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  • Loi Macron II : réduction des délais d’autorisation de mise sur le marché des médicaments

    Alors que le scandale du Médiator et de ses centaines de morts (voir ici) est à peine terminé, l’ancien employé de la banque Rothschild prépare dans sa future loi fourre-tout (Macron II), de réduire les délais pour mettre un nouveau médicament sur le marché. Encore un progrès démocratique pour la santé des Français…

    Selon Les Echos : « Il (NDCI: Macron) compte aussi revenir sur les transports et la mobilité. Et s’aventurer dans un nouveau domaine, celui de la santé. Parmi les objectifs poursuivis : faciliter la délivrance des brevets ou encore réduire les délais d’autorisation de mise sur le marché des médicaments. »

    http://www.contre-info.com/

     

     

  • La France accueille les immigrés clandestins … la Somalie les expulse !

    En France, les « réfugiés » et autres « demandeurs d’asile » somaliens défraient régulièrement la chronique : les médias ne manquent jamais d’attendrir le gogo sur ces malheureux qui « fuient la guerre et la misère » dans leur pays. Le week-end dernier, « vingt-sept réfugiés soudanais et somaliens » sont ainsi arrivés à Confolens, en Charente : « le maire de Confolens, ainsi que le Préfet de Charente se sont engagés à les accompagner dans leurs démarches de demande d’asile ». France 3 leur avait consacré un reportage larmoyant à souhait.

    Pendant ce temps, la Somalie expulse les clandestins présents sur son territoire. Il y a quelques jours, « un tribunal somalien a ordonné l’expulsion de 27 Kényans qui se trouvaient illégalement dans le pays », leurs visas ayant expiré. Les clandestins se sont en outre vu infliger une amende de 10 $ pour chaque jour passé en Somalie en situation irrégulière. Le juge Hashi Elmi Noor a déclaré que

    cette condamnation était un avertissement pour les autres immigrés qui sont illégalement dans le pays

    Comme l’explique le correspondant de la BBC, Mohammud Ali, « le retour progressif de la paix en Somalie a créé des possibilités d’emploi pour les étrangers. Un nombre croissant d’étrangers se font embaucher dans les secteurs du bâtiment et de l’hôtellerie, tandis que d’autres sont engagés comme enseignants dans les collèges et les écoles ». Devant cet afflux, la Somalie a récemment adopté une loi rendant un permis de travail obligatoire pour tous les étrangers, et les employeurs sont incités à donner priorité aux ressortissants somaliens.

    Mais rassurons-nous, la France continue imperturbablement à accueillir, loger, nourrir les clandestins somaliens aux frais des Français.
    C’est la moindre des choses, au pays des droits de l’homme.

    http://fr.novopress.info/

  • La vraie nature du populisme / Le « populisme » n'est pas une « extrême droite » qui tournerait le dos au progrès. C'est un acte de révolte politique qui est une ébauche de solution à la crise actuelle.

    Le Club de l’Horloge a tenu sa XXIVe université annuelle les 6 et 7 décembre 2008, avec pour thème :
    « Le populisme une solution pour l’Europe en crise »
    (voir : http://www.polemia.com/article.php?id=1794)

    Polémia a déjà rendu compte d’une partie des travaux de cette université, notamment en publiant une première présentation sous forme de résumé de l’allocution d’ouverture prononcée par Didier Maupas, vice-président du club de l’Horloge, intitulée «  La vraie nature du populisme » (voir http://www.polemia.com/article.php?id=1807) et la contribution de Jean-Yves Le Gallou, ancien député européen, « Europe : le temps joue pour le populisme » (voir :http://www.polemia.com/article.php?id=1806).

    Cette fois, Polémia présente dans son intégralité l’allocution de Didier Maupas, véritable analyse de l’idéologie dominante et de ses ressorts dont les « élites » du pouvoir usent pour la promouvoir.

