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Enseignement moral et laïque : lavage de cerveaux à l’école (Présent 8249)
Dans la continuité de ce qu’avait annoncé son prédécesseur, Vincent Peillon, MmeNajat Vallaud-Belkacem (photo) a confirmé qu’à la rentrée 2015 les élèves bénéficieront d’un« enseignement moral et laïque »dès le primaire et tout au long de leur parcours scolaire.
Selon un sondage de l’Ifop de 2012, 91 % des parents approuveraient cet enseignement. Nous le croyons volontiers. Car la plupart, en entendant le mot « moral », pense que, comme jadis, le professeur va dire aux enfants qu’il faut accomplir le bien et éviter le mal, qu’on ne doit pas voler, tricher, mentir,« qui vole un œuf, vole une bœuf ». Cela fait sourire notre ministre, ce n’est pas cette morale« désuète »qu’elle a en tête ! L’enseignement« moral et laïque »nouveau, explique-t-elle« aura vocation à accompagner les élèves pour qu’ils se forgent un jugement citoyen, un jugement libre et éclairé, à lutter contre le racisme, à promouvoir la coexistence, le vivre-ensemble ». Si c’est pour combattre le racisme, pas besoin d’un programme spécifique ! Depuis un moment déjà, l’histoire, le français, l’économie, entre autres, sont l’occasion de dénoncer cette hydre ! On a compris que« le jugement libre et éclairé »à imposer aux gamins vise à les« délivrer »de l’influence des parents, conformément à ce rappelait Vincent Peillon :« Le but de la morale laïque est d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel. »
Mais il est vrai qu’il serait délicat pour Najat Vallaud-Belkacem d’expliquer aux élèves qu’il faut être honnête quand tous les mois, ou presque, on apprend qu’un ministre, un député, un conseiller du Président est pris la main dans le pot à confitures !
En fait, la morale dans les établissements scolaires existe depuis un moment déjà ! Il s’agit en réalité d’une antimorale à travers l’éducation sexuelle obligatoire. Si on disait cela à MmeNajat Vallaud-Belkacem, elle ouvrirait des grands yeux étonnés ! Montrer comment on enfile un préservatif, inciter les jeunes filles à prendre la pilule et à avoir recours à l’avortement en cas d’échec, cela n’a rien à voir avec la morale, dira-t-elle ! Pas plus que leur enseigner qu’hétérosexualité et homosexualité c’est bonnet blanc et blanc bonnet. Il s’agit seulement d’informations médicales, pratiques, techniques pour qu’ils accèdent à la liberté sexuelle en rompant avec les« tabous »d’un autre âge! Avoir des relations sexuelles, quand on en a envie, avec qui l’on veut et comme on le veut, c’est normal ! Céder à ses désirs ce n’est ni bien ni mal, simplement c’est comme ça… Ah, si, tout de même, il y a un préalable et même un impératif catégorique : mettre une capote. En matière de« moralité », ce sera tout…
Et si les parents, catholiques (mais pas seulement) ne sont pas d’accord ? Eh bien ils ont tort, et on se passe d’ailleurs de leur avis. Et qu’ils n’insistent pas trop ! S’ils refusent la pilule à leur fille on pourrait les poursuivre pour maltraitance ou mise en danger. Souvenons-nous que les socialistes ont déjà créé un délit« d’entrave à l’avortement »…
Guy Rouvrais
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Manuels Valls a-t-il honte de son islamolâtrie obséquieuse ?
Le califat islamique en Irak vient d’édicter son règlement relatif aux esclaves de sexe féminin, son butin de guerre djihadiste vendu aux enchères. A Mossoul, des enfants chrétiens ont été égorgés après avoir refusé de devenir musulmans. Les immigrés musulmans en Europe prient pour que le Califat vainque. Etc. Ainsi va l’Islam réel. Mais surtout, il ne faut pas faire d’amalgame avec l’Islam fantasmé.
Rappelez-vous. C’était le 26 juin 2014 et Manuel Valls était venu à l’Institut du Monde Arabe voir son pote Jack Lang, bienheureux directeur à plus de 10 000 Euros par mois, pour y faire un discours dégoulinant de dhimmitude et d’islamolâtrie obséquieuse. Etait-il vraiment nécessaire d’en dire autant ? Un paragraphe avait particulièrement retenu notre attention. Il disait :
Vous avez bien lu : « L’Islam est la seconde religion de France ! Mais, au-delà des musulmans de France, c’est toute une Nation qui reconnait ici la grandeur, la finesse et la diversité de l’Islam ; c’est toute une Nation qui dit aussi que l’Islam a toute sa place en France, parce que l’Islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieux de ceux qui en détournent et en salissent le message. » Euh, sauf que ce discours, c’est l’Islam fantasmé.
Le passage est disponible ici sur le site du gouvernement « français » :
Les gens attentifs, dont je suis, auront noté que le paragraphe ci-dessus est toujours présent dans le pdf joint, mais qu’il a disparu de la version en ligne :
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Gattaz, Valls et Macron ou la loi des nouveaux esclavagistes : le MEDEF en rêvait, le PS l’a fait !
Le MEDEF demandait depuis plusieurs années de libéraliser le travail du dimanche au nom de l’emploi et de la croissance. La loi Macron est en passe d’accorder le démantèlement du repos dominical.
MPI avait déjà traité de ce sujet, et comme je l’avais écrit dans ce précédent article, si les Français n’ont pas d’argent, ils n’iront pas en dépenser d’avantage si les magasins sont ouverts le dimanche ! Eventuellement ils feront le dimanche les courses qu’ils ne feront plus en semaine ! Le seul objectif de ce projet est d’esclavagiser un peu plus la main d’œuvre, la rendant corvéable 7 jours sur 7 et 24h/24.
L’argument de M. Gattaz est de dire que les touristes qui sont en France consomment le dimanche, et que s’ils ne peuvent pas consommer, alors nous perdons de la richesse. Ce type d’argument est assez révélateur de l’état d’esprit de ceux qui nous gouvernent. N’en déplaise à M. Gattaz,
- La vie ne se résume pas à produire et à consommer
- Si les magasins sont fermés le dimanche, les touristes attendront le lundi
- La richesse passe après le bonheur et l’équilibre des familles et des individus dont le repos dominical est une composante essentielle.
Non, les salariés n’ont pas à faire les frais d’un système qui les enferme dans une compétitivité économique sans frein, et toute les promesses de compensation n’existeront plus quand le dimanche sera devenu un jour de travail comme les autres.
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Gilbert Collard sur le droit d'asile
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Dédicace à Paris
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Marx Lénine terreur et cocaïne
Le retour en France ce 10 décembre de Serge Lazarevic, heureux dénouement d'une affaire qui traînait depuis trop longtemps, nous a rapprochés de douloureux souvenirs. Au moment de la libération d'Ingrid Betancourt, par exemple, les Français ont eu l'occasion de comprendre que les réseaux terroristes, en l'occurrence ceux des Farc se finançaient en partie par les prises d'otages, c'est-à-dire par des versements de rançons.
Publiée le 30 juillet une enquête du "New York Times" estimait à et égard à plus de 105 millions de dollars le montant des rançons encaissées depuis 2008 par le seul groupe "al-Qaïda". Les Français détiendraient ainsi la triste première place avec des paiements cumulés de 58 millions de dollars, ce qui représentait au change de l'été dernier la valeur de 43 millions d’euros. Une coûteuse et peu honorable médaille d'or dont on se passerait bien.
Qu'il s'agisse de ces islamo-terroristes ou de ceux de "l'État islamiste" (1)⇓ , leurs ressources n'ont pas manqué de se diversifier. Les "djihadistes" d'Irak et de Syrie par exemple s'appuient sur la contrebande du pétrole, au cours très attractif pour les acheteurs de 20 dollars le baril. Ceci a conduit les Américains, engagés dans la lutte depuis août, à entreprendre avec succès de détruire par des bombardements les installations de raffinage.
Autre exemple, quand on apprend que la secte Boko Haram au Nigéria annonce cyniquement, – ce que d'autres accomplissent plus discrètement, – à savoir qu'elle vend comme esclaves les lycéennes enlevées par l'organisation on doit bien se représenter qu'il s'agit aussi, pour celle-ci, d'une source de revenus. Et cet ignoble commerce se retrouve dans un grand nombre de régions où règne ce mode d'action intrinsèquement pervers.
Par nature le terrorisme considère que tout est permis pour sa cause.
Au départ, on retrouve cette idée commune à beaucoup révoltés qui se veulent des révolutionnaires et qui en brandissent les drapeaux. "Eux" et "nous" : l'expression conduisait déjà la ligne de conduite des nihilistes russes, de la secte de Netchaïev. Celle-ci inspira à Dotoïevski son roman "les Possédés/les Démons" qui servit, avec les fausses doctrines de Marx, de matrice au léninisme. "Eux" sont supposés toujours et en toutes circonstances, des "salauds", des exploiteurs, des ennemis du peuple, hier "fascistes", aujourd'hui "néo-libéraux". Donc cela permet à "nous" d'utiliser, en invoquant au départ "la Cause" non seulement n'importe quel moyen d'action mais aussi n'importe quelle méthode de financement.
Le narco-terrorisme en Amérique latine vient de la sorte au secours de la guérilla marxiste-léniniste.
Voici de la sorte ce que je trouve sur l'excellente chronique des événements courants que met en ligne l'Institut d'Histoire sociale ce 11 décembre.
L'AFP, ce 8 décembre diffusait une importante nouvelle en provenance de Bogota. Quoique reprise par certains médias ("Le Parisien", "L'Express", etc) elle est sans doute passée inaperçue. Or, elle confirme matériellement le lien entre cette organisation terroriste d'extrême gauche et le trafic de drogue.
Plus d'une tonne de cocaïne, attribuée à la guérilla communiste des FARC, a été saisie au sud de la Colombie par les militaires près de la frontière avec l'Équateur, ont annoncé dimanche les autorités colombiennes. "Des unités de la marine ont saisi 1 123 kg de chlorhydrate de cocaïne cachés dans une zone marécageuse à l'embouchure du fleuve Mira à une quarantaine de kilomètres au sud de Tumaco, dans le département de Nariño. La cache appartient à une unité mobile des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC)"indique le communiqué des Forces navales du Pacifique.
La drogue répartie en 1 168 paquets cachés à l'intérieur de soixante sacs de fibres végétales noires, atteint sur le marché noir international une valeur estimée à 30 millions de dollars, précise le communiqué. La marine colombienne a saisi en une année, dans la région Pacifique, plus de trente tonnes de cocaïne, selon la même source. (2)⇓
Au total on se reportera à l'évaluation de l’agence des Nations Unies pour la lutte contre la drogue et le crime organisé. Cette institution estime à cet égard qu'après la Bolivie, gouvernée par le "cocalero" indianiste et marxiste Evo Morales les zones contrôlées par la guérilla en Colombie constituent l'un des principaux producteurs de cocaïne au monde et en ont produit environ 290 tonnes en 2013.
Après cela on aimerait que soient mises en perspective les prétendues révélations sur les méthodes et les mesures que les services de police ou de renseignement des pays occidentaux se trouvent, hélas, amenés à mettre en œuvre pour lutter contre la criminalité et la terreur.
JG Malliarakis
Apostilles
- on commence à prendre l'habitude de l'appeler "Daech" en français "Daesh" en anglais, mais en arabe ça se prononce plutôt "Daash" داعش. ⇑
- cf. le 11.12 Les FARC, entre le communisme et la cocaïne ⇑
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Martine Aubry défend le repos dominical
Dans une tribune du Monde, le maire de Lille s'oppose à la loi Macron et écrit notamment :
"Ce n’est pas une réforme subalterne, c’est un moment de vérité autour de la seule question qui vaille : dans quelle société voulons-nous vivre ?"
Dans le Figarovox, Etienne Neuville, vice-président du Collectif des Amis du Dimanche, salue cette prise de position interne au PS et donne des faits :
"les travaux économiques (Etudes CES 1993, CREDOC 2008, OFCE 2008 et 2014) arrivent unanimement aux mêmes conclusions: dans une économie atone, le travail du dimanche ne produit ni emploi ni croissance, mais simplement un transfert d'activité de la distribution de proximité vers la grande distribution. Et des dégâts collatéraux dans le modèle social.
L'expérience confirme ces études: personne n'a vu les «dizaines de milliers d'emplois» promis par le député Mallié en 2009. Pas plus que Bricorama n'a vu s'envoler le nombre de perceuses vendues par ses enseignes, depuis qu'il a obtenu l'autorisation d'ouvrir le dimanche autant que Leroy-Merlin. Les expériences menées par l'Espagne et l'Allemagne vont également dans ce sens. [...]
Céder à des mirages consuméristes pour engager la France dans un choix de société imaginée par des lobbyistes de grandes enseignes, ou des banquiers d'affaire, est une régression à tous niveaux: économique, humains, culturels, sociétaux. Il s'agit, toujours plus avant, de transformer les hommes en machines à consommer sans cesse davantage, sans réfléchir.
Ces arguments sont connus: ils ont été très finement défendus par M. Ayrault, au cours de la discussion sur la loi Mallié, en 2009. Ils ont été réaffirmés par le Président de la République, en mai 2012 «Le combat de 2012, c'est de préserver le principe du repos dominical, c'est-à-dire de permettre aux travailleurs de consacrer un jour de leur semaine à leur famille, au sport, à la culture, à la liberté. Et j'y veillerai.» Un article de Mme Aubry dans le Monded'aujourd'hui en fait une remarquable synthèse. [...]"
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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TVL : JT du 10/12/2014
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En Allemagne une victoire peut en cacher une autre
La réélection triomphale d'Angela Merkel à la tête de la droite allemande à Nuremberg, avec 96,7 % des mandats, ce 9 décembre ne semble appeler aucun commentaire sinon que cette dirigeante, au service de son pays, mérite mieux que les grossiers abois de M. Mélenchon, déshonorants pour le nôtre.
Notre attention hélas doit se porter sur la nomination, le 5 décembre, pour la première fois depuis l'unification, d'un néocommuniste en tant que chef de l'exécutif d'un Land. L'apparatchik marxiste et dirigeant syndical Bodo Ramelow est donc, après 3 mois de tractations, arrivé aux manettes de la Thuringe.
"Le Journal du Dimanche" daté du 6 décembre était bien bon pour ses lecteurs, et bien indulgent pour les communistes. C'est en effet en lui consacrant quelques lignes très neutres, qu'il évoquait cet événement survenu la veille. Au contraire, comme on pouvait s'y attendre, cette "grande première en Allemagne" était saluée à juste titre par "L'Humanité" du 8 décembre. L'ancien "organe central" se réjouit que "Die Linke gouverne" et publie une photo de son héros du jour exultant.
L'accession mécanique au poste de ministre-président de cette région historique n'est cependant qu'indirectement la conséquence du scrutin du 14 septembre. On doit immédiatement préciser, en effet, qu'elle résulte d'une manipulation intérieure des socialistes allemands et aucunement d'une victoire électorale du parti néocommuniste "die Linke".
Reprenons en effet les résultats. La CDU dirigeait sans interruption le Land de Bavière depuis 1990. Au scrutin de septembre elle obtenait 33,5 % des voix, contre 31 % en 2009. Elle n'a donc nullement été désavouée par les électeurs. Au contraire. Deux partis se sont effondrés : le SPD qui passe de 18,5 à 12,4 mais aussi le vieux parti libéral FDP qui a subi un recul généralisé dans tout le pays et descend à 2,5 contre 7,6 aux élections régionales précédentes, ce qui l'élimine constitutionnellement de la Diète d'Erfurt. Leurs rivaux de l'AfD, le parti anti-euro, arrivent en force avec 10,6 % des suffrages. Les Verts perdent eux aussi du terrain, 5,7 contre 6,2. Mais ils sauvent ainsi de justesse leur droit à la représentation. Ils garderont ainsi 6 sièges sur 91, de quoi faire basculer la majorité. Quant aux gens de Die Linke considérés comme les vainqueurs du 14 septembre ils avancent en pourcentage de 27,4 à 28,2. C'est trop bien sûr, et c'est le plus fort résultat de tous les nouveaux Länder, issus de l'ancienne Allemagne de l'est, où les suffrages des néocommunistes oscillent entre 18 et 28 %. En fait, les 3/4 des "Ossies" n'éprouvent aucune forme de nostalgie pour l'ancien régime en dépit des difficultés d'adaptation et du retard des territoires pollués par un demi-siècle de bureaucratie marxiste et d'occupation soviétique.
Cette situation paradoxale a permis de construire une majorité de 46 sièges sur 91. Elle a été composée des néocommunistes, des sociaux-démocrates et des écologistes. On doit quand même observer que les gens de "Die Linke" ne gagnent pas une seule voix, pas même au détriment des socialistes : c'est l'abstention qui a progressé de 3 points passant de 44 à 47 %.
Notre "front de gauche" fut inventé en 2009 par le Parti communiste français sur le modèle de "Die Linke", "la gauche en allemand". Or, ce parti reste détesté, outre-Rhin, et plus encore méprisé, de l'immense majorité des électeurs, lesquels savent comment il a été constitué, comme chez nous, selon la recette bien connu du pâté d'alouette.
En France l'alouette s'appelle "parti de gauche", dirigé par Jean-Luc Melenchon, deux ou trois grains de sels, plus un cheval qui persiste, lui, à s'intituler, imperturbablement parti communiste français.
En Allemagne, le petit volatile était du Land de Sarre. Il fut apporté en 2005 par Oskar Lafontaine, hier politicien assez trouble au sein du SPD, aujourd'hui compagnon de route très clair de la réhabilitation des anciens de la Stasi. Car le gros de la troupe de "Die Linke" est régulièrement constitué des derniers fleurons du parti communiste est-allemand.
Le porte-drapeau parlementaire, en la personne de Gregor Gysi, fut en 1989 le dernier chef de ce parti unique de l'Allemagne de l'est, parti "socialiste unifié" SED, succursale de la puissance occupante soviétique, parti rebaptisé PDS après l'unification du pays et qui parvint à survivre impuni pendant quelque 15 ans.
Exactement comme notre indécrottable PCF. Celui-ci reste trop souvent ressenti comme une pitoyable ambulance. Or, sur ce véhicule aujourd'hui sordide, on gagnerait à concentrer un peu plus l'attention, avant qu'il ne réapparaisse, flambant neuf, sous l'aspect d'un char de 30 tonnes.
JG Malliarakis