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  • Vers l’abrogation de la liberticide loi Fabius-Gayssot ? Deux QPC validées

    Lors de deux procès distincts, le directeur de Rivarol Jérôme Bourbon et l’historien Robert Faurisson et leurs avocats avaient posé deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC), dénonçant l’inconstitutionnalité de la loi dite Fabius-Gayssot interdisant la recherche historique sur la Seconde Guerre mondiale et criminalisant la contestation de la prétendue “Shoah”.

    Plusieurs QPC relatives à cette loi avaient été posées par le passé. Aucun n’avait été validée par un tribunal. Ces deux dernières QPC viennent de passer ce premier cap : le tribunal les a validées et elles ont été transmises hier à la Cour de cassation. Cette dernière doit maintenant l’examiner et, le cas échéant, la transmettre au Conseil constitutionnel qui devra se prononcer sur la constitutionnalité de la loi. 

    Entre autres personnalités, l’ancien ministre de la Justice Robert Badinter, lui-même juif et membre du PS, avait déclaré, en 2010 :

    « Le Parlement n’a pas à dire l’histoire. Le parlement fait l’histoire, il n’a pas à la dire, ni à la fixer. Les lois mémorielles, que j’appelle des lois compassionnelles, qui sont faites pour panser des blessures, apaiser des douleurs – et je comprends ça parfaitement – mais elles n’ont pas leur place dans l’arsenal législatif. La loi est une norme. La loi a pour fonction de réglementer une société de prévoir son avenir. Elle n’a pas à prendre parti dans une querelle historique ou tout simplement à affirmer un fait historique même indiscutable. J’ajoute, il faut bien le prendre en compte : la Constitution ne le permet pas. Je le dis clairement, elle ne le permet pas […].
    Rien ne permet au regard de la constitution au législateur de s’ériger en tribunal de l’histoire. Rien. »

    Pour voir la suite et la video

  • Retour sur la 2e édition du Jour de Colère

    Un deuxième Jour de Colère était organisé en France hier et ce dimanche. Après le succès parisien de la première édition, les organisateurs avaient fait le pari de plusieurs défilés en province. Après quelques modifications, huit défilés ont eu lieu à Lille, Caen, Nantes, Dijon, Lyon, Bordeaux, Toulouse et Montpellier samedi et dimanche. Le bilan est très mitigé ; la seule mobilisation vraiment remarquable a été celle de Lyon. Si les nationalistes (plusieurs groupes tels que Lyon nationaliste, Var nationaliste, Toulouse nationaliste, Alsace nationaliste, etc. se sont joints aux  différents défilés) ont joué le jeu de la colère partagée, comme certains mouvement politiques (Parti de la France) et catholiques, cela n’a pas été le cas de nombreuses organisations. …

      http://jeune-nation.com/

  • OTAN GO HOME !

    COMMUNIQUÉ DU RÉSEAU IDENTITÉS.

    En 1991 l‘Union Soviétique s’effondrait et avec elle la menace militaire qu’elle représentait. En effet, immédiatement, la Russie nouvelle sabordait le Traité de Varsovie: dès lors l’OTAN n’avait plus de raisons d’être. Mais au lieu de jouer le jeu de la réciprocité, les U.S.A. poussaient leurs pions un peu plus profond en Europe. Ce furent les épisodes du démembrement de la Yougoslavie et de la Serbie, puis des “révolutions oranges” téléguidées depuis Washington.  Aujourd’hui, Russie et « Occident » sont à nouveau face à face à l’occasion de la crise Ukrainienne.

    Souvenons-nous de ces mains tendues… Gorbatchev et sa « Maison commune », Poutine et sa « Grande Europe »… Autant de plaidoyers pour un partenariat euro-russe enterré par nos dirigeants corrompus inféodés à Washington tels les Hollande, Fabius cornaqués par  l’ineffable Bernard Henri Lévy. Concrètement, l’OTAN divise notre continent alors que nous devrions l’unir. Nous ne pouvons demeurer les complices silencieux de l’OTAN quand elle bombarde une capitale européenne comme Belgrade, quand elle installe des républiques musulmanes comme le Kosovo ou la Bosnie en plein coeur de l’Europe, ou quand elle tente de déstabiliser la Russie comme on l’a vu en Géorgie ou en Ukraine…

