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  • Sarkozy : "Honte à ceux qui abandonnent la langue française"

    Sarkozy a dit lors de son meeting vendredi soir à Paris "Honte à ceux qui abandonnent la langue française". Donc honte à Sarkozy :

    En janvier 2008, les parlementaires français votent le renoncement à l’exigence de traduction comme il est clairement énoncé à l’article premier du Protocole de Londres et ce, contre l’avis de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie.

    En janvier 2009 la France renonce au français comme langue de travail au sein de l’ agence internationale des énergies renouvelables (IRENA), elle pousse les 27 autres pays de la Francophonie à faire de l’anglais la seule et unique langue de travail et renforce l’hégémonie linguistique à l’encontre des intérêts de tous les francophones. L’Organisation Internationale de la Francophonie tente maintenant de faire modifier le régime linguistique vers le multilinguisme.

    En juin 2009, le Conseil Economique, Social et environnemental (le tristement connu CESE) écrit dans un rapport »que « le recours à l’anglais comme code commun se généralise, sans que cela soit nécessairement une menace pour la diversité des langues. C'est une facilité dont certains Français hésitent encore à se servir, alors que, pour d’autres, c’est la solution miracle ».

    En juin 2010, l’arrêté ministériel instituant l’anglais comme seule et unique langue obligatoire pour l’épreuve orale du concours d’entrée à l’Ecole nationale de la magistrature est confirmé par le Conseil d’Etat.

    En janvier 2012, l’Agence française de développement (AFD), établissement public agissant pour le compte de l’Etat, émet un appel à projets pour une conférence le 14 juin à Paris. Elle exige de la part des soumissionnaires français des réponses exclusivement en anglais.

    Michel Janva

  • Ce n’est pas seulement les hommes politiques qu’il faut changer, c’est toute la base politique !

    Ils veulent tous réformer, amender, modifier. Si vous pensez tous qu’il faut réformer, nous sommes d’accord sur un point, c’est qu’il faut tout changer, à commencer par vous ! 

    On ne compte plus le nombre d’élus ou de membres du gouvernement qui ont eu des démêlés avec la justice. Sous Hollande, il y a Ayrault, ou encore Harlem Désir, même Taubira qui a oublié ce qu’était le droit du travail à l’égard de ses collaborateurs, et après elle vient nous donner des leçons de morale en matière sociale. 

    Puis toutes les affaires qui en deux ans se sont accumulées, pas mal pour un président qui prône la transparence et l’honnêteté : Aquilino Morelle a dû démissionner, l’inénarrable Jérôme Cahuzac, Laurent Fabius et ses tableaux qui valent une vie de travail, le fils Fabius qui aime dépenser plusieurs dizaines de milliers d’euros en une soirée, et qui a des soucis liés à diverses magouilles, Thévenoud et Macron, le néant de la bêtise, atteints de « phobie administrative » quand, de l’autre côté, on augmente nos impôts et que de braves français précaires se retrouvent imposés alors qu’avant, faute de moyens, ils ne pouvaient pas payer d’impôts. Le journal Marianne a aussi récemment pointé du doigt les dépenses du président du Conseil régional Jean-Paul Huchon… 

    Mais nous, on n’a le droit de rien dire : l’Aide Médicale d’État est accordée aux immigrants clandestins, ne vous inquiétez pas, si vous souhaitez quitter la Sécu, une loi va bientôt le pénaliser. Vous devrez payer et vous taire. Et quid de nos compatriotes qui n’ont pas les moyens de payer ? L’anti-France du gouvernement n’en a que faire. 

    L’immigration est trop forte ? Arrêtez ces propos racistes que je ne saurais entendre. C’est mieux en effet de fermer les yeux sur ce qui se passe à Calais. Même la police a annoncé qu’elle ne pouvait assurer sa propre sécurité, alors celle des citoyens… 

    Moins d’un tiers des Français sont satisfaits de l’Europe, ce n’est pas grave, on délègue à l’Union européenne notre souveraineté pour signer le TAFTA et le TISA. 

