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  • Explosion des fraudes à la paternité : tout est bon pour devenir Français !

    On apprend que l'Office central pour la répression de l'immigration irrégulière a traité, en 2014, trois fois plus de dossiers qu'en 2013.

     

    Un ami médecin qui travaillait à l’époque à l’hôpital de Créteil me racontait, voilà déjà une bonne dizaine d’années, le trafic de nombreuses femmes d’origine africaine avec les cartes Vitale. Ainsi, disait-il, « on voit la “même” mère venir accoucher trois ou quatre fois dans l’année. Elles se refilent les papiers… » Et que faites-vous ? « Rien. Que veux-tu qu’on fasse ? On a déjà du mal à faire notre boulot, et puis on n’est pas là pour faire la police et dénoncer les gens », m’avait-il répondu.

    Depuis, les enfants sont nés. Toujours plus nombreux. Et si l’on pouvait, alors, forcer le passage à l’hôpital avec la carte Vitale de la voisine, il est sans doute plus difficile, aujourd’hui, de faire enregistrer par la Sécu trois accouchements dans l’année. Mais l’imagination des candidats à la nationalité française étant sans limite, ils n’ont pas tardé à trouver la parade : la multiplication des ventres féconds étant sous surveillance, ce sont maintenant les pères qui se fabriquent, sur notre sol, des familles « à l’africaine » : 10, 20, 30… jusqu’à 44 enfants reconnus par le même père.

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  • Le républicain exemplaire du jour est une républicaine

    La maire de Montauban, Brigitte Barèges, du parti Les Républicains (LR, ex-UMP), a été placée en garde à vue pour détournement de fonds publics. L’élue est entendue dans le cadre d’une enquête concernant le financement présumé d’un emploi fictif, un chargé de communication, par la municipalité qu’elle dirige. Elle devrait être, ainsi que trois autres républicains, mise en garde à vue dans la journée.

    Brigitte Barèges est une républicaine exemplaire récidiviste : elle a été condamnée en octobre dernier à seulement un an d’inéligibilité pour avoir financé sur les fonds de la mairie une partie de sa dernière campagne municipale. Seul l’appel qu’elle a interjeté devant le Conseil d’État lui a permis jusqu’ici de conserver sa place.

    En bref

    * Le (deuxième) républicain exemplaire du jour

    Le maire libéral de Sanary-sur-Mer (Provence), Ferdinand Bernhard, a été mis en examen pour favoritisme, détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts et placé sous contrôle judiciaire. Une plainte a été déposée par une association locale après un rapport de la chambre régionale des comptes concernant les achats, le recrutement ou l’urbanisme.

    http://www.jeune-nation.com/actualite/jdj/20137-journal-du-17-juin-2015.html

  • La fresque raciste, sexiste et pro-immigration a été subventionnée par la mairie de Paris

    L'AGRIF a annoncé hier qu'elle porterait plainte. De son côté le FN condamneégalement cette fresque par la voix de Gabriel Robin, secrétaire général du tout nouveau Collectif Culture, Libertés et Création (CLIC) :

    CHpMtVrWsAAjc1x"(...) A première vue, la démarche peut sembler positive et donner un peu de vie à un mur qui autrement serait nu. En outre, l’association donne à de jeunes artistes la chance de se faire connaître du plus grand nombre.Cependant, par delà les meilleurs intentions affichées par les membres de l’association, certaines œuvres sont fortement politisées et présentent un message particulièrement négatif et vulgaire. L’association se sert de l’art pour faire de la propagande raciste et promouvoir l’immigration illégale.

    Sur l’œuvre exposée en ce moment, figurent deux mentions : « La France aux Français »  barrée, et juste en dessous « Les Françaises aux Africains ». Rappelons-nous qu’une jeune fille a été violée par plusieurs hommes à Evry l’an passé, au seul motif qu’elle était « française » et donc dans l’esprit de ces jeunes barbares « une fille facile»La mairie de Paris soutient un projet qui appelle à ne pas respecter la loi, et n’hésite pas à laisser une association faire la promotion de l’immigration massive et illégale. En outre, le message « Les Françaises aux Africains » est tout aussi raciste que sexiste, laissant penser que les Françaises doivent s’offrir à tous les immigrés clandestins. Dans cette peinture au propos abject, les femmes sont réifiées au profit des hommes.

    Anne Hidalgo doit demander instamment des explications à l’association LE M.U.R. (qui)touche une subvention de 17.000 Euros par an de la mairie de Paris"

    La fresque a fait rapidement l'objet de dégradations comme le montre la photo...

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « L’éloge du populisme » de Vincent Coussedière

    Pierre Le Vigan, urbaniste, essayiste, auteur de nombreux écrits qui portent sur l’histoire des idées et la philosophie.

