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  • Un groupe de rock "identitaire" invité surprise à Fréjus

    Un groupe lié à la mouvance du rock identitaire proche de l'extrême droite, In Memoriam, s'est produit vendredi soir en première partie du groupe punk La Souris Déglinguée aux Arènes de Fréjus, a révélé Nice-Matin

    Jusqu'au dernier moment, cet invité surprise n'avait pas été annoncé sur les affiches éditées pour l'occasion par la société "La Patrouille de l'Evénementiel", organisatrice du concert.

    Joint par l'AFP, Julien Laszkiewitz, membre du cabinet du sénateur-maire (FN) David Rachline, a indiqué que ce dernier, "fidèle à l'esprit Charlie", est avant tout un défenseur de "la liberté d'expression artistique, quelle qu'elle soit".

    De nombreuses voix se sont élevées sur les réseaux sociaux contre cette programmation, rapporte Nice-Matin, qui fait état de bagarres en marge du concert, dont on ignore l'origine.

    De Belgrade à Fréjus 

    Sur sa page Facebook, le groupe de rock In Memoriam, né en 1994, retrace ses faits d'armes, et notamment des concerts donnés à Belgrade les 25 et 26 avril 1999 durant l'opération Allied Force pour soutenir les Serbes alors "victimes des bombardements américains". Il indique avoir repris du service à Rome en 2012, dix ans après sa séparation, à l'invitation du mouvement social italien Casapound, proche de l'extrême droite.

    Dans le refrain de l'un de ses titres, "Quand j'entends le mot culture", le groupe In Memoriam chante notamment : "Y en a assez des Bergé, des Glucksmann, (...), des Boujenah, des Corbusier, des Lelouch et de leurs compères, assez des donneurs de leçons, des moralistes et des bouffons, des intellectuels de salon, destructeurs de nos traditions".

    La société La Patrouille de l'Evénementiel n'a pu être jointe par l'AFP. Cette société est titulaire d'une délégation de service public pour organiser des concerts et des spectacles aux Arènes de Fréjus, équipement municipal.

    Cette semaine, la municipalité de Fréjus a par ailleurs demandé à la quinzaine d'artistes et d'artisans d'art qu'elle héberge dans des locaux municipaux moyennant un loyer modéré, de participer bénévolement, lors de la prochaine rentrée, à l'accueil des enfants des écoles primaires de Fréjus dans le cadre de l'aménagement des rythmes scolaires.

    source : Culturebox (avec AFP) :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_varia/EuFlulZZAEgWbyvzZk.shtml

