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  • Le plan Kalergi: le génocide des peuples

     

  • Racisme anti-blanc : “L’homme blanc ne peut avoir raison contre une noire et une arabe”, déclare Maboula Soumahoro

    Voici les derniers propos maboules de Maboula Soumahoro :

    « L’homme blanc (…) ne peut pas avoir raison contre une noire et une arabe. Il va vraiment falloir que la France s’en rende compte. »

    (déclaration diffusée dans l’émission de Lauren Bastide sur France Inter)

    Qui est Maboula Soumahoro ?

    Née dans une famille d’origine ivoirienne, elle a grandi en France, dans un quartier populaire du Kremlin-Bicêtre.

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  • Statistiques ethniques : prouvez-nous que nous avons tort

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    Par Cyril Raul, militant identitaire ♦ L’idéologie de gauche recèle aujourd’hui une forme d’obscurantisme : alors même qu’elle prétend se parer des oripeaux du progrès, elle censure la recherche à travers l’interdiction des statistiques ethniques en France. Une prohibition dont elle est à la fois garante et tributaire.

    Libérer les sciences humaines

    La submersion migratoire que nous subissons est un phénomène qui n’a tout simplement jamais été observé dans notre histoire. Nous n’avons dès lors jamais autant eu besoin des sciences humaines qu’à notre époque pour la décrire et la chiffrer, pour dresser le tableau de ce bouleversement humain. Or, censurer les statistiques ethniques, c’est supprimer un pan des sources les plus utiles au travail des démographes, des géographes ou des sociologues. Libérons ces sources, libérons le travail des chercheurs et des universitaires honnêtes. Les Christophe Guilluy, Michèle Tribalat ou autre Jean-Paul Gourévitch doivent pouvoir accéder à tous les chiffres, sans restriction ni tabou. À l’instar de leurs homologues des pays anglo-saxons, où le poids de l’idéologie sur la recherche est beaucoup moins prégnant qu’en France.

    Dissiper le flou

    Certes, il existe aujourd’hui de nombreuses sources chiffrées sur l’immigration. Et même de plus en plus, notamment grâce à de récentes recherches fondées sur l’onomastique (1). Mais l’absence des statistiques ethniques laissera toujours un vide, une brèche grâce à laquelle les données à notre disposition seront systématiquement relativisées, retournées, noyées, voire raillées par quelques experts-idéologues surmédiatisés bien moins scientifiques que militants (2). Ces derniers savent manier habilement les statistiques imparfaites et les chiffres lacunaires pour mieux entretenir le flou.

    Face à ces vieilles techniques d’enfumage, les statistiques ethniques présentent un triple avantage : elles sont simples, nettes et incontestables. Elles ne laissent que peu de place au relativisme et aux interprétations biaisées de la gauche universitaire.

    Une raison qui explique sans doute la quasi-absence de débats dans le monde de la recherche sur l’opportunité d’autoriser les statistiques ethniques (3), dans un univers penchant fortement à gauche de l’échiquier politique. Des chercheurs contre la libération des sources : voilà bien une position paradoxale, car tout scientifique devrait au contraire militer contre la censure des sources, cette matière première à partir de laquelle se façonne tout travail de recherche sérieux.

    Chiffrer le ressenti

    En autorisant les statistiques ethniques, nous aurions enfin les réponses aux questions les plus taboues et polémiques de notre société. Qui peuple nos prisons ? Quel est le profil des délinquants ? Qui sont les premières victimes des violences raciales ? Qui touche les aides sociales ? Sans oublier bien d’autres domaines de recherche tels que l’engorgement des urgences hospitalières et des tribunaux, les accidents de la route, le harcèlement de rue ou la violence à l’école. Les statistiques ethniques éclaireraient les vérités enfouies, elles révéleraient les évidences grâce à une nouvelle cartographie du réel. Elles transformeraient nombre de pressentiments en certitudes, nombre d’impressions en convictions.

    Mais à ce jour, la submersion migratoire dont nous éprouvons tous les jours les effets dévastateurs n’est pas précisément ni clairement chiffrée. En l’absence de chiffres autorisés, il sera toujours aisé pour les experts de gauche de nous taxer de biais cognitif, de relativiser notre ressenti et de disqualifier notre discours.

    Et s’ils avaient raison ? Et si la situation de notre pays était moins pire que ce que notre expérience personnelle nous laisse croire ? Tous nos constats sur l’immigration, la dissolution de notre identité ou le racisme anti-blanc ne seraient-ils pas en fait que les fruits d’une interprétation très subjective et pessimiste de la réalité ?

    Nous ne pouvons plus laisser la place au doute. Dissipons définitivement l’incertitude. Messieurs les experts pour qui la submersion migratoire n’existe pas, les Clément Viktorovitch ou les Hervé Le Bras, militez avec nous pour la légalisation de statistiques ethniques : prouvez-nous une bonne fois pour toutes que nous avons tort.

    Cyril Raul 08/08/2019

    (1) L’onomastique est l’étude des noms propres. Saluons ici l’avancée que constitue le travail de Jérôme Fourquet dans son ouvrage L’Archipel français (Seuil, 2019), dans lequel l’auteur a recours à l’onomastique pour déterminer le nombre de naissances d’enfants portant un prénom musulman chaque année en France.

    (2) On songe par exemple ici à Clément Viktorovitch, professeur de rhétorique à Sciences-Po Paris et passé maître dans l’art de l’enfumage chiffré, comme ici face à Charlotte d’Ornellas.

    (3) Citons néanmoins l’ouvrage de Michèle Tribalat, Statistiques ethniques, une querelle bien française, (L’Artilleur, 2016) qui avait tenté d’ouvrir le débat sur le sujet.

    Source : Les Identitaires.com

    https://www.polemia.com/statistiques-ethniques-prouvez-nous-avons-tort/

  • La mort des paysans, c’est la fin de la France

    Faut-il encore parler de “paysans” ? On les nomme souvent “agriculteurs”, “producteurs agricoles”, “chefs d’entreprises”. Productivité avant tout !
    Ainsi, les éleveurs ne seraient plus que des producteurs de viande. 
    Moi-même, quand je suis arrivé dans mon hameau, ce dernier était des plus bucoliques. 
    Maintenant, avec les énormes “stabu” qui ont poussé comme des champignons, j’ai l’impression de vivre dans une usine à viande.
    Les “agriculteurs” (donc) sont devenus, en fait, des citadins comme les autres. 
    Enfin, presque… 
    Car, souvent, il leur manque pas mal d’attraits qui caractérisent la vie en ville : les boutiques, l’agitation de la rue, la foule, les “loisirs” de sorties, les vacances… 
    Il est vrai que ces petits patrons travaillent tous les jours de l’année, et parfois jusque dans la nuit. 
    Et souvent, pour un revenu précaire, des dettes grandissantes, une précarité angoissante, des contrôles européens ubuesques – la contre-partie des primes et des prêts bancaires.
    En une génération, non seulement la réalité économique et sociale de la “paysannerie” a été bouleversée, mais les mentalités ont aussi changé, au point qu’il est difficile de distinguer, dans les goûts, un jeune paysan d’un jeune citadin. 
    Car la diffusion exponentielle de la “culture” “jeune”, via la radio, la télé, Internet, etc., a produit le même résultat qu’en ville : la disparition des traditions dites “folkloriques”, de la chanson française traditionnelle, au profit des “musiques” électroniques et de la sous-culture américaine. 
    Les fêtes, les célébrations (baptêmes, mariages, etc.) sont maintenant animées par des DJ, et ressemblent de plus en plus à des virées en boîte (hormis pour les Anciens, de plus en plus nombreux, qui optent pour des soirées “rétro” : les générations, ici comme ailleurs, ne se rencontrent plus). 
    Et ne parlons pas des familles éclatées et recomposées.
    L’abbé du village me faisait remarquer que cette région du Cantal était, dans les années 60, l’une des plus conservatrices, dans le domaine religieux, et les messes drainaient les foules, sans compter les diverses fêtes de saints et les pèlerinages locaux. 
    Maintenant, on a très peu de monde, sauf pour les enterrements.
    Quant à la cuisine, certes, on mange mieux à la campagne, et des mets plus authentiques et variés, ne serait-ce que parce qu’on y possède des jardins potagers et qu’on y pratique la chasse ou la cueillette. Mais la fourgonnette de plats cuisinés et congelés parcourt fréquemment les routes vicinales, les robots culinaires abondent, et les obèses y sont aussi nombreux qu’ailleurs.
    Après la guerre, la paysannerie a été sacrifiée sur l’autel de la modernité économique. 
    Mais c’est toute une civilisation qui a disparu, et, partant, la mémoire multi-millénaire de notre Nation. 
    L’Union européenne a été dominée par des pays libéraux. 
    Ces États n’ont jamais beaucoup aimé la France paysanne. 
    Pour les marchés mondiaux, du reste, et selon la logique de la division planétaire du travail, l’Europe (dont la France, en première ligne), n’a plus vocation à nourrir la population. 
    Les tonnes de viande américaine y suffiront.
    Nous assistons ainsi à la fin d’un univers, celui qui nous a légué une identité, à laquelle, nous, Français, sommes attachés comme par une artère vitale. 
    Claude Bourrinet

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/08/la-mort-des-paysans-cest-la-fin-de-la.html#more

  • 9 AOÛT 1945 : À NAGASAKI, LE DIABLE L’EMPORTE

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    Francis Goumain dans Jeune-Nation

    Et si la reddition du Japon avait été retardée pour pouvoir lancer les deux bombes atomiques ? Il est maintenant admis par tout le monde que la reddition du Japon n’était pas l’objectif des deux bombes lancées les 6 et 9 août dans ce qui restera une sorte de 69 atomique « américain ».

    Le Japon avait déjà proposé sa reddition à partir d’avril 1945, dans des termes très proches de ceux finalement retenus, la seule condition qu’ils avaient : qu’on ne touche pas à l’Empereur. Refusée par les Américains, alors que pourtant, par la suite, non seulement les Américains ne vont pas toucher à l’Empereur (en le faisant comparaître pour crime de guerre), mais qu’ils vont s’appuyer sur lui pour gérer l’après-guerre. Pourquoi alors avoir retardé la reddition ? Parce que les bombes n’étaient pas prêtes !

    Deux raisons ont été jusqu’ici avancées pour expliquer ces deux bombardements : marquer de façon spectaculaire l’ouverture de la période de domination américaine, et faire peur à Staline et à l’Armée rouge qui menaçaient de déferler sur le reste de l’Europe.

    En voici une troisième : et si ces deux bombes avaient eu pour but d'ouvrir « l’âge atomique », sous-entendu, de fermer l’ère chrétienne ? L’expression « âge atomique » est due au journaliste du New York Times William Laurence né Leib Wolf Siew, un Juif Lituanien, il était présent dans le bombardier au-dessus de Nagasaki.

    Trois éléments très antichrétiens, vérifiables par tout le monde, sont à relever :

    1 – Le premier essai de la bombe atomique de toute l’histoire de l’humanité a lieu le 16 juillet 1945 près de la ville de Socorro, le nom du test : « Trinity ». Quel blasphème ! La trinité, c’est le Père, le Fils et le Saint-Esprit, la circulation de la vie et de l’amour dans ce Trois qui est Un. Utiliser ce nom pour désigner une arme capable de détruire tout ce que Dieu a créé est évidemment une insulte, un crachat.

    Notons la date de l’essai, 16 juillet 1945, il n’était donc pas possible de lancer les vraies bombes avant ! Lancement des deux bombes, trois semaines après le test. La chronologie parle d’elle-même : qu’il aurait été dommage de recevoir la reddition du Japon en mai 1945 alors qu’on était si proche du but côté bombe atomique, n’est-ce pas ?

    2 – La bombe à destination de Nagasaki, « Fat Man » a été bénie par le chapelain de la base de départ du B-29, Tinian dans les Mariannes : détail sadique qui fait le délice de tous les francs-maçons.

    3 – Seules deux bombes atomiques ont été lancées « pour de vrai » dans toute l’histoire de l’humanité, l’une des deux tombe sur la seule ville catholique du Japon : Nagasaki. Elle ne tombe même pas sur le port militaire de Nagasaki, qui reste intact, mais sur la ville où se trouvent quasiment les seules cathédrales et églises de tout l’archipel.

    Erreur de tir ? Il y avait des nuages ? Mais est-ce qu’on s’imagine qu’il était prévu de lancer une bombe atomique au jugé ? Et le radar embarqué à bord du B-29, hors d’usage ?

    Résultat, 7 000 des 14 000 catholiques de Nagasaki tués sur le coup, mais aussi des prisonniers de guerre américains dont on savait qu’ils étaient retenus là.

    Ruines de la cathédrale Sainte-Marie d’Urakami de Nagasaki en 1945

    Voilà, si on le souhaite, on peut maintenant quitter le domaine des éléments vérifiables (qui se suffisent à eux-mêmes) pour consulter cette vidéo (voir ci-dessous). Elle comporte une dose de conspirationnisme que beaucoup refuseront d’ingurgiter, mais qui apporte des éléments très intéressants (dont beaucoup sont également vérifiables), comme elle est en anglais, voici la trame :

    Le projet de bombe atomique a dès le départ été infiltré et capté à son profit par une secte « the brotherhood of death » (la fraternité de la mort).

