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  • Grèce : La Mer Noire et l’or des Scythes

    Historienne, spécialiste de prospection archéologique et d’histoire de la Grèce romaine, Christel Müller est ancienne élève de l’École normale supérieure et ancien membre de l’École française d’Athènes. Depuis 1997, Christel Müller est Maître de conférences d’histoire grecque à l’Université de Paris X Nanterre.

    Cette conférence, à visée pédagogique pour les lycéens et étudiants, porte sur les transferts culturels entre la Grèce et l’Orient, dans une perspective historique, archéologique et anthropologique.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Taubira démission !

    C’est une énorme bavure judiciaire qu’un policier paye aujourd’hui de sa vie et qui devrait valoir la démission du pire ministre de la Justice que la France ait jamais eu à subir. Taubira a trouvé comment lutter contre la contamination radicale en prison, elle met les islamistes les plus dangereux en permission…

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    Le policier grièvement blessé d’une balle dans la tête lundi lors d’un braquage à Saint-Ouen et qui se trouve dans un état désespéré, a été abattu par un dangereux délinquant islamiste qui avait bénéficié d’une permission. Les deux braqueurs ont été interpellés.
    L’un d’eux touché lors de la fusillade, est mort à l’hôpital. Il s’agirait de celui qui a tiré sur le policier. Agé de 24 ans, multirécidiviste, il était incarcéré depuis 2013 pour vols aggravés. Il faisait l’objet de deux fiches S (sûreté de l’Etat) de la part de la DGSI pour sa radicalisation fanatique en prison. Son complice âgé également de 24 ans, a été arrêté. Ultra-connu des services de police notamment pour des vols à main armée, il a été impliqué dans 24 affaires de droit commun.

    « Le garde des Sceaux Christiane Taubira a le devoir de s’expliquer au sujet de cette permission » ont déclaré plusieurs syndicats de police qui réclament des comptes. « L’angélisme pénal que nous dénonçons depuis des années n’est plus adapté face à l’islamo-délinquance », a condamné Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie-officiers. « Ce qui est aberrant, c’est qu’un individu avec ce profil ait pu bénéficier d’un aménagement de peine et d’une permission sans garantie. »

    Rappelons qu’il n’est pas le seul. Il y a quelques jours nous vous parlions de l’islamiste de la prison de Meaux signalisé comme radicalisé qui lui aussi a profité de sa permission pour se faire la belle après avoir annoncé à ses co-détenus que l’on entendrait bientôt parler de lui. Ils sont combien dans ce cas ?
    Le ministère de la Justice, lui, se contente de répéter qu’aucun élément ne permet d’établir un lien entre le braquage tragique de Saint-Ouen et le prosélytisme dont le tueur avait fait preuve en détention… Ils en sont encore là.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/193287/taubira-demission/

  • Régionales : le FN met sous pression gauche et droite

    A deux mois du scrutin, la défaite de la gauche s’annonce sévère. La droite pourrait voir sa victoire limitée par la poussée du Front national.

    A deux mois pile du premier tour des élections régionales, le 6 décembre prochain, la gauche s’apprête à essuyer une défaite, à l’image de celles subies aux municipales de 2014 puis aux départementales du printemps dernier. Pour une majorité en place, la perte des scrutins intermédiaires est un scénario classique. Mais le PS craint une déroute à la hauteur de celle connue par la droite en 2010, quand la gauche s’était retrouvée à la tête de 21 régions sur 22, seule l’Alsace échappant à la vague rose. La gauche est bien partie pour garder trois des treize nouvelles grandes régions (Bretagne, Aquitaine-Limousin-Poitou Charentes et Languedoc-Rousillon-Midi-Pyrénées). Ses espoirs dans trois autres – Ile-de-France, Nord-Pas-de-Calais-Picardie et Paca – se heurtent pour l’instant à la réalité des sondages, qui la donnent perdante.

    Appels à l’unité

    Dans l’attente d’une campagne qui n’a pas encore vraiment commencé, Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, multiplie les appels à l’unité, avec un référendum à la clef , et agite le chiffon rouge du FN. En vain, pour l’instant. Le défi pour la majorité semble immense, voire infranchissable : réussir à mobiliser ses électeurs sur ses bilans dans les régions, en faisant oublier les mauvais résultats du gouvernement au niveau national. «  On nage à contre-courant sur les thématiques régionales et notre bilan car les électeurs n’identifient pas vraiment le rôle du conseil régional  », déplore une tête de liste socialiste.

