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  • Exclusif : La Jeanne d’Arc Kurde Reem Hassan est tombée en héros face à DAECH

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    L’unité kurde du lieutenant Reem Hassan avant l’embuscade dans le Ghab, région de l’Ouest syrien.
     
    La résistance Kurde vient de le confirmer : le lieutenant Reem Hassan, chef d’une unité combattante chrétienne et kurde est  tombée au combat, voici 48 heures, dans un affrontement contre l’Etat Islamique dans le Ghab, région de l’Ouest syrien. Son unité serait tombée dans une embuscade tendue par des unités de DAECH, et le lieutenant Reem Hassan se serait sacrifiée, dans un combat à 1 contre 50, pour que les combattants Chrétiens et Kurdes puissent se replier…. Pendant ce temps là, à nos frontières, les migrants font preuve de courage, en se sauvant par dizaine de milliers et en tournant le dos à leurs « pays menacés » et à l’élite de leur jeunesse qui, elle, a choisi de combattre…
     

    Pour de nombreux officiers Français, tenus à un devoir de réserve, la Jeanne d’Arc Kurde Reem Hassan est devenue, en quelques heures, leur « petite soeur de combat ». Certes, le lieutenant Reem Hassan, chef d’une unité combattante chrétienne et kurde, n’avait pas le béret rouge des unités parachutistes Françaises, mais elle était devenue, ces derniers mois, le cauchemar des combattants de DAECH, son unité s’infiltrant dans les lignes ennemies, pour déstabiliser le front, dans le Ghab, région de l’Ouest syrien.

    Ces images et ces informations, tirées de la terrible réalité des combats, n’ont rien à voir avec les opérations de manipulation de l’image du cadavre du petit Aylan Kurdi, qui est arrivée « à point » nommé pour que les opinions des pays Européens acceptent, les yeux fermés, l’accueil de centaines de milliers de réfugiés. Lire aussi http://ripostelaique.com/il-prone-laccueil-de-100-millions-dafricains-bhl-un-charognard-de-lhumanitaire-au-service-des-migrants.html

    Il y a quelques jours, pour illustrer notre article http://ripostelaique.com/le-general-henri-poncet-accuse-la-classe-politique-francaise-dincurie.html , nous avions choisi l’unité kurde du lieutenant Reem Hassan pour illustrer les sacrifices des unités de combattantes kurdes qui tentent d’arrêter DAECH et manquent cruellement de matériel lourd, de canons, de mortiers… abandonnées dans les sables, comme les combattants de Bir Hakeim du Général Koenig et du capitaine Pierre Messmer, par une France, une Europe, des dirigeants politiques focalisés sur l’accueil des migrants et insensibles à la détresse des combattants anti DAECH !

    Lors de notre choix photographique, nous étions loin d’imaginer l’enfer qui attendait cette petite unité combattante et la fin tragique du lieutenant Reem Hassan, qui affrontait un ennemi 50 fois supérieur, sans arme lourde, et sans les appuis aériens des Rafales et des Tornado, dont « on rebat les oreilles » aux citoyens Français et Anglais.

    Francis GRUZELLE
    Carte de Presse 55411
  • La revue "Réfléchir et Agir" sera présente, dimanche prochain 11 octobre, à la 9e Journée de Synthèse nationale à Rungis

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  • Syrie : que va faire la France dans cette galère ?

    Que veut Washington en Syrie ? Le renversement d’Assad en vertu de la doctrine du regime change. La démocratie doit triompher, périssent les peuples ! Parmi les armes utiles à abattre le régime baasiste, la guerre médiatique à outrance. Ainsi, la totalité des 240.000 morts des quatre dernières années est mise au seul compte du pouvoir damascène ! Lequel se voit aussi attribuer la paternité de la prolifération des takfiristes wahhabites.

