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  • Jacques Hogard : « L’Europe est morte à Pristina » : Chronique du Kosovo

    Jacques Hogard n’est pas de ceux que l’on peut taxer de complotisme. Même les plus hardis des endoctrinés n’oseraient s’aventurer sur ce terrain, et pour cause. Le colonel Jacques Hogard est non seulement un témoin direct de beaucoup des évènements de la fin du siècle dernier mais, bien plus, il en a été un des acteurs sur le terrain.

    Jacques HogardLa machine à propagande, dans son vaste programme de désinformation dont nous savons qu’il n’existe aucune limite, l’a atteint de plein fouet, attentant à son honneur et celui de ses camarades, notamment concernant les évènements du Rwanda au sujet desquels il a écrit un livre, « Les larmes de l’honneur ». C’est que Jacques Hogard garde un regard lucide sur les actions dans lesquelles il est impliqué et, surtout, il écrit, et il s’exprime. Ceci explique peut-être cela. Il récidive avec un nouveau livre intitulé « L’Europe est morte à Pristina » où il relate les évènements de la guerre du Kosovo en 1999, tels qu’il les a vécus comme commandant d’un groupe interarmées de forces spéciales françaises.

    Pour qui veut voir, Jacques Hogard ne fait que confirmer, en tant que témoin et acteur, une réalité qui, peu à peu, est en train de sortir de l’enfumage savamment entretenu par les médias internationaux, y compris les médias français travaillant activement et sciemment contre leur pays. Cette réalité se manifeste aujourd’hui à travers toute l’Europe (et ailleurs) à travers des évènements que l’on croit conjoncturels, mais qui entrent dans un cadre bien plus large.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/jacques-hogard-leurope-est-morte-a-pristina-chronique-du-kosovo_120603.html#more-120603

  • La Grande guerre racontée par les écrivains qui l'ont vécue

    A la veille de l'anniversaire de l'Armistice de la Grande guerre, lundi 10 novembre à 20h40, la chaîne Histoire, diffuse un film documentaire, Si je mourais là-basLa guerre des écrivains 1914-1918, dont le titre repend un vers célèbre de Guillaume Apollinaire.

    "Si je mourais là-bas sur le front de l'armée
    Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée
    Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt
    Un obus éclatant sur le front de l'armée
    Un bel obus semblable aux mimosas en fleur"

    Après ses films sur Céline et Gustave Thibon, Patrick Buisson a fait réaliser par Guillaume Laidet ce film lyrique en faisant lire des textes d'écrivains ayant participé à la guerre de 14 (les fantassins Péguy et Barbusse, l’artilleur Apollinaire, « poète canonnier » et le légionnaire Cendrars, le cuirassier Céline et le dragon Bernanos, l’officier de commando Jünger, le lieutenant Genevoix et le caporal Drieu La Rochelle, le médecin militaire Elie Faure et le chirurgien Duhamel, l’ambulancier Dos Passos, le brancardier Kessel et l’infirmier Hemingway, les biffins Dorgelès, Chevalier, Manning et Remarque) le tout sur fond d'images d'archives et de fictions, de photos et de films d'époque.

    Lors de l'avant-première à Paris, pas une personnalité politique de la sarkozie n'était là. Sauf une : Jeannette Bougrab, qui a prêté sa voix pour le film. Et Patrick Buisson a insisté sur la seule fidélité de cette fille de harki :

    "Je n'ai pas eu longtemps à m'interroger pour trouver la voix féminine de ce film. Ce ne pouvait être qu'elle. Me sont revenus à l'esprit ces vers du poète français Rutebeuf : Ce sont amis que vent emporte/Et il ventait devant ma porte/Les emporta. Eh bien, le vent a soufflé devant ma porte. Il a emporté beaucoup beaucoup d'amis et de ceux qui se prétendaient tels. Il ne t'a pas emportée, toi, Jeannette, et quelques autres non plus, si j'en juge la composition de cette salle."

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  • UE : c’est non une question d’union, mais une question d’identité

    Citation de Chesterton trouvée sur le blog des amis de Chesterton, avec cette question en titre :

    "Un regard sur l’Europe… actuelle ?

    "Il peut arriver qu’il soit aussi facile de réunir dix nations en un empire que de changer dix shillings en un demi-souverain. Mais cela peut être aussi insensé que de changer dix terriers en un dogue. En tout cas, c’est non une question d’union ou d’absence d’union, mais une question d’identité ou de manque d’identité."

    Michel Janva

  • Une Cour d’appel américaine casse une décision jugeant « anticonstitutionnelle » la définition du mariage entre un homme et une femme

    La 6ème cour d’appel des Etats-Unis (Michigan, Ohio, Tennessee et Kentucky) a rejeté la décision d’un juge fédéral qui avait décidé que « l’interdiction du mariage homosexuel » dans le Michigan était anticonstitutionnelle, après avoir été saisi par une paire homosexuelle qui se plaignait de ne pouvoir adopter « leurs enfants ».

    Le juge parlait d’interdiction du mariage homosexuel, c’est en réalité une seule inscription dans la Constitution de l’Etat d’une définition du mariage comme étant l’union d’un homme et d’une femme.

    La cour d’appel (à une majorité de deux contre un) a considéré que c’était aux citoyens de se prononcer, et que ces derniers n’avaient pas à demander aux juges de trancher ce genre de question.

    Une première qui ira sans doute devant la Cour suprême. Mais la cour d’appel a rappelé que les règles de la Cour Suprême conféraient aux états le droit de mettre en place une politique sur le mariage : « Depuis la création de la république jusqu’en 2003, tous les états définissaient le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, ce qui veut dire que le 14ème amendement (qui garantit «  légale protection des personnes ») permet, même s’il ne l’oblige pas, aux états de définir ainsi le mariage »

    Elle a par ailleurs ajouté un paragraphe que nos « élites » devraient lire avec attention : « une dose d’humilité nous fait hésiter avant de juger anticonstitutionnellement irrationnelle une vision du mariage partagée jusque récemment par toutes les sociétés du monde, partagée par la plupart, si ce n’est tous, de nos ancêtres, et partagée jusqu’à aujourd’hui par un nombre significatif de pays ».

    http://www.contre-info.com/

  • Les élus sont les serviteurs des banques qui les ont fait élire… Le tour de la question en 2 minutes 30 (Vidéo)

    Étienne Chouard, né le 21 décembre 1956 à Paris, est un enseignant français dans un lycée à Marseille. Principalement connu comme blogueur, il bénéficie d’une notoriété grandissante depuis 2005, en argumentant alors pour le « non » à l’occasion de la campagne du référendum français sur le traité établissant une constitution pour l’Europe. Source

    Intéressant constat par Etienne Chouard, du système ploutocrate d’où sont issus les dirigeants qui sont à la tête de la France depuis deux cents ans.

    Petit rappel historique:

    La Révolution de 1789 a été fondamentalement une révolte de la haute bourgeoisie contre la Royauté et la Religion. Louis XVI s’est vu imposer comme Ministre des Finances le banquier suisse, protestant et franc-maçon, Jacques Necker, qui, prêtant de l’argent pour combler le déficit de la France, tenait la politique du Roi. La France était alors déficitaire bien qu’elle fut le pays le plus riche du monde. Mais les grands bourgeois immensément riches, ne contribuaient qu’infiniment peu au Trésor public. (Comme les grandes entreprises qui se réfugient dans les paradis fiscaux, ou qui bénéficient des largesses de l’Etat…) Ils voulaient imposer un système économique libéral inspiré de celui d’Angleterre.

    C’est cette situation, mais aujourd’hui en France, que décrit Etienne Chouard. En deux minutes trente, il dresse un constat très juste de l’aveuglement des électeurs face à la prétendue démocratie, même si dans cette courte intervention on ne comprend pas très bien les solutions qu’il préconise. Il était l’invité, en septembre dernier, de Frédéric Taddeï dans l’émission de France 2, « Ce soir ou jamais ».

    E.D.

     

    http://www.medias-presse.info/les-elus-sont-les-serviteurs-des-banques-qui-les-ont-fait-elir-le-tour-de-la-question-en-2-minutes-30-video/17812

  • Pour Éric Zemmour : La CGT est coincée entre la CFDT et le FN

    La CGT peine à sortir de la crise dans laquelle l’a plongée l’affaire de l’appartement de son numéro un. “En d’autres temps, on n’aurait guère tiqué. La CGT a l’habitude de bien traiter sa nomenklatura”, explique Éric Zemmour dans sa chronique RTL du 6 novembre dernier. Mais voilà, les temps changent. “Et pas toujours en bien, doit se dire Thierry Lepaon”. Pour le journaliste, on ne lui pardonne rien “parce qu’il ne compte plus”.

    Les effectifs de la centrale syndicale ont fondu comme neige au soleil. “La CGT n’est plus depuis belle lurette la courroie de transmission du Parti communiste d’antan, et l’argent de Moscou n’arrondit plus les fins de mois”, poursuit Éric Zemmour, qui note que la classe ouvrière a été “disloquée et marginalisée par des décennies de désindustrialisation, de délocalisation et d’immigration”.

    Seule la droite française, quand elle est au pouvoir, fait encore semblant d’en avoir peur et lui donne le rôle du méchant dans un savant théâtre d’ombres”, analyse le journaliste. Depuis l’avènement de Hollande, le partenaire officiel c’est la CFDT. Mais l’autre souci de la CGT, ce sont ses troupes “qui votent avec leurs pieds en faveur du Front national”. Marine Le Pen a d’ailleurs aligné sa politique sociale (retraite à 60 ans, augmentation du Smic…) sur les revendications cégétistes.

    http://fr.novopress.info/

  • Soirée France-Ukraine

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  • Jacob Cohen – Qu’est-ce qu’être antisioniste en France en 2014 ?

