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  • [Édito de L’AF 2890] À QUOI SERT L’UMP ?

    Si l’implosion, pour quelque raison que ce soit, de l’UMP ne saurait que nous réjouir, il faut avoir conscience que sa disparition ne peut constituer une fin en soi. Ce ne serait pas la première fois en effet que la droite parlementaire française se métamorphoserait.

    Car, contrairement aux démocrates-chrétiens ou chrétiens sociaux allemands ou encore aux conservateurs britanniques, dont les partis expriment un tradition forte, la droite française est protéiforme, comme si elle n’arrivait jamais à incarner une tradition politique clairement inscrite dans son histoire mais servait plutôt l’ambitieux du moment. Elle le doit certainement à sa tradition bonapartiste, succédané de la tradition royale. La Ve république a ainsi connu l’UNR, l’UDR, le RPR et l’UMP, qui, de l’Union pour la majorité présidentielle est rapidement devenue l’Union pour un mouvement populaire, ce qui, évidemment, ne mange pas de pain. Les deux premiers partis ont servi De Gaulle et Pompidou, les deux suivants Chirac et Sarkozy. Mais les temps changent.

    Car l’UMP se trouve confrontée aujourd’hui à son obsolescence, fruit de ses multiples abandons et de sa lâcheté politiques. Abandon de l’indépendance nationale au profit d’une Europe supranationale et atlantiste, abandon d’une politique économique et sociale cohérente au profit de la fortune anonyme et vagabonde, lâcheté devant le politiquement correct qui, sur le plan des mœurs, de l’immigration, de l’antiracisme, de la repentance ou de l’identité nationale, a fait de la droite le clone honteux de la gauche. Bref, ayant trahi tout ce qui la distinguait de la gauche, la droite parlementaire n’a plus rien pour justifier son existence. Il n’est pas certain toutefois que les Français soient aujourd’hui suffisamment mûrs pour jeter le bébé avec l’eau du bain.

    Dommage car, pour une fois, ce serait pleinement justifié !

    François Marcilhac - L’AF 2890

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Edito-de-L-AF-2890-A-QUOI-SERT-L

  • Naissance d’un géant économique mondial

    La France et l'Union européenne feraient bien de se garder de leurs "amis" américains. La machine est en marche et nul ne pourra l'arrêter.   

    Le tandem ( U.S.A et sa succursale U.E ) ont beaucoup de soucis à se faire dans l’avenir. Le sommet qui a eu lieu à Forteleza au Brésil le 15 et 16 Juillet dernier s’annonce comme un coup de semonce aux agissements scandaleux des américains qui piétinent depuis des décennies les règles fondamentales des droits des peuples semant la guerre et organisant, ici et là, des coups d’état dans le but bien évident de leurs propres intérêts.

    Jusqu’ici tout allait bien car les rapports de force pouvaient se comparer à un combat de boxe entre un Super lourd et un poids mouche. Ce qui impliquait forcément une certaine cécité, on pourrait même ajouter une condamnable complicité, de la part des autres nations qui assistaient en simple spectatrices devant les méfaits qui se déroulaient devant elles. On se souvient encore des armes ( virtuelles ) de destruction massive de Bush junior qui ont conduit l’Irak dans le chaos et à l’assassinat de son président Saddam Hussein. Il serait trop long d’évoquer les nombreuses incursions en Lybie, Afghanistan, Egypte, Amérique latine, Moyen Orient, Asie et même en Europe.

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  • Garches : le FN soutient le docteur Delépine

    Communiqué de Joëlle Melin, Conseillère politique de Marine Le Pen en matière de santé :

    "Le départ à la retraite du Dr Nicole Delepine, chef de service d’oncologie pédiatrique de l’Hôpital de Garches, est l’occasion du transfert de son activité dans un autre établissement de l’AP-HP. Tel est le motif invoqué pour procéder à l’éclatement de son équipe, et surtout à la reprise en main par la Tutelle des orientations thérapeutiques privilégiées depuis de nombreuses années dans son service.