    Lecture des faits monumentale de stupidité mais qui marche ! Assad aurait-il aussi créé les mouvements terroristes irakiens, somaliens, sahéliens ? Autant d’affirmations débiles qui ne troublent pas le moins du monde les gens de presse malgré leur évidente absurdité. En réalité, ce sont les apprentis sorciers de la CIA qui, pour faire tomber Assad, ont lâché dans la nature un super Golem (Daech), lequel s’est empressé de grossir en force et en nuisance.

    Pourtant, les États-Unis ont monté une coalition baroque de vingt-deux pays disposant d’une soixantaine d’aéronefs de combat… lesquels ont obtenu en douze mois, soit à partir de septembre 2014, moins de résultats que six Soukhoï russes en six jours ! Car en dépit d’innombrables missions de frappe, l’expansion de l’État islamique s’est inexorablement poursuivie, couvrant aujourd’hui la moitié du territoire syrien. Excusez du peu !

    Et là-dedans, que cherche la France ? Qu’est-elle allée faire dans cette galère ? Paris fait, depuis peu, intervenir son aviation dans l’espace aérien syrien. Pourquoi ? Pour la défense et l’illustration de la démocratie ? Aimable bluette. M. Hollande nous parle, avec des trémolos dans la voix, de « légitime défense ». Depuis la pseudo-tentative d’attentat du Thalys, la France serait en effet sous la menace directe d’une campagne terroriste. Or, les cibles potentielles de ces actions se trouvent complaisamment exposées dans la presse. À croire que l’on s’est passé le mot d’ordre pour indiquer aux djihadistes infiltrés le mode d’emploi : où et comment frapper ! Toutefois, personne ne peut imaginer que certains, au sein d’une classe politique en perdition, pourraient espérer secrètement un nouveau 11 janvier qui les renverrait dans la stratosphère des sondages !

    Il n’en est pas moins indubitable que, sur la question syrienne, Paris est aux ordres. Car enfin, quel intérêt aurions-nous à nous mêler des turbulences que traverse la Syrie en proie aux suites mortelles des printemps arabes ? Et qui oserait dire que M. Fabius obéit strictement aux impératifs de l’intérêt national ?

    Bien sûr, il nous est répété à l’envi que la défense des « valeurs » doit l’emporter sur toute autre considération. Crèvent la France et les Français pourvu que triomphent les valeurs de la République et du Soviet de Bruxelles. Ce qui nous vaut une navrante immixtion dans un conflit qui n’est pas le nôtre avec, pour conséquences, de dangereuses vagues migratoires. Conséquence immédiate de notre politique de soutien polymorphe à des rébellions plus ou moins armées par nos soins pour abattre Damas.

    Car c’est par le truchement de l’Armée syrienne libre soutenue par les Occidentaux que sont alimentées les troupes d’Al-Nosra, faux nez d’Al-Qaïda, organisation réputée avoir perpétré les attentats du 11 septembre 2001. Un traumatisme planétaire qui servit de prétexte à tout un chapelet de guerres dont le conflit syrien, désormais global, n’est que le dernier avatar.

    Alors, à l’heure où l’économie hexagonale s’effondre à la vitesse de la chute libre, quel peut être notre intérêt à nous mêler d’une crise prête à nous exploser au visage ? À quelles injonctions occultes M. Fabius obéit-il – parce qu’en l’occurrence, c’est bien lui qui pilote le dossier et non le fantoche élyséen -, au risque de nous jeter dans un sinistre piège ? Situation pré-catastrophique en dépit des lignes directes établies ces jours-ci entre les états-majors américain, russe et bientôt, sans doute, chinois ?