    Télécharger l’allocution de Didier Maupas (pdf)

    http://archives.polemia.com/article.php?id=1838

  • Islamisation/laïcité : faux débat, vrai choc de civilisations

    Le dossier de Polémia

    Par delà le débat sur la laïcité un vrai problème se pose : un choc de civilisations. Ce qui est en jeu c’est l’affrontement de deux conceptions de la société, de deux conceptions du monde : le monde européen qui sépare le domaine de Dieu et celui de César, le monde musulman qui les fusionne ; le monde européen qui respecte la femme et honore la liberté des corps, le monde musulman qui nie la représentation de l’image humaine et relègue la femme dans l’intimité du foyer. Ce n’est pas ici le choc de deux universalismes : ce sont deux conceptions particularistes du monde qui se rencontrent et qui se découvrent incompatibles. A l’occasion du débat ouvert sur la laïcité, Polémia revient sur les nombreux articles de son site consacrés à cette franche opposition.

    Christianisme et islam ne sont pas sur le même plan

    Le christianisme est un élément de l’identité française et européenne. L’islam est un phénomène étranger à l’Europe qui arrive avec des revendications comportementales, culturelles, alimentaires, urbanistiques qui heurtent des pans entiers de la société française ; et qui posent des problèmes croissants aux services publics, de l’école et de la santé notamment. Notons qu’il n’existe pas de problèmes comparables avec d’autres religions minoritaires comme le bouddhisme ou le judaïsme. On pourra se reporter utilement à ce texte :

    La croix, la kippa, le voile : remettre les idées à l’endroit

    L’affirmation des valeurs républicaines ne suffit pas

    Pour faire face au choc de l’islamisation la simple affirmation des valeurs républicaines n’est pas suffisante : comme Jeanne-Hélène Kaltenbach et Michèle Tribalat l’ont montré dans La République et l’islam, entre crainte et aveuglement.

    Islam : la République aveugle

    Les points principaux de frottement civilisationnel portent sur la place de la femme, la liberté d’expression, les pratiques alimentaires, la construction de mosquées.

    La conception de la femme : l’Orient contre l’Europe

    Polémia a consacré de nombreux articles sur ce sujet :

    Une analyse critique du livre de Denis Bachelot : L’islam, le sexe et nous

    Une recension du film avec Isabelle Adjani : La Journée de la jupe

    Polémia a aussi livré plusieurs études de fond mettant en perspective civilisationnelle le débat sur le voile islamique, ouvert au début des années 2000 et qui reste actuel.

    Voile islamique : quand l’universel met la France en accusation

    Voile Islamique : conflit religieux ? Non, choc de civilisations !

    Voile islamique : il ne faut pas l’interdire Il faut autoriser son refus !

    Le foulard islamique : un conflit de civilisation !

    Les pratiques halal ne doivent pas s’imposer aux non-musulmans

    Deux questions se posent à propos du halal : doit-on ou non déroger à la loi commune pour satisfaire des rituels religieux particuliers ? Cette question mérite débat. Doit-on accepter que des règles alimentaires musulmanes s’imposent de facto à des non-musulmans ? La réponse est évidemment non ! Les Français ne peuvent pas accepter l’halalisation de leurs plats. Or c’est ce qui se passe car dans une société libérale et marchande ce sont les plus intolérants qui tendent à imposer leurs règles.

    Halal : intolérance islamique et société marchande

    Apéro-saucisson : Polémia fait le point sur le phénomène halal

    L’halalisation : signe d’une islamisation de plus en plus visible et totalitaire

    La liberté d’expression, une valeur à défendre

    La liberté d’expression est considérée comme une valeur phare de la civilisation européenne. La France, qui a une tradition voltairienne, y est particulièrement attachée. Les revendications musulmanes portant plus ou moins implicitement sur un retour à la pénalisation du « blasphème » sont évidemment mal ressenties. L’extraordinaire intolérance manifestée par l’islam mondialisé lors de l’affaire des caricatures danoises de Mahomet reste présente dans les esprits : cela contribue à faire apparaître l’islam comme une menace sur les libertés. D’autant qu’à la base, dans les banlieues de l’immigration, de nombreux enseignants ne se sentent pas tout à fait libres du contenu de leurs cours.

