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  • Provocation : une église du Cher transformée en mosquée

    Le quotidien La Croix vient de reprendre une information sortie par LeBerry.fr. Une église catholique du Cher, désacralisée et mise en vente par le diocèse de Bourges, pourrait être rachetée par une association marocaine, pour en faire une mosquée. Cette affaire nous rappelle la Grande Mosquée de Cordoue transmuée en cathédrale, mais aussi la Basilique Sainte Sophie de Constantinople convertie en mosquée. 
    Il est vrai qu’on nous dit qu’il n’y a pas assez de mosquées en France. C’est pour cette raison que les musulmans sont amenés à prier dans la rue. Le Japon a pourtant trouvé la parade. Plutôt que de financer la construction de mosquées ou d’autoriser les fidèles à réquisitionner l’espace public pour y organiser des prières de rue, l’Etat nippon circoncis l’exercice du culte musulman aux lieux d’habitation. De cette manière, les Japonais ne se sentent pas agressés chez eux par des pratiques religieuses étrangères, qui peuvent toutefois s’exercer librement. 
    Mais revenons en France, où la Gauche et les associations anti-racistes dénoncent souvent ce qu’ils considèrent comme des provocations, faites aux musulmans. Quand l’hebdomadaire satyrique Charlie Hebdo a publié des caricatures de Mahomet, la Gauche a dénoncé des provocations inutiles et irresponsables. Quand Jean-François Copé, candidat à la présidence de l’UMP, a parlé du racisme anti-Blanc et des pains au chocolat arrachés des mains des enfants blancs pendant le ramadan, il s’agit bien encore de cela : il faut cesser de provoquer la communauté musulmane. 
    Mais n’est-ce pas une provocation faite à la communauté catholique par la communauté musulmane, quand il est question de racheter et de transformer une église en mosquée ?

  • [Grenoble] Charles SAINT-PROT au Centre Lesdiguières

    Le Centre Lesdiguières vous invite à la conférence de Charles SAINT-PROT, directeur de l’Observatoire d’études géopolitiques (www.etudes-geopolitiques.com ), professeur associé à l’Université Paris Descartes.

    Géopoliticien, il est spécialiste du monde arabe et de l’Islam et auteur de nombreux ouvrages dont plusieurs ont été traduits en anglais, en arabe, en espagnol ou en chinois. Dernière parution : Le mouvement national arabe (Ellipses).

    sur "Crépuscule du monde arabe"

    Lundi 23 février 2015 à 20 h.

    10 place Lavalette, 38000 Grenoble - salle du 1er étage (Tram : arrêt « Notre-Dame »)

    La conférence sera suivie d’un buffet convivial (Participation aux frais)

    Centre Lesdiguières - 6 rue Berthe de Boissieux - 38000 - Grenoble

     

    Depuis la destruction de l’Irak par les Etats-Unis, la nation arabe connait une crise qui menace de déstabiliser toute la région sud-méditerranéenne et n’est pas sans conséquences sur le reste du monde. Le prétendu « printemps arabe » n’a fait qu’aggraver les choses et mis jour les fractures profondes dans plusieurs pays. Jamais le monde arabe n’a été aussi faible, pour le plus grand profit de ses adversaires (Israël, Iran…) ou de ses concurrents (Turquie). Dans cette situation quelle peut être encore la politique arabe de la France ?

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Grenoble-Charles-SAINT-PROT-au

  • Pas d'amalgame...sauf contre le FN

    Plutôt que d'aller expliquer aux Danois le "pas d'amalgame", Bernard Cazeneuve devrait l'enseigner d'abord à son propre camp. Ainsi, le député socialiste Philippe Bie fait un lien direct entre la profanation du cimetière juif de Sarre-Union avec le FN :

    "C'est sans doute une coïncidence mais le FN a fait près de 41% aux dernières municipales à Sarre-Union"

    Quant au premier secrétaire du PS, le repris de justice Cambadélis, il estime que le FN : 

    "veut construire un régime d’apartheid pour séparer les communautés, entre Français de souche et Français de papier"

    Ils paniquent peut-être à l'idée que, selon de récents sondages, 30% des Français souhaitent une victoire du FN aux départemantalesque 42% des électeurs de Sarkozy seraient prêts à faire à voter FN et que 50% des sympathisants UMP sont favorables à des alliances avec le FN... 