    Jean-Michel Vernochet

    source : Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuuEyAkppLVQyiYAH.shtml

  • Les analyses prophétiques de Maurice Allais, prix Nobel économiquement incorrect

    Maurice Allais est le seul prix Nobel français d’économie. Il a obtenu son titre en 1988, seul et sans partage pour : « ses contributions à la théorie des marchés et à l’utilisation efficace des ressources ».
    En 1999, Maurice Allais a publié une série d’études prophétiques. Il y montrait les dangers du « laisser-fairisme » et de la dérégulation financière mondiale. Il y soulignait les dangers que le libre-échangisme mondialisé faisait courir à l’équilibre des balances commerciales et au niveau de l’emploi dans les pays développés. Maurice Allais pointait aussi les risques d’une crise financière majeure.
    Loin d’avoir suscité une légitime curiosité, les propos hétérodoxes de Maurice Allais lui ont valu d’être ostracisés par les grands médias, relais fidèles de la superclasse mondiale (SCM).
    « La généalogie de la superclasse mondiale » :
    La crise de 2008 n’a même pas conduit les grands journaux à l’interroger : ils ont préféré continuer à s’adresser aux « experts » qui s’étaient trompés sur les faits…mais non sur les intérêts qu’ils servaient.
    Pourtant la combativité des amis de Maurice Allais, regroupés dans l’AIRAMA (1), n’a pas été sans résultat : Pierre-Antoine Delhommais a brisé le silence dans Le Monde et Marianne  a ouvert une tribune à Maurice Allais sur « le protectionnisme raisonné et raisonnable. »
    Polémia donne ici accès à ses lecteurs à un article, paru dans France-Forum, sous la signature du démographe et économiste Philippe Bourcier de Courbon ; le président des amis de Maurice Allais s’y livre à une brillante synthèse de la pensée du prix Nobel sur l’emploi et le système bancaire et financier : « De quelques calamités sociales entraînées par la "chienlit laisserfairiste" et la crise financière mondiale actuelles selon les analyses prophétiques de Maurice Allais »
    En toute dernière minute, nous apprenons que Maurice Allais, 98 ans, seul lauréat français du prix Nobel d'économie, est élevé à la dignité de Grand'croix de la Légion d'honneur, selon la promotion du Nouvel an publiée vendredi 1er janvier, au Journal officiel.
    Polémia, 02/01/2010
    (1) Association internationale pour la reconnaissance des apports de Maurice Allais en physique et en économie

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2621

  • La Sécu en son anniversaire mensonger

    La présidence de la république a cru opportun de commémorer le 70e anniversaire des décrets de 1945 instituant ce que l'on nomme, en France, sécurité sociale.

    Mitterrand avait inventé de se rendre chaque année au congrès des mutuelles, sachant le poids "philosophique" de ces organisations ; Chirac l'a imité. Le même Chirac prétendit célébrer aussi, lorsqu'il fut à son tour élu chef de l'État, le 50e anniversaire des textes arbitrairement considérés comme fondateurs de la sécurité sociale.

    Il osa les présenter en septembre 1995, comme constitutifs de l'identité française.

    Afin de sauver le monopole, il décida de réformer la constitution en février 1996. Les nouvelles dispositions créaient un monstre juridique, qu'on appela d'abord loi d'équilibre, puis loi de financement de la sécurité sociale. Plus lourde que le budget de l'État elle pèse 476 milliards de dépenses prévues pour 2015 contre 373 milliards de dépenses de l'État.

    Vingt ans plus tard, Hollande imite lui aussi ses prédécesseurs.

    À son tour, le 6 octobre, il a présenté ce dispositif comme "pilier de la république". Il y voit, de toute évidence, une sorte de petit gage moral donné à l'aile gauche de son électorat futur en vue des élections de 2017, s'il parvient à se présenter. L'union de la gauche serait ainsi scellée par la conservation du prétendu "modèle social français".

    Tout cela appelle par conséquent quelques remarques de la part de votre chroniqueur.

    D'abord la ficelle paraît un peu grosse de fêter ce 70e anniversaire, comme on a fêté celui de la fin de la seconde guerre mondiale.

    Les décrets Parodi, contresignés par le général De Gaulle, ne constituent qu'un maillon dans une chaîne, entre les assurances sociales de 1928, la charte du travail de 1941 et la loi communiste de 1946, puis les ordonnances de 1967, et enfin le plan Juppé de 1995.

    La première affirmation à corriger est celle selon laquelle il s'agirait d'un "modèle".