    Les gouvernants ont trouvé la parade, on arrête le social et l’économique pour s’attarder sur le sociétal, on ne parle plus de ces sujets fâcheux, c’est mieux d’apprendre à nos enfants qu’il est possible pour un garçon de porter une jupe et à la fille de jouer aux jeux de garçons… 

    La liste pourrait être longue tant la bêtise humaine est incarnée par ce gouvernement et ces élus décadents qui ne pensent qu’à leurs intérêts privés. 

    Alain de Benoist est récemment intervenu pour dire que ce qu’il nous faut, c’est une seconde Révolution française, et il a entièrement raison. C’est la seule manière de pouvoir changer de référentiel et de faire entendre la vox populi.

    La gauche m'a tuer

    http://www.oragesdacier.info/

  • Europe Maxima : La révolution ontologique de Francis Cousin

    En janvier 2012, à quelques semaines du premier tour de l’élection présidentielle, des folliculaires d’une célèbre feuille de choux vespérale, spécialisés dans la dénonciation de tous ceux qui pensent mal, s’alertaient des accointances coupables entre Francis Cousin et Marine Le Pen. Celle-ci citait en effet dans Pour que vive la Francedes extraits de La société de l’indistinction, un essai en partie rédigé par Francis Cousin.

    Diplômé en philosophie et philo-analyste de métier, Francis Cousin participe à un groupe informel de rédaction nommé « Gustave Lefrançais » qui a intégré un inter-collectif officieux, « L’Internationale ». D’émanation clairement situationniste et d’ultra-gauche, ces équipes n’ont pas hésité à collaborer à Europe Maxima sans en partager le dessein. Contrairement à maints de leurs « camarades » sectaires et arrogants, ces militants ont montré à diverses reprises leur esprit d’ouverture, leur goût pour la discussion franche, directe et courtoise et leur désir de confronter des idées sans s’invectiver. En leur sein, Francis Cousin en est l’éminent maïeuticien.

    Longtemps réticent à publier un écrit sous sa signature, l’ami Cousin s’est finalement décidé à sortir L’être contre l’avoir, un ouvrage de haute volée, à la lecture exigeante et à la réflexion ciselée. Ce livre déclare une guerre totale à la présente société marchande et à ses pâles idoles. Lecteur assidu de Guy Debord, de Karl Marx, de Friedrich Engels, de Pierre Clastres, de Marshall Sahlins et de quelques présocratiques, l’auteur y défend la « tradition primordiale de l’être ». Attention cependant au risque compréhensible de confusion ! Cette « tradition primordiale »-là n’a rien à voir et ne se compare pas avec la Tradition primordiale d’un René Guénon ou d’un Julius Evola. Pour Cousin, leur raisonnement s’est arrêté prématurément !

    La thèse de L’être contre l’avoir est résolument anti-politique et anti-économique. Pour son auteur, l’« essence du politique » chère à Julien Freund résulte de la fragmentation de l’unité totale originelle. Il dénie ainsi toute pertinence à la tripartition indo-européenne mise en évidence par Georges Dumézil. La tripartition est déjà pour Cousin une solide avancée de l’avoir aux âges anciens. À l’aube de l’humanité, aux temps pré-historiques donc, l’homme vivait dans la concorde, une « unité sacrale du cosmique originel qu’économie, religion, politique et science ont séparé (p. 316) ». « L’homme des vieilles communautés de l’être a vécu durant des millénaires anti-économiques et anti-politiques au rythme des saisons cosmiques dans une vie harmonique d’anti-argent avec la nature sacrale (p. 49). » Bref, pour Cousin, « la communauté primitive n’est pas une société sans argent et sans État, mais une société contre l’État et contre l’argent (p. 155) ». Il est donc légitime qu’à ses yeux, « toute l’histoire de la modernité est l’histoire du déploiement de la dialectique par laquelle l’avoir s’est employé à effacer le souvenir de l’être (p. 95) ». Mieux encore, il explique que « la communauté est le site cosmique de la pro-venance de l’homme en l’être alors que la polis est le site mercantile de sa relégation en l’avoir (p. 86) ».

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  • “Manger français” : certaines cantines ont déjà fait le choix du localisme

     

    Source : france3-regions.francetvinfo.fr - Mercredi les agriculteurs ont manifesté à l’appel de la FNSEA. Parmi leurs revendications : le manger français. Ils veulent entre autres inciter la restauration collective à privilégier les producteurs locaux. A Saint Côme en Gironde, la cantine scolaire s’est déjà lancée dans l’aventure.

    Produire français pour manger français. Les agriculteurs pointent l’absence de patriotisme, jusque dans les collectivités. C’est une des raisons pour les quelles ils ont manifesté mercredi. (…)

    Pour autant certaines collectivités ont déjà décidé de favoriser les productions locales. C’est le cas à Saint Come en Gironde où la cantine est approvisionnée par les producteurs de la zone qui livrent eux-même la petite cantine scolaire. La marchandise (viande, lait etc.) est ensuite cuisinée sur place.

    Les enfants s’alimentent ainsi sainement et participent une une philosophie de vie, même si ce sont leur parents qui ont eux-même choisi les producteurs. Au final, le repas leur coûte 2,50 euros. Le reste étant pris en charge par le syndicat à vocation scolaire.

    Cette filière courte a évidemment de réels avantages. Et de nombreux producteurs girondins seraient à la recherche de débouchés dans les cantines scolaires.

    http://fr.novopress.info/

  • Enorme scandale en Belgique : Les Anonymous publient une liste de personnalités impliquées dans le réseau de l'affaire Dutroux

    Le député Laurent Louis a relayé un mail que le collectif anonymous a adressé à l'ensemble des parlementaires de Belgique. Il contient la liste de tous les politiciens, hommes d'affaires et magistrats impliqués de prés ou de loin dans le réseau pédophile et criminel de l'affaire Dutroux, même des membres de la famille royale y sont explicitement mentionnés. 

    Bien entendu, Laurent Louis s'est fait traité de fou, on parle de lever son immunité parlementaire et de le poursuivre en justice ,ce qui n'a rien d'étonnant quand on sait qu'en Belgique l'activiste Marcel Vervloesem a été jeté en prison pour avoir exposé le réseau pédophile belge. Cette affaire illustre parfaitement comment une élite corrompue jusqu'à la moelle parvient à se maintenir au pouvoir en profitant de la faiblesse de la population. Sans sursaut populaire, toute initiative individuelle est vouée à l'échec. 

    La liste complète sur le blog de Laurent Louis : http://www.laurent-louis.be/blog/?p=843 

    A monsieur Flahaut, Président de la Chambre 

    A messieurs les Députés de la Chambre 

    Aux membres du Sénat 

    A tous les honnêtes hommes responsables d'un pays qui se veut un État de Droit, devenu dictature. 

    Tous les citoyens belges souhaitent porter à votre connaissance les faits suivants, relevés dans les 1235 pages du Dossier Bis Dutroux, récupérés dans divers médias, journaux, livres et informations télévisées. Les faits énumérés sont simplement notés, les magistrats, la sureté de l’État ont les preuves mais les occultent et ce, depuis 1996. 

    Nous accusons ces personnages, qui de pédocriminalité, qui de faux, usage de faux, vols, qui de délits d'initié, tous faits passibles de condamnations. Nous refusons que des hommes responsables d'un État se cachent derrière leur immunité pour perpétrer des fautes lourdes de conséquences puisqu'elles font vaciller le pays le menant au bord de la ruine, appauvrissant les citoyens au moyen de décisions gouvernementales honteuses et anti sociales, volant nos enfants pour satisfaire des besoins sexuels, de chantages et de commerces. 

    Depuis l'affaire Dutroux nous voyons s'amplifier la criminalité, cela suffit ! 

    Cette liste, par ses dénonciations de faits, n'est que la partie visible de l'iceberg de la pédocriminalité de notre pays, noblesse, clergé, magistrature et politique sont largement impliqués. 

    Nous demandons la réouverture du Dossier Bis Dutroux, la démission de toutes les personnes y incriminées ainsi que les membres de leur famille, estimant à juste titre qu'ils ne sont pas dignes de se trouver, ni en politique, ni à la Justice, ni aux postes d'administration d'institutions publiques. 

    Le système criminel actuel est composé de pédocriminels, de personnages à hautes fonctions mais menacés, sinon grassement payés et/ou manipulés. 

    Nous demandons qu'une Commission spéciale soit instaurée afin de combattre les réseaux pédophiles de terrain préférablement aux réseaux du net, tant est qu'il semble évident qu'un seul réseau au niveau de l’État existe, doté de nombreuses ramifications et dont les membres (entre autres de la Communauté Française) sont connus de quelques initiés. 

    Nous demandons un contrôle particulièrement sévère de toutes les Institutions pour enfants dont certaines sont le creuset de pratiques pédophiles ainsi que des associations subsidiées de la protection de l'enfance qui servent d'informateurs. 

    Nous dénonçons ici les membres du conseil d'administration et membre d'honneur de l'Institut Irsa, école de sourds-muets-aveugles, chaussée de Waterloo, lesquels sont les responsables du réseau pédocriminel belge. Ainsi que la direction et quelques membres du personnels de l'internat, nécessairement impliqués. 

    Nous exigeons la liberté immédiate et sans condition de Marcel Vervloesem, prisonnier politique, privé de liberté alors qu'il dénonçait les réseaux pédocriminels bien avant l'affaire Dutroux. 

    Nous demandons aux membres du Parlement de régler ces problèmes en urgence, toutes affaires cessantes. Étant bien évident que toutes les mesures sont prises pour une diffusion générale aux citoyens, un appel au référendum. 

    Ne nous sous-estimez pas, nous sommes légions. 

    Anonymous 

    Pour voir la liste sur le site, cliquez ici

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • L'art c'est plutôt fait pour élever l'âme

    Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français :


    "L'art c'est plutôt fait pour élever l'âme... par BFMTV

    Michel Janva

  • Il court, il court, le Sarko

    Les Français auront-ils une fois encore, une fois de trop la mémoire courte ? Prions le ciel qu’ils ne confondent pas politique et show-business.   

    « Souveraineté du peuple… Indépendance nationale… Sursaut républicain… Abolition des accords de Schengen… Réduction des compétences de l’Union européenne… Retour de l’honnêteté… » À ce vocabulaire et à ces thèmes, le connaisseur moyen de la vie politique française n’aura pas eu de peine à reconnaître le discours d’un orateur « populiste », puisque c’est ainsi que les médias persistent à qualifier avec mépris ceux qui ont l’outrecuidance de défendre la cause du peuple et de prendre le parti de la France.

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  • A Roubaix, le PS coincé entre la loi Taubira et le vote musulman

    A la section PS de Roubaix, les langues se délient :

    "Officiellement, on ne parle pas du vote musulman au PS de Roubaix. Juste du rapport entre « appartenance religieuse et engagement politique ». (...) Mais le sujet n’a pas été choisi de manière innocente. D’ailleurs, il rencontre un écho au sein de la section. Les questions fusent. «  Est-ce que, si on est musulman, on peut s’opposer au mariage pour tous sans être mis au ban du parti ?  », interroge l’un d’eux. «  Il y a une différence entre être opposé au mariage gay et être homophobe !  », enchaîne un autre militant. Marjolaine Pierrat-Feraille, conseillère municipale d’opposition, acquiesce : «  On ne peut pas être homophobe et être socialiste. En revanche, j’estime qu’on peut être contre le mariage pour tous en étant pleinement membre du PS. Il peut y avoir des débats  », scande-t-elle.

    Lors du vote du texte sur le mariage gay, tout opposant était vite assimilé à un homophobe. Mais au PS de Roubaix, on veut donner des gages aux militants de confession musulmane, et à travers eux, à l’électorat musulman. Mehdi Massrour, le secrétaire de section, annonce même la création d’un groupe de travail sur la question. «  Est-ce qu’un croyant devrait forcément voter à droite ? », s’interroge-t-il. Le conseiller général de Roubaix-Est a encore en mémoire la dernière élection municipale. «  C’est vrai que ça a joué, analyse-t-il. Le mariage pour tous, la théorie du genre, on n’a pas arrêté d’en entendre parler, et pas seulement chez les musulmans. On ne l’a pas vu venir, mais c’est sans aucun doute une des causes de la défaite.  » Et le PS ne veut pas revivre ça en 2020."

    Louise Tudy

  • État islamique : L’horreur avant les décapitations

    (NOVOpress via Courrier international)
    Dans une enquête fouillée, fondée sur les interviews d’anciens otages et autres témoins, The New York Times retrace le calvaire d’une vingtaine d’otages détenus par l’Etat islamique en Syrie.

    Les otages sont sortis de leur cellule un par un.
    Dans une pièce isolée, les ravisseurs leur posent à chacun trois questions très personnelles, technique classique utilisée pour fournir des preuves de vie lors des négociations de libération.
    James Foley retourne dans la cellule qu’il partage avec une vingtaine d’autres otages occidentaux et fond en larmes de joie. Les questions que ses ravisseurs lui ont posées portent sur des détails si intimes (“Qui a pleuré au mariage de ton frère ?”, “Qui était le capitaine de ton équipe de foot au lycée ?”) qu’il sait qu’ils sont enfin en contact avec sa famille.

    Nous sommes en décembre 2013. Plus d’un an s’est écoulé depuis qu’il a disparu sur une route du nord de la Syrie. Ses parents inquiets sauront enfin qu’il est vivant, dit-il à ses compagnons de captivité. Il est convaincu que son gouvernement négociera bientôt sa libération.
    Ce qui semble être un tournant décisif est en fait pour le journaliste américain de 40 ans le début d’une descente aux enfers qui s’achèvera au mois d’août suivant, lorsque ses geôliers le feront agenouiller quelque part dans les collines arides de Syrie et le décapiteront devant l’objectif d’une caméra.

    Sa mort filmée signe la fin très publique d’un calvaire très secret.

    (…)

    Bontinck, qui a été libéré à la fin de l’année dernière, est revenu pour la première fois sur ses expériences lors d’un entretien réalisé dans sa ville natale, Anvers. Il est l’un des quarante-six jeunes Belges inculpés pour appartenance à une organisation terroriste.

    Au début, les mauvais traitements ne semblent pas servir un objectif plus vaste. Et les djihadistes eux-mêmes ne paraissent pas trop savoir ce qu’ils feront de leurs otages, de plus en plus nombreux.

    A en croire Bontinck, James Foley et John Cantlie sont dans un premier temps détenus par le front Al-Nosra, groupe affilié à Al-Qaïda. Leurs gardes, trois anglophones qu’ils surnomment “les Beatles”, prennent apparemment un malin plaisir à les brutaliser. Ils sont ensuite remis à un autre groupe dirigé par des francophones, le “Conseil de la choura [organe consultatif] des moudjahiddines [combattants musulmans]“.

    Foley et Cantlie sont déplacés à au moins trois reprises avant d’être transférés dans les sous-sols de l’Hôpital des enfants de la ville d’Alep. C’est dans cette prison que Bontinck, qui n’a alors que 18 ans, rencontre Foley. Le jeune Belge était à l’origine un combattant, comme des milliers d’autres jeunes Européens attirés par la promesse du djihad. Il a été exclu du groupe lorsqu’il a reçu un texto de son père qui, depuis la Belgique, s’inquiétait pour lui. Son commandant l’a alors accusé d’être un espion.

    Les militants l’ont traîné dans une pièce du sous-sol aux murs brun clair. Il y a trouvé deux étrangers barbus, très maigres : James Foley et John Cantlie. Pendant les trois semaines où il a été enfermé avec eux, dès que l’appel à la prière retentissait, tous trois se levaient.

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