  • L’économie totalitaire : l’exemple de l’immigration

    Exemple parfait du comportement économique à court terme de la société marchande, l’appel à l’immigration étrangère massive restera sans doute, dans les annales de l’histoire européenne, comme une erreur de première grandeur. 
         A l’origine, au début des années cinquante, il s’agissait tout simplement de combler un déficit passager de main-d’œuvre. Puis, au fil des années, l’habitude a été prise d’utiliser des travailleurs immigrés, recrutés toujours plus loin. Avec l’apport de leurs anciennes colonies, la France et l’Angleterre se sont classées en tête des pays « importateurs ». 
         Envisagée au début comme apport provisoire pour construire de nouvelles structures industrielles, cette immigration massive a modifié, par un effet de retour imprévu, ces structures elles-mêmes. Certaines considérations, non quantifiables, n’ont jamais été prises en compte : le déracinement socioculturel de la main-d’œuvre, l’incompatibilité du chômage et de l’immigration ont ainsi été négligés. Le système libéral et marchand n’a même pas prévu, dans ce cas précis, les inconvénients strictement économiques et le coût social exorbitant de cette immigration. Raisonnant à court terme, l’esprit marchand ne s’est pas rendu compte que cette main-d’œuvre importée nuisait à la rentabilité économique elle-même, ce qu’admettent aujourd’hui les spécialistes de l’emploi. Ils ont, en effet, établi qu’à moyen terme l’immigration coûtait bien plus qu’elle ne rapportait à la collectivité : il faut distinguer ici entre les différents « coûts » de cette immigration.Le coût brut englobe diverses charges, frais de formation, rapatriement des salaires, frais d’installation et dépenses sociales entraînées par la présence même d’une forte population immigrée. Le coût d’opportunité prend en compte les gains empêchés par l’immigration : investissements de modernisation, accroissement de la productivité, économies de dépenses sociales, etc. En définitive, on ne peut trouver à l’actif du bilan de l’immigration que les profits immédiatement réalisés par certaines entreprises. 
    Esclave des temps modernes 
    Le patronat libéral et des pouvoirs publics irresponsables ont encouragé cette importation de main-d’œuvre peu coûteuse et non syndicalisée, donc facilement exploitable : c’était une assez belle opération financière à court terme. En fait, en prenant en charge les frais de formation, d’installation et de Sécurité sociale des travailleurs migrants et de leurs familles, la collectivité offrait une subvention déguisée aux entreprises les plus archaïques ; les « canards boiteux » de l’économie préféreraient « consommer » de la main-d’œuvre plutôt que d’investir dans les équipements nécessaires. Les tâches les plus rebutantes, celles qui étaient destinées à disparaître mais que la présence de cette main-d’œuvre – véritable masse d’esclaves des temps modernes – dissuadait justement de faire disparaître, les travaux les plus pénibles leur ont été réservés. 
    (...) 
    Cela ne signifie absolument pas que, comme le veut un mythe répandu dans les milieux populaires, « les immigrés prennent la place des nationaux ». La situation est plus complexe : l’immigration est bien un des facteurs du chômage actuel. Mais seulement dans la mesure où elle a provoqué une hypertrophie du secteur tertiaire : les immigrés monopolisant les emplois secondaires, les nationaux se sont portés vers ceux du tertiaire et les travaux qualifiés. Insuffisamment formés à ces tâches, refusant les emplois industriels, ils sont devenus chômeurs assistés, de plus en plus difficiles à satisfaire. L’origine du chômage est à rechercher du côté de cette « rigidité des demandeurs d’emploi », qui coexiste avec une forte offre d’emploi non satisfaite. Il faut également expliquer l’improductivité du secteur tertiaire par la pléthore des « faux emplois » qui y ont été créés vers les emplois industriels, qui auraient été alors « enrichis » sur le plan des tâches et mieux payés. 

    Guillaume Faye, Eléments n°28-29, mars 1979

    http://www.oragesdacier.info/

  • Réseaux pédo-criminels socialistes : Descente de police pour faire taire Fdesouche

  • Dettes et grande dépression : Les Baby Boomers et la destruction économique des jeunes générations

  • "Taubira, la prison et la conduite sans permis"

    Un billet d'humeur de Philippe Bilger dans le FigaroVox, où il revient sur l'idée saugrenue de Christiane Taubira de sanctionner les conducteurs sans permis par une simple contravention. Sa conclusion est intéressante, car elle met en lumière le mode de fonctionnement légèrement totalitaire du Garde des sceaux, qui imagine des projets de loi hors sol, en décalage avec la réalité, quitte y renoncer. Ou pas.

    "Il faut tout de même considérer que le pire n'est pas toujours sûr puisque, encore sur France Inter, Christiane Taubira, dans son jargon inimitable, a déclaré «qu'elle tirerait tous les enseignements nécessaires d'une non-acceptabilité sociale de son projet de loi».

    Cela signifie malheureusement, sur le plan de la méthode, qu'un projet de loi a été lancé sans réfléchir, sans l'ombre d'une consultation, sans la moindre prise en compte de son impact social, par pur décret d'autorité politique, sans aucune considération pour sa fiabilité technique. Un changement pour le pire. Pour voir en quelque sorte, et la société trinquera!

    C'est navrant, pour ne pas dire plus."

    Marie Bethanie

  • Beaucaire : comment un tribunal français a-t-il pu recevoir une telle plainte ?

    Ce ne sont pas les arrêtés municipaux de Julien SANCHEZ qui sont discriminatoires, mais la plainte déposée par Abdallah ZEKRI.
    En effet, l’arrêté du 16 juin interdit l’exercice professionnel de TOUTES les épiceries, primeurs, et commerce de distribution de 23H00 à 08H00 dans un périmètre « se situant à l’intérieur d’un périmètre délimité du centre-ville », l’arrêté du 17 juin interdit à TOUS les commerces de travailler de 23h00 à 05h00 dans deux rues de la ville. Aucune mention de l’origine ethnique ou de la confession des gérants des commerces visés, pas plus que de dérogation aux interdictions prononcées en raison d’une origine ou d’une confession particulière.

    Mais alors, qu’est-ce qui peut bien chagriner Monsieur ZEKRI à ce point ? Et qu’est-ce qui a bien pu amener le tribunal correctionnel de Nîmes à juger cette plainte recevable (J. SANCHEZ est cité à comparaître le 1er septembre) ?

    « Les mesures prises par ce maire (FN) visent à asphyxier l’activité économique de ces commerçants, en raison de leur appartenance à la religion musulmane », a déploré M. Zekri, dans un communiqué.
    Force est « de constater que ces arrêtés municipaux visent substantiellement les commerçants d’origine maghrébine, appartenant à la confession musulmane », affirme la citation, ajoutant que la « période visée par les arrêtés », à savoir jusqu’au 31 octobre, « couvre la période du ramadan, et plus généralement la période estivale, qui représente l’activité commerciale la plus importante pour les commerçants visés.

    Ainsi apprend-t-on :

    1 – qu’en 2015 certains quartiers, certaines rues de Beaucaire, petite ville provençale, sont « substantiellement » occupés par des commerçants musulmans d’origine maghrébine : y aurait-il au Tribunal de Nîmes, comme à la Préfecture de Montpellier, des « émules » de Robert Ménard ? Ou bien, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, ces braves fonctionnaires de la République font-ils des statistiques ethniques sans le savoir ? Bref, on a là la confirmation sans doute involontaire mais on ne peut plus officielle que le remplacement de population n’est ni un fantasme ni une théorie, mais un fait.
    2 – que Monsieur ZEKRI pratique la discrimination (d’accord, on le savait déjà, mais il confirme), mais surtout la défense des intérêts de l’oumma, puisque ce qui l’inquiète, c’est la possible asphyxie des commerçants MUSULMANS, pas celle de commerçants arabes, maghrébins ou africains, non, uniquement celle des MUSULMANS.
    3 – qu’en 2015, un Tribunal de la République française, laïque, une et indivisible, peut se muer en tribunal islamique (« visent substantiellement… », cela signifie donc qu’il reste dans ces quartiers des commerçants qui ne sont ni maghrébins ni musulmans et dont le sort n’émeut nullement ce Tribunal ; « la période visée couvre la période du ramadan », sans aucun doute la « faute majeure » de SANCHEZ, son arrêté fait obstacle à l’exercice d’un des 5 piliers de l’islam!).

    Pour nous tous, Français patriotes, enracinés dans la Vieille Europe, la plainte du sieur Zekri en elle-même n’a aucune importance, ce qui doit nous alarmer c’est que cette plainte ait été jugée recevable par un Tribunal français.

    Béatrice Bontemps, responsable Résistance républicaine Ille et Vilaine

    http://resistancerepublicaine.eu/2015/beaucaire-comment-un-tribunal-francais-a-t-il-pu-recevoir-une-telle-plainte/

  • David Duke - Le génocide des français

    http://www.aldebaranvideo.tv/index.php?post/David-Duke-Le-genocide-des-francais

  • Le Département d’Etat américain empêche les chrétiens d’Orient de témoigner des persécutions musulmanes, dont ils sont les victimes

    Source : résistance républicaine
    Alors que les persécutions des chrétiens d’Orient par les musulmans atteignent un niveau de brutalité sans précédent, le Département d’État américain a dévoilé sa politique de double standard à l’encontre des minorités chrétiennes persécutées.

    Soeur Diana, une influente Responsable chrétienne irakienne, qui devait se rendre aux USA en mai dernier, afin de plaider la cause des chrétiens persécutés au Moyen-Orient, se vit refuser son visa par le Département d’État américain, malgré le fait qu’elle ait visité les USA précédemment, notamment en 2012.
    Elle devait faire partie d’une délégation de leaders religieux d’Irak, en compagnie, entre autres, de sunnites, de chiites, et de yézidis, invités à Washington D.C. pour parler de la situation de leur communauté respective.
    Chaque responsable religieux reçut un visa, à l’exception de la seule représentante chrétienne du groupe : Sœur Diana.
    Lorsque ce refus fut de notoriété publique, de nombreux Américains protestèrent et certains écrivirent à leurs. députés.
    Ainsi, l’ancien président de la Chambre, Newt Gingrich, se référant au refus d’octroyer un visa à Sœur Diana, déclara :

    Cette administration ne semble jamais trouver une bonne raison pour aider les chrétiens, mais trouve toujours une excuse pour disculper les terroristes… Comme ce refus injustifié attire l’attention, j’espère que le Secrétaire Kerry inversera la situation. Dans le cas contraire, le Congrès devra mener une enquête et virer la personne, responsable de cette décision.

    Le Département d’État accorda finalement le visa à Sœur Diana.

    Ce n’est pas la première fois que le Département d’État américain refuse d’octroyer un visa à un Leader chrétien, en provenance d’une région musulmane. L’année dernière, alors que l’Institut américain pour la Paix invita tous les gouverneurs des Etats du Nord du Nigéria, à majorité musulmane, à une conférence aux USA, le Département d’État bloqua le visa du seul gouverneur chrétien de la région : Jonah David Jang.
    Selon un avocat nigérian, défenseur des Droits de l’Homme, basé à Washington D.C., le problème de visa du gouverneur chrétien, était tout simplement dû à la politique discriminatoire antichrétienne du gouvernement américain.
    Les USA insistent sur le fait que les musulmans sont les premières victimes de Boko Haram ! Ils affirment également que ce sont les chrétiens, qui discriminent les musulmans de l’État du Plateau, l’un des rares États du Nord à majorité chrétienne.

    http://fr.novopress.info/

  • Barrès et Jaurès

    Il y a bien des murs qui s’écroulent en ce moment, et pas seulement le mur de Berlin ; bien des frontières qui se défont, et pas seulement celles de la Yougoslavie. Dans tous les domaines, on assiste aujourd’hui à l’effondrement des anciens clivages, à la disparition des points de repère. Dans le domaine des idées, le divorce des familles intellectuelles et des familles politiques est désormais consommé : quel est l’intellectuel digne de ce nom qui peut aujourd’hui se reconnaître dans une pratique de parti ? Quant aux partis eux mêmes, engagés dans une course au recentrage qui ne cesse de s’accélérer, il est clair qu’ils ne s’affrontent plus que sur le choix des moyens et que leurs objectifs sont les mêmes. Tandis qu’on sent poindre la crise de régime, les uns se mettent aux Verts, les autres louchent sur les mâles cohortes du lepénisme, d’autres rêvent d’un grand centre mou consacrant l’apothéose des valeurs bourgeoises. Les ex-gauchistes se sont depuis belle lurette recyclés dans l’humanisme et la voiture avec chauffeur. L’État-PS en est à infecter les hémophiles (quel symbole !). Et le pitoyable débat sur l’immigration s’enferme dans les petites phrases et les mauvais calembours, comme s’il n’y avait plus à choisir qu’entre l’idéologie du bunker et celle des cosmopotes. On en est même maintenant à l’échange des faits divers (“crimes maghrébins” contre “crimes racistes”) ! Degré zéro de la réflexion. Pendant ce temps, hors des frontières de l’Hexagone, l’histoire fait retour. Tant pis pour ceux qui avaient un peu vite annoncé sa mort ! Définitif ou non, l’effondrement communiste à l’Est a des effets inattendus. Il apporte d’abord un démenti cinglant aux fines analyses des soviétologues libéraux qui, depuis des décennies, nous expliquaient doctement que l’URSS, étant un “État totalitaire”, ne pouvait pas se réformer d’elle-même et ne succomberait qu’à des pressions extérieures dans des circonstances catastrophiques. Manque de chance : la perestroïka est venue d’en haut, et même du cœur du système, du KGB. Mais cet effondrement donne à voir aussi un spectacle d’une rare impudeur : ceux-là mêmes qui se prosternaient hier devant la statue de saint Marx se bousculant devant les caméras pour affirmer que “tout communiste est un chien” ! Ceux-là mêmes qui ont suivi toutes les modes sans jamais rater un virage, staliniens dans les années cinquante, gauchistes dans les années soixante, socialistes dans les années soixante-dix, sociaux-démocrates ou libéraux dans les années quatre-vingts, venant se faire gloire de leurs reniements, communiant dans l’anticommunisme primaire et jouant des pieds et des mains pour se faire prendre en photo devant le cadavre !

    Ils déchanteront vite ceux qui croient que le libéralisme triomphe aujourd’hui sans partage. La vérité est au contraire que la société occidentale libérale-marchande a perdu son repoussoir. Elle ne pourra plus désormais gloser sur le goulag pour masquer ses propres échecs et faire oublier la misère qu’elle fait naître. Elle a perdu le diable qui lui permettait de faire croire à son dieu. Elle sera maintenant jugée pour ce qu’elle est. L’aliénation même.

    Dans cette situation nouvelle, il n’y a évidemment plus ni droite ni gauche. Il n’y a plus désormais qu’une seule frontière. D’un côté, ceux qui acceptent cette société de spectacle et de consommation, ceux qui se bornent à vouloir en réformer les contours sans la mettre en question. Et de l’autre, ceux qui tout simplement ne la supportent plus. Qui ne supportent plus cet univers où règnent le non-sens, l’indifférence à l’autre, la solitude de masse, le conformisme, le nouvel ordre moral, le déracinement, la loi de la jungle. Ceux qui ne croient ni à la rédemption par le marché ni à la promotion par le fric. Ceux pour qui la vie ne se ramène pas aux valeurs comptables, à la performance individuelle, à la compétition marchande. Ceux qui en ont assez d’un monde sans gratuité, sans désintéressement, sans générosité, où rien n’a plus de valeur mais où tout a un prix. Ceux qui ne veulent pas seulement des moyens d’existence, mais aussi des raisons de vivre. Le nouveau clivage de cette fin de millénaire est là, et nulle part ailleurs. C’est le clivage entre le centre et la périphérie. Et tout ce qui est dans la périphérie est solidaire.

    Cause du peuple ? Oui, sans doute. Mais du peuple dans sa globalité. Le prolétariat est déjà une vieille lune et “l’union du peuple de France”, un mot d’ordre lassallien beaucoup plus que marxiste. Cause du peuple, mais aussi et surtout cause des peuples. Cause de tous ceux qui, dans le monde, refusent l’universalisation des pseudo-valeurs occidentales, l’impérialisme du “développement” et la main-mise américaine sur les façons particulières de penser et de vivre ensemble.

    On est loin alors, en effet, très loin des vieux clivages. Barrès et Jaurès réconciliés pour estoquer Bernard Tapis. Beau sujet d’allégorie pour un artiste de l’avenir.

    ► Alain de Benoist, L’idiot International n°70, octobre 1991.

    http://www.archiveseroe.eu/recent/18