    Trois ans après la parution de L’Eloge du populisme par Vincent Coussedière, ce que les médias appellent le « danger » du populisme, ou la « marée noire » du populisme, n’a cessé de prendre de l’ampleur. Saisissons l’occasion de revenir sur ce thème.
    Le populisme est souvent défini comme la démagogie dans la démocratie. C’est à peu de chose près la définition de Pierre-André Taguieff. Et s’il était autre chose ?

    Et si c’était l’irruption du peuple dans la politique, quand le peuple juge que ses dirigeants ne sont pas à la hauteur ? C’est l’hypothèse défendue par le philosophe Vincent Coussedière.

    Comme l’a fait plus récemment Chantal Delsol (Populisme. Les demeurés de l’histoire, Rocher, 2015), mais en apportant un éclairage neuf, Vincent Coussedière réhabilite le populisme. Le réduire à de la démagogie est ne pas voir son essence. Le populisme est une protestation qui apparaît quand les hommes politiques ne font plus de politique. C’est pourquoi on ne peut donner au populisme un contenu précis : le populisme n’est pas inévitablement xénophobe, il n’est ni ultra-libéral, même s’il comprend les difficultés du petit patronat, ni socialiste, même si ses électeurs sont souvent ouvriers ou modestes salariés. Le populisme vote aujourd’hui souvent Front national, ou ne vote pas, mais il pourrait voter autre chose si tel parti qui a ses préférences se révélait aussi politicien et surtout aussi impuissant que les autres à résoudre les problèmes du pays.

    Le populisme est avant tout une protestation contre le mépris du peuple par les élites, une réaction de défense contre ce qui est vécu comme une agression. Le gauchisme sociétal et l’européisme ont en effet convergé et fusionné. Le Monde et Libération représentent le fruit intellectuel de leur unification. Il est désormais de bon ton de se méfier du peuple. Les modes de scrutin sont modifiés en fonction de nécessités tactiques à court terme (modifications qui peuvent se révéler à double tranchant). Méprisé par les élites, dont le bilan n’est pourtant pas fameux depuis plus de trente ans, le peuple se sent dépossédé de sa liberté de choisir son avenir.

    Le populisme « correspond à ce moment de la vie des démocraties, où le peuple se met à contrecœur à faire de la politique, parce qu’il désespère de l’attitude des gouvernants qui n’en font plus ». C’est pourquoi l’idée que le populisme est une protestation contre les « dérives monarchiques » du pouvoir ou contre des gouvernants pas assez « proches des gens » est un contresens complet. Le peuple aimerait bien que nos gouvernants soient vraiment « monarques », au sens de souverains de la nation France. Il constate qu’ils ne maîtrisent rien, et c’est cela qu’il ne supporte plus : l’impuissance des prétendus puissants. Alors, le peuple réagit.

    Le populisme du peuple est un bricolage habile et vernaculaire. Il n’est pas une aspiration identitaire, car le peuple connaît sa propre diversité. Il ne peut être réduit à une aspiration à plus de démocratie directe. En effet, le peuple ne conteste pas la nécessité qu’existent des gens qui le représentent. Le peuple ne veut pas tout faire par lui-même. Il admet la délégation. Il veut, par contre, que ceux dont le métier est de diriger les affaires le fassent, et le fassent bien. Il ne veut pas des gens qui se défaussent de leur responsabilité. Il ne veut pas non plus d’une démocratie réduite à une « concertation », et de surcroît la plupart du temps sur des sujets volontairement mineurs. Il aurait sans doute aimé, en revanche, qu’on lui demande son avis sur la politique d’immigration et de regroupement familial. Il veut des gens qui assument leurs choix politiques et qui n’attendent pas pour se prononcer sur tel sujet d’être « en situation » (sic).

    L’essence du politique peut se trouver à la fois dans le peuple et dans un grand homme. Depuis le retrait du général De Gaulle, cette essence ne se trouve plus, en France, que dans le peuple. Tout le climat intellectuel actuel, et tout le travail des communicants, consiste à rendre impossible toute émergence d’un véritable homme d’Etat. La déception causée par Sarkozy de 2007 à 2012 est toute l’histoire de cet échec du retour au politique. Dès lors, le populisme – celui du peuple lui-même – est à la fois inévitable et sain. « Le populisme est l’entrée en résistance d’un peuple contre ses élites, parce qu’il a compris que celles-ci le mènent à l’abîme ».

    Pierre Le Vigan, 12/06/2015

    Vincent Coussedière, Eloge du populisme, Voies nouvelles, Elya éditions, 162 pages.

