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  • Il faut se battre pour montrer le réel

    Il est interdit de montrer Vincent Lambert, de montrer un foetus avorté, demontrer le film Le Cri silencieux à des lycéens, de montrer des enfants porteurs de la trisomie à la TV (dixit le CSA), de montrer les crimes islamistes... Jean-Marie Le Méné estime que la guerre des images fait rage et qu'il faut se battre pour montrer le réel :

    "Nos sociétés d’images imposées sont quelquefois piégées par les images rebelles. Car il y a image et image, les permises et les interdites, les citoyennes et les extrémistes, les pieuses et les blasphématoires.

    Dans l’affaire du Planning familial américain, pris la main dans le sac à vendre des morceaux de bébés avortés à la recherche médicale, il s’agit d’images prises en caméra cachée, par des militants pro-life, sur un sujet sanctuarisé : l’avortement.C’est dire si nous sommes dans l’interdit, l’extrémisme et le blasphème. C’est dire si ces images sont inconvenantes et suspectes.Mais quand elles arrivent à franchir la ligne de démarcation, comme c’est le cas ici, leur effet est multiplié, tant elles montrent le plus difficile à montrer, ce qui est.

    La guerre des images fait rage parce que, contrairement à ce que l’on croit, il faut se battre pour montrer le réel. Le réel, c’est ce qui résiste.En revanche, il est permis tant qu’on voudra – et même recommandé – de montrer des images qui ne présentent que du virtuel ou du maîtrisé idéologiquement.La prétendue civilisation de l’image n’est pas tellement libre.

    Quand la fondation Lejeune compare les images respectives d’embryons d’animaux et d’embryons humains, en montrant que les premiers sont mieux protégés que les seconds, elle est traduite devant le Jury de déontologie publicitaire (sic) qui la condamne. Il ne faudrait surtout pas penser que le petit de l’homme est un homme petit au risque de menacer le droit fondamental (re-sic) à l’avortement.

    Quand la même fondation coproduit une vidéo qui montre des jeunes trisomiques heureux, elle est traduite devant le CSA, qui prescrit aux chaînes de télévision de ne pas la diffuser.Il ne faudrait surtout pas stigmatiser les mères qui ont décidé d’avorter leur enfant trisomique (re-re-sic).

    Quand ses parents montrent des images de Vincent Lambert qui déglutit, le même CSA exige que le regard de ce jeune homme tétraplégique soit flouté. Il ne faudrait surtout pas qu’on puisse imaginer que l’euthanasie programmée de Vincent Lambert concerne un homme vivant. Alors, dans un geste d’un totalitarisme désespérément classique, il faut retoucher l’image et gommer l’une des rares parties du corps de cet homme qui s’exprime : ses yeux.

    C’est pourquoiil faut féliciter les pro-life américains pour leur travail. Ils font penser à ces journalistes historiques qui ont révélé les barbaries du XXe siècle auxquelles personne ne voulait croire.En débusquant les barbaries du XXIe siècle, la banalisation prétendument démocratique de l’homicide aux deux extrémités de la vie, ces corsaires risquent effectivement de donner mauvaise conscience à certains. Tant mieux. La France qui alimente en embryons humains les paillasses des chercheurs ne peut guère pavaner. Cinq des recherches autorisées par l’Agence de la biomédecine (ABM) viennent d’être jugées illégales et annulées, suite aux recours de la fondation Lejeune.

    Honneur aux reporters pro-life de la guerre contre la vie humaine."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sénat: relèvement de l'âge de la retraite au-delà de 62 ans préconisé

    La commission des Affaires sociales du Sénat a proposé de relever l?âge légal de départ en retraite au-delà de 62 ans pour arriver progressivement à 64 ans en 2024, a-t-on appris jeudi auprès de la commission.

    Elle préconise d'augmenter de 5 mois par an l?âge légal de départ en retraite au-delà du 1er janvier 2017, date à laquelle il sera de 62 ans pour les personnes nées en 1955. Il passerait ainsi à 62 ans et 5 mois en 2018, puis 62 ans et 10 mois en 2019, avec pour objectif d'arriver à 64 ans en 2024.

    Selon un rapport adopté par la commission, le système de retraite "fait face depuis le milieu des années 2000 à une forte dégradation du ratio cotisants/retraités". "Creusé dans des proportions sans précédent par la crise économique et financière de 2008-2009, son déficit n?a qu?en partie été résorbé par la courageuse réforme des retraites de 2010 et les ressources nouvelles mises en place depuis lors", ajoute-t-il.

    Au vu des dernières projections du Conseil d?orientation des retraites (COR), le rapport constate également que le système de retraite, régimes de base comme régimes complémentaires, "reste insoutenable financièrement, à court comme à moyen et long termes".

    "Aux yeux de la commission des affaires sociales, ces éléments démontrent les insuffisances de la réforme de 2014, une nouvelle réforme étant donc indispensable", souligne-t-elle dans un communiqué.

    Selon elle, "il serait totalement déraisonnable d?augmenter une nouvelle fois le taux des cotisations vieillesse, alors que la compétitivité et l?emploi sont pénalisés depuis des années par un coût du travail trop élevé". Par ailleurs, le montant des pensions par rapport aux revenus des actifs va "mécaniquement baisser" dans les années à venir en raison de l?indexation des pensions sur les prix et non plus sur les salaires.

    La commission s?est donc prononcée en faveur d?un relèvement de l?âge de départ en retraite, comme elle l?avait fait lors de l?examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2015. "Seule une mesure de ce type est susceptible de produire un impact suffisamment significatif pour assurer, surtout à moyen et long terme, le retour à l?équilibre des régimes de retraite", écrit-elle dans son communiqué.

    "En opposition à cette vision unique du libéralisme", les sénatrices du groupe Communiste Républicain et Citoyen (CRC) ont aussitôt dénoncé une "nouvelle attaque contre le système de protection sociale et son régime de retraites.

    "Les élus de la majorité se sont fait les porte-paroles du MEDEF en criant à la perte de compétitivité et en faisant du chantage sur l?emploi lorsque notre groupe a proposé d?augmenter le taux des cotisations vieillesse des entreprises", écrivent-ils dans un communiqué.

    "Des solutions alternatives existent comme la taxation des revenus financiers des entreprises et la modulation des cotisations patronales en fonction de la part des salaires dans la valeur ajoutée", ajoutent-ils.

    source

    Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFZplkVFuLxpDXWOg.shtml

  • Quand les jihadistes rejoignent l'armée française pour se former

    Suite à la présence d'un ancien militaire français parmi les 4 jihadistes qui voulaient égorger et décapiter un chef de corps de l'armée française, certains spécialistes ne cachent plus leur inquiétude sur les failles du recrutement dans les armées françaises :

    "L’appartenance à l’armée française de ce suspect stupéfie les autorités. « Ce n’est pas le premier militaire français à partir combattre au nom de Daesh, et c’est extrêmement inquiétant », estimait jeudi matin sur BFMTV Pierre Martinet, ancien agent de la DGSE (...)

    Jeudi, sur BFMTV, le général Dominique Trinquand, expert des questions de sécurité militaire, a tenu à nuancer lui aussi la situation. « Nous savons que l’un des suspects est un ancien militaire, mais cela veut à la fois tout et rien dire. A-t-il passé six mois, un an, deux ans dans l’armée? Quel poste tenait-il? Etait-il conducteur, secrétaire, membre d’un commando?  (...) Quant au général Trinquand, s’il estime qu’un « certain nombre de jihadistes pourraient avoir un intérêt à rejoindre l’armée française pour se former », il rappelle l’existence d’un service, le DPSD, « chargé de scruter et de détecter les soldats » susceptibles de basculer. Quand la Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense a des soupçons, elle avertit le renseignement.

    Le récent rapport du Haut comité d'évaluation de la condition militaire (HCECM) est particulièrement alarmant sur l'évolution du moral des armées qui est en chute libre. Il montre aussi que le taux de sélection pour s'engager était en 2013 de 1 place pour....2,4 candidats :

    "La baisse d'un tiers du nombre de candidats à l'engagement comme militaire du rang en cinq ans. En 2009, 30 833 jeunes Français avaient poussé la porte d'un centre de recrutement en vue de s'engager. Selon des chiffres encore provisoires, leur nombre est passé en dessous de barre des 20 000 en 2014, avec environ 19 500 candidats"

    Les décisions prises d'augmenter les effectifs de certaines unités pourraient désormais faire passer ce taux de sélection de 1 place pour 1 candidat en 2015...Autant dire qu'ils prennent tout le monde !

    Philippe Carhon

  • Grèce: l’extrême ponction

    La Grèce est maintenant à genoux et elle va payer le prix fort

    La perversité du Système oligarchique et néolibéral éclate aujourd’hui au grand jour. Il apparaît désormais que la dette grecque se solde par une perte de contrôle dramatique et par voie de conséquence, entraine une mise sous tutelle de la politique étrangère et intérieure . Par le biais de la Troïka, les actifs du pays sont transférés au secteur privé à hauteur de …80 milliards: exorbitant!

    Ce sont les créanciers qui dictent leurs conditions. La Grèce n’est donc pas “sauvée” comme il est proclamé en une des journaux nationaux: elle est déchue puisqu’elle a livré les derniers pans de sa souveraineté pour nourrir le Moloch mondialiste. Entraînant avec cela la souffrance de tout un peuple, qui il y a une semaine exprimait sa volonté d’en finir.

    La proie était facile: il n’y a pas de structure étatique solide en Grèce comme en France. Mais l’appétit prédateur des créanciers est immense et sans pitié, nul n’est à l’abri car la dette est devenu le moteur de la croissance économique: elle fait partie de la mécanique de la croissance qui est sa condition première.

    En France, depuis 1973, l’Etat républicain a accepté d’entrer dans le mécanisme pervers d’endettement auprès des créanciers privés en s’adossant à une dette structurelle qui n’est plus considérée comme temporaire; il a engagé le pays sans consultation en hypothéquant le futur des générations à venir, sans souci du long terme.

    C’est comme un organisme qui se doperait à coup d’hormones de croissance au risque de bouleverser tout le système endocrinien

    Sous l’Ancien régime l’endettement est une défaillance temporaire liée au bouclage d’un budget, c’est un expédient, un pis aller. Aujourd’hui il est devenu une pratique budgétaire comme une autre.

    Il faudra bien un jour ou l’autre , nous aussi, payer la facture de ce changement de modèle économique et ce sera au prix fort, comme la Grèce.

    Sandrine Pico-Deprez

    http://www.allianceroyale.fr/grece-lextreme-ponction/

  • Le cercle des libéraux: Sandrine Pico Deprez, déléguée générale de l'Alliance Royale

  • Une alimentation saine et respectueuse du climat

    En décembre prochain, les chefs d’État et de gouvernements se retrouveront à Paris pour la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, où ils devront après d’âpres négociations conclure un accord détaillé sur la réduction des émissions de carbone et l’atténuation du réchauffement planétaire.

    A l’approche de cette réunion, les gouvernements devraient prendre note d’un fait crucial, mais souvent ignoré : la principale cause de la dégradation de l’environnement et de l’épuisement des ressources est le changement de notre alimentation – qui plus est, une alimentation peu propice à une vie saine.

    Au cours des dernières décennies, l’augmentation des revenus a entraîné une évolution radicale des habitudes alimentaires, avec en particulier une place croissante de la viande dans l’alimentation. Étant donné que l’élevage et le transport du bétail nécessitent plus d’intrants, de terres, d’eau et d’énergie que les plantes, l’accroissement de la demande en viande épuise les ressources naturelles, exerce des pressions sur les systèmes de production alimentaire, détruit les écosystèmes et contribue fortement aux changements climatiques.

    La production de viande consomme presque dix fois plus d’eau que la production de calories et de protéines végétales. Il faut par exemple 15.415 litres d’eau pour produire un kilo de viande de bœuf. C’est également une manière peu efficace de produire des aliments : 30 calories végétales sont nécessaires pour donner 1 calorie animale.
    Le cheptel mondial s’élève aujourd’hui à plus de 150 milliards d’animaux, comparé à 7,2 milliards seulement d’êtres humains, signifiant que son empreinte écologique directe est plus importante que la nôtre. L’élevage est responsable de 14,5 pour cent environ des émissions de gaz à effet de serre et contribue de manière sensible à la pollution des eaux.

    De plus, l’élevage consomme un tiers de la quantité totale de l’eau utilisée dans le secteur agricole (qui représente 71 pour cent de la consommation d’eau mondiale ) ainsi que 40 pour cent de la production mondiale de blé, seigle, avoine et maïs. Enfin, la production animale occupe 30 pour cent des terres, qui étaient auparavant des habitats naturels, jouant ainsi un rôle important dans la perte de la biodiversité et l’extinction des espèces.

    Il a fallu plus d’un siècle pour que le régime alimentaire européen comprenne de la viande à tous les repas, y compris au petit-déjeuner. Mais dans une grande partie de l’Asie, cette évolution s’est accomplie en une génération seulement. Les régimes alimentaires carnés se sont traduits par un problème d’obésité mondial, y compris et de manière surprenante en Chine, dont le poids croissant sur la scène internationale s’est accompagné d’un surpoids de ses citoyens.

    Les Américains sont les plus gros consommateurs de viande, après les Luxembourgeois. Compte tenu de la taille de la population américaine, c’est en soi un problème. Si le reste du monde rattrape les États-Unis – où la consommation annuelle de viande s’élève à 125,4 kilogrammes par personne, contre seulement 3,2 kilos en Inde – les conséquences environnementales seront catastrophiques.

    Les signes avant-coureurs sont déjà inquiétants. La demande de viande devrait augmenter de 50 pour cent entre 2013 et 2025, avec une progression relative dans les pays occidentaux et une flambée de la demande dans le monde en développement, en Asie en particulier.

    Pour répondre à cette demande, les producteurs de viande ont du adopter des pratiques d’élevage extrêmement problématiques. Pour s’assurer que les animaux prennent rapidement du poids, les éleveurs les nourrissent de grain, au lieu du fourrage qu’ils consommeraient naturellement – des pratiques qui exercent de fortes pressions sur la production de céréales, les ressources naturelles et l’environnement.

    Plus grave encore, le bétail est traité avec de vastes quantités d’hormones et d’antibiotiques. Aux États-Unis, 80 pour cent des antibiotiques vendus sont administrés de manière prophylactique aux animaux, sans pour autant empêcher la propagation des maladies.

    En fait, compte tenu de la transmission de nouvelles maladies infectieuses des animaux aux humains, les vétérinaires, microbiologistes et épidémiologistes tentent de comprendre l’écologie des maladies (comment la nature, et l’impact de l’humanité sur la nature, propagent les maladies).

    Et bien que les coûts environnementaux et sanitaires de l’évolution de nos régimes alimentaires aient été largement documentés, le message n’a pas été entendu. La crise mondiale de l’eau, l’augmentation rapide des températures, la croissance galopante de la population mondiale et les problèmes de santé émergents, comme l’insuffisance coronarienne, doivent nous inciter à opérer un changement radical – et rapidement.

    Pour commencer, les producteurs de viande doivent adopter des méthodes d’économie en eau, dont l’irrigation goutte-à-goutte, pour réduire les pressions sur les ressources naturelles. Parallèlement, les gouvernements et les groupes de la société civile doivent promouvoir des régimes alimentaires plus sains basés sur les protéines et calories végétales.

    Selon des recherches récentes, si les agriculteurs cessaient de produire des récoltes à destination de l’alimentation animale ou des agrocarburants, il serait non seulement possible d’éradiquer la faim dans le monde, mais également de nourrir quatre milliards de personnes en plus – soit plus que le nombre estimé de nouveaux arrivants avant que la population mondiale se stabilise. La consommation de viande est déjà responsable de plus d’émissions de gaz à effet de serre par an que la circulation automobile.

    Cela ne veut pas dire pour autant que tout le monde doit devenir végétarien. Mais une modification même partielle des habitudes alimentaires – comme choisir des volailles ou des produits de la mer plutôt que de la viande de bœuf – pourrait avoir un impact considérable. En effet, la production de viande de bœuf nécessite en moyenne 28 fois plus de terres et 11 fois plus d’eau que toutes les autres formes d’élevage, tout en produisant cinq fois plus d’émissions de gaz à effet de serre et six fois plus d’azote réactif.

    L’adoption d’un régime équilibré et majoritairement végétal, comprenant une consommation minimale de viande rouge et des produits carnés transformés, contribuerait à préserver les ressources naturelles, à limiter le réchauffement climatique d’origine anthropique et à réduire les maladies chroniques liées à l’alimentation et même la mortalité attribuable au cancer.

    Les gouvernements ont utilisé avec succès des lois, des réglementations et d’autres instruments pour décourager le tabagisme. Il est temps qu’ils en fassent autant pour l’alimentation, en encourageant les citoyens à manger équilibré – à la fois pour leur santé et celle de notre planète.

    Project Syndicate

    http://fortune.fdesouche.com/386531-une-alimentation-saine-et-respectueuse-du-climat

  • Les éditions chiré vous proposent : La confrontation Révolution Contre-révolution

    Erreur

    Il suffit de constater les effrayants progrès de la Révolution dans le monde pour affirmer que, dans certains pays - dont la France - les hommes vivent leurs dernières années de liberté. Italie, France, Argentine et même Espagne sont peut-être vouées à la "libération" qu'ont connue les Hongrois et les Tchèques ; à celle, aussi, du Vietnam, Cambodge et Laos où les hommes ont été si bien "libérés" qu'ils y ont perdu jusqu'au droit de conserver leur nom !
    La faute initiale en reviendra à ces gouvernants naïfs ou traîtres qui se proclament "libéraux" et qui permettent aux pires ennemis du pays de manoeuvrer à leur guise au nom même du libéralisme dont les premiers se réclament.
    Quand un gouvernement n'a aucune force parce qu'il n'a aucune vérité à brandir et à faire respecter impérativement, les forces révolutionnaires les plus néfastes sont sûres de triompher. à moins que le peuple ne soit prêt à défendre lui-même sa patrie. L' exemple du Portugal est là, et on tremblerait moins pour lui si le peuple avait été préparé à cette confrontation Révolution-Contrerévolution dont il est l'enjeu.
    Nous refusons la loi de la Révolution. Nous rejetons le libéralisme autant que le marxisme, le premier étant directement responsable de ce qui nous attend. Mais notre prise de position n'est pas sectaire : nous savons le respect dû à toutes mesures prises par un gouvernement quand elles ne sont pas contraires à la morale. Le gouvernement prépare, dit-il, la défense du territoire ; nous la prévoyons aussi, mais également la résistance possible contre toutes les agressions révolutionnaires et contre la Terreur déclarée "nécessaire" par les marxistes.
    Cet ouvrage s'appuie sur le respect le plus scrupuleux des vrais droits et devoirs des hommes, et il a le plus grand souci de la dignité de la personne humaine, même quand il s'agit d' "ennemis" ; idée que l'on aurait bien du mal à trouver chez les marxistes.
    Oui, c'est un livre qui ose parler d'employer des armes, mais quand il s'agit de se défendre, et dans le seul cas où il n'y a plus d'autre moyen pour empêcher certains d'assassiner les autres.
    C'est un livre basé sur la charité : il faut sauver les hommes et défendre les valeurs chrétiennes de notre civilisation car, hors d'elles, parler de justice et de liberté n'est que du bluff.

    La confrontation Révolution Contrerévolution
    Ce traité fondamental du colonel Chateau-Jobert (1912-2005), édité il y a 40 ans par la Diffusion de la Pensée Française (voir l'entretien avec l'auteur paru dans le n° 59, mars-avril 1976, de la revue Lecture et Tradition, était indisponible depuis plusieurs années. Nous en proposons la réédition EN SOUSCRIPTION au prix exceptionnel de 18 € (+ port) au lieu de 24 € (prix après parution, prévue en novembre 2015).
    Contrerévolution : « expression de la doctrine chrétienne dans l’application qu’en font les laïcs – et notamment dans le domaine politique et social – dans leur lutte contre la Révolution pour rétablir en ses droits et à sa place l’ordre naturel et chrétien ».
    « La Contrerévolution représente une force politique mais elle ne se limite pas à cela car aucun domaine ne lui est étranger ; elle est aussi une force éducative, une force morale, une force spirituelle. Et elle est aussi une force d’action, une force d’efficacité (…) une force de réussite, et notamment dans le domaine familial et professionnel. »

    A commander ici

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuFyVZkkEuinuqFgrL.shtml