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  • La France doit supprimer l’Elysée

    .. d'après un rapport du très sérieux Peterson Institute - l’un des think tanks les plus prestigieux de Washington.

    "Il recommande que la France abandonne son système présidentiel et promeuve un chef du gouvernement élu à la majorité parlementaire, comme le font de nombreux pays en Europe. «Des réformes économiques sont nécessaires en France, mais une refonte du système politique est également indispensable», estime le Peterson Institute. Le fait que François Hollande affiche un record d’impopularité  (15% en septembre) montre à quel point le système politique français est obsolète, ajoute le rapport."[...]

    Savoir si cela changerait vraiment les choses, c'est une autre paire de manches...

    Marie Bethanie

  • BANQUET CAMELOT Dimanche 23 novembre 2014 :

    BANQUET CAMELOT 23 novembre 2014 :

    Venez nombreux participer à ce dernier banquet de l'année 2014 :

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    Découvrez les discours des Banquets précédents :

    https://soundcloud.com/user5994089/

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  • Christiane Taubira détricote le Code civil

    La réforme de Code civil menace-t-elle la liberté de contracter ? Alors qu’il prétend protéger les plus faible, l’État pourrait bouleverser les équilibres du système juridique français.

    Le 30 octobre, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi relatif à la modernisation et à la simplification du droit et des procédures dans les domaines de la justice et des affaires intérieures. Passée inaperçue, hormis le rideau de fumée du statut de l’animal passant du rang de meuble à celui d’« être vivant doué de sensibilité », cette réforme du Code civil est, en réalité, un véritable acte politique de déconstruction.

    Rappels historiques

    L’exposé des motifs de la loi est assez révélateur des rapports consanguins qu’entretiennent le Droit et le Marché dans la vision “a-nationale socialiste” de ceux qui nous précipitent dans l’abîme mondialisé de l’indifférenciation absolue : « Les dispositions du code civil [...], issues du code Napoléon, ne permettent plus aux particuliers et aux entreprises d’avoir une vision claire et précise de l’état du droit dans leurs relations contractuelles quotidiennes. Il est donc primordial de réformer le droit français des obligations pour le rendre plus accessible, plus attractif et mieux adapté aux enjeux économiques [...] actuels. »

    Promulgué le 21 mars 1804, (30 ventôse an XII, selon le calendrier révolutionnaire) par Bonaparte, alors Premier consul, le Code civil fait incontestablement partie de ces « masses de granit jetées sur le sol de France » par celui qui voulait achever l’œuvre de la Révolution, tout en rétablissant, mutatis mutandis, le cours interrompu de l’Ancien Régime. Illustre rédacteur (aux côtés, notamment, de Maleville et Tronchet) de ces tables de la loi bicentenaires, Portalis considérait qu’elles devaient être un « corps de lois destinées à diriger et à fixer les relations de sociabilité, de famille et d’intérêt qu’ont entre eux les hommes qui appartiennent à la même cité ». Une qualité intrinsèque lui était reconnue, la stabilité. Les contrats, la responsabilité, la propriété, le mariage, autant d’institutions qui, nonobstant les remous et vicissitudes politico-constitutionnelles, devaient servir de fondations inébranlables à la société. Bien que pétri d’égalité et d’individualisme, le Code civil des Français n’en demeurait pas moins l’héritier de Rome et de ses jurisconsultes. Les légistes fameux que furent Domat ou Pothier contribuèrent notablement, en précurseurs éclairés, à ce travail d’unification du droit par une anamnèse préalable des règles et coutumes tirées des Digeste et autres Institutes romains. Ce mouvement a été accompagné par le célèbre édit de Saint-Germain de 1679, qui instaura le monopole de l’enseignement du droit entre les mains de l’université. Colbert, auquel on doit les premiers grands codes (procédure civile et criminelle, commerce, marine, eaux et forêts, etc.) se montra également une source d’inspiration non négligeable pour les rédacteurs du Code civil.

    Longue maturation

    Grande œuvre, finalement, que cette règle civile commune, fruit d’une longue maturation historique que Bonaparte sut recueillir et transmettre, indivise, aux Français. Œuvre d’autant plus respectable qu’elle était religieusement respectée, tant au sein des facultés de droit que par les hauts magistrats de la Cour de cassation qui surent, tout au long du XIXe siècle (triomphale époque de l’exégèse), patiemment et avec bienveillance, l’étoffer et la parer des plus nobles atours de l’inflexible rigueur juridique et de la claire concision stylistique.