    Caricatures de Mahomet : vers une tyrannie planétaire ? (édito 02/06)

    Mosquées et minarets : une atteinte au paysage culturel

    Le Conseil français du culte musulman (CFCM) exerce une pression croissante sur les autorités françaises : il refuse en particulier les projets européens de traçabilité des méthodes d’abattage des animaux (qui éviteraient à des non–musulmans de manger halal contre leur gré) ; il revendique l’obtention de carrés musulmans dans les cimetières et la possibilité de construire de grandes mosquées avec minarets.

    Le Conseil français du culte musulman : une influence grandissante sur les autorités françaises

    Or les grandes mosquées avec minarets n’ont pas vocation à s’intégrer dans le paysage européen. Une civilisation, ce sont des formes, des couleurs, des sons. Le minaret n’a pas sa place dans l’architecture européenne et le cri du muezzin ne peut être mis sur le même plan que le tintement des cloches.

    Minarets, Angélus et civilisation

    Référendum sur les minarets : nous sommes tous des Suisses allemands (édito 12/09)

    L’échec de l’intégration

    En termes sociologiques, la logique de l’intégration est simple : c’est le rapprochement des attitudes et des comportements d’une population minoritaire de ceux de la population majoritaire. Ce n’est pas ce qui se passe en France où la minorité musulmane est de plus en plus visible.

    Une minorité peut être visible par la nature, selon la définition de la loi canadienne pour qui en font partie « les personnes autres que les autochtones, qui ne sont pas de race blanche ou qui n’ont pas la peau blanche ». Mais une minorité peut être aussi visible par la culture, c’est-à-dire par les comportements qu’elle adopte et les pratiques qu’elle extériorise.

    C’est manifestement le cas en France de la minorité musulmane qui s’est rendue de plus en plus visible au cours des trente dernières années : dans le paysage architectural, à travers la multiplication des lieux de culte et l’érection récente de grandes mosquées ; dans la rue, avec une présence de plus en plus fréquente de femmes portant le voile islamique, voire d’hommes en gandourah ; dans les habitudes alimentaires, avec la contestation croissante des repas collectifs comportant du porc ainsi qu’avec la multiplication des boucheries halal et des rayons halal dans les grandes surfaces commerciales ; avec la perturbation de la vie scolaire, économique et sociale, lors de la fête du ramadan ; avec la revendication de mise à disposition de carrés musulmans dans les cimetières ; avec le contrôle de l’organisation du pèlerinage à La Mecque par le ministère du Tourisme.

    Sur ce sujet les lecteurs peuvent se reporter à la brochure de Polémia : « Immigration : l’illusion de l’intégration »

    Enfin, le remarquable discours tenu par Oskar Freysinger lors des assises de l’islamisation le 18 décembre 2010 reste une source de réflexion pour l’éveil des peuples européens.

    Oskar Freysinger, éveilleur des peuples européens

    http://www.polemia.com/islamisationlaicite-faux-debat-vrai-choc-de-civilisations/

  • Le véhicule électrique : panacée écologique ?

    Frédéric Malaval, essayiste, s’interroge sur les réelles performances des véhicules électriques.

    ♦ Diesel et SurEnvironnement

    Aujourd’hui, la singularité du diesel semble davantage préoccuper nos dirigeants que la vague migratoire. Sa taxation va augmenter. Les Verts veulent la suppression de ce carburant d’ici à 2025. La création de pastilles écologiques apposées sur les pare-brise des voitures est une des dernières mesures pour favoriser les véhicules « propres ». Aujourd’hui, le véhicule électrique est plébiscité. L’attribution de subventions importantes cherche à motiver l’acheteur.

