Avertissement: il ne faudrait pas que le lecteur vienne à considérer qu'il s'agit ici d'un éditorial à caractère théorique, détaché de la récente actualité: bien au contraire, cet article vise à faire lumière sur ce qui est occulté, suite à la mise en exergue par le Système de problèmes qui ne sont que conséquences, et en tant que tels, mineurs
A l'évidence, nous sommes entrés dans la troisième phase de l'histoire de France. Après l'ancien régime qui se caractérisa par le pouvoir exercé par la seconde caste, celle des guerriers (les nobles (1)), aidée par la première (les théologiens), vint la seconde à partir de la Révolution française. Le pouvoir échut alors au Peuple dans sa globalité et ce fut donc la fin du régime des castes, la troisième d'entre elles englobant l'ensemble. Il y avait - j'ose utiliser le terme – une certaine « noblesse » dans l'idée de République : le fait de l'autogestion du Peuple, participant à l'élaboration des lois, participant de manière active à la vie de la Cité, avant tout soucieux de l'intérêt général. Or, cette seconde phase est révolue. Nous avons assisté depuis environ quatre ou cinq décennies à l'émergence d'un processus d'involution que les sociologues aiment à qualifier du terme de « postmodernité » qui est une véritable révolution, malgré l'apparence du velours, ce qui m'apparaît comme la période la plus tragique de l'histoire de France. C'est ainsi qu'il faut ranger le siècle précédent, non parmi un passé récent, mais plutôt parmi un millénaire révolu, avec lequel nous n'avons plus d'attaches :
Dans les faits, après la démocratie, l'ochlocratie.
D'un point de vue sociologique, la troisième caste, comportait une strate que l'on considérait durant la période médiévale comme la plus basse : celle de la bourgeoisie, à l'époque itinérante, simplement préoccupée par la quête d'argent. Que n'est-elle restée nomade … La grande catastrophe fut justement sa sédentarisation qui à long terme (1789), finit par lui apporter le pouvoir. L'idée d'ordre ne fut pas pour elle ce qu'elle fut pour la noblesse : c'est ainsi qu'au XIX ème siècle, si la bourgeoisie fut catholique pratiquante, elle n'en fut pas moins tout autant voltairienne, une fois la comédie de sa participation à la messe, close. Par ordre, elle entendait avant tout, son ordre, à savoir l'ordre bourgeois.
Je sais qu'aujourd'hui, la diffusion des idées, passe – hélas – davantage par la télévision, internet ou le cinéma que par la littérature. Par l'intermédiaire du cinéma justement, beaucoup de Français découvrirent Emile Zola, en raison du grand succès obtenu par le film de Claude Berri intitulé « Germinal ». Ce qu'il faut savoir au sujet du naturalisme, courant littéraire auquel appartenait Emile Zola, c'est que ses écrivains souhaitaient dépeindre la réalité, de façon aussi objective que possible. Emile Zola était, par exemple, un habitué des hôpitaux, visitant les malades atteints de différentes pathologies, prenant scrupuleusement des notes, de manière à les utiliser dans la cadre de la rédaction de ses ouvrages. On ne s'étonnera donc pas si le delirium tremens dépeint dans l'Assommoir (3) soit aussi précis. A bien des égards, l'invention de la photographie, et à fortiori celle de la caméra, marqua la fin du naturalisme : l'écrivain naturaliste, malgré toute sa valeur, ne pouvait décrire aussi bien à l'aide de mots, ce que photographie et caméra faisaient. D'où peut être, l'une des raisons de l'apparition du symbolisme, même s'il en est bien sur d'autres.