    Faste et durable époque, jusqu’aux années 1970 qui seront le guichet unique des revendications libertaires et féministes de Mai 68. Le divorce par consentement mutuel, la suppression de la puissance paternelle (le “pater familias”), l’avènement de l’enfant adultérin à égalité avec l’enfant légitime, la “dépénalisation” de l’avortement (en 1975), forgeront le nouveau contrat social, post-rousseauiste, du ré-ensauvagement de la société qui assistera, impuissante et masochiste, fascinée et suicidaire, à l’implosion irréversible de son socle immémorial et nécessaire, la famille. Viendra ensuite le Pacs en 1999, antichambre hypocrite du pseudo-mariage homosexuel, jusqu’à l’assomption de ce dernier en 2013.

    Bonne ou mauvaise foi

    Aujourd’hui, la réforme Taubira ne prétend pas moins revenir sur le droit des contrats – classiquement tenus pour “la loi des parties” qui les ont faits –, au nom de l’impérieuse protection des « plus faibles ». Là où, traditionnellement, la force obligatoire des conventions, était, entre autres, subordonnée à la validité du consentement, le juge sanctionnera, dorénavant, les manquements du cocontractant, motif pris de la vulnérabilité de l’autre. Fustigeant cette ineptie, le juriste Olivier Tournafond précise que cette réforme « introduit ainsi les notions “d’imprévision” et de “détresse économique” qui permettront de défaire les contrats. Autre idée saugrenue : la bonne foi devient une condition de formation du contrat, ce qui est d’une totale absurdité : on ne contracte pas de bonne ou de mauvaise foi ! On exécute le contrat de bonne foi. Et dans la période précontractuelle, la mauvaise foi est sanctionnée en tant que faute extracontractuelle ! ».C’est dire que ce renversement révolutionnaire voulu par la locataire de la Place Vendôme, bien loin d’être seulement un époussetage, va bouleverser considérablement les équilibres, délicats mais néanmoins fermement établis, de notre droit d’essence romano-germanique. Ce projet s’inscrit dans la continuité infernale du déracinement (et son corollaire, la perte des repères), du “suicide français” imposé depuis quarante ans par nos élites hors-sol. Ultime avatar du slogan soixante-huitard, « Il est interdit d’interdire », brandi par un État devenu totalitaire dont l’impuissance publique n’a d’égale que son omnipotence dans la sphère privée.

    Aristide Leucate

    Article paru dans l’Action Française 2000 n° 2896 du 06 novembre 2014

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Christiane-Taubira-detricote-le

  • Mario Borghezio : “L’urgence est de stopper les nouvelles arrivées” (Présent)

    Mario Borghezio est député européen, membre de la Ligue du Nord (parti allié au Front national au sein du Parlement européen). Figure charismatique de la droite patriotique et identitaire italienne, francophile, nous avons souhaité recueillir sa position sur la remigration en nous penchant sur la situation au-delà des Alpes. (Entretien initialement paru dans le numéro 8225 de Présent)

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    Quel constat faites-vous de la situation de l’immigration en Italie ? Le « vivre-ensemble » est-il déjà mort dans la péninsule ?

    En Italie, l’immigration – à cause de l’opération catastrophique nommée Mare Nostrum voulue par le ministre Alfano (centre-droite) – est devenue une véritable invasion. Cela risque de rendre impossible une cohabitation pacifique, surtout dans les périphéries urbaines (Milan, Turin, Rome etc.)

    L’Union européenne est le principal facteur de l’invasion migratoire et de l’impossibilité pour les peuples de riposter. Pensez-vous que l’union avec les autres formations patriotes telles que le FN ou le FPÖ permettront, à court ou moyen terme, de dénoncer les traités et de retrouver la maîtrise des frontières ? Travaillez-vous déjà en ce sens au Parlement européen ?

    Nous sommes en train de donner vie à un groupe européen des formations identitaires, avec évidemment le FN, le FPÖ et d’autres mouvements et partis. Un tel groupe pourra contrer très efficacement la dérive mondialiste de cette Union européenne.

     

    En France, une réaction populaire massive est en train de se former pour dénoncer l’immigration et ses conséquences. Qu’en est-il en Italie ? Enregistrez-vous des succès sur ce terrain ?

    L’intolérance des Italiens (du nord comme du sud) envers cette invasion devient jour après jour plus forte. Cela se traduit par une croissance continuelle du score électoral de la Ligue du Nord, qui est en train de construire un réseau dans l’Italie du centre et du sud.