    Car Mme le Dr Delepine a toujours prescrit des traitements qui ne suivaient pas toujours les recommandations en cours, pour ne pas dire en vogue. Elle aurait toujours, de son point de vue, privilégié l’intérêt des enfants, parfois à contre courant des pressions des lobbys, en particulier du lobby de la chimie pharmaceutique.

    Le Dr Joëlle Melin, même en l’absence de connaissance de tous les éléments du dossier en cours depuis plusieurs années, ne peut que s’étonner, qu’au moment où les pathologies cancéreuses se multiplient plus que jamais et surtout que leur évolution redevient foudroyante comme il y a une trentaine d’années, il ne soit pas possible d’émettre des avis autres que celui de la pensée unique, en l’occurrence mortifère, des pseudos consensus médicaux.

    Avec le Front National, elle soutient donc fermement toute démarche médicale d’esprit critique constructif, pour peu qu’elle soit évaluable modernes et éclairées de la science."

    Michel Janva

     
  • C’était un 17 juillet : mort d’Henri Poincaré, un génie français.

    Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
    On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
    Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.

    Ci-dessous vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste.

    http://www.contre-info.com/

  • Droit de vote des étrangers : le jour où la France mourra

    François Hollande l’a réaffirmé sans trembler lors de son entrevue du 14 juillet : le coup de grâce sera porté à la France en 2016. Des paroles assassines sorties d’un visage inexpressif à en crever : l’exécuteur testamentaire de 2000 ans d’histoire a une gueule de poisson mort.

    Cette année 2016, sera, d’après le président en fonction, « celle des réformes constitutionnelles », et parmi celles-ci, outre une modification du mode de scrutin, « le droit de vote pour les étrangers extra-communautaires ». Traduction : pour le monde entier. Peut-être même les touristes qui sait, on aura bien un ou deux cinglés, un écolo ou un socialo-taubiresque pour nous pondre une ignominie de plus.

    Le droit de vote des étrangers, cette monstruosité juridique, figurait déjà au programme du candidat Mitterrand en l’an de grâce 1981. Mais en ce temps-là, la pilule était trop grosse à faire avaler au peuple de France. Déjà qu’on lui avait scandaleusement interdit de s’exprimer sur l’abolition de la peine de mort ! Au royaume de l’Anti-France, chaque coup de poignard en son temps…

    Néanmoins, le projet fou, obsessionnel chez tous les ennemis du Drapeau, demeurait blotti bien au chaud sous le ventre de la gauche immonde. « Patience » chuchotaient dans l’ombre les grands maîtres du secret, on attendrait simplement que le travail de sape des médias et de l’éducation nationale fasse son œuvre, que soit achevé l’élimination de tout sentiment d’appartenance, que soit gommé toute identité parmi les braves gens réduits à de simples moutons scotchés à TF1.

    Et puis, le moment voulu, on commencerait à sortir des sondages mirifiques, comme celui publié par l‘Express en 2013, dans lequel il était affirmé que « 54 % des français souhaitaient que l’on étende le droit de vote aux étrangers non communautaires ». Un peu comme si on vous disait les yeux dans les yeux que la majorité de vos neurones souhaitait que vous vous flinguiez ce soir.

    Joris Karl

    La suite sur Boulevard Voltaire

  • Un pavé dans la mare taubiresque

    C’est un véritable pavé qui tombe au milieu de la mare socialo-gauchiste et plus précisément sur  Taubira. Une pétition vient d’être publiée qui ne sera pas sans effets sur les projets du gouvernement en matière de GPA (grossesse par autrui) plus généralement appelé « recours aux mères porteuses. »

    À la suite des Manifestations pour Tous, le gouvernement a bien senti qu’un mouvement de fond secouait la France. Or pour faire plaisir aux lesbiennes et autres homosexuels ne pouvant pas procréer, dans son programme Hollande leur avait promis la PMA ou procréation médicalement assistée, ainsi que la GPA. Devant l’ampleur des manifestations qu’il tenta de minimiser par tous les trucages possibles, et aussi le reproche lancé par l’opinion publique qu’il y avait autre chose de plus important à faire, il décida de reporter ultérieurement le vote d’une loi sur ces sujets.

