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  • Jean-Paul Gourevitch vs AFP

    Le 11 septembre 2014, l’Agence France Presse s’est penchée sur le dernier livre de Jean-Paul Gourevitch,« Les Migrations pour les nuls » aux éditions First. Étonné que la célèbre collection « Pour les nuls » confie la rédaction de cet opus à un auteur indépendant, l’AFP a publié une dépêche totalement à charge. La journaliste militante, Charlotte Plantive, catalogue M. Gourévitch comme « un auteur très marqué à droite »L'OJIM a analysé ce lynchage médiatique, toute la presse ne faisant que du recopiage de l'AFP.

    Pourquoi ce procès en règle ? Parce que ce livre sort de la doctrine officielle sur l'immigration et ne fait qu’alimenter « un discours anti-immigrés et anti-élites qui profite à l’extrême droite ». La dépêche cite ainsi le directeur de recherche à l’Institut national des études démographies (Ined) François Héran :

    « Le fait qu’un auteur comme celui-là soit chargé d’un livre d’initiation dans une collection aussi populaire est un signe révélateur de la lepénisation des esprits. »

    Ce dont se plaint l'AFP, c'est qu'un chercheur hors du système puisse s'exprimer dans un média grand public.

    Me Gilles-William Goldnadel, son avocat dénonce un article « totalement à charge » contre l’ouvrage, précisant que son client

    « s’étonne que la dépêche stigmatise sa participation sous forme d’entretiens ou d’interventions à des manifestations organisées par les uns en oubliant celles organisées par les autres ou en niant qu’elles aient eu lieu ».

    L’avocat reproche également à la journaliste de « soumettre de façon tendancieuse des éléments de langage extraits du livre uniquement à des personnalités de gauche ou d’extrême-gauche ».

    Suite à cette polémique, le peu d’effort des éditions First pour promouvoir l’ouvrage fut visible. Pas sûr qu’une autre maison d’édition « généraliste » ne fasse appel à M. Gourévitch. Et l'OJIM interroge :

    "Dans une société démocratique qui se respecte, un organe de presse fournissant près de 80 % de l’information des médias nationaux ne devrait-il pas souffrir d’un contrôle plus strict et d’obligations déontologiques accrues ? En soi, cet état de quasi-monopole est-il tolérable ?"

    Michel Janva

  • Samedi 13 décembre à Oullins (Rhône), colloque sur le Traité transatlantique

    Samedi 13 décembre, à Oullins (Rhône), aura lieu un colloque débat consacré au Traité transatlantique. Intitulé “Le Traité transatlantique, une menace face au libre-échange”, Ce colloque se tiendra de 11 heures à 20 heures, salle du pôle social du Golf, 4 rue Salvador-Allende. Participation aux frais : 5 euros. Les débats seront animés par Karim Ouchikh, président du SIEL, Jean-Marc Chevillard, délégué régional Rhône-Alpes du SIEL, Muriel Coativy, secrétaire départementale adjointe du Rhône du Front national, et Yannick Jaffré, du collectif Racines.

    Seront présents à ce colloque : Bernard Monnot, député français FN/RBM au Parlement européen, et Gilles Lebreton, député français SIEL/RBM au Parlement européen.

    A noter que plusieurs auteurs seront présents lors de ce colloque pour y dédicacer leurs ouvrages. Vous pourrez notamment y rencontrer Yannick Jaffré, pour “Vladimir Bonaparte Poutine, Essai sur la naissance des Républiques”, aux Editions Perspectives Libres, Nikola Mirkovic, pour “Le martyr du Kosovo” chez Jean Picollec, et Kader Hamiche, éditeur, pour la réédition du livre du Bachaga Boualam, “Mon pays, la France”.

    Informations et réservations : 06 26 82 00 27 et oullinsbleumarine@orange.fr

    http://fr.novopress.info/179677/samedi-13-decembre-oullins-rhone-colloque-traite-transatlantique/

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  • Un jour, un texte ! La Patrie selon Eugenio Corti

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. »

    Georges Bernanos, La France contre les robots

    Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui : la Patrie. (10)

    Entretien avec un romancier

    Eugénio Corti, romancier italien, est l'auteur, entre autres, d'une fresque historiquo-romanesque exceptionnelle : "Le cheval rouge"(traduit en français aux éditions de l'Age d'Homme).

    Corti parle souvent de défense de la patrie. Cet idéal est-il encore actuel ?

    L'ancien officier n'a pas à chercher ses mots pour répondre. Il a expliqué très souvent à ses soldats que leur sacrifice pour la communauté n'était pas vain ; il l'a répété très souvent, même après la guerre. Un exemple : l'histoire de ce soldat du sud du Latium blessé et hospitalisé à l'arrière. Il avait écrit au sous-lieutenant Corti pour lui demander de venir lui rendre visite ; il voulait entendre de ses lèvres, une fois de plus, les raisons de leur combat.

    « Il m'a demandé de lui parler de la patrie - précise Eugenio Corti - et à ce moment-là ce n'était pas facile, s'agissant d'un terme galvaudé, dont la rhétorique fasciste avait abusé. »

    Cette anecdote permet au lecteur de connaître une définition inoubliable de la patrie, une définition d'une actualité surprenante. Celle-là même qui avait convaincu le soldat-paysan Zaccagnini à reprendre les armes dans les rangs de l'armée régulière pour libérer l'Italie.

    L'officier lui avait dit : « La patrie ne doit pas être confondue avec les monuments des villes ou avec les livres d'histoire : c'est l'héritage que nous ont laissé nos ancêtres, nos pères. Ce sont les personnes qui nous ressemblent : les gens de notre famille, nos amis, nos voisins, ceux qui pensent comme nous ; c'est la maison où nous habitons, à laquelle nous pensons lorsque nous sommes loin, ce sont les belles choses que nous avons autour de nous. La patrie est notre façon de vivre, différente de celle de tous les autres peuples. »

    Le sous-lieutenant Corti ne voulait pas que la douleur et la fatigue du combat aient une signification abstraite ou lointaine. Il ajouta donc, à l'intention de ce soldat-paysan qui gardait dans son cœur ses champs et la voix des jeunes filles au travail : « Les vignobles, les jeunes filles qui chantent au milieu des vignes sont notre patrie. »

    Le jeune officier savait que le temps pressait ; il fallait agir, vite et bien. Avec une force que les années n'ont pas diminuée, il rappelle : « Nous étions jeunes, nous faisions des projets pour l'avenir. J'ai dit à ce soldat : "Nous devons reprendre en main notre patrie, pour pouvoir élever nos enfants comme nous l'entendons, en faire des Italiens et des chrétiens." Il valait et il vaut la peine de se dépenser pour cette cause. »

    Eugenio Corti

    Extrait de : « Parole d'un romancier chrétien ».

    Entretien avec Paola Scaglione – Éd. L'Age d'Homme.

    Lois Spalwer

  • Identité : au Mans, la troisième Marche du souvenir (Présent 8248)

    Le samedi 13 décembre, aura lieu au Mans la IIIème Marche du souvenir organisée par l’association La Compagnie du Maine. Elle s’élancera de la place Saint-Michel à 19 heures. Thomas Guérin est un des organisateurs de la marche.

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    Vous organisez, pour la troisième année consécutive, une Marche du souvenir dans le quartier historique du Mans, la Cité Plantagenêt. Pourquoi organiser cet événement ?

    L'affiche de la troisième Marche du souvenir

    L’affiche de la troisième Marche du souvenir

    Nous faisons partie de cette jeune génération qui a pleinement conscience de tous les maux qui composent ce que l’essayiste Eric Zemmour nomme le « suicide français ». Parmi ceux-ci, un nous semble central : le mépris de soi au nom d’un amour idéalisé de l’Autre, la haine ou, pire, l’oubli de nos racines au profit de toutes les racines de l’Autre. Nous avons l’intime conviction que nous ne pouvons maintenir une société heureuse et saine sans une profonde fierté. Fierté de notre histoire, de notre patrimoine, de notre culture plurimillénaire. Plus nous incarnerons cette fierté et plus nous serons à même de « faire peuple » et de relever les périlleux défis qui nous font face.

    Par cette marche, aussi humble soit-elle, nous incarnons nos valeurs et nous souhaitons ouvrir un chemin. De nombreuses initiatives peuvent ensuite s’inspirer de cet « état d’esprit ».

    A quelles initiatives pensez-vous ?

    Nous regardons avec le plus grand intérêt le retour aux racines qui se fait « par la base ». Le succès, désormais international, du parc du Puy du Fou en est une formidable illustration. Dans de nombreuses régions, des initiatives s’en inspirant durent depuis des décennies, se développent et essaiment. Les associations de restauration du patrimoine, de maintien d’une agriculture traditionnelle, de généalogie, de « circuits courts », rencontrent un succès réellement impressionnant. Cela se passe tout à fait en dehors des luttes politiques et même des zones de contrôle étatiques. C’est cela qui importe. Une véritable démocratie populaire est en train de renaître dans ces micro-communautés, sans d’ailleurs faire de bruit.

    Pourquoi retenir chaque année la date du 12 ou 13 décembre ?

    Une du numéro 8248 de "Présent"

    Une du numéro 8248 de “Présent”

    Nous avons choisi une date symbolique pour l’histoire locale. Les 12 et 13 décembre 1793, les insurgés vendéens auxquels s’étaient greffés de nombreux chouans firent au Mans une sinistre étape dans ce que l’on a appelé la « virée de Galerne ». Touchée par le froid, la faim et les épidémies, la colonne prit le contrôle du Mans le 10 décembre 1793. Deux jours plus tard, les forces vendéennes furent mises en déroute par les troupes républicaines, qui massacrèrent l’arrière de la colonne, encore bloquée dans les rues du Mans. Ne restaient essentiellement que les non-combattants : femmes, enfants ou blessés.