    La manifestation de Milan « Stop Invasion », qui a rassemblé 100 000 personnes, est-elle une date clef du « réveil » italien ? Quelles seront les suites apportées à ce grand rassemblement ?

    Incontestablement, à Milan, avec la participation des mouvements commeCasaPound et d’autres semblables, bien enracinés dans la Péninsule, nous pouvons déjà dire aujourd’hui que nous assistons à la naissance d’une Ligue « nationale », qui, bien sûr, ne tranche pas ses racines « nordiques » [NDLR : La Ligue du Nord est historiquement régionaliste, centrée sur la Padanie, partie nord de l’Italie].

    Sous l’impulsion d’intellectuels et de militants identitaires, le mot « remigration » est en train de s’installer dans le vocabulaire politique en France, qu’en pensez-vous ? Y a-t-il une démarche équivalente en Italie ?

    La « remigration » pourra bien entendu devenir une stratégie pour toute l’Europe des peuples. Mais en Italie, l’urgence est d’abord de stopper les nouvelles arrivées.

    Quel message souhaitez-vous envoyer aux patriotes français qui ont choisi de ne plus subir ?

    Tous les patriotes européens doivent s’unir dans un seul combat identitaire, contre l’Europe des banquiers, pour l’Europe des peuples !

    http://fr.novopress.info/178127/mario-borghezio-lurgence-stopper-les-nouvelles-arrivees-present/#more-178127

  • Les veillées de la semaine

    Mardi 11 novembre

    • Beauvais - Place Jeanne Hachette à 21h
    • Bourges - devant la Mairie à 20h45
    • Cherbourg - Place du théâtre (sur les marches) à 20h30 A CONFIRMER
    • Limoges - place d’Aine à 20h30
    • Lyon - Place de la Comédie à 20h45
    • Melun - devant la Préfecture de 18h à 19h30 : Sentinelles
    • Montpellier - Place de la Préfecture à 20h30
    • Paris - Place de la Sorbonne à 20h30

    Veilleurs

    • Reims - Place Royale à 20h
    • Saumur - Place Bilange à 20h30
    • Vernon - Hotel de ville à 20h

    Mercredi 12 novembre

    • Bondy - Place de la Gare (RER E) à 19h
    • Cognac - Place François Ier à 21h
    • Grenoble - devant l’église St Louis (rue F. Poulat) à 20h30
    • Rambouillet - devant la sous-préfecture de 20h30 à 21h30 : Sentinelles
    • Rennes - Place de la Gare à 21h
    • Saint Amand Montrond - Place carrée à 20h30

    Jeudi 13 novembre

    • Annecy - Place de la Mairie à 21h30
    • Blois - Place de la république, près du Monument aux Morts à 20h30
    • Chateauneuf de Galaure - devant la salle des fêtes à 20h30
    • Montélimar - Allées provençales à 20h30
    • Nouméa - devant le Haussariat à 19h
    • Vannes - au pied des remparts (côté préfecture) à 21h

    Vendredi 14 novembre

    • Bordeaux - place Pey-Berland à 20h30 : Sentinelles puis vin chaud
    • Puy-en-Velay - Place Cadelade à 18h30
    • Sartrouville - Gare RER à 20h30

    Pour annoncer une veillée, signaler un oubli ou une erreur, veuillez contacter veilleurs.paris@gmail.com. Vous pouvez me mettre en copie pour que je modifie ce post en conséquence : tudylsb@gmail.com

    Louise Tudy

  • Une affaire Willy Sagnol ?

    Pierre Ménès est une figure du paysage footballistique français. Ancien reporter à L’Equipe, cette intarissable grande gueule officie aujourd’hui en qualité d’expert pour le Canal football club. Chaque vendredi, il tient sa "Grosse kronik" dans les colonnes de Direct Matin.

    Willy Sagnol a toujours été un pyromane. Le genre de gars qui aime jouer avec des allumettes et qui est tout étonné après que ça crame. Lors d’une rencontre avec les lecteurs du quotidien Sud Ouest, l’entraîneur de Bordeaux s’est laissé aller à certaines déclarations qui n’ont pas manqué de susciter la polémique.