    La GPA est strictement interdite en France. Est condamné aussi toute marchandisation du corps humain ; or est loué le corps d’une femme pour avoir un bébé. Il est littéralement acheté. Ceci ayant pour effet de briser la notion de filiation. Or le problème était que les riches partaient à l’étranger pour louer un utérus et acheter l’enfant qui naissait et légaliser cet achat par l’État civil. Ce qui posait un problème pour les Français allant profiter de la GPA dans d’autres pays. En effet les enfants ne pouvaient bénéficier ni de la nationalité française ni être inscrits sur les livrets de famille non plus qu’à l’État civil car conçus par GPA. C’était la loi dura lex sed lex, dure était la loi mais c’était la loi.

    Les tribunaux faisaient leur métier en refusant de donner la nationalité française à un enfant porté par une hindoue par exemple. Taubira prit un décret autorisant les juges à passer outre la loi. Certains se mirent à l’alignement, d’autres non. Mais la position du ministre de la Justice se positionnant contre une loi a quelque chose d’effarant car c’est elle qui est chargée de faire respecter la loi. Du jamais vu…Elle aurait dû être virée immédiatement. Qui l’aurait regrettée ?

    Finalement, la Justice européenne décida que la France n’avait pas le droit de s’opposer à l’inscription de ces enfants à l’État Civil. Le gouvernement Hollande se trouve alors coincé. Que faire ?  Sinon légaliser la GPA.

    Les choses en étaient là. Surgit alors la pétition rapportée par Libération le 13 juillet. Celle-ci s’oppose de manière frontale au projet du gouvernement. Elle est portée par Jacques Delors ancien président de la Commission européenne.Lionel Jospin ancien premier ministre. Y ont souscrit des anciens ministres des différents gouvernements : Yvette Roudy Ministre des Droits des femmes de 1981 à 1986, Nicole Péry Secrétaire d’État aux Droits des femmes (1998-2002) et vice-présidente du Parlement européen (1984-1997), Marie-George Buffet députée de Seine-Saint-Denis, ancienne ministre, secrétaire national du Parti communiste français (2001-2010), Catherine Tasca ancienne ministre, première vice-présidente du Sénat, Nicole Notat Secrétaire générale de la CFDT de 1992 à 2002. Mais aussi des personnages connus comme Sylviane Agacinsky épouse de Jospin, Marie Georges Buffet, le Pr Frydman « père » d’Amandine le premier bébé éprouvette etc. N’en jetez plus entre les maires, les psychanalystes, des professeurs d’Universités, des députés de gauche et de droite. Il y a même PPDA. Une seule caractéristique : quasiment tous de gauche et classés généralement comme « anti-vie ». Mais aussi se sont jointes de multiples associations féministes styleNi Putes Ni soumises ; et enfin et surtout la Coordination des associations pour le droit à l’avortement et à la contraception (Cadac) et le Collectif national pour le droit des femmes (CNDF) etc.

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  • De quel style d’action faut-il faire une nécessité aujourd’hui ?


    Quand la crise avant d’être financière est d’abord humaine et spirituelle que faut-il faire ? « Prendre le pouvoir », ensuite on verra disent certains. N’est-ce pas là un idéalisme inconséquent ? En vrai, par où faut-il commencer ?

    Jean Ousset dans son livre l’Action au chapitre II de la cinquième partie, « Un certain style d’action » (p. 243 à 246), décrit avec méthode les 3 degrés d’une action de soutien nécessaire à une vraie transformation du « politique » pour la France. Il en fit l’objectif d’Ichtus. Extraits :

    « Un certaine forme de l’action semble d’autant plus précieuse à l’heure actuelle qu’elle est, à la fois, très importante comme telle et particulièrement négligée… Car pour l’instant il s’agit moins de promouvoir une organisation que de préconiser une méthode, faire adopter une stratégie. Quel que puisse être l’organisme ou le secteur auquel on appartient. Style d’action qui devrait subsister, quels que soient les vicissitudes, succès ou échecs des divers partis, associations, initiatives, etc.

    Action de vigilance, de rééducation, de concertation permanenteŒuvre auxiliaire par excellence ayant pour but non seulement de réconforter, consolider, dynamiser tout ce qui mérite de l’être et existe déjà, mais encore de susciter, d’aider à naître, d’assister dans leurs premiers moments les organismes ou initiatives souhaitables.