En regardant le film Germinal, où Claude Berri a essayé de rendre à l 'écran, la justesse des description d'Emile Zola, les Français ont pu constater ce qu'était la condition ouvrière dans la seconde partie du XIX ème siècle. Ils ne manquent pas de mauvaise foi, ceux qui fustigèrent et fustige encore « le noir moyen-âge ». D'une part parce que c'est faux ainsi que l'ont montré les travaux universitaires (4) (5), d'autre part parce qu'il n'est pas nécessaire de remonter aussi loin dans notre histoire pour, avec la plus grande horreur, constater le traitement qu'un modèle sociétal peut imposer à toute une partie de ses membres. Marx ne se trompait guère en estimant que « la tutelle du bourgeois était autrement plus lourde que celle du noble ». Et les lectures universitaires m'incitent, sans à priori, à penser que les paysans français vivaient mieux au XVIII ème siècle, que les mineurs dans la seconde partie du siècle suivant.
On évoque, surtout dans la mouvance d'ailleurs, la centaine de millions de morts imputable au communisme. C'est peut être d'ailleurs davantage. Même si je risque de choquer le lecteur, rien ne prouve – c'est un scientifique de formation initiale qui s'exprime – que le communisme doit être considéré d'un point de vue pratique, comme nécessairement mortifère, même si en terme idéologique, je le considère comme « intrinsèquement pervers » (6). C'est presque toujours en effet la même variante, en l'occurrence ce que l'on appelle le marxisme-léninisme, qui a été appliqué. Celui là même, qui par nature, est antidémocratique. Rien ne prouve – le verbe est important et doit être considéré au sens où l'entendent les scientifiques – qu'il ne puisse exister une forme de communisme respectueux de la dignité humaine. Ainsi par exemple, même si de façon générale, bien évidemment, je me situe à l'autre extrémité du segment politique, la voie conseilliste (7).
L'erreur serait de considérer que le communisme serait apparu par le biais du principe de la génération spontanée : il ne fut dans les faits qu'une réaction – saine à l'origine – aux excès du capitalisme qui commit les offenses à la dignité humaine que l'on sait. Ainsi le nombre anormalement élevé d'heures de travail hebdomadaire imposés alors que durant l'ancien régime, la célébration des fêtes religieuses en nombre assez important, rendait ces jours là fériés. Ainsi le travail infantile ou féminin dans les galeries du souterraines. En ce sens, le communisme n'est pas qu'une simple conséquence du capitalisme mais il en est plutôt une émanation. C'est la raison pour laquelle, une partie des cent millions de morts du communisme, sont à mettre sur le compte du capitalisme.
Après des études scientifiques, je finis par entreprendre, vieux rêve, des études en philosophie. J'y ai par exemple appris - je ne fais pas référence à la politique – que la Vérité ne se situe que très rarement aux extrêmes. Et bien évidemment, ce serait par trop simple, si elle se trouvait nécessairement sise à la demi-somme des extrêmes. La difficulté consiste donc, à savoir où placer le curseur. Il est très probable que l'ouvrage d'Arthur Koestler le plus célèbre, soit celui intitulé « Le zéro et l'infini » (8). Par l'intermédiaire de ce titre, l'auteur souhaitait montrer que la réalité du communisme soviétique se traduisait par l'homme réduit au rand de zéro, oppressé par un Etat devenu infini. Puisque la Vérité ne se situe pas aux extrêmes, il n'est pas bien difficile de comprendre qu'un modèle sociétal, où l'individu deviendrait l'infini et où l'Etat serait réduit à rien, serait tout autant condamnable.
D'une certaine façon, c'est la voie que l'occident, l'Europe, et très malheureusement la France, se sont choisi. Nous assistons, même si dans quelques lignes, j'apporterai la nécessaire nuance, à la disparition de l'Etat. Cela ne signifie pas, loin de là, que le rêve des anarchistes est en train de se concrétiser. Les gouvernements français successifs, tout comme leurs homologues, ont choisi de faire primer l'économie sur la politique. Leur choix est économiquement celui d'une politique économique privilégiant l'offre. C'est là très exactement de la pensée capitaliste pur sucre. Il s'agit donc, au motif de privilégier les très grandes entreprises, notamment les multinationales, de faire reculer l'Etat. Plus exactement, souhaitant rendre concurrentielles « nos » multinationales, de moins les imposer. Fort logiquement, cela ne peut que se traduire que par une baisse des revenus de l'Etat : d'où son effacement progressif.
Quant à la nuance que je souhaitais émettre au sujet de la disparition de l'Etat, elle a trait aux libertés qui, elles, sont en grand recul depuis au moins un quart de siècle (9).
On ne s'étonnera donc pas qu'une peine de prison sur deux prononcée par les tribunaux en France, ne soit pas effectuée. L'incarcération coûte, et dans le cadre d'une course entre les différents pays pour diminuer le plus possible, le budget de l'Etat, on préfère maintenir donc les délinquants en liberté : d'une certaine façon, ce sont les Français qui, de manière non financière d'ailleurs, payent l'addition. Aussi, délinquance et criminalité, tout comme zones de non-droit, prolifèrent en partie, parce qu'il manque de policiers comme de gendarmes. Là encore, parce que cela coûte. Si délinquance et criminalité peuvent être combattues en aval (la répression), elles peuvent l'être aussi en amont (la prévention). Cela supposerait le recrutement d'éducateurs de rues chargés de pallier la déficience éducative de certains parents. Mais ce recrutement, là encore, viendrait peser sur le budget de l'Etat. Nous pouvons aussi prendre en considération le fait « immigration » qui préoccupe de plus en plus de Français. Il faudrait être naïf ou de mauvaise foi pour considérer que les personnes arrivées en masse en France depuis environ cinq décennies, sont venues apporter généreusement leur contribution à la construction de la France, ce par amour : ce qui a fait venir ou fait venir les uns et les autres, c'est justement la perspective financière. A quoi bon travailler au Maghreb, sachant que l'on touchera plus au motif des allocations perçues en France, cela sans travailler ? Et ce serait une erreur de considérer que les gouvernements successifs ont distribué allocations de toute sorte par pur humanisme ou de façon inconsidérée : ils savent très bien que l'argent octroyé sera réinvesti dans l'économie : donc retour sur investissement. La politique d'immigration de masse pratiquée depuis un demi siècle n'a pour seul objet que l'argent. Même le travail féminin, que l'on a délibérément et à tort vanté comme émancipation, n'a été que la volonté de satisfaire les exigences du patronat, ce avec les conséquences sociologiques et psychologiques que l'on sait. Derrière l 'excuse flatteuse mais infondée d'un monde « United colors of Benetton » se profile une réalité bien plus prosaïque : dans un premier temps (les années soixante) une volonté d'augmenter les recettes des grandes entreprises et industries puis, une fois l'apparition du chômage de masse, la volonté de stimuler l'économie de manière artificielle.
On ne me fera pas croire que Valéry Giscard d'Estaing, polytechnicien de formation, lorsqu'il exerça son mandat national, était suffisamment stupide pour croire que la France pouvait gagner la bataille économique, confrontée qu'elle allait être de par le choix qu'il avait fait (la libre concurrence à l'échelle mondiale), face à des pays où les travailleurs sont aussi peu payés. L'auvergnat - à l'évidence pas celui de Georges Brassens - savait très bien ce qu'allaient être les conséquences pour des millions de Français, mais aussi d'Européens. Ces successeurs, la parenthèse (1981/1982) étant à exclure, firent le même choix. Voilà pourquoi la France aujourd'hui compte, toutes catégories confondues, 9 millions de chômeurs. S'il faut certes les financer, ce n'est nullement aux yeux des gouvernements, perte : là encore, ils savent que l'argent distribué, sera réinvesti dans l 'économie. Voilà pourquoi la France, mais aussi les autres pays européens, ont perdu sidérurgie, mine, chantier naval, construction automobile, électroménager, ameublement, textile … La bourgeoisie revient donc à ses origines (les « pieds poudreux » comme on appelait les bourgeois durant la période médiévale parce qu'ils se déplaçaient en permanence pour vendre). Elle n'est plus aujourd'hui membre du corps social français, préférant comme naguère se préoccuper de son seul confort, aux dépens de l'ensemble de la communauté nationale.
Sachant tout cela, on comprendra ma plus grande réserve quant à la focalisation haineuse à l'encontre des personnes issues de l'immigration récente, conséquence des méfaits commis par le Mouloud du coin de la rue. Quand bien même agresseur, il est victime lui aussi du Système. Ainsi que me le faisait remarquer un étudiant tunisien (10) venu passer plusieurs années en France afin d'y effectuer ses études au milieu des années quatre vingt: « Tu ne crois pas que pour faire des travaux à faible compétence, le gouvernement tunisien allait vous envoyer nos élites ? ». Et le plus souvent en effet, l'immigration en France, est celle de personnalités intellectuellement pauvres. Peu armés donc, c'est délibérément que les gouvernements les ont faits se confronter à une géographie physique différente, à une religion différente, à une langue différente, à un même un alphabet différent, à un paysage ethnique différent, à un climat différent, à des coutumes différentes, à un habitat différent …
Et certains, encore aujourd'hui, de s'étonner des problèmes d'intégration, des poussées communautaristes, des conséquences néfastes de l'immigration. Encore une fois, on ne me fera pas croire qu'au plus au sommet de l'Etat, avant hier, hier, aujourd'hui, on ne sait ou ne savait pas. Ce n'est nullement d'une erreur dont il s'agit mais bien d'une faute. Par là, je souhaite signifier qu'il y a intentionnalité. C'est délibérément que l'on a fait se confronter les Français à des problèmes qui, s'ils ne sont pas solutionnés au plus vite désormais, seront mortels pour notre Patrie. Trop de voyants dans des domaines pourtant majeurs, se sont progressivement mis au rouge depuis quelques années, pour que nous ne réagissions pas dans les plus brefs délais.
En ce sens, la notion de Français de souche continue de me faire sourire : comme si Pompidou ou Giscard n'était pas de souche … Comme si, au simple motif que ses ascendants depuis fort longtemps sont français, cela empêcherait tel ou tel Français de trahir la France. Comme si cela n'était pas, et ce depuis des siècles, déjà arrivé. Réciproquement, qu'empêche « cet étranger devenu fils de France, non par le sang reçu, mais par le sang versé », d'exister ? La Légion, par exemple, n'est-elle pas, par définition, étrangère ?
Si j'ai pris note de l'existence du mot d'ordre « Hollande n'est pas mon président , et ce depuis longtemps, je n'ai jamais considéré que Nicolas Sarkozy le fut. Dans les deux cas, je ne les estime pas français. Ni même européens d'ailleurs. Dans les deux cas, je les jauge métèques, agissant volontairement, contre les intérêts de la France et des Français. L'un et l'autre oeuvrant pour des intérêts mondialistes qui vont à l'encontre de la France comme des Français, ce que nous pouvons constater au quotidien. Les deux hommes ont pour particularité, ce par opposition avec les Anciens, d'avoir au plus tôt effectué des études afin de faire de la politique leur métier. En quoi l'Ena (l'administration, c'est à dire « la strasse » en argot militaire ) peut elle faire rêver les Français à un Destin , digne de leur Histoire ? En quoi le fait de passer des études à apprendre par cœur des milliers de petites fiches peut-il permettre d'accéder au rang « d'homme aux milieu des ruines. » (11) ? A contrario, le général de Gaulle était Saint-cyrien de formation et avait la plume facile. Il fut l'un des seuls colonels à avoir compris dès avant la seconde guerre mondiale que les chars se devaient d'être utilisés en masse. Quant à François Mitterrand, lui aussi bon écrivain, on sait l'immensité de sa culture et notamment son rapport privilégié à la littérature française. Si évidemment, je ne suis ni mitterrandiste ni gaulliste, il n'en reste pas moins que Hollande et Sarkozy, par rapport à eux, font pâle figure : cette involution traduit bien la chute, celle qui n'est autre que l'arrivée au pouvoir d'une bourgeoisie cosmopolite, préoccupée uniquement par le fait « argent ». Le général de Gaulle ne se trompait pas en rejetant capitalisme et communisme. Pas plus que François Mitterrand ne s'est trompé – on lui a d'ailleurs reproché – lorsqu'il ne voulut voir dans la réunification allemande, que des aspects positifs : on constate aujourd'hui qu'il fut lucide.