    Pour autant, le désamour dont fait l’objet la gauche ne semble pas garantir à la droite une victoire totale. Notamment, du fait de la poussée du FN. «  L a dynamique dont bénéficie le Front national s’observe clairement depuis les européennes et les départementales, selon Yves-Marie Cann, directeur des études pour l’Institut de sondages Elabe. Le FN serait en mesure de se maintenir au second tour dans pratiquement toutes les régions.  »

    Cette dynamique, que n’a pas entamée le conflit entre la présidente du parti, Marine Le Pen, et son père Jean-Marie, pourrait coûter­ cher à la droite de deux manières. D’un côté, elle pourrait perdre plusieurs régions poten­tiellement gagnables au profit du parti d’extrême droite. C’est principalement le cas pour le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où Marine Le Pen est candidate face à Xavier Bertrand, et Paca, où sa nièce, Marion Maréchal-Le Pen, est face à Christian Estrosi. «  Aujourd’hui, il y a aussi un questionnement sur la grande région de l’Est, suite à l’affaire Morano  », s’inquiète un haut responsable des Républicains. La prise d’une seule région par le FN éclipserait la victoire annoncée de la droite.

    Un passage sur le fil

    D’un autre côté, la forte poussée du FN, là où il a peu de chances de l’emporter, peut permettre à la gauche de passer sur le fil. En Ile-de-France, le candidat du Front, Wallerand de Saint-Just, est désormais crédité de 20 % des voix selon un sondage Odoxa pour « Le Parisien » et BFMTV publié dimanche. C’est 10 points de plus que le score obtenu en 2010 par le FN dans la région capitale. Et Valérie Pécresse ne devance Claude Bartolone que de 3 points au second tour dans cette enquête.

    Une certitude : l’automaticité du front républicain pour battre le FN appartient au passé. La droite a adopté la stratégie du « ni-ni » depuis plusieurs années. Dans certaines régions, Nord-Pas-de-Calais Picardie et Paca en tête, la gauche ne se voit pas appeler à voter pour Les Républicains, qu’elle accuse de mener une campagne sur les thèmes de l’extrême droite. Malgré les appels de Manuel Valls à tout faire pour battre le FN, le sujet est brûlant à gauche, et se réglera au cas par cas. Dans la douleur.

    Gabriel Nedelec et Gregoire Poussielgue

    source : Les Echos ::llien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuuEkkZAAKkJBnznW.shtml

  • Merkel, entre unification et discorde

    Les Allemands ont donc fêté ce 3 octobre l'anniversaire de leur unification territoriale de 1990. Il n'est pas garanti toutefois que cet événement, si heureux et pour lequel ils ont dû lutter pendant quelque 40 ans, ait été commémoré dans le contexte serein, et moralement uni qu'aurait souhaité leur consensuel et docile président Joachim Gauck, apologiste contant et lassant de l'unité intérieure de la société.

    Pour le monde entier, en effet, l'Allemagne s'identifie à son chef de gouvernement Angela Merkel. Et celle-ci s'est révélée, depuis son accession à la chancellerie en 2005, certes une politicienne hors pair. Elle a réussi en particulier à déjouer pas mal de crises européennes, s'apprêtant même à surmonter la question cruciale du statut de la Grande-Bretagne.

    N'oublions pas qu'elle fut confrontée en 10 ans à trois présidents français successifs. Chirac, puis Sarkozy, puis Hollande. Ceux-ci ont incarné de leur côté l'inconstance du partenaire, dans l'effacement duquel l'Europe tend à se réduire à une sorte de vieille idée oubliée remontant aux années 1950. Depuis l'époque de Robert Schuman, Konrad Adenauer et Alcide de Gasperi, l'Union européenne mal bâtie de Jacques Delors s'est certes élargie à 28 membres, tout en reposant sur des piliers plus restreints. Faire face aux carences respectives de la France et de l'Italie reste une gageure à laquelle elle pourrait répondre aussi son fameux "wir schaffen das", nous allons y parvenir.

    Car on peut aussi douter que l'application de cette expression à l'intégration forcée, annoncée à hauteur de 800 000 immigrés, cette année au moins, et si l'on n'y prend pas garde, les années suivantes, ayant le statut de réfugiés, alors que le nombre des naissances allemandes dépasse à peine 700 000 enfants soit apprécié positivement.

    Et pour tout dire, l'expression "wir schaffen das", difficile à traduire en français, ne se révélera que difficilement applicable en Allemagne. Napoléon prétendait, contre tout bon sens, que le mot "impossible" n'était pas français. L'expérience a prouvé le contraire.

    En moins d'un mois ce sont 10 à 11 points de chute dans tous les types sondages qui témoignent du scepticisme de l'opinion allemande face à cette bouffée de générosité, ce coup de bluff mondial, imposé à de nombreux pays européens mal préparés. Même le ministre de l'Intérieur Thomas de Maizières, fidèle parmi les fidèles, sans exprimer de critiques explicites s'est implicitement désolidarisé de l'enthousiasme "mondial" car, dit-il, "la situation est devenue incontrôlable avec la décision d'amener les gens de Hongrie vers l'Allemagne."

    Quant aux porte-parole de l'aile droite de sa majorité, en tête notamment Horst Seehofer, ministre président de Bavière et président de la CSU, il ne s'est pas caché de considérer l'annonce de cette politique pour "une faute". Allant plus loin il propose, compte tenu des abus évidents, de revoir la notion du "droit d'asile" posé comme un "droit fondamental".

    Même le parti socialiste SPD reconnaît qu'une limite quantitative s'imposera obligatoirement, y compris à ce qui est aussi présenté comme une absorption de main-d’œuvre.

    Confrontée à de telles contestations sa réponse semble des plus maladroites et des plus autoritaires : "j'ignore si j'ai commis une erreur en accueillant ces gens, mais maintenant, ils sont là !".

    Du discours de la chancelière au Bundestag le 24 septembre, sa remarque liminaire aurait d'ailleurs mérité un peu plus d'attention de la part des observateurs français. Angela Merkel commence en effet par définir la crise migratoire actuelle comme la plus grave depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

    Or, il n'est pas indifférent, en regard, que l’intervention la plus critique à l'encontre soit justement venue de Mme Erika Steinbach. Non seulement il s'agit d'une militante, très ancienne de la CDU, à laquelle elle avait donné son adhésion militante en 1974, alors âgée de 30 ans. Mais il s'agit aussi de la présidente de la Fédération des expulsés, Bund der Vertriebenen BdV. Native de Haute Silésie elle dut quitter en 1945 le pays de ses ancêtres quand les accords de Yalta et de Postdam eurent fixé la ligne Oder-Neisse.

    Lors du débat parlementaire autour de la politique d'immigration du gouvernement au Bundestag ce fut cette députée de Francfort-sur-le-Main, qui décrivit tout haut ce que ressentent les Allemands, constatant que "dans certains quartiers déjà les étrangers sont plus nombreux que les Allemands."

    Représentante de ces millions de familles allemandes, réfugiées et expulsées de terres et de villes d'Europe de l'Est par les libérateurs soviétiques, Erika Steinbach, était déjà un piler de la CDU, plus de 15 ans avant qu'Angela Merkel, d'abord élue, en Allemagne de l'est en mars 1990 au titre d'un petit parti, le Renouveau démocratique, proche de la Stasi, se rallie, au moment de l'unification, au bloc conservateur qu'elle incarne aujourd'hui.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2015/10/merkel-entre-unification-et-discorde.html

  • Philippe Randa participera à la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre à Rungis

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    Programme de la journée
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  • Action française [Ile de France] Une rentrée réussie

     

    Samedi 3 octobre se tenait la rentrée de la fédération Île-de-France de l’Action Française. Près de 100 personnes se sont retrouvées en fin d’après-midi dans les locaux parisiens du mouvement.

    Cette rencontre a commencée par un discours du président de la fédération, Etienne Lombard, sur les combats, et leurs enjeux, qu’il fallait mener cette année puis ont été présentés les différents cadres et les différentes structures et sections franciliennes. Ensuite, tout le monde s’est retrouvé autour d’un buffet pour se restaurer et échanger. Cette rencontre a été un succès pour la fédération et elle augure une année militante riche en événements. Ainsi, nous vous invitons tous à concrétiser votre engagement en nous rejoignant dans nos rangs et en adhérant à l’Action Française.

     
  • Erdogan appelle les Turcs à ne pas s'assimiler. Chauprade écrit à Cazeneuve

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    Source.

    Michel Janva