    Chacun sait que l'embarcation prend l'eau de toutes parts. Chacun pourrait savoir aussi que la législation n'a cessé d'évoluer depuis la loi Ambroise Croizat, ministre PCF. Celle-ci tendait en 1946 à généraliser le système. Mais cette loi ne demeura en vigueur que quelques jours en juillet de la même année, échouant alors du fait de la grève des cadres.

    Cette idée de l'invariance d'un prétendu "modèle" n'a guère commencé à se construire que dans les années 1990 et sous l'influence du parti communiste.

    C'est à cette époque, avec pour effet de parvenir à une convergence avec les chiraquiens, qu'a été tiré des oubliettes le prétendu "programme du CNR".

    Sous cette appellation on s'est employé à confondre le travail du "Comité des experts" créé par Jean Moulin, avec ce qui n'était en réalité qu'un tract de quelques pages, tract intitulé "les Jours heureux", rédigé en 1944 par quatre dirigeants de l'appareil stalinien en France, Duclos, Frachon, Villon et Meunier.

    Ce document restait extrêmement évasif, bien évidemment, sur ce qu'il appelait simplement un "plan de sécurité sociale".

    On doit aussi se départir, par ailleurs, 70 ans plus tard, de toute fixation sur les chiffres tels qu'ils sont fournis, de façon très grossière, par les administrations (in)compétentes et que l'on voit répercutés par les gros moyens de désinformation. Même lorsqu'ils se proposent de donner une vue réaliste, c'est-à-dire pessimiste sinon alarmiste, de la situation, ces agrégats comptables n'ont guère de signification.

    L'important consistera à partir d'un constat : face aux diverses formes d'assurances, vieillesse, maladie, mais aussi accidents du travail, invalidité, maternité, etc., les Français incorporés de force dans des "régimes" c'est-à-dire des "contrats" non négociables, des règlements, unilatéralement imposés et monopolistes, ont cessé de croire à la pérennité du système en général.

    Les sondages les plus récents confirment en effet ce qu'on appelle "inquiétude". Ce sentiment est éprouvé par 80 % de nos concitoyens c'est-à-dire exactement le contraire de ce que suggère le mot "assurance".

    Autre indice de la faillite psychologique et même morale de l'assurance-maladie l'obligation récente faite aux entreprises de contracter au nom de leurs salariés une assurance complémentaire.

    Cette réforme patronnée par Marisol Touraine ne sera pas comptabilisée au titre des prélèvements obligatoires : mais cette création d'une nouvelle obligation reviendra au même qu'une augmentation, car elle  aggravera encore le coefficient multiplicateur du coût du travail, alors même qu'on prétend, par ailleurs, l'abaisser.

    JG Malliarakis

    À lire en relation avec cette chronique

    "La Sécurité sociale et comment s'en sortir" par G Lane à commander aux Éditions du Trident, sur la page catalogue ou par correspondace en adressant un chèque de 29 euros aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.

    http://www.insolent.fr/

  • Europe : Marine Le Pen a des choses à dire !

    Marine Le Pen compte bien profiter de son temps de parole demain au parlement de Strasbourg pour attaquer la politique européenne que Merkel et Hollande viendront défendre devant les eurodéputés.

    Alors que l’Union Européenne est de plus en plus contestée, que le fameux couple franco-allemand et sa politique migratoire irresponsable fait grincer de plus en plus de dents, Merkel et Hollande vont s’exprimer demain devant le parlement européen pour tenter de resserrer les boulons et lancer l’idée d’une réforme de l’Union économique et monétaire. Le tout annoncé en grande pompe par Martin Schulz, le président du Parlement européen, évoquant une « visite historique dans une période historiquement difficile ».

    Une occasion en or pour Marine Le Pen, qui en tant que tête de liste du groupe « Europe des nations et des libertés » aura droit à 2 minutes 30 de parole. 2 minutes 30. C’est peu et beaucoup à la fois pour quelqu’un dont le temps de parole habituel est d’une minute. Elle estime que ce sera largement suffisant pour faire passer le message.
    « Je compte leur dire ce que je pense de leur politique et le ton sera dur parce que je crois que leur responsabilité est lourde »,
    a annoncé au Figaro la présidente de Front National, ajoutant qu’elle porte la parole de millions d’Européens en désaccord avec cette politique.
    Si vous souhaitez écouter les interventions de cette journée, rendez-vous ici demain de 15 h à 17h.

    http://fr.novopress.info/193281/europe-marine-le-pen-a-des-choses-a-dire/

  • Intervention de Marie-Rachele Ruiu (LMPT Italia) à la 3è Université d'été de La Manif Pour Tous

  • Propagande sur l'avortement : Choisir la vie contre-attaque

    Virginie Mercier, responsable de la communication de l’association, a répondu à Anne Isabeth dans Présent à propos de la dernière campagne pro-avortement lancée par le gouvernement :

    "Ce qui nous a frappés est la déshumanistation totale des visuels. Vous avez remarqué que l’on ne voit aucun visage ? Pas un seul visage de femme, alors que le gouvernement revendique se battre pour le droit des femmes. On ne voit que des bouts de peau tatouée « mon corps, mon choix, mon droit ». Un tatouage n’est rien en comparaison de cette cicatrice qu’est l’avortement. Et, bien évidemment, l’enfant est absent de ce visuel. La campagne ne parle que de droit, de liberté. Passant sous silence la liberté de ces enfants à naître, niant la réalité de l’avortement, réalité physique et psychologique.

    Que comptez-vous faire ?

    Nous avons choisi de répliquer en lançant notre propre campagne de visuels. Mais celle-ci montrera des visages d’enfants avec cette phrase : « Ma liberté de vivre, mon corps, mon choix. » Et puis, nous continuons de dénoncer l’acharnement idéologique – parce que c’en est un ! – du gouvernement à promouvoir toujours plus l’avortement, face à un nombre d’avortements qui ne baisse pas. Aujourd’hui, le site du gouvernement ne donne pas accès à la réalité objective de l’avortement. [...]

    Quand aura lieu la prochaine Marche pour la vie ?

    Le 24 janvier prochain à Paris. Nous l’axerons sur la vérité de ce qu’est l’avortement. Plusieurs femmes, qui ont avorté et le regrettent, viendront donner leur témoignage. Il y aura aussi beaucoup de médecins. Venez nombreux. Et venez nous aider : nous aurons besoin de bénévoles pour la sécurité et la logistique le jour de la Marche."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Intervention russe en Syrie : mythes et réalités


    Irak et Syrie Oct 2015

    Alors que les Russes entrent officiellement et pleinement en action dans la guerre civile syrienne, la propagande occidentale accuse déjà l’armée de Poutine de bavures sur les civils. Il est nécessaire de faire un point pour rappeler certaines réalités.

    Les mythes : les images de bombardements sur des populations civiles syriennes

    Alors que la Douma délibérait de l’autorisation d’intervention aérienne russe en Syrie, le Web a été submergé par des photos et des vidéos des dégâts que l’aviation russe allait commettre contre des populations civiles.

    Les bombardements n’ayant eu lieu qu’ultérieurement, ces photos et ces vidéos sont soit des éléments empruntés à d’autres contextes, soit des faux fabriqués pour l’occasion. Lire la suite sur le Reseau Voltaire…

    Réalités : les Russes visent principalement les djihadistes et « modérés » financés par l’axe atlanto-sioniste et les monarchies sunnites

    Puisque les frappes de la coalition internationale permettent de limiter la progression de l’EI, Bachar el-Assad et ses alliés préfèrent se concentrer sur les rebelles (armés et financés) qui continent de progresser au nord du pays. L’objectif à moyen terme est de trouver une ligne de démarcation entre territoires sunnites et alaouites.
    Voir la carte ci-dessus ainsi que l’interview de Wassim Nasr pour France 24.

    http://www.contre-info.com/