En conséquence, je persiste à penser qu'être Français, cela se mérite bien davantage que cela ne s'hérite.
Peut être aussi faut-il avoir un certain âge afin de mieux constater la mue qui frappe notre pays. Avoir connu, ne serait-ce que la phase de transition, durant laquelle l'économie n'avait pas autant de place. Avoir par exemple disposé d'internet voici déjà une quinzaine d'années et voir l'involution jusqu'à aujourd'hui constitue à ce titre. Avoir connu la période où l'argent était davantage considéré comme moyen que comme finalité. Un fait m'apparaît aujourd'hui presque certain, c'est que l'occident, qui avait naguère ses lettres de noblesse, s'est fourvoyé en privilégiant l'économie, se trouvant aujourd'hui à bout de souffle. Et ce n'est pas l'impérialisme (Irak, Afghanistan, Syrie) qui d'ailleurs fut un échec, forme de fuite en avant, qui a pu améliorer le destin du monde dans lequel nous vivons. Aujourd'hui, un emploi sur quatre aux Etats-unis, est menacé par la délocalisation. C'est encore une des conséquences de la libre concurrence, donc du fait argent. « Le grand Frère » (12)est à bout de souffle et si le dollar n'avait pas le statut privilégié qui est le sien, cela ferait longtemps que l'empire state building, sans les attentats, se fut effondré.
Pendant ce temps, l'Asie monte en puissance. Le gouvernement chinois achète de l'or en masse, ce à une cadence telle qu'en 2017, la Chine sera le premier possesseur d'or au monde. Et le gouvernement chinois de considérer que bientôt, chaque foyer chinois devra disposer d'une voiture : on imagine les répercussions sur le prix de l'essence à la pompe … Loin de moi l'idée de célébrer Hegel (13) mais le philosophe allemand sur au moins un point ne s'est peut être pas trompé : les peuples se développent jusqu'à atteindre le sommet puis régressent. C'est politiquement et historiquement ma plus grande frayeur. Après tout, La Grèce ou la Rome antiques furent ce que l'on sait. Qui se préoccupe aujourd'hui des prises de position de l'Italie ou de la Grèce ? Les Pays Bas, à l'époque appelés Provinces unies, ou le Portugal, furent des puissances majeures au XVII ème siècle. Même constat. Si l'Europe fut la reine du monde durant un demi-millénaire, les Etats-unis, même si ce n'en a été qu'une caricature, en était bien une de ses émanations. Et demain ?
Il n'est peut être pas trop tard. Mais il va falloir faire très vite.
Alain Rebours http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EFAulyyAuElYRnuwot.shtml
notes
(1) Karl Ferdinand Werner, Naissance de la noblesse, 1998.
(2) Germinal, Claude Berri, 1993.
(3) Emile Zola, L'assommoir, 1878.
(4) Régine Pernoud, Pour en finir avec le Moyen-âge, 1979.
(5) Jacques Heers, Le moyen-âge une imposture, 2008.
(6) Divini Redemptoris - Encyclique du pape Pie XI, 1937.
(7) Anton Pannekoek, Les conseils ouvriers, 1936.
(8) Arthur Koestler, Le Zéro et l'Infini, 1941.
(9) «La surveillance est massive et généralisée» : http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EFAulFVkuVVrwipqRA.shtml
La démocratie en Occident: une espèce en voie de disparition ?
http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EFAuZZVkFyeHthICFv.shtml
La mouvance et les libertés: la nouvelle donne …
http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EFAklElFlyuNWdJCFB.shtml
O Liberté, que de crimes commis en ton nom !
http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EFZpFEkFEZRwSvpdcf.shtml
(10) « Lotfi » en l'occurrence
(11) Julius Evola, Les hommes au milieu des ruines, 1953.
(12) Ironie bien sur : Hélène Carrere d'Encausse, Le Grand Frère, 1983.
(13) Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770,1831). Considéré comme « le plus métaphysicien de tous les penseurs ».