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’UDMF, un parti musulman aux élections départementales

    La réalité a-t-elle fini par rejoindre la fiction ? À moins que ce ne soit l’inverse, la fiction n’ayant fait que consigner la froide réalité d’une société en voie d’islamisation douce. « Si l’islam n’est pas politique, il n’est rien », selon une citation attribuée à l’ayatollah Khomeyni par Michel Houellebecq dans Soumission.

    « Donner une voix à une partie de la population qui ne se retrouve pas dans les partis traditionnels », tel est l’objectif que se fixe l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) et son chef, Najib Azergui, qui présente des listes dans 8 cantons sur les 2000 que compte la France, de Bobigny à Bagneux, en passant par Les Mureaux, Strasbourg, Lyon, Nice ou Marseille.

    Ce micro-parti qui revendique un petit millier d’adhérents s’appuie sur un réseau de sympathisants disséminés aux quatre coins de France. « Sur le modèle […] antérieurement utilisé en France par le Parti communiste, l’action politique proprement dite était relayée par un réseau dense de mouvements de jeunesse, d’établissements culturels et d’associations caritatives » (Soumission, p.51-52).

    Cette formation politique microscopique n’en nourrit pas moins des ambitions présidentielles. À l’instar de Fraternité musulmane dans Soumission qui veillait à « conserver un positionnement modéré », l’UDMF écarte, évidemment, toute volonté d’« installer la charia en France ». Doit-on le croire, depuis qu’un Tariq Ramadan, brillant intellectuel musulman, au lendemain du 11 septembre, nous a habitués à la tactique – plus subtilement dissimulatrice que la « taqiyyah » chiite – du double langage, c’est-à-dire non pas la formulation de deux pensées contraires devant deux publics opposés, mais la présentation d’un « message cohérent qui sera compris de manière différente par deux auditoires différents » (Christopher Caldwell, Une révolution sous nos yeux, 2011) ?

    Aristide Leucate

    La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-UDMF-un-parti-musulman-aux

  • Gueule de bois : le voile est tombé, et c’est un linceul

    Maintenant, le bon peuple va se trouver confronté à deux dangers : le temps du terrorisme ou l’avènement d’un "Patriot Act" qui n’en portera pas le nom mais en aura tous les attributs.

    Qui a pu croire que permettre l’entrée de tant d’immigrés, essentiellement d’origine africaine et musulmane, depuis tant d’années, tant de décennies, se ferait sans dégâts collatéraux. C’était, et c’est encore une erreur fatale, ultime signe d’orgueil de nos politiques qui croient pouvoir tout maîtriser. Ceux-là mêmes qui prétendent exporter la démocratie au nom des droits de l’homme, dans des pays qui n’en connaissent même pas le sens. Ces politiques ont fait, à bon marché, la peau de quelques dictateurs, permettant l’émergence de l’hydre terroriste avec des millions de têtes, qu’il sera difficile à l’avenir de faire retourner dans la boîte où elle était enfermée et dont elle n’aurait jamais dû sortir.

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  • #Jesuiscopte

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  • Minsk II… un accord mort-né ?

    Les voies de la négociation étant épuisées, la guerre ouverte doit devenir la conclusion logique de la tragédie ukrainienne.

     

    Peu après minuit (heure d’entrée en vigueur du cessez-le-feu, ndlr), des lances-missiles multiples Grad ont atteint le centre du village de Popasna et tué deux civils, a annoncé Guennadi Moskal, gouverneur pro-Kiev de la région de Lougansk. Les autorités ukrainiennes ont précisé que les combats avaient cessé sur quasiment toute la ligne de front après 03H00.

    Se pose immédiatement une question gigogne : cet accord sera-t-il respecté… s’il connaît seulement un début d’exécution ? Interrogation pertinente au vu de l’intensification des combats dans la ville martyr de Debaltseve et de l’orage d’acier qui s’abat à l’heure actuelle sur Donetsk. En outre, qui en sont les garants ? En l’état des choses, rien ni personne ne semble pouvoir en imposer l’application sur le terrain.

    Remarquons que, parmi toutes les parties concernées ou impliquées dans le conflit, seules quatre étaient présentes à Minsk au chevet de l’Ukraine moribonde : son président, l’oligarque Porochenko, la chancelière allemande Merkel, le Français Hollande et le président russe Poutine. Quid de Federica Mogherini, haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité ? Pourquoi les Premiers ministres du Royaume-Uni et de la Pologne – ce dernier pays étant l’un des protagonistes du drame, ne serait-ce que par ses liens militaires avec Kiev – étaient-ils absents ? Quid, également, de M. Obama ? Malgré tout assis par procuration à la table des négociations en la personne de M. Porochenko.