    Source : Metamag.fr

    Voir : 

    Populisme : les demeurés de l’histoire de Chantal Delsol, par Pierre Le Vigan

    Sarkozy, Hollande : pourquoi les Français ne veulent plus d’un président «authentique» par Vincent Coussedière

    http://www.polemia.com/leloge-du-populisme-de-vincent-coussediere/

  • Versailles humilié, Versailles souillé… par Claude BOURRINET

    Le château de Versailles aura subi toutes les avanies. Je ne parle pas uniquement du sort tragique du pauvre Louis XVI, de Marie-Antoinette, de leurs enfants, ni des hordes de touristes qui ont au moins le mérite, par leur présence, de rendre hommage à la beauté, mais de ce que lui fait subir la bande de parvenus qui s’est emparée des commandes de la Nation.

     

    En effet, depuis 2008, des artistes dits bêtement « contemporains » ont occupé les lieux, comme des parasites tentant de tirer pathétiquement de ce cadre prestigieux une légitimité artistique qu’ils sont en peine d’avoir, au contraire de l’argent qu’ils amassent. Se sont ainsi succédé, avec plus ou moins de bon goût, et, somme toute, une prédilection pour le clinquant et le pétant, histoire d’épater le bobo, Jeff Koons, Xavier Velhan, Takashi Marakani, Bernar Venet, Joana Vasconcelos, Penone, Lee Ufan, et, le dernier, Anish Kapoor, qui veut « bousculer » Le Nôtre (on le croît sans peine), qui mettra le « souk » dans les jardins en installant une sorte de sculpture ressemblant furieusement à un vagin, « le vagin de la reine qui prend le pouvoir », sans doute pour faire écho au Plug anal monumental que Paul MacCarthy avait érigé Place Vendôme, avant qu’il ne connût la piteuse débandaison qu’on sait. Notre « artiste » n’est pas en reste, car il veut, dans la salle du Jeu de Paume, présenter une « œuvre » dont le titre romantique est « Shooting into corner », et qui serait un canon tirant de la cire rouge vif. « Nous sommes là dans une espèce d’éjaculation qui se produit », commente finement notre génie, un symbole phallique dirigé vers un tableau censé transmettre les idées de liberté, d’égalité, de fraternité : on ne pouvait mieux trouver comme emblème du libéralisme triomphant.

     

    Et, pour couronner le tout (comme il se doit dans la demeure du Grand Roi), on apprend qu’une « fête galante » est donnée, une sorte de sauterie pour bobos parisiens, à cent vingt euros le billet d’entrée, et costumes d’époque obligatoires, histoire de dissuader le vilain, le manant (qui pouvait pénétrer dans Versailles, du temps de Louis XIV). L’oligarchie vulgaire, qui a remplacé la bourgeoisie d’antan autrement plus cultivée, ces nouveaux riches dont l’occupation favorite est de cracher sur l’Histoire de France, d’en effacer toutes les traces, s’est mise dans son petit crâne d’épicier une folie bovaresque, histoire de s’enivrer dans les ors de la monarchie, en oubliant, à travers ces froufrous, que le chômage a battu son record historique, et que les Français souffrent d’avoir perdu leurs racines.

     

    Mais à vouloir trop singer, on risque de terminer dans un affreux laboratoire d’expérimentations plus ou moins cruelles de l’Histoire telle qu’elle est. Il n’y a guère de kilomètres entre le Palais des Glaces et la Place de la Concorde, où les ancêtres fanatiques de ces minables pataugeaient dans le fleuve du sang innocent.

     

    Claude Bourrinet

     

    • D’abord mis en ligne sur Synthèse nationale, le 6 juin 2015.

    http://www.europemaxima.com/

  • « Exceptionnel et inédit », Gollnisch témoigne

    Samedi 13 juin Public Sénat diffusait pour la première fois  un documentaire, réalisé en 1988,  parPierre Jouve et le psychanalyste Ali Magoudi consacré à Jean-Marie Le Pen. Il ne fut jamais diffusé car, au-delà des analyses  et commentaires tendancieux  accompagnant ce portrait, il fut jugé alors trop majoratif pour le président du FN .  Il s’agit selon la présentation qui en est faite sur le site de la chaîne,  d’un  » portrait au plus près » de Jean-Marie Le Pen dans lequel il  » livresa vision du monde, son rapport à la famille, à la mort, sur la question des immigrés, des juifs, ou encore sa définition de la torture ». « Un document exceptionnel et inédit » que  nous mettons en ligne ici , ainsi que le débat qui en est le prolongement et  l’éclairage, qui a été enregistré il y a quelques jours  en présence de Bruno  Gollnisch.

    Le documentaire

     

    Le débat

    http://gollnisch.com/2015/06/17/exceptionnel-et-inedit-gollnisch-temoigne/

  • Ce que révèlent certains termes à la mode

    Je n'apprendrai pas au lecteur qu'une des caractéristiques de la mode est justement de se démoder. Elle ne fait succès que dans le cadre du présent. Pas un hasard si la mode est si tendance de nos jours, sachant le présentéisme qui caractérise la postmodernité. Si au sujet de la mode, on songe en tout premier lieu à l'habillement, il y a aussi une mode consistant en la mise en exergue de certains expressions et mots.

    Ainsi aujourd'hui par exemple le terme de « République » que l'on conjugue à toutes les sauces. Alors même que les Français ignoraient ce terme voilà encore peu, les voici désormais très nombreux – mode oblige – à l'utiliser. Au même titre que pour certaines expressions ou tics de langage, « cela fait bien » de les utiliser. C'est ainsi que l'on se retrouve « in » ou « branché ». Comme d'habitude, c'est une question de frime qui, elle, contrairement au terme, durera.

    On évoque donc beaucoup aujourd'hui la République alors même qu'elle est morte et ce, depuis longtemps. La postmodernité qui implique individualisme et subjectivisme n'est pas compatible avec l'esprit de la République. Cette dernière promeut la citoyenneté avec donc un fort versant collectif et l'affirmation des devoirs nécessaires, ce que nos contemporains ne veulent. D'où le succès de la démocratie libérale dont l'état d'esprit séduit, y compris chez ceux qui disent – en toute honnêteté – combattre le Système.

    Ceux là mêmes qui n'ont de cesse de répéter le terme de « République » ont été les premiers à l'enterrer en reconnaissant une valeur certaine aux communautarismes, digne d'écoute dans leur desiderata. Et ces communautarismes ne manquent pas, qu'ils soient régionaux, sexuels, ethniques, religieux … Ces communautarismes sont à l'oeuvre depuis environ un quart de siècle et ses représentant souhaitent bien sur tirer la couverture à eux, ce évidemment au dépens de la globalité nationale, cette dernière se voyant donc alors affaiblie.

    C'est justement parce que la République n'est plus que l'on en parle autant.

    Le phénomène est similaire avec le terme de « laïcité ». C'est très mode, très tendance que de la vanter, alors même qu'elle n'est plus. On peut aussi s'interroger – subjectivisme oblige – si deux Français utilisant le terme, en ont la même définition. Ce qui a tué la laïcité en France, c' est justement l'apparition de communautarismes religieux très revendicatifs, que les gouvernement successifs ont malheureusement reconnus.

    Même l'identité – terme aussi à la mode – qui fait référence à l'essence de la France est sujet à débats. Cela signifie que l'identité ne va plus de soi comme c'est aussi le cas pour « république » et « laïcité ».

    C'est là phénomène inquiétant : la France perd son âme ...

    Alain Rebours

    http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EuFukZVFpAupwDyVmz.shtml

  • Action Française : [Lyon] Barbecue de fin d’année

     

    Affluence et bonne humeur pour le barbecue de fin d’année militante de la section lyonnaise ! Spectacle médiéval en prime ! Merci à nos hôtes et tous au CMRDS !

     
  • Calais « zone de guerre » : camions pris d’assaut par les clandestins

    Des touristes néo-zélandais ont filmé une scène choquante pour eux, hélas banale pour nous : les prise d’assaut de camions par des clandestins aux alentours de Calais.

    La diffusion de cette vidéo intervient au moment où justement, les responsables d’un syndicat de transporteurs, Freight Transport Association, tirent la sonnette d’alarme et parlent désormais de « zone de guerre » pour décrire Calais. la vidéo fait grand bruit outre-Manche. On se souvient du cri d’alarme poussé par des chauffeurs anglais, boycottant Calais de peur que quelqu’un finisse par se faire tuer par les clandestins (voir tweet ci-dessous). Dans le même temps, des motards de la police ont filmé leur intervention sur la rocade de Calais, pour montrer à quel point la situation est tendue.

    On ne peut interpeller personne, on les sort des camions et ils reviennent aussitôt. C’est sans fin…

    explique David Michaux, du syndicat UNSA-Police. Il précise : “On veut aussi montrer que de nombreux migrants sont pacifiques mais aussi que certains, notamment les passeurs, n’hésitent pas à s’en prendre à nous, à nous provoquer, à avoir des comportements très limites.”

    Crédit photo : capture d’écran de la vidéo de touristes montrant un camion pris d’assaut par les clandestins le 8 juin 2015

     

    http://fr.novopress.info/189293/calais-zone-de-guerre-camions-pris-dassaut-par-les-clandestins/#more-189293