    C’est pourquoi le Réseau-Identités entreprend aujourd’hui une campagne visant à libérer l’Europe de la tutelle des USA en abrogeant le Traité de l’Atlantique Nord qui ne sert ni le continent européen, ni les nations qui le composent. A la place, nous devons oeuvrer pour une armée européenne au service des intérêts européens et de leur diplomatie. On est en droit de se demander aujourd’hui quelle sera l’attitude de l’OTAN quand les peuples de France ou d’autres pays d’Europe auront décidé de se réapproprier les outils de leur souveraineté et de s’atteler au grand défi de la re-migration. Décidemment, non! Nous ne voulons plus d’une ingérence étrangère dans les affaires de notre continent car nous voulons l’Europe aux Européens…

    Alors, comme De gaulle en son temps, disons non à l’OTAN…

    OTAN hors de France !!! OTAN hors d’Europe !!! OTAN GO Home !!!

    Réseau Idendités : http://www.reseau-identites.org/

    flyer_otan

    autocollants à commander sur contact@reseau-identites.org

  • Européennes: le FN crédité de 22% des intentions de vote

    Selon un sondage sur les élections européennes, l'UMP est toutefois en tête des intentions de vote avec 24% des voix.

    Si les élections européennes avaient lieu dimanche, elles confirmeraient la tendance des municipales. Les listes UMP arriveraient en effet en tête avec 24% des intentions de vote.

    19% pour le PS. Le parti d’opposition arriverait juste devant le Front national, crédité de 22% des voix. Le Parti socialiste, allié au PRG, receuillerait pour sa part 19% des voies, selon un sondage Ifop pourSud-Ouest Dimanche. Suivraient à distance les listes Europe Ecologie-Les Verts (8,5%), MoDem et UDI (8%) et Front de gauche (7,5%).

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  • La loi Taubira n'est pas une loi de tolérance mais une loi de dictature

    Le philosophe Bertrand Vergely considère que le Parti Socialiste a payé au prix fort la loi Taubira :

    "Quand ce mariage a été présenté tous ses partisans ont cru qu'il s'agissait là d'une mesure de tolérance. Les homosexuels ayant été réprimés par le passé, ceux-ci allaient enfin pouvoir s'aimer sans subir de vexations et la société allait enfin pouvoir être plus humaine et plus paisible. Or, depuis la promulgation du mariage pour tous à quoi assiste-t-on?

    Sous prétexte d'égalité nous sommes en face d'un bouleversement sans précédant non seulement de la société mais de l'humanité, ce bouleversement se traduisant

    1) par le projet de supprimer la différence sexuée homme-femme comme donnée fondamentale de la vie en ramenant cette donnée à une pratique sexuelle au même titre que l'homosexualité

    2) par la volonté non seulement de confondre l'homosexualité et l'hétérosexualité comme genres mais les sexes masculin et féminin, un enfant devant avoir la possibilité dans l'avenir de choisir non seulement sa sexualité mais son sexe,

    3) par le projet avancé puis ajourné d'éduquer dès le plus jeune âge les enfants à la confusion des genres et des sexes

    4) par une manipulation du langage, les termes de père et de mère étant remplacés par ceux de parent I et de parent II

    5) par le fait de déclarer nauséabonde l'idée que pour faire un enfant il faut un homme et une femme et pour l'élever un père et une mère

    6) par le projet de légaliser prochainement la PMA pour les couples de femmes alors qu'il avait été promis de ne pas aller au-delà de l'adoption

    7) par l'assimilation des adversaires du mariage pour tous à des religieux, réactionnaires, fascisants voire nazis.

    Autrement dit, le mariage pour tous a menti et il ment encore, son projet étant non pas un monde de tolérance, mais la dictature d'une nouvelle norme proprement transsexuelle en matières de moeurs. Se rendant compte de ce mensonge, l'électorat musulman, très attaché à la famille et votant traditionnellement à gauche, a basculé à droite ou s'est très largement abstenue. Quant à la gauche, ne sachant plus quoi dire, gênée, elle a choisi de se taire et pour une partie d'elle-même, de se retirer sur la pointe des pieds, en pressentant que tout cela sentant le roussi, il était temps de quitter un navire qui ressemble de plus en plus au Titanic."

