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  • Maxime : à la rencontre de Solidarité pour tous

    Aujourd’hui à 18h30 a lieu à Paris un rassemblement à Paris en soutien aux victimes de la répression socialiste lors des manifestations contre la loi Taubira. Novopress a rencontré à cette occasion Anne-Laure Blanc (photo), présidente de l’association Solidarité pour tous qui apporte un soutien matériel à ces victimes, dont dernièrement Maxime G., le jeune frigoriste condamné à 6 mois ferme.

    L’association Solidarité pour tous a été créée l’an dernier lors des manifestations contre la loi Taubira. Quel est son but, quels sont ses moyens d’actions ? Et comment est-il possible de la soutenir ?

    Le but de Solidarité Pour Tous est de soutenir les militants qui demandent son aide et qui contestent la loi Taubira autorisant le mariage entre personnes de même sexe et plus largement ceux qui s’opposent au gouvernement de François Hollande. En effet, nombre d’entre eux ont été inquiétés par la police ou poursuivis devant la justice pour des motifs uniquement ou principalement politiques. Solidarité Pour Tous est là pour les aider, pour qu’ils ne se retrouvent pas seuls face à la machine judiciaire et aux frais importants qu’elle entraîne, notamment pour les plus jeunes ou les plus modestes des militants.

    A ce jour, nous sommes déjà venus en aide à 86 militants, ce qui représente une somme totale de 104.870,05 € qui a servi principalement à régler les honoraires des avocats et les frais de justice. Nous apportons également une aide sociale aux militants les plus démunis, qui se retrouvent en grande difficulté.

    Solidarité Pour Tous a notamment soutenu Nicolas Bernard-Buss, les 19 jeunes gens qui avaient déployé une banderole sur le siège du Parti socialiste, les Hommen de Roland-Garros, les deux militants ayant installé une banderole « Hollande Démission » sur la place du Trocadéro ou encore Thibault, ce jeune homme brutalisé par la police lors du Jour de colère du 26 janvier au point d’avoir le bras cassé.

    Nous avons à ce jour 2.539 donateurs. Mais c’est nettement insuffisant tant la répression s’intensifie. Afin de nous permettre de continuer à soutenir les militants poursuivis injustement par une justice politique aux ordres des socialistes, nous avons besoin de l’aide de chacun. Nous collectons aussi les photos de chaque manifestation ou action de contestation, ainsi que des témoignages. Nous sommes également à la recherche de fonds que vous pouvez adresser à Solidarité Pour Tous, 54 rue Saint-Lambert 75015 Paris (nous délivrons des reçus fiscaux).
    Vous soutenez activement Maxime G, ce jeune frigoriste opposant à la loi Taubira, qui vient d’être lourdement condamné. Pouvez-vous revenir sur les faits et indiquer comment aider Maxime ?

    Le 23 avril dernier, le soir du vote de la loi Taubira à l’Assemblée nationale, Maxime participe à une manifestation spontanée dans les rues de Lyon. Comme souvent, les journalistes sont invectivés par la foule. La police s’interpose entre les journalistes et les manifestants dans une certaine confusion. Maxime est accusé de rébellion, – chef d’accusation fourre-tout utilisé de manière quasi-systématique -, et d’avoir frappé deux policiers, Valéry Pastor et Abdelkader Tahir, alors qu’ils ont obtenu … zéro jour d’ITT ! Maxime est également accusé d’avoir molesté une journaliste, ce qui lui a valu 6 jours d’ITT. Le problème est que ladite journaliste n’a jamais réussi à reconnaître Maxime lors des confrontations. Faut-il préciser que Maxime nie farouchement avoir commis ces infractions ? En effet, SPT n’apporte son aide qu’aux opposants poursuivis pour leur opposition, non pour aider des personnes qui commettraient des infractions délibérées décrédibilisant le mouvement. En réalité, toute la procédure repose sur les accusations des policiers.

    En première instance, Maxime est condamné à 18 mois de prison avec sursis, à une privation de ses droits civiques et familiaux pour 3 ans et à verser des dommages et intérêts. Malgré la lourdeur de la condamnation, le procureur de la République fait appel de la sentence.

    En appel, la cour alourdit encore le verdict en ajoutant 6 mois de prison ferme à la condamnation à 18 mois, assortis d’une interdiction de manifestation et de stade de 3 ans. La cour d’appel de Lyon justifie cette sévérité par le « contexte particulier », c’est-à-dire une manifestation « contre le principe de la loi dite du mariage pour tous qui vient d’être adoptée par la représentation nationale ». Il apparaît clairement qu’il s’agit là d’un véritable procès politique visant à décourager les opposants à la politique de François Hollande.

    Une précision qui a son importance: l’une des trois juges d’appel, Emmanuelle Cimamonti, est l’épouse de Marc Cimamonti, procureur de la République à Lyon, qui avait lui-même interjeté appel après le procès en première instance…

    Devant les multiples illégalités de cet arrêt, Maxime a déposé un pourvoi en cassation financé par Solidarité pour tous.

    Mardi 18 mars aura lieu à Paris un rassemblement en faveur des victimes de la répression lors des manifestations contre la loi Taubira. Quel est le but de ce rassemblement ?

    Ce rassemblement est organisé conjointement par le CARP (Collectif des avocats contre la répression policière) et Solidarité Pour Tous. Il s’agit de montrer notre attachement aux libertés publiques qui sont gravement attaquées par ce gouvernement. Il s’agit également de manifester notre soutien aux nombreux militants qui ont été victimes récemment des abus policiers ou judiciaires : Maxime, bien sûr, dont nous venons de parler ; mais aussi Anna, étudiante russe persécutée par la police pour l’obliger à espionner la Manif pour Tous ; Guillaume, le directeur de la publication du Salon Beige mis en examen pour avoir publié un photomontage critiquant la répression policière en 2013 ; Hervil, poursuivi pour avoir déployé une banderole « Hollande Démission » sur l’esplanade du Trocadéro ; ou encore trois manifestants, arrêtés le 26 mai 2013, qui viennent de se voir mis en examen près d’un an après leur participation à la manifestation du 26 mai 2013 aux Invalides.

    Pour leur manifester notre soutien, soyons nombreux mardi 18 mars à 19 h 30 place du Trocadéro.

    http://fr.novopress.info/159882/maxime-a-la-rencontre-de-solidarite-pour-tous/

  • [COLONNES INFERNALES] de la semaine du 10 au 16 III 2014

    Chers lecteurs,

    Voici votre billet de réinformation hebdomadaire. N’oubliez pas d’écouter les bulletins audios Radio Courtoisie.

    1. L’invasion des écolos-bobos dans le centre-Bretagne

    Caniveau89 a un rêve écolo-bobo : le village de Trémargat dans le centre-Bretagne. Pourquoi donc la ruralité (un « trou perdu » selon le « journaliste ») la plus reculée intéresse-t-elle les germano-pratins ? Précisément parce que dans cette bourgade, on en retrouve l’esprit.

    Trémargat, dans les années 1980, c’est l’histoire classique et habituelle de ces villages du centre-Bretagne qui connaissent l’exode. Cette terre assez pauvre se dépeuple. Mais à Trémargat, une bande de soixante-huitards écologistes débarque en nombre. Leur objectif est clairement affiché par le journaliste. Expulser ou noyer les familles qui vivent dans ce village depuis des générations, en racheter les fermes et occuper le conseil municipal. C’est chose faite en 1995. L’expérience collectiviste peut alors commencer. [...]

    La suite sur Le Rouge & Le Noir

  • Face à leurs échecs, les gays recherchent une autre stratégie

    Nous subissons actuellement une véritable « déferlante » gay encouragée tant par la gauche que par la « droite ». S’agit-il d’un mouvement mondial irréversible qui va balayer la planète avec l’encouragement notamment d’Obama ?

    Il faut d’abord voir que la propagande internationale en faveur de l’homosexualité a le don de réveiller un certain nombre de pays dont ce n’était guère la préoccupation. Résultat, ils ont durci les sanctions contre les sodomites. Deux exemples parmi les Etats les plus peuplés du monde : le Nigéria et les Indes. Quant à l’Ouganda, un ignoble chantage est exercé contre lui : le retrait de l’aide internationale (Suède, Danemark, Banque mondiale). Mais en pratique, environ 80 Etats ont pénalisé la sodomie et les relations sexuelles entre personnes de même sexe. Ceci reste souvent une menace assez théorique. Cependant, il y a plus inquiétant pour le gang international LGBT : c’est la limitation de ses activités militantes. De quoi s’agit-il ?

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  • Transports publics en Île-de-France : la grande incurie !

    Du fait de l’exode de nombreux Français de souche hors des banlieues de l’immigration, c’est la grande périphérie qui s’est urbanisée le plus.
    La circulation alternée a offert, lundi 17 mars, de belles galères aux Franciliens : comme il fallait s’y attendre, les lignes de RER, C et D notamment, ont frisé la thrombose et les incidents (habituels) se sont multipliés. Pour une raison simple : les transports publics en Île-de-France n’ont pas été adaptés au développement de l’agglomération.
    En trente ans, la population de l’Île-de-France est passée de 10 à 12 millions d’habitants (notamment du fait d’une immigration massive). Et du fait de l’exode de nombreux Français de souche hors des banlieues de l’immigration, c’est la grande périphérie qui s’est urbanisée le plus. Tels sont les faits.
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  • Moby Dick, version LGBT, à Versailles pour des enfants de 8 ans

    Alerte de Vigi-gender :

    "Moby Dick, d’après le roman de Herman Melville, est actuellement présenté dans une adaptation théâtrale dans plusieurs villes des Yvelines. [Versailles]

    Cette pièce de théâtre est présentée également dans un cadre scolaire, pour des enfants à partir de 8 ans. Nous invitons les parents à la vigilance si cette pièce est proposée dans le cadre scolaire. Nous avons assisté à la pièce et relevé les faits suivants :

    La scène du « lit partagé » met en scène fidèlement le passage correspondant du roman de Melville (chap.3 et 4 « L’auberge du jet de la baleine » et « La courtepointe »). Toutefois, ce passage se termine par un baisersur la boucheentre deux hommes, qui ne figure pas dans le roman.

    Une réplique insolite, absente du roman, intervient au milieu de la pièce après la guérison du sauvage Queequeg. Celui-ci dit à Ishmaël : « Quand j’étais abattu, presque mort, tu as parlé même langue que moi. Maintenant, je suis vivant, presque joyeux, je parle comme toi. Faire l’amour pour dire merci ».  Cette phrase est totalement isolée. La pièce « reprend son cours ».

    Dans le dossier pédagogique :

    A la page 12 : « Imaginez le costume d’un sauvage »

    L’exercice demandé aux élèves fait référence au passage où Ishmaël (un homme) et le sauvage Queequeg se marient.

    A la page 13 et 14 : « Le mariage d’Ishmaël »

    Les élèves sont amenés à rejouer cette partie de la pièce.

    A la page 33 : question « Queequeg épouse Ishmaël. Sont-ils homosexuels selon vous ? »

    Réponse de l’acteur : « La question de l’homosexualité se pose et il y a quelque chose de cet ordre entre eux. Mais nous avons pris le parti de ne pas clarifier le côté sexuel de leur relation, de rester dans un jeu enfantin : on est copains, on se marie. »"

    Michel Janva