et l’accord donné à l’acquisition de SFR par le groupe Drahi.

    Et c’est finalement la ministre du travail de l’époque, Myriam El Khomri, qui a dû affronter les syndicats à sa place pour faire passer la réécriture du licenciement économique et le plafonnement des indemnités prud’homales qu’Emmanuel Macron préconisait, pour complaire une nouvelle fois au patronat.

    Macron, le bullocrate

    Enfant gâté du Système et comme tant de politiciens de sa génération, Emmanuel Macron n’a jamais goûté personnellement de l’adversité, ni de « l’âpre joie d’être responsable » comme écrivait De Gaulle dans Le Fil de l’Epée. Et ceci explique cela.

    En digne représentant de la Davocratie, Emmanuel Macron n’est qu’un « bullocrate » pour reprendre l’amusante expression utilisée autrefois par Jean-François Kahn.

    Car il n’a cessé de vivre dans une bulle protectrice qui l’isole du sort réservé au reste de la population. Et qui l’isole de la réalité. Une bulle où, pour trouver du travail, il suffit de « traverser la rue » . Où, pour se payer un « costard », il suffit de bosser. Et où il suffit de regarder les racailles dépoitraillées dans les yeux pour qu’elles se transforment en Bisounours.

    Mais en 2018 la bulle vient d’exploser.

    Le Titanic macronien ne sait plus où aller

    Devenu président de la République, Jupiter découvre avec stupeur que le monde ne correspond en rien à ce qu’on lui a appris à l’ENA où rue du Faubourg Saint Honoré. Et les Français découvrent, avec la même stupeur, l’attitude hautaine, autiste et inconvenante de leur président.

    Emmanuel Macron semble découvrir que la politique et notamment la politique étrangère sont du domaine des rapports de force : c’est pourquoi, président impopulaire d’une France amoindrie, il n’obtient rien de personne. Malheureusement cela se sait et se voit de plus en plus.

    Il ne comprend pas non plus pourquoi son logiciel libéral/libertaire /atlantiste et mondialiste, celui de la Davocratie, n’a plus prise sur la réalité, dans un monde de plus en plus multipolaire et en proie à la révolte des peuples. Mais malheureusement il n’en a pas d’autre et il ne sait que faire.

    Comme il ne comprend pas pourquoi les politiciens ne semblent plus avoir envie de monter à bord de son Titanic gouvernemental, alors que se profilent déjà les icebergs politiques de 2019. En Marche !Mais pour quel naufrage exactement ?

    A l’évidence les politiciens, comme les Français, n’ont plus confiance dans le capitaine. Alors que la navigation promet d’être dangereuse, ce n’est pas bon signe pour Emmanuel Macron.

    Michel Geoffroy 17/10/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/2018-titanic-macronien-iceberg/

  • Réchauffement climatique : le GIEC, le mensonge, la manip

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    Jean-François Touzé
    Secrétaire national du Parti de la France
    Selon le dernier rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur les changements climatiques), approuvé par tous les pays (même les États Unis qui n'auraient fait que des remarques de détail), le réchauffement climatique s’accélérerait.
    Pour les pseudo-spécialistes du GIEC érigé en Département idéologique mondial, aux alentours de 2040, la température moyenne de la planète atteindrait ou dépasserait 1,5°C par rapport au début de l'ère industrielle, si les émissions de gaz à effet de serre devaient se poursuivre au rythme actuel, soit une hausse de 50 % par rapport au réchauffement enregistré jusqu'en 2017.
    Ce « résumé pour décideurs », qui a pour prétention de « guider les actions des gouvernements du monde entier », a été rédigé par environ 90 chercheurs internationaux. Le texte final a été peaufiné à l'aide des représentants des gouvernements et des représentants de l'Union européenne. « Les remarques et commentaires ont été conservés ou rejetés sur la base du compromis et des fondements scientifiques présentés dans le rapport », indique Henri Waisman, chercheur à l'Iddri et coordinateur de la partie consacrée au développement durable de ce rapport.
    Environ 6 000 articles scientifiques publiés avant mai 2018, ont été compilés pour établir les scénarios permettant d'arriver à 1,5°C et pour estimer les conséquences sur les populations, les écosystèmes, la biodiversité, les changements climatiques, le développement économique, les émissions des gaz à effet de serre et le fameux et très politiquement correct développement durable.
    Pour ces experts autoproclamés, avec une augmentation de seulement 1,5°C, la hausse du niveau de la mer d'ici 2100 serait moindre (dix centimètres) alors que certains pays en subiraient déjà les premiers effets ; près de dix millions de personnes ne seraient pas contraintes de déménager et la fonte des glaces en été, autour de l'Arctique, se produirait une fois par siècle au lieu d'une fois tous les 10 ans à 2°C.
    D'autres conséquences ont été estimées : sur 105 000 espèces étudiées, 6 % d'insectes perdraient leurs habitats, 8 % des plantes et 4 % des vertébrés, tandis qu'à 2 °C, cela concernerait 18 % d'insectes, 16 % des plantes et 8 % des vertébrés. Par ailleurs il en ira de même pour la durée des canicules dans les villes ou le nombre d'événements climatiques extrêmes (sécheresse, pluies diluviennes, baisse du rendement des cultures, etc.).
    On le voit, tout a été pensé, organisé et accompli pour que ce rapport soit paré des plus convaincantes nuances du raisonnable, de la compétence et du sérieux scientifiques afin de relancer, sous les apparences de la modération (1,5° oui, 2° non !) l’opération « Sauvons la planète en asservissant les hommes ».
    La thèse du réchauffement climatique dû aux activités humaines ne repose pourtant sur aucune base démontrée et ne se structure d’aucun élément avéré.
    On ne connaît, en effet, à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique (si ce dernier existe bien puisque de nombreux climatologues en doutent et que certains penchent même pour un possible refroidissement), alors que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur serait (cf. Claude Allègre), l'activité solaire, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2 ».
    Des milliers de scientifiques se sont ainsi élevés, en vain, contre les bobards répandus par le GIEC et ses manipulations relayées par la propagandastaffel médiatique.
    Nous sommes en vérité, dans le domaine du dogme révélé qui, comme l’était le dogme marxiste de l’explication du monde et de l’Histoire par la lutte des classes ne repose que sur du vent.
    Un vent évidemment très orienté afin d’atteindre trois objectifs.
    • Premier objectif : la mise en place d'une plateforme de décision mondiale, avant-garde du gouvernement planétaire unifié.
    • Second objectif : détourner le regard des peuples occidentaux d’une menace avérée, celle de la déferlante migratoire menant à une colonisation inversée, vers une menace fantasmagorique, celle du réchauffement conduisant au désastre planétaire.
    • Troisième objectif : la mise en œuvre d'une politique de décroissance provisoire et de malthusianisme économique destinée à achever la transition de l’ère industrielle vers l’ère purement financière.
    Et marchent les bobos et courent les gogos « pour la planète, le climat et la responsabilité citoyenne » comme autrefois à l'appel masqué du Parti communiste, se rassemblaient les idiots utiles au nom du « Mouvement de la paix ».
    L’écologie politique, c'est la continuité de l’internationalisme par la voie du mondialisme spéculatif. C'est le progressisme apatride opposé à la réalisation humaine. Emmanuel Macron ne s'y est pas trompé qui, fidèle à ceux qui l'ont fait élire, s'est précipité, à peine le rapport publié, pour réclamer la mise en place rapide d'un « One planet summit ». Tout est dit.