    Michel Janva

  • Jour De Colère à Lyon - 6 avril

    500 personnes à Lyon contre le matraquage fiscal, pour la famille et la liberté d'expression ! Valls dégage !
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  • Damien Rieu, porte-parole de Génération identitaire, sur Radio Courtoisie

    À écouter ici => http://www.radiocourtoisie.fr/18928/libre-journal-de-paul-marie-couteaux-du-2-avril-2014-commentaire-de-lactualite-politique-developpement-du-mouvement-identitaire-actualites-syriennes-chronique-culturelle/

  • Les illusions perdues du front républicain

    L’appel au « front républicain » face au risque d’une victoire du Front national (FN) a longtemps été un classique de l’entre-deux tours à gauche mais depuis quelques années, le doute s’est installé quant à l’efficacité sinon la légitimité d’une telle ficelle tactique.
    L’idée d’une mobilisation de tous les républicains contre un parti et des candidats qui ne le seraient pas est ancienne.Elle renvoie au contexte des années 30 et au danger fasciste qui pesait alors sur la République. Elle a été utilisée comme arme électorale à partir des années 80 face à la montée en puissance du FN.
    Cette fois, l’installation dans le paysage politique local du parti lepéniste comme troisième grande force nationale a transformé cette échappatoire traditionnelle de la gauche en impasse.
    L’appel au rassemblement anti-FN est en effet devenu beaucoup moins efficace. La stratégie « morale » de lutte contre le parti lepéniste, lancée avec l’antiracisme militant des années 80, se heurte désormais à la « banalisation » du FN dans le paysage politique. On l’a encore constaté lors des élections législatives et cantonales partielles qui ont eu lieu l’an dernier.
    L’évolution concomitante d’une partie de la droite vers des positions proches de celles du FN sur certains sujets, de société notamment, a entamé l’efficacité de la digue mise en place par un l’UMP qui l’avait jusqu’ici conduit à participer, bon an mal an, au « front républicain » avec la gauche. Le choix d’une stratégie du « ni ni » (ni gauche ni FN)sous la houlette de Jean-François Copé en témoigne.
    Côté gauche, le front républicain est devenu beaucoup plus difficile à « vendre » à l’électorat et à imposer aux candidats issus de ce camp. Comment en effet demander à des électeurs d’aller voter et à un candidat qui a mené le combat politique pendant des semaines de se désister en favorisant ainsi l’élection d’un adversaire ? Surtout si celui-ci a été désigné comme crypto-lepéniste ! Ni la radicalisation et le brouillage idéologiques, ni l’illisibilité et la crispation des situations électorales ne favorisent le « front républicain ».
    Sur l’électorat potentiel du FN, celui-ci finit même par provoquer un effet inverse à celui recherché. En mettant en avant l’opposition au FN comme seul élément commun de leur appartenance au camp des « républicains », les partis de gauche et de droite renvoient à leur isolement les électeurs lepénistes. Ils les dépeignent de facto soit comme des citoyens qui s’excluent du champ démocratique, soit comme incapables de comprendre les enjeux pour lesquels ils se prononcent. Et tout cela uniquement en raison du bulletin qu’ils choisissent de déposer dans l’urne.
    Bref, cette posture de défenseurs de la démocratie et des valeurs républicaines qui, par-delà leurs différences partisanes,entendent faire « front »finit par passer pour arrogante et méprisante. Elle mobilise contre ceux qui l’adoptent les électeurs qui se sentent floués, incompris ou rejetés par une telle attitude. Dans ce cas, le FN n’a plus qu’à ramasser la mise en montrant que « l’UMPS » qu’il dénonce constamment est une collusion non seulement en raison de la similitude des projets politiques des deux partis mais encore de leur stratégie électorale.
    Le « front républicain » est donc devenu une stratégie incertaine car peu légitime et peu efficace, à la fois peu mobilisatrice pour ceux qui entendent la pratiquer et potentiellement mobilisatrice pour ceux qui en sont la cible. Elle doit donc être abandonnée au profit d’un travail d’argumentation et de conviction politiques. C’est évidemment plus exigeant mais la légèreté stratégique et l’absence de réflexion dans la lutte contre le FN depuis des années à gauche rend un tel effort désormais incontournable.
    Laurent Bouvet
    Source : Article paru dans Le Figaro du 26 mars 2014
    http://www.voxnr.com/cc/d_france/EFAyyZAAFZdmPgMUiu.shtml