    L’écrivain Jacob Cohen était à Dijon le 26 septembre 2014 pour une conférence sur le thème : « Qu’est-ce qu’être antisioniste aujourd’hui en France ? »

    L’intervention de Jacob Cohen :


    Jacob Cohen – Qu’est-ce qu’être antisioniste en… par ERBourgogne

    Les questions du public :

    Jacob Cohen – Qu’est-ce qu’être antisioniste en… par ERBourgogne

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • L’homme n’existe pas

    Chose promise, chose due. La PMA pour personnes homosexuelles s’installe tranquillement dans le sillage du mariage pour tous. Jusqu’ici, elle n’était permise qu’aux couples hétérosexuels, sous condition d’être en âge de procréer et infertiles. Avec l’avis de la Cour de cassation du 22 septembre dernier, tout change ou plutôt, tout se met en place. C’est que le vote du mariage pour tous en mai 2013 rendait, depuis, intenable l’interdiction de la PMA aux personnes homosexuelles. Le mariage pour tous ayant entériné une conception de la famille dépourvue de toute racine anthropologique, l’interdiction de la PMA ne reposait plus que sur d’ignominieux vestiges homophobes. L’attachement à la « biologisation de la filiation » – terme barbare pour n’indiquer rien d’autre que la nécessaire altérité homme-femme pour pouvoir procréer – dont se rendait coupable l’interdiction contrastait trop avec le déni de réalité de rigueur. Eh bien voilà que la Cour, d’un revers de robe rouge, vient docilement mettre un terme à cette incohérence fomentée par ceux-là même qui la dénonce. Et il est désormais considéré dans l’intérêt de l’enfant que de permettre son adoption par la conjointe de sa mère, aux dépens des troubles à l’ordre public collatéraux.

    Dans le rapport de la Cour, ainsi que les savantes conclusions de l’avocat général, il fut aussi question de fraude à la loi. Tout un développement est ainsi consacré, en vain, à savoir si, oui ou non, il y a détournement de l’institution de l’adoption, auquel cas la fraude serait de nature à empêcher l’adoption de l’enfant par la conjointe. Le détournement consiste à provoquer la nécessité de l’adoption par l’ablation délibérée d’une branche de la filiation de l’enfant. Or, c’est précisément ce que prévoit la PMA avec tiers donneur, que ce soit pour les couples hétéro- ou homosexuels, quand il est admis que le père biologique ne prétendra par principe à aucune paternité. On le voit, l’enfant est bel et bien conditionné dès sa naissance à l’adoption. Ce qui correspond ni plus ni moins au détournement dont il était question : c’est-à-dire le fait de rendre délibérément l’enfant adoptable. Autrement dit, par la PMA avec tiers donneur, le mal que l’institution de l’adoption s’évertuait à enrayer depuis toujours devient d’un coup vulgaire marchandise, avec sa propre chaîne de production médico-légale et ses consommateurs cibles. On produit un manque chez l’enfant pour avoir à le combler par la suite. De la même façon que l’argument de l’altérité homme-femme ne justifiait plus l’interdiction de la PMA aux couples homosexuels, la question du détournement de l’institution de l’adoption perd toute substance face à la nouvelle conception an-anthropologique de la famille. Peu importe que l’enfant soit conçu délibérément en situation de manque puisque la conception même de ce manque repose sur une lecture anthropologique et donc homophobe de l’être humain.

    Les garde-fous sautent les uns après les autres. A chaque réforme sociétale les politiques s’accordent sur des compromissions qui ont pour seul effet de tromper l’électeur sur ce à quoi le législateur s’engage réellement. Le divorce et l’avortement, le PACS et le mariage homosexuel, la PMA et la GPA. Autant d’exemples passés et présents. D’aucuns veulent y voir les bienfaits d’une élite éclairée et pédagogue. J’y vois plutôt la prétention d’imposer au peuple ce que son histoire, sa culture, ses traditions, et plus encore son cœur lui interdisent de croire : à savoir, que l’homme n’a rien de réel, que la nature qui l’a fait ne nous dit rien sur lui, qu’il n’est qu’un concept sans ancrage anthropologique aucun. En somme, que l’homme n’existe pas. Alors qu’un certain relativisme de convenance pouvait faire bonne effet dans les médias, le nihilisme qui s’installe, lui, ne se contentera pas de simples discours passifs. La menace est réelle. A nous d’agir.

    Tribune écrite par Melchior de Solages.

    Le Salon Beige