    Le 13 septembre 1942 se tient au siège de cette confrérie, le Bohemian Club, situé à San Francisco en Californie une conférence à laquelle participent de nombreux membres du comité S1, l’ancêtre du projet Manhattan, comme par exemple :

    Vannevar Bush, ingénieur (un personnage tout à fait remarquable d’ailleurs).

    Bernard Baruch, personnage proéminent de la secte à l’époque également membre du comité S1, conseiller de Franklin Delano Roosevelt dont le père, Simon Baruch est un Juif émigré d’Allemagne, et sa mère une juive sépharade. Eisenhower dira que ce qu’il avait de mieux dans sa vie pour la suite de sa carrière, c’était de faire la connaissance de Bernard Baruch.

    Henry Stimson autre membre d’une importance capitale pour le sujet, il est secrétaire à la guerre, l’idée de Nagasaki est de lui.

    Le général Leslie Richard Groves, responsable du projet Manhattan

    Le journaliste William Lawrence déjà cité, seul civil à assister au test puis à monter dans les avions pour Hiroshima et Nagasaki, désigné pour ces missions par le général Leslie Groves à la demande de Bernard Baruch.

    Harry Truman qu’on ne présente pas.

    Dès le départ, alors qu’il n’y a qu’une bombe de prête, Stimson annonce avoir en tête Nagasaki.

    Hiroshima est visée la première dans un but de camouflage, selon la théorie marketing de toujours être le premier dans sa catégorie, personne ne se souvient du deuxième.

    William Lawrence qui devait monter dans l’avion pour Hiroshima, arrive en retard exprès et manque le vol, sa mission pour Nagasaki est trop importante pour qu’on le risque sur Hiroshima.

    C’est en effet lui qui doit communiquer au dernier moment, dans l’avion en vol, l’ordre de viser la ville de Nagasaki au commandant de vol Charles Sweeney et à son armurier et viseur Frederick Ashworth (les deux n’étant pas dans la conspiration)

    Nagasaki n’aurait jamais dû être une cible, la ville surtout, n’avait aucun intérêt militaire et elle abritait un camp de prisonniers de guerre américains et Coréens ce que les Américains savaient. D’autre part, Nagasaki avait fait l’objet d’un bombardement conventionnel le 1er août, or, pour pouvoir étudier l’effet de l’arme atomique, il avait été décidé de ne pas faire de bombardement conventionnel sur les cibles potentielles des bombes atomiques.

    Le 9 août, l’avion se dirige vers Kokura, sa cible officiellement désignée, mais il s’en détourne parce qu’il y a des nuages : ce n’est pas vrai, ce jour-là, il faisait beau sur Kokura.

    C’est que William Lawrence a donné le véritable objectif, Nagasaki. Là, il y a des nuages. L’avion se dirige grâce à son radar, mais ensuite, pour larguer la bombe, il doit y avoir contact visuel, on ne lâche évidemment pas une bombe A au jugé. Et puis, après plusieurs passages, il y a un trou dans les nuages, et Ashworth (Ash = cendre, worth = valeur !) voit la cible, il dit « I got it », ce qu’il voit, c’est bien une ville, pas un port. Il lâche la bombe et l’équipage fait son rapport, objectif atteint à 500 yards près.

    Par la suite, les Américains aident à reconstruire les cathédrales, à condition que les ruines des anciennes ne soient pas préservées.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/09/9-aout-1945-a-nagasaki-le-diable-l-emporte-6169238.html#more

  • Pierre Hillard : révélations pour comprendre ce monde (Zoom)

    Le meilleur pour l’été ! Après l’Atlas du mondialisme, Pierre Hillard revenait en juin dans nos studios pour présenter son tome 2 intitulé « Archives du mondialisme » aux Editions Nouvelle Terre. Une somme impressionnante de documents rares pour expliquer les rivalités entre factions oligarchiques, toutes animées par un idéal commun : l’émergence d’une gouvernance et d’une monnaie mondiale, le tout en lien avec une spiritualité bien définie…

    https://www.tvlibertes.com/actus/pierre-hillard-revelations-pour-comprendre-ce-monde-zoom

  • Soros : “L’Occident doit tomber avant qu’un seul gouvernement mondial ne soit établi”

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    George Soros est un “philanthrope“ milliardaire qui est devenu connu comme l’homme qui a liquidé la Banque d’Angleterre lorsqu’il a gagné un bénéfice étonnant de 1 milliard de dollars en 1992 lors de la crise financière du célèbre vendredi noir. Ces jours, Soros est plutôt connu pour être politiquement actif dans l’élaboration et l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial.