    Or, nous verrons que, loin d’être écologiquement vertueux, ce type de véhicule est plus polluant qu’un véhicule thermique. Ce texte fournira quelques arguments issus d’une approche écologique, donc écosystémique. On y parlera de gaz carbonique (CO2), de rendement de conversion, de SurEnvironnement, de Valeur écosystémique, etc.

    En conclusion de ce texte, nous constaterons qu’en matière d’énergie, le chien ne cesse de se mordre la queue.

    Les pastilles Royal.

    En ouvrant la réunion du Conseil national de l’air, Ségolène Royal a présenté, le 2 juin 2015, un ensemble de mesures de lutte contre la pollution de l’air. Parmi elles, la mise en place de pastilles de couleur à apposer sur le pare-brise des voitures.

    En isolant les véhicules électriques des véhicules thermiques hiérarchisés selon leur degré de pollucivité, le but est de franchement favoriser les premiers dans des centres-villes à terme inaccessibles aux véhicules thermiques.

    Sur le fond, cette mesure paraît salutaire. En effet, il est plus agréable de se trouver à vélo derrière un véhicule électrique qu’au cul d’un bon vieux diesel rejetant de la suie dans les bronches. C’est un fait incontestable. Malgré cela, les arguments à l’origine de cette politique soulèvent de nombreuses interrogations que nous allons exposer ci-après.

    Parmi celles-ci : considérer les véhicules électriques comme éco-vertueux, assimiler le gaz carbonique (CO2) à un polluant, etc.

    Le CO2

    Avant d’avancer des arguments un peu plus techniques sur la pollucivité du véhicule électrique, intéressons-nous en préambule au CO2 accusé aujourd’hui d’être un polluant majeur.

    Rappelons d’emblée que toute substance est un polluant potentiel, un polluant étant défini comme une substance qui par sa nature ou par sa quantité perturbe les grands cycles écologiques ou se révèle inassimilable par eux, constituant ainsi un danger pour les humains en particulier et la Vie en général. Ainsi, l’oxygène est vital pour vivre, mais trop d’oxygène (hyperoxie) tue.

    La stigmatisation de CO2 est récente. Dans les années 1980, il était enseigné que tout devait être fait pour réaliser des combustions complètes dans les cycles thermiques, combustion aboutissant idéalement à de l’eau et à du… gaz carbonique. Par exemple, l’oxydation du méthane (CH4) donne du gaz carbonique et de l’eau (H2O) :

    CH4 + 2O2 → CO2 + 2H2O

    Paradoxalement, les filtres à particules (FAP) rendus obligatoires sur les véhicules diesel depuis 2011 ont un cycle de régénération pour brûler les suies piégées aboutissant à l’émission d’eau et de… gaz carbonique.

    Tout étudiant en biochimie apprend très vite que le CO2 est un composant fondamental, le carbone étant dans un état réduit ou oxydé dans les cycles biologiques. On apprend aussi très vite que la photosynthèse à l’origine des plantes, et donc de la productivité végétale des écosystèmes, repose sur le CO2. Or, les plantes sont à la base des chaînes trophiques. Donc, sans plantes, pas de philosophie possible. Et plus généralement, sans CO2, pas de vie car celle-ci repose sur le cycle du carbone.

    Si le véhicule diesel a été favorisé pendant ces dernières années, c’est parce que, justement, son cycle thermique reposant sur la compression est plus proche d’une combustion complète que celui d’un moteur à essence à explosion. Donc à performances similaires, il est plus efficace physico-chimiquement qu’un moteur à essence.

    De la difficulté de disposer d’indicateurs environnementaux incontestables.

    L’affaire du CO2 est révélatrice de la difficulté des environnementalistes à s’appuyer sur des certitudes incontestables. Il y a plus de trente ans, le CO2 était envisagé comme une substance vertueuse, mais aujourd’hui, au nom dont on ne sait quelle motivation, il est stigmatisé. Moins les voitures en émettraient, mieux ce serait. Sa contribution au réchauffement climatique est souvent invoquée pour justifier cette politique. Or, l’effet de serre, à l’origine du réchauffement de l’atmosphère, nous protège du rayonnement solaire direct délétère. Le seul débat envisageable ne concerne donc que l’effet de serre additionnel d’origine anthropique.

    D’autres substances ont eu la vedette comme polluants majeurs depuis que nous nous intéressons à cela. Dans les années 1970, les oxydes de souffre (SOx) ou d’azote (NOx) ne souffraient d’aucune concurrence. Puis, les pluies acides les ont remplacés. Mais celles-ci étaient dues à ces SOx et NOx, elles-mêmes écartées par les gaz fragilisant la couche d’ozone. D’autres substances ont eu la vedette puis, comme des artistes dépassés, ont disparu de la scène. A chaque fois, les médias ont amplifié jusqu’à la démesure des réflexions de scientifiques, généralement habitués à des affirmations très prudentes.

    Aussi, se focaliser sur l’une ou l’autre molécule comme nous le faisons aujourd’hui sur le CO2 limite la prise en compte d’autres substances, moins médiatiques, certes, mais potentiellement plus dangereuses.

    Face à ces incertitudes, les environnementalistes cherchent à établir des indicateurs d’impact environnementaux absolus lisibles par tous. Or, celui qui s’impose à tous aujourd’hui est le prix. Dans un monde financiarisé, tout est ramené à un prix. D’où la nécessité d’établir une relation entre prix et impact environnemental. Le recours à des approches reposant sur les acquis de l’Ecologie ouvre des pistes prometteuses.

    Dans cet esprit, considérer le CO2 comme un polluant est une hérésie. C’est le premier point relativisant les vertus du véhicule électrique. Le CO2 est le constituant pivot du cycle du carbone sur lequel repose la vie. Impossible de s’en passer, sauf à éliminer la biosphère.

    Les préliminaires sur le CO2 étant faits, et ayant permis d’introduire à la nécessité de disposer de grilles de lecture ne se focalisant pas sur telle ou telle molécule, quelques notions de thermodynamique vont permettre de comprendre pourquoi les véhicules électriques sont plus impactant environnementalement que les véhicules thermiques.

    Rendement de conversion.

    Le rendement de conversion d’une chaîne énergétique est un nombre positif défini comme le rapport de l’énergie exploitable sur l’énergie utilisée. Ce nombre est toujours inférieur à 1. Cela signifie qu’il existe une différence entre l’énergie introduite dans un système thermodynamique et l’énergie utilisée. Cette différence est formalisée dans le Premier Principe de la thermodynamique dissociant le travail (énergie utile) de la chaleur (énergie inutile) à évacuer pour optimiser le rendement du moteur. Le cycle de Carnot établit les concepts pour optimiser cela. Plus tard, cette énergie inutilisable a été qualifiée d’entropie dans le Second Principe de la thermodynamique.

    Tout système est l’association de parties reliées par des couplages modifiant les quantités et la nature de l’énergie y circulant. Le rendement de conversion global d’un système est le produit des rendements de conversion opérés en son sein. C’est sur le fondement de ces notions que le moteur électrique va se révéler plus impactant environnementalement que le moteur thermique, toutes choses étant égales par ailleurs.

    Ainsi, dans un moteur thermique, le pétrole, après avoir été plus ou moins raffiné, est mis en l’état dans les cylindres, eux-mêmes à l’origine du mouvement mécanique. Sur cette base, nous obtenons un rendement de conversion donné. Dans le cas du moteur électrique, et toujours en utilisant du pétrole, ce dernier est mis dans une centrale, converti en électricité transportée dans le réseau de distribution jusqu’à l’endroit servant à recharger les batteries dont le contenu sera transformé en énergie mécanique. Sans entrer dans les détails, il apparaît que le nombre de conversions énergétiques à réaliser dans le second processus est très supérieur à celui du premier centré sur le recours à un moteur thermique. Or, ce qui a été perdu est : de la chaleur, selon le Premier Principe de la thermodynamique ; de l’entropie, selon le Second Principe de la thermodynamique.