    Au-delà du symbole de l’insurrection vendéenne et chouanne, qui était une révolte de l’enracinement et des libertés concrètes contre l’égalitarisme jacobin, nous souhaitons évoquer notre plus longue mémoire lors de cette marche. Notre parcours sillonne des ruelles mélangeant de nombreux siècles de notre histoire, pour finir au pied des murailles romaines du IVème siècle (photo). C’est d’ailleurs derrière une bâche Vindunum, du nom latin de la ville du Mans, que marcheront familles et amis réunis autour des flambeaux de la mémoire et de l’unité d’un peuple.

    Informations : marchedusouvenir@gmail.com

    En partenariat avec le quotidien Présent – Chaque jour, retrouvez sur Novopress la Une du quotidien Présent ainsi qu’un article sélectionné par la rédaction et mis gratuitement à votre disposition. Seul quotidien de réinformation, Présent est unique dans le paysage médiatique français. Contribuez à abattre le mur de la bien-pensance et du médiatiquement correct, lisez et faites lire Présent ! Abonnez-vous !

    http://fr.novopress.info/

  • Dégradations à Lyon : les casseurs gauchistes mentent

    LYON (information exclusive Bloc Identitaire Lyon)
    Dans une tribune libre publiée sur le site Lyon Capitale intitulée « Nous détruisons pour passer un message », des militants d’extrême gauche tentent de justifier politiquement les violences commises (une quinzaine de policiers blessés, des dizaines de vitrines brisées, etc.) lors de la manifestation organisée par le Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite et Conex le 29 novembre dernier dans le centre-ville de Lyon.

    Selon les auteurs anonymes, « les cibles avaient une signification politique » et « aucun pillage n’a eu lieu et aucun commerçant “ordinaire” n’a été touché. Non. Seulement les banques, les panneaux publicitaires, les abris-bus, les agences d’intérim, les agences immobilières et McDo ont été touchés. »

    FAUX ! Puisque des militants du Bloc Identitaire Lyon ont pu constater les dégâts et discuter avec le soir même avec les commerçants attaqués dans la rue du Plâtre, et sont allés à la rencontre des victimes le week-end dernier avec un accueil très favorable de leur part.

    Liste non exhaustive :
    - Un magasin de vêtements pour femme : la porte vitrée a été brisée et quelques individus se sont introduits pour voler des affaires.
    - Boutiques ayant subi des coups de marteau dans leurs vitrines : un magasin de caleçons, une boucherie et un commerce d’ustensiles de cuisine !
    - Vitrines brisées pour un magasin de vêtement dans le secteur de Saxe-Gambetta.

    On est donc bien loin des « gentils militants » qui choisissent leurs cibles pour des considérations politiques… Les membres violents de la manifestation organisée par le Collectif de vigilance 69 contre l’extrême droite et Conex ressemblent plutôt à des casseurs incapables de la moindre réflexion politique. Une mouvance hétéroclite qui bénéficie d’une quasi-impunité judiciaire depuis plusieurs années, d’une coupable bienveillance journalistique et menaçant clairement de s’en prendre au local des Identitaires, « La Traboule ».

    http://fr.novopress.info/179660/degradations-lyon-les-casseurs-gauchistes-mentent/

  • Syndicats : moins d'adhérents, toujours plus d'argent ...

    Le gouvernement se prépare, en toute discrétion, à augmenter de 10 millions d'euros le financement des syndicats par les entreprises à partir de 2015.

    Pour l'instant, rien n'est officiel. Mais les projets de décret sont d'ores et déjà écrits. De quoi s'agit-il ? De la majoration des cotisations sociales payées par les employeurs, à partir du 1er janvier 2015, pour financer les organisations syndicales et patronales. Non seulement l'État va leur verser 30 millions d'euros chaque année, une étrange innovation en période de supposée baisse des dépenses publiques, mais les entreprises devront, de leur côté, leur consacrer une cotisation plus élevée que prévu.

    Le taux retenu avait été fixé dans un premier temps à 0,014 % de la masse salariale, soit environ 70 millions d'euros par an. Finalement, la loi Sapin sur la formation professionnelle votée en mars dernier aboutit à un décret d'application plus généreux. Ce sera non pas 0,014 mais "0,016 % des paies versées". Avec une masse salariale annuelle supérieure à 500 milliards, ces deux millièmes pour cent font grossir l'enveloppe de plus de 10 millions d'euros. 

    À quoi va servir tout cet argent ?

    Alors que les syndicats perdent chaque année des adhérents, il est paradoxal de leur offrir une gratification supplémentaire. Il se trouve à peine un salarié sur vingt, dans le secteur privé, pour faire acte d'adhésion. Dans certaines organisations, la manne dispensée par l'argent public et les cotisations des entreprises représentera bien davantage que les cotisations. C'est donc à une sorte de participation financière obligatoire que sont soumis beaucoup de Français, à la fois comme salariés - les cotisations payées par les entreprises, c'est autant qui ne va pas dans leurs poches - et comme contribuables.

    À quoi va servir tout cet argent ? À la CGT, Thierry Lepaon a fait preuve de créativité, mais le modèle qu'il a mis en place n'a pas fait l'unanimité. Nul doute qu'il trouvera de dignes successeurs, qui feront s'envoler les belles paroles du gouvernement sur le strict contrôle des sommes allouées.

    Sophie Coignard

    Le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuElEAuZFuWHwvwrDQ.shtml