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  • Migrants, réfugiés, clandestins, envahisseurs : la guerre des mots

    Source : OJIM

    Devant l’ampleur de la crise migratoire, devant les files de centaines de milliers de candidats à l’immigration quel vocable adopter ? L’analyse d’un éditorial de Jean Quatremer, correspondant à Bruxelles de Libération, dans l’édition papier des 5 et 6 septembre cerne quelques enjeux d’un vocable qui dépasse les querelles sémantiques.

    L’article semble ouvrir le débat. Mais le titre le referme de suite : « Ne dites plus migrant ». Il manque le point d’exclamation mais le mode impératif et performatif est de mise. Pour commencer Quatremer éreinte ses confrères français (il oublie Le Monde) qui « ont été les seuls en Europe à ne pas publier en une la photo d’Aylan ce petit garçon syrien noyé ». Ce manque de (bonne) conscience réside dans le mal français : « La crise humanitaire actuelle est traitée comme une aggravation… d’une vague migratoire, qui depuis des années vient s’échouer sur les côtes européennes … ». Le mot migrant renvoie lui-même à « immigrant » connoté négativement en France, « un cache-sexe sémantique qui permet de nier la spécificité du drame humain qui se joue à nos frontières ». Diable ! Quelles frontières ? Celles de l’Eldorado fantasmé européen ou celles de tous les conflits de tous les pays. Les frontières de l’Europe iraient jusqu’à l’Irak, la Syrie, voire l’Erythrée ou la Somalie ? Il est vrai que l’Union Européenne ne considère pas l’Europe comme un ensemble historique, géographique et culturel mais comme un agglomérat rassemblé par « les droits humains » et que les frontières morales ont l’avantage de pouvoir se passer plus facilement, première étape en attendant la suppression des frontières physiques si malvenues.

    Allons plus loin dans l’article « Parler de migrants, c’est nier leurs souffrances, c’est interdire aux citoyens de penser le drame qui se joue, c’est anesthésier l’opinion publique… » . Les arguments compassionnels peuvent se retourner comme un gant : parler de « réfugiés » c’est interdire aux citoyens de penser les conséquences à court, long et moyen terme de ce premier mouvement massif de population, c’est anesthésier l’opinion publique sur la réalité des kosovars, albanais, indiens, sri-lankais, pakistanais qui ne viennent pas de zones de guerre. C’est privilégier l’émotion – le cadavre du petit garçon – pour nier toute réflexion sur les responsables véritables des noyades, c’est oublier le rôle de la France dans le chaos libyen, celui des États-Unis dans le chaos irakien, celui des islamistes dans le chaos syrien, celui de tous ceux qui encouragent les passeurs en souhaitant la fin de tout contrôle.

     

     

    Le meilleur de l’éditorial est pour la fin : la reductio ad Lepenem. Employer le mot de « réfugié… c’est refuser cette lepénisation rampante des esprits ». Alors que les « “migrants” ne peuvent qu’être renvoyés vers la misère des camps de transit ou vers la mort ». Si vous parlez de migrant vous êtes coupable de la misère et de la mort de ceux qui veulent s’installer chez vous. Tous coupables sauf les Allemands qui en redemandent, mais pour combien de temps ?

    http://fr.novopress.info/191966/migrants-refugies-clandestins-envahisseurs-guerre-mots/

  • 3e université d'été de LMPT : La famille, patrimoine mondial de l’humanité

    RDV les 19 & 20 septembre à Quiberon

    pour lancer la 4ème saison de mobilisation pour la famille et l’enfant

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    5 raisons pour vous inscrire dès aujourd’hui !

    1. C’est une occasion privilégiée de se former avec des intervenants exceptionnels et d’identifier comment ces enjeux (mariage, filiation, famille, éducation…) sont fondamentalement ceux de l’écologie de l’Homme versus le transhumanisme, c’est-à-dire des enjeux d’avenir pour notre humanité.
    2. En complément des séances plénières, de nombreux ateliers pratiquesvous seront proposés pour améliorer notre efficacité sur le terrain (si, si : c’est encore possible !) : communication, réseaux sociaux, relations presse, organisation d’événements, actions en entreprises, travail en réseau, relations élus, actions culturelles…
    3. C’est un week-end de rencontres et d’amitié avec « la grande famille de La Manif Pour Tous » : les équipes centrales, les responsables de tous les départements, les porte-paroles, les associations amies et les partenaires, les militants…
    4. C’est un événement entièrement organisé par nos bénévoles : tout est compris dans l’inscription : hébergement, restauration, accès aux conférences et ateliers, soirée…
    5. De nombreuses formules sont proposées pour répondre à vos besoins (WE complet, samedi ou dimanche seul, offres famille, jeune…). La Manif Pour Tous prend en charge les 2/3 des frais pour permettre au plus grand nombre de participer. En cas de difficultés, n’hésitez pas à nous contacter pour trouver une solution. 
    • Quand ?

    Samedi 19 et dimanche 20 septembre 2015 (possibilité d’arriver dès le vendredi soir)

    • Où ?

    Camping de l’Océan (7 Avenue de Groix, 56510 Saint-Pierre-Quiberon)

    • Qui ?

    Sympathisants, volontaires et militants de La Manif Pour Tous

    • Quoi ?

    2 journées de rencontres, de formation, d'échanges et de convivialité dans l'esprit de notre mouvement

    - Comment ?

    Inscriptions -Cliquez Ici

    Michel Janva

  • 9 septembre : manifestation contre l'exposition pédophile à Marseille

    Manifestation organisée par le FN, suite au scandale sur la PédoExpo de la Friche à la belle de Mai :

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    Michel Janva

     

  • Gattaz et Macron : « Je t’aime, moi non plus »

     

    L’Université d’été du MEDEF à Jouy-en-Josas nous a offert un jeu de rôles divertissant, mais qui nécessite un décryptage, tant la présentation qui en a été faite par la coterie politico-médiatique était conçue, comme il se doit, pour occulter les vrais enjeux.

    Lorsque le patron des patrons appelle à « colmater le bateau France », en diminuant l’impôt, en réduisant la dépense publique et en simplifiant les formalités administratives et singulièrement la législation du travail, on est enclin à l’approuver sans réserve. Sur le dernier point notamment, chacun s’accorde sur le fait que le Code du Travail est un monstre juridique qui entrave le bon fonctionnement du marché de l’emploi, une autre sorte de mammouth qui nécessiterait un sérieux dégraissage.

    Et toute la presse conformiste de mettre l’accent sur la « conjonction astrale » qui s’offrirait pour donner plus de flexibilité au marché du travail. Pierre Gattaz aurait déclaré à ses troupes : « Je suis heureux de constater qu’un certain consensus est en train d’apparaître parmi les responsables politiques ainsi que d’éminents juristes, de droite comme de gauche », avant de confirmer devant les journalistes l’existence d’un véritable « consensus historique ».

    L’idée de détricoter le Code du Travail et de privilégier le dialogue social au sein de l’entreprise est loin d’être absurde. Pour autant, faut-il voir comme un signe que le sens des réalités serait venu aux socialistes le fait que cette idée a le soutien de Manuel Valls, de Robert Badinter, du juriste Antoine Lyon-Caen, de la CFDT ou de l’ancien directeur général du Travail Jean-Denis Combrexelle, chargé par le premier ministre de remettre en septembre un rapport sur « la place donnée à l’accord collectif par rapport à la loi dans le droit du travail » ? En fait, il n’y a rien dans toute cette agitation qu’une illustration supplémentaire de l’abandon par le PS du terrain économique et social au profit du « tout-marché », et sa focalisation sur le terrain sociétal, pour converger dans un libéralisme libertaire dont Emmanuel Macron – version costume-cravate – est une incarnation parfaite.

    Il ne faut donc pas se leurrer : ce n’est pas parce qu’il a critiqué les 35 heures, dans une petite phrase qui a fait le buzz pendant deux jours et qui a suscité le courroux des « frondeurs » du PS et de l’extrême gauche, que M. Macron est « de droite », comme les médias l’insinuent.

    La vérité est que les socialistes laissent le champ libre au libéralisme économique le plus débridé, celui du sans-frontiérisme et des entreprises transnationales, dont le MEDEF et son dirigeant, comme ce fut le cas avant lui de Laurence Parisot, sont les défenseurs acharnés. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si M. Gattaz, évoquant le profil souhaitable du successeur de Pierre Rebsamen au ministère du Travail, a indiqué voir plutôt quelqu’un qui « connaisse l’entreprise, l’économie de marché et la mondialisation ». Il s’est même offert le luxe de laisser entendre que le ministre de l’Economie et des Finances pourrait correspondre à ce profil, même s’il n’est pas le seul dans ce cas. Dont acte.

    Il ne faut donc pas se bercer d’illusions : il est possible que le MEDEF parvienne à faire adopter par un gouvernement complaisant la réforme qu’il appelle de ses vœux, à savoir le démantèlement du Code du Travail et son remplacement par une cinquantaine de « principes fondamentaux », ou, au pire, par un maintien du Code assorti d’un renversement de la hiérarchie des normes qui donnerait aux accords de branche et d’entreprise primauté sur la loi. M. Macron a montré, à l’occasion du vote de la loi qui porte son nom, son habileté dans la manipulation du 49-3, et de toute façon il se trouvera probablement une bonne partie des parlementaires LR et centristes, qui communient dans la même idéologie, pour compenser l’éventuelle carence des « frondeurs ».

    Selon M. Gattaz, le gouvernement qui réglera le problème « entrera dans l’Histoire » : s’il advient que le gouvernement socialiste mette en œuvre cette réforme, il n’aura fait rien d’autre qu’ajouter une contribution à l’abaissement de la fonction souveraine en livrant un peu plus la France aux intérêts de la super-classe mondiale cosmopolite et de l’hyper-puissance américaine.

    Merci pour vos bienfaits, MM. Gatton, Macraz, Holls et Vallande. Le Peuple vous les rendra !

    Bernard Mazin, 1/09/2015

    http://www.polemia.com/gattaz-et-macron-je-taime-moi-non-plus/

  • Hollande : renouvellement de (fausses) promesses

    Qu’il est commode de faire des promesses, et de ne point les tenir, dans une République qui n’exige rien du président élu que de bien conserver le code nucléaire, passé en catimini par son prédécesseur...

    Après ses multiples promesses de campagne et celle, réitérée chaque année, de baisse du chômage, voici que François Hollande surgit de son antre estival secret avec éclat et surprise. Une vraie bombe à fragmentation des opinions : il déclare baisser de façon irrévocable l’impôt en 2016 ! L’année prochaine, n’est-ce-pas celle qui précède la suivante, terme de son mandat et très hypothétique début du suivant ?

    Qu’il est commode de faire des promesses, et de ne point les tenir, dans une République qui n’exige rien du président élu que de bien conserver le code nucléaire, passé en catimini par son prédécesseur…

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  • Allemagne : Le coût de l’accueil des clandestins

    L’Allemagne accueille de plus en plus de réfugiés et s’attend à recevoir 800.000 personnes cette année. Une mesure importante qui aura un coût : “cette nuit, une nouvelle enveloppe a été débloquée, six milliards d’euros, qui s’ajoutent à un budget acté pour l’année 2015 de 5,5 milliards”.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Les migrants : une folie ordinaire

    On me dira ce que l’on voudra mais c’est invariable : les mêmes causes produisent les mêmes résultats.

    L’Histoire se répète… Inlassablement !

    N’oubliez pas que cette banalisation n’est qu’une des facettes de la désinformation outrancière que nous subissons.
    Après l’immigration est une chance pour la France, après l’islam religion d’amour, voici le temps de « migrants » bienvenue chez nous.

    Nos dirigeants, apprentis sorciers mais vrais fossoyeurs, nous concoctent une guerre civile imminente. Je ne comprends pas comment, même avec ce bourrage de crânes permanent, les Européens ne se rendent pas compte de ce danger mortel pour eux.
    Ma question est peut-on être stupide à vie ? la réponse est OUI bien entendu !

    Ainsi lorsque l’Empire Romain qui rayonnait a commencé sa chute, c’était pour des raisons déjà de flux migratoire et de laisser-aller. La décadence a entrainé la chute et les Barbares, on les appelait ainsi à cette époque, ont détruit l’Empire en commençant par s’y infiltrer.
    Les Romains avaient été laxistes et comme ils étaient riches et opulents avaient acheté les Barbares, les employant à protéger l’Empire et ainsi les Barbares avaient sans aucune contrainte pénétrer l’Empire. Le reste coula de source et l’Empire fut détruit après de nombreux massacres perpétrés par les Barbares.

    Aujourd’hui nous avons en plus la télévision qui possède un savoir-faire en désinformation et un pouvoir de nuisance extraordinaires. Il aura suffit de montrer une image d’un enfant mort sur un rivage européen pour retourner l’opinion publique qui raffole de drames en tous genres et surtout venus d’ailleurs.
    Les enfants égorgés par les islamistes n’ont, si j’ose dire, pas eu droit à ce traitement médiatique de faveur.
    Il est clair que la cause n’est pas la même… Il y morts et morts !
    La repentance a fait le reste et nos politiciens s’y entendent sur ce sujet de gauche à droite et de droite à gauche.
    Ainsi cela leur évite de fâcher nos immigrés et d’espérer leurs voix au bon moment.
    Là où l’Europe devait adopter une politique de fermeté absolue en matière d’immigration sauvage, la propagande aura permis le contraire.

    Dans cette folie ordinaire, il se trouve même des gens qui sont prêts à accueillir des « migrants » peu importe ce que cela pourra donner. Cela permet d’être le héros d’un jour et de risquer de passer à la télévision. Grandiose et funeste à la fois !

    Tout notre système médiatico-politique est dans le déni !!!
    C’est ainsi que toute logique n’existe plus remplacée par l’émotion du moment et la langue de bois.
    Ce flux migratoire gravissime qui va emporter l’Occident est une réalité tellement évidente que de ne pas la voir est criminel.
    L’appel d’air donné aux clandestins par des mesures autant stupides que dangereuses à court terme est une hérésie. les clandestins de tous pays entendent une berceuse qui les invite à se précipiter vers l’Europe, ce nouvel Eldorado. La folie fera le reste…
    Alors que nos politiciens devraient se battre contre cet afflux, ils encouragent cet afflux.
    C’est un suicide sociétal programmé auquel nous assistons passivement.
    On nous ressert les vieilles recettes éculées de l’antiracisme et de la misère.

    Il est vrai que poser ainsi ce drame, drame qui ne sera au final que le notre, est facile et émeut la population.

    Quid des personnes âgées qui n’ont plus rien ?
    Quid de l’insécurité et du chômage ?
    On évacue tous les problèmes réels et désastreux de la société au profit d’une fausse cause humanitaire qui n’est qu’une invasion sournoise au profit d’une guerre religieuse annoncée pourtant depuis quelques années déjà. J’ai envie de dire à nos dirigeants ou qui se posent comme tels : réapprenez à lire et à écouter. L’État Islamique que pudiquement vous appelez Daesh a pourtant clairement écrit et annoncé son but qui est bien d’asservir l’Europe.
    On fait pleurer les bobos, les gogos et les veaux avec un sujet sur la détresse humaine et cela fonctionne toujours aussi bien.

    Pendant ce temps on ne parle plus des exactions terribles commises par les islamistes ici et là. De ceux qui, entre autres, ont égorgé des enfants dans un silence mystérieux au vu du tintamarre actuel pour soutenir les migrants, ces nouveaux envahisseurs. Et de grâce, que l’on ne vienne pas nous emmerder avec le traditionnel « vous êtes raciste » parce qu’il ne s’agit en fait que d’être réaliste.
    C’est surnaturel !
    D’un côté les barbares égorgent et décapitent des êtres humains sans vergogne et de l’autre l’Europe munichoise accueille la misère du monde avec force larmes à l‘œil, genre : on va noyer le poisson donc les vrais problèmes des gens sous ce déluge de repentance et fausse charité. Cette compassion est depuis longtemps l’apanage d’une gauche qui partout a échoué économiquement.

    Le parallèle avec cet Empire Romain est saisissant avec le fameux « du pain et des jeux » ou jeux du Cirque organisés afin de distraire la population.
    On retrouve d’ailleurs dans l’Histoire toujours ce phénomène qui consiste à masquer totalement la réalité au profit d’un dogme.
    Bien que le discours de la gauche soit éculé, son côté émotionnel fonctionne toujours.
    Là les gens ne pensent plus mais ils laissent l’émotion les submerger sans mesurer les cons séquences quelques inévitables qu’ils devront subir.

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  • Plus de 4000 islamistes ont pénétré en Europe en tant que réfugiés

    Selon le Sunday Express citant une source de l'Etat islamique (article en v.o.) :

    I"Les combattants s'intègrent aux flux de réfugiés dans les ports turcs d'Izmir et de Mersin pour arriver en Italie via la mer Méditerranée. Ensuite, ils se dirigent vers d'autres pays européens notamment la Suède et l'Allemagne.

    Deux passeurs ont confirmé cette information. L'un d'eux a confié avoir aidé une dizaine de terroristes à pénétrer en Europe. Certains prétendaient vouloir rendre visite à leurs familles, d'autres voulaient juste y aller pour "se tenir prêt".

    L'envoi de combattants est le début d'une action de représailles pour les frappes aériennes de la coalition internationale en Irak et en Syrie dirigée par les Etats-Unis, selon la source du Sunday Express au sein de l'EI.

    "Nous voulons établir le califat non seulement en Syrie mais aussi dans le monde entier", a-t-elle souligné."

    Michel Janva