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  • Le FN prêt à diriger des départements avec l'UMP et le PS

    Dans le cadre de majorités relatives, le Front national proposera de donner l'avantage à l'UMP ou au PS via une prise d'engagements sur plusieurs points relatifs aux compétences des conseils départementaux.

    Dimanche soir, le député PS Olivier Dussopt ne se réjouissait pas trop vite de la victoire du candidat de son parti à la législative partielle du Doubs. Au Scan, il confiait sa crainte pour les élections départementales de mars prochain: «Je crains que des départements soient ingouvernables. Il pourrait y avoir, dans certains départements, sept ou huit cantons remportés par le FN et ainsi priver le PS ou l'UMP de majorité absolue pour gouverner». Le député de l'Ardèche décrit là le principe des majorités relatives où un parti arrive en tête mais est contraint de former des alliances pour ne pas être mis en minorité par l'opposition.

    Yann Galut, son collègue du Cher partage la même analyse: «On va être confrontés à des seconds tours avec le FN. Après, certains vont devoir prendre leur responsabilité pour gouverner. Mon choix sera de ne pas mettre en difficulté le parti majoritaire mais je ne veux pas d'une gouvernance UMP-PS».

    «Nous ferons cette proposition à tout le monde»

    Au Front national, on se frotte déjà les mains. Si au niveau national ni l'UMP ni le PS ne souhaitent former d'alliance avec le FN pour dessiner une majorité solide, le parti de Marine Le Pen vient d'arrêter une stratégie pour tenter de convaincre les chefs de file locaux de ne pas suivre les consignes de Paris. «C'est très simple. Dans les départements où le FN pourra faire la bascule, pour le troisième tour (l'élection du président des conseils départementaux, ndlr), nous aurons plusieurs exigences que nous proposerons à tout le monde», confie au ScanFlorian Philippot, le vice-président du FN.

    «Ce seront des exigences politiques, des arguments de bon sens, des choses relatives aux compétences des conseils départementaux, sur les questions sociales, les handicapés, les personnes âgées, la lutte contre le communautarisme dans la petite enfance, la sécurité des collèges avec la vidéo-surveillance», esquisse le député européen.

    «Nous soutiendrons les personnes qui approuveront ces points sinon nous ne soutiendrons personne. Nous ferons cette proposition à tout le monde pour former une majorité», détaille-t-il. Toutefois, ce proche de Marine Le Pen dit s'attendre «à des petites combines» entre le PS et l'UMP pour former ensemble une majorité car, dit-il, «ils sont acculés».

    Mais Florian Philippot assure que le FN a pour «objectif prioritaire de gagner le plus de cantons» avant d'imaginer d'être aux manettes des conseils départementaux. «On part de zéro (le FN n'a qu'un seul conseiller général, ndlr). Il faut être réaliste, ça serait la cerise sur le gâteau si on gagne un département».

    À l'UMP, le député Hervé Mariton reconnaît que dans plusieurs départements, «le FN peut priver l'UMP d'un canton ou deux et donc de priver la droite de l'alternance» au profit du PS. L'ancien ministre plaide pour la reconnaissance dans son parti, «de la majorité relative» (ne pas empêcher le parti arrivé en tête de diriger le département). Mais le parlementaire reconnaît qu'il s'agit là d'une position «un peu plus forte que le ni-ni» qui a fait tant débat à l'UMP. «Ce débat, déjà acté lors des élections régionales de 1998, peut reprendre», avance-t-il.

    Tristan Quinault Maupoil

    source : lefigaro.fr :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukFApAVppQppMAVAc.shtml

  • L'Etat islamique affirme avoir décapité des chrétiens

    Petit à petit, ils précisent qui est leur ennemi : 

    "L'Etat islamique a mis en ligne dimanche une vidéo destinée à montrer la décapitation de 21 chrétiens égyptiens enlevés en Libye.

    Vêtus de combinaisons orange, les victimes sont décapitées après avoir été mises au sol. La vidéo apparaît via le fil Twitter d'un site soutenant les djihadistes de l'EI".

    Le Salon Beige

  • Hommage aux morts du 6 février 34, à Brasillach et à Bardèche (commémoration 2015)