    Après une sortie contre la Coupe d’Afrique des Nations, qui aurait été largement suffisante (elle emmerde tous les clubs français, qui voient partir beaucoup de joueurs en plein milieu de la saison pour une compétition qui, en plus, a lieu tous les deux ans), l’ex-international français a parlé du joueur de « type africain », qu’il a qualifié de « pas cher, généralement prêt au combat […], puissant sur un terrain… Le foot, ce n’est pas que ça, c’est aussi de la technique, de l’intelligence, de la discipline ». C’est évidemment bête et surtout très mal dit.

    Dans une France où on ne peut plus dire que la mer est bleue sans créer de scandale, Willy Sagnol a fauté. Les conséquences de ces mala­droites déclarations sont en revanche, elles aussi, déplacées. Forcément, Pape Diouf et Lilian Thuram, les « Filopat et Patafil » de la lutte contre le racisme anti-Noirs, se sont mis en état de marche.

    L’ancien président de l’OM a même été jusqu’à réclamer un boycott des joueurs noirs pour une journée de Ligue 1, rejoignant ainsi Sagnol dans l’ineptie, comme si le racisme anti-Noirs ne devait choquer que les Noirs eux-mêmes. J’ai aussi du mal à comprendre qu’on soit à ce point choqué que l’on trouve de vraies spécificités, positives ou pas, au footballeur originaire d’Afrique noire.

    Dans ce cas, il faut être outré lorsqu’on dit que le Brésilien est technique, que l’Argentin a la grinta ou que l’Italien est rigoureux tactiquement. Et que dire lorsque Carlo Ancelotti déclare dans une interview que « le joueur français est fainéant » ? Pape Diouf a-il réclamé un boycott d’une journée de L1 par tous les joueurs français ? [....]

    Pierre Menes

    La suite sur DirectMatin.f

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Une-affaire-Willy-Sagnol

  • Un garçon transformé en fille : "C'était comme un lavage de cerveau"

    Un livre revient sur ce petit garçon transformé en fille dans les années 60, par le Dr Money, qui pensait, comme nos idéologues du gender, que l'identité sexuelle est déterminée par la manière dont élève un enfant et non par la nature :

    "À 8 mois, Bruce Reimer, un beau bébé canadien, a servi de cobaye à une expérience célèbre sur l'identité sexuelle qui va se révéler un échec total et un terrible drame. Tout commence par une opération banale. En 1965, les Reimer amènent leurs jumeaux, Bruce et Brian, à l'hôpital pour une circoncision, car ils souffrent de phimosis (une affection du sexe). Mais l'intervention se déroule mal et, à la suite d'une erreur médicale, Bruce perd son pénis. [...] Le Dr Money convainc les parents Reimer de transformer anatomiquement Bruce en fille. La castration suivie d'une reconstruction génitale, affirme-t-il, doit être pratiquée avant l'âge de deux ans et demi, et les Reimer ne doivent jamais remettre en question cette transformation. Bruce s'appelle donc désormais Brenda, porte de petites robes et reçoit des injections d'oestrogènes à l'adolescence.

    GC'est cette histoire incroyable et terriblement émouvante que raconte John Colapinto dans son livre Bruce, Brenda et David, l'histoire du garçon que l'on transforma en fille, qui vient de sortir en France (éditions Denoël). Bruce/Brenda devient célèbre - tout en restant anonyme - dans le monde médical. Pendant des années, le Dr Money, personnage suffisant et agressif, va donner en exemple dans de multiples conférences et livres le cas de cet ex-garçon devenu, selon lui, une fille parfaitement équilibrée et bien dans sa peau pour justifier ses théories sur la réaffectation sexuelle. Brenda devient un cas d'école, cité dans tous les manuels médicaux, et a une énorme influence sur de nombreux sexologues, qui, à leur tour, vont appliquer sur leurs patients affectés d'organes génitaux ambigus les théories du Dr Money. Ce dernier est également porté aux nues par le mouvement féministe, alors en plein essor, qui défend depuis des années l'absence de différence biologique entre les sexes.

    Mais John Money ne tient pas compte de la réalité, bien différente.La métamorphose magique qu'il avait prédite ne s'est pas produite. Toute petite déjà, Brenda montre des signes de perturbation. Elle est agressive, mal dans sa peau, n'a pas d'amis, ne veut pas jouer avec des poupées et affirme qu'elle est un garçon. Les visites annuelles chez le Dr Money tournent très vite au cauchemar. Il est vrai qu'il a des méthodes plutôt douteuses, montrant aux jumeaux des images pornographiques, leur faisant mimer très jeunes l'acte sexuel, les harcelant de questions... En grandissant, Brenda est de plus en plus malheureuse, solitaire, violente, suicidaire. Son corps devient très masculin tout comme sa voix. Même si sa mère la force à porter des robes, elle est rejetée dans les nombreuses écoles qu'elle fréquente, objet de moqueries constantes. Les multiples psys qui vont s'occuper d'elle comprennent très vite que l'expérience est un échec. Mais personne n'ose se mettre à dos le très célèbre Dr Money, à part le biologiste Milton Diamond, qui critique, sans succès, ses théories biaisées.

    Les crises incessantes de Brenda ont un impact dévastateur sur sa famille. Son père se met à boire, sa mère dépressive fait une tentative de suicide et son jumeau, lui aussi, en pâtit. Brenda, traumatisée, finit par refuser d'aller voir le Dr Money et de subir de nouvelles opérations chirurgicales. Finalement, alors qu'elle a 14 ans, un psy conseille à ses parents de lui dire la vérité. Brenda demande aussitôt à redevenir un garçon et entreprend une série d'opérations douloureuses qui, à terme, recréent un pénis et permettent des rapports sexuels. David, comme il a choisi de s'appeler en référence à Goliath, trouve un travail dans un abattoir, se marie et élève les enfants de sa femme, car, bien sûr, lui ne peut pas en avoir. Mais, psychologiquement, il reste très marqué. "C'était comme un lavage de cerveau, dira-t-il. Je donnerais n'importe quoi pour aller voir un hypnotiseur qui me fasse oublier tout mon passé parce que c'était de la torture. Ce qu'ils ont fait au niveau physique n'est pas aussi terrible que ce qu'ils ont fait psychologiquement." [...]"

    Michel Janva

  • Le ministère de l'Education nationale est généreux avec ses amis

    Lu ici :

    "En 2013, 10 associations se sont partagées 82 % des subventions du ministère de l’Education nationale destinées aux associations.

    Parmi ces heureuses bénéficiaires, la Ligue de l’enseignement se taille la part du lion. En 2013, elle a ainsi reçu 25,6 millions d’euros de subventions directes du ministère, l’équivalent de 7300 enseignants supplémentaires (contre 23,03 en 2011).

    Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l’Education nationale sait prendre soin de ses amis. Il y a quelques semaines, elle a déjà récompensé le secrétaire général de cette association en le nommant à l’Inspection générale du ministère. Il faut reconnaître que cette association n’a jamais caché ses sympathies socialistes, allant même jusqu’à faire voter une motion, lors d’un de ses congrès, pour se déclarer « solidaire de tous ceux qui luttent pour la construction d’une société de type socialiste. »

    Parmi les autres associations qui cannibalisent les crédits du ministère de l’Education nationale, on retrouve, toujours dans les 10 premières bénéficiaires :

    • la Fédération PEP (6,9 millions d’euros), elle aussi proche du PS. Elle fut d’ailleurs longtemps présidée par Christian Nique, ancien conseiller de François Mitterrand.
    • Les CEMEA (4,6 millions d’euros), véritable bras armé des militants de l’Education nouvelle en France.
    • Les FRANCAS - Franches et Francs camarades (4,2 millions d’euros). Cette association d’Education populaire comme son nom le laisse apparaître reste proche des réseaux communistes.
    • La JPA - Jeunesse en plein air. (1,5 millions d’euros). Cette association est également née dans le giron de la ligue de l’enseignement et de la CGT.

    On retrouve toutes ses associations dans les débats concernant les programmes scolaires et leurs articulations avec les activités péri-scolaires."

    Louise Tudy

  • Rencontre-discussion avec Philippe Vardon “Qu’est-ce que le militantisme ?” le 14 novembre à Paris

    Vendredi 14 novembre au Carré Parisien, dans le 15ème arrondissement à Paris, rencontre-discussion avec Philippe Vardon autour du thème “Qu’est-ce que le militantisme ?”. Lors de cette soirée auront lieu une présentation et une dédicace du dernier ouvrage de Philippe Vardon : “Militants – 14 histoires qui sentent la colle et le gaz lacrymo” (ouvrage publié chez leséditions IDées).

    Rendez-vous à partir de 19h30 vendredi 14 novembre au Carré Parisien – 1 rue du Général Beuret 75015 Paris. Entrée libre, bar et stands sur place.

    Novopress.info/178152/rencontre-discussion-philippe-vardon-quest-ce-militantisme-14-novembre-paris/