    Ndlr : Son Open Society Institute est présente dans plus de 60 pays et dépense environ 600 millions de dollars par an pour tolérer les idées que George Soros veut promouvoir. Soros et ses organisations ont joué un rôle clé dans certaines révolutions dans le monde au cours des dernières décennies, mais l’objectif principal pour George Soros est aujourd’hui de mener à bien un changement politique mondial.

    Soros, le shelob du Nouvel Ordre Mondial

    Ndlr : Chaque fois que nous parlons de George Soros, nous sommes presque sûrs d’être traités de “complotiste paranoïaque“ ; C’est le meilleur moyen trouvé par les belles âmes de la conscience démocratique afin de discréditer quiconque essaie d’expliquer le rôle des élites technocratiques dans la création et la manipulation des crises internationales qui tournent le monde à l’envers.
    Soros discute de la création d’un Nouvel Ordre Mondial, il parle de la nécessité d’une baisse contrôlée du dollar américain et parle du besoin à long terme d’une monnaie mondiale. 
    Et la question qui subsiste est souvent celle-ci: “S’il y a vraiment un tel secret du gouvernement mondial, alors, où est-il, et dites-nous qui le dirige ?”

  • Une mère de famille condamnée : le problème du retour des djihadistes subsiste

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    On peut trouver la sanction trop forte ou trop faible, selon le point de vue qu’on adopte. Une femme de 37 ans, qui avait séjourné pendant neuf mois en Syrie avec ses enfants, âgés de 9, 7 et 5 ans, a été condamnée à sept ans de prison. Après l’attentat de Nice, elle avait rejoint les combattants djihadistes. Pour fuir son mari, un Italien converti à l’islam, violent et jaloux, selon son avocat. « Un départ préparé, dissimulé et pensé comme définitif », estime le tribunal. Jugez-en plutôt.

    Revenue en Turquie, puis expulsée en Italie et incarcérée en France en vertu d’un mandat d’arrêt, elle était en possession de documents officiels d’Ahrar al-Cham, un groupe terroriste salafiste. Sur son téléphone, on a trouvé des photos de propagande djihadiste, d’enfants morts et d’enfants soldats. Avant son départ, elle avait vidé les comptes bancaires de ses enfants et détruit son téléphone portable, ce qui accrédite la thèse de la préméditation. Apparemment, elle n’était pas partie faire du tourisme.

    Sa version est tout autre. Elle voulait rejoindre « un combattant » avec qui elle entretenait des relations sur Internet et qu’elle a épousé dès son arrivée sur le sol syrien. Un roman à l’eau de rose, en quelque sorte. Ce que plaide aussi son avocat : « C’est un homme qu’elle rejoint, pas une idéologie, pas un groupe », a-t-il déclaré, sa cliente n’étant coupable que d’« avoir mis ses enfants en danger ». Le tribunal a d’ailleurs accordé un euro de dommages et intérêts aux trois enfants, « traumatisés par ce long séjour en Syrie ». Pas cher payé.

    Qu’on estime le jugement trop sévère ou trop indulgent, force est de constater qu’il occulte de nombreux aspects du problème. La dépêche AFP ne dit rien de ce qu’il adviendra des enfants. Seront-ils confiés à l’ancien père ? Placés dans une famille d’accueil ? Soumis à un suivi médical et psychologique ? Plutôt que de se soucier du sort de leur mère, c’est au devenir de ses enfants, victimes du fanatisme, qu’il faudrait songer.

    On peut regretter, aussi, l’absence de réaction des autorités publiques. Si la peine, assortie d’une période de sûreté des deux tiers, est supérieure aux réquisitions du parquet, qui avait demandé six ans, que deviendra la détenue à sa sortie de prison ? De nationalité italo-marocaine, restera-t-elle en France ? Lui remettra-t-on ses enfants ? Continuera-t-elle d’être d’être surveillée et contrôlée ? On entrevoit, à partir de ce cas particulier, les problèmes posés par le retour, en France, de familles de djihadistes.

    Il faut dénoncer, également, l’hypocrisie d’une politique qui combat officiellement le terrorisme islamique mais entretient des relations amicales avec des pays dont chacun sait qu’ils ont soutenu ou soutiennent, directement ou indirectement, des mouvements terroristes. Ce n’est pas demain la veille ! En attendant, nos dirigeants se contentent de réagir au jour le jour, en fonction des circonstances. Ou de faire semblant d’agir. Ils ne gouvernent pas, ils bricolent.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/une-mere-de-famille-condamnee-le-probleme-du-retour-des-jihadistes-subsiste/