    Entreprise dont les opérations pourraient être à trois degrés.

    1° degré à l’échelon individuel. 

    Celui de l’aide à apporter, du surcroît doctrinal à fournir, des conseils stratégiques ou tactiques à donner à l’échelon individuel. Autant dire : A l’ami isolé, à l’élément de passage qui, armé de la référence ou de l’argument souhaités, risque de ne plus reparaître. Pour humble qu’il soit, le travail à ce degré est très important, car il assure

    • le recrutement fondamental,
    • le renouvellement des bases,
    • la découverte d’éléments nouveaux.

    Même si les contacts y sont individuels, s’ils paraissent fragiles et décevants, il est inadmissible d’en négliger le soin car, de la rencontre d’un seul homme peuvent découler des possibilités d’action considérables.

    2° degré à l’échelon de groupes constitués. 

    Celui de l’aide à apporter, du surcroît doctrinal à fournir, des conseils stratégiques ou tactiques à donner, non plus à un échelon individuel et inorganique, mais à des associations, partis ou groupes.

    • Soit que ces groupes, associations ou partis existassent bien avant l’aide ou les conseils apportés...
    • Soit qu’ils aient trouvé dans l’offre de ces conseils et de cette aide le principe de leur fondation.

    Il va sans dire que la suprématie de l’action à ce second degré tient à ce qu’elle s’effectue à une échelle plus vaste, plus institutionnelle, qu’elle y est plus méthodiquement constante… Beaucoup plus féconde par là même. C’est à ce degré que s’effectue cette jonction (cette fécondation) dont nous avons parlé entre la doctrine et l’expérience.

    C’est à ce degré que peuvent et doivent être soutenus les véritables responsables de ces communautés naturelles qui sont légion, qui ont les vraies responsabilités sociales. Mais qui pourtant reculent. Parce qu’il leur manque ce surcroît de formation doctrinale, culturelle, stratégique et tactique indispensable à la pleine efficacité politique et sociale.

    3° degré pour la concertation et la solidarité des groupes.  

    Celui plus particulier de la formation, de la concertation..., de l’entretien, du renouvellement de cette élite dont nous venons de parler.

    Elite d’hommes sans laquelle le travail aux deux premiers degrés serait inconcevable. A ce troisième degré, donc, doivent être réservés la formation méthodique et intense, l’éducation, la concertation, l’entretien psychologique, moral, spirituel de ceux qui, ayant compris l’importance capitale de ce style d’action civique multiforme, tiennent à se donner plus consciemment, plus volontairement à la synchronisation, à la mise en place de l’organisation polyvalente exigée par la nature même du style d’action proposé…Le caractère plus marqué des militants de ce troisième degré doit être un goût particulièrement vif pour lapolyvalence des services, un sens aigu de la complémentarité des initiatives, l’intelligence des synchronisations plus larges de l’action. Même s’il apparaît que ces dernières n’intéressent pas directement le secteur particulier de chacun. Autrement dit : la grande obligation à ce degré, après le soin d’une formation personnelle plus rigoureuse, est de s’y sentir solidaire de tout ce qui peut aider la Cause que l’on se fait un devoir de servir.

    Devoir pour chacun d’entretenir au fond de son cœur l’équivalent - au plan civique ! de cette préoccupation quotidienne et universelle qui faisait écrire à saint Paul, dans sa deuxième Lettre aux Corinthiens ( XI-28, 29). : « Il y a ce qui me préoccupe chaque jour, le souci de toutes (les Eglises) »… Ce troisième degré doit être celui des serviteurs publics par excellence, celui des agents de liaison du combat civique, celui des animateurs irréductibles de la concertation la plus large possible contre le totalitarisme moderne. » A suivre …

    Lire et télécharger dans son intégralité l’Action au chapitre II de la cinquième partie, « Une élite d’hommes » dans l’Action de Jean Ousset. Pour rejoindre une initiative qui corresponde à vos « talents » contacter le service d’information d’IchtusCe livre l’Action de Jean Ousset est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset, fondateur d’Ichtus pour Former, Relier et Agir, est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Le Salon Beige