    Sur le fondement que l’impact environnemental est assimilé aux conséquences d’une production d’entropie, l’usage d’un véhicule électrique est donc plus impactant qu’un véhicule thermique.

    Alors que la première partie de la démonstration est triviale, la seconde bien évidemment soulève des interrogations. En effet, en refusant l’identification de l’impact environnemental aux conséquences d’une production d’entropie, il est difficile de relativiser les bienfaits du véhicule électrique. Or, ce principe de fonctionnement des écosystèmes est admis désormais, mais uniquement dans des cercles restreints. Ce point est donc en discussion et nécessite, d’une part, de le faire connaître et, d’autre part, de recourir à des éléments plus hermétiques pour le démontrer.

    Comment comparer l’impact environnemental des énergies fossiles, du nucléaire et des énergies renouvelables ?

    Un autre point litigieux est que, dans le modèle exposé, il est comparé deux types de moteur fonctionnant à partir de la même énergie primaire, à savoir une énergie fossile : charbon, pétrole, gaz. Qu’en est-il de l’électricité issue du nucléaire ou des énergies renouvelables : eau, air, soleil ? Pour résoudre cette interrogation, nous sommes alors obligés de raisonner à partir de catégories éligibles à toutes les formes d’énergie. C’est ainsi que procèdent les thermodynamiciens pour qui les notions d’énergie, de chaleur, de travail, d’enthalpie, d’exergy, d’entropie, etc. sont communes à tous les systèmes. Les environnementalistes, eux, travaillent à partir de la notion d’impact environnemental. Celui-ci est envisagé comme la conséquence d’une artificialisation. Or, le modèle politique ayant poussé à son paroxysme la création d’artefacts est la société industrielle désignée responsable de la crise écologique actuelle. Mais tout cela est très récent. Ces interrogations associant connaissances scientifiques, philosophie et tout ce qui contribue à clarifier les enjeux écologiques contemporains animent les spécialistes de ces domaines depuis seulement une cinquantaine d’années.

    De tout ceci est cependant issue la relation entre production d’entropie et impact environnemental avec comme constat concernant le véhicule électrique qu’une fois de plus la campagne, ou mieux encore, la nature est envisagée comme l’exutoire naturel de ce qu’il faut évacuer de ces écosystèmes hyper-artificialisés que sont les villes pour garantir leur pérennité. Pour preuve, les filtres à particules sont conçus pour se régénérer en dehors des villes.

    Se pose alors une question fondamentale à l’origine du modèle philosophique reposant sur la notion de SurEnvironnement. Que se passera-t-il lorsque l’écosphère entière aura été artificialisée ? Or, c’est prévu pour demain.

    La ville a besoin d’un SurEnvironnement pour exister.

    Comme exposé dans d’autres écrits, le fondement essentiel de la Modernité est de recourir à des SurEnvironnements pour fonctionner. Le SurEnvironnement fondamental que la Modernité a créé est la Nature conçue comme l’ensemble des biens inappropriés ou res nullius (choses nulles ou choses de personne). Là sont extraites les ressources nécessaires aux systèmes dont la Modernité est la référence idéologique ultime, que ce soit dans des versions religieuses ou profanes ; là est l’espace où l’entropie sera rejetée. Comme déjà écrit, le défi actuel de nos sociétés contemporaines est d’intégrer les SurEnvironnements dans nos pratiques sociales. L’artificialisation de l’écosphère faisant que le SurEnvironnement fondamental s’étiole de jour en jour, il n’y aura bientôt plus de SurEnvironnement sur l’écosphère.

    Or, retenir le véhicule électrique comme moyen de lutter contre la pollution en centre-ville consiste à déplacer les pollutions dans d’autres espaces. Cela revient à recourir à un SurEnvironnement pour favoriser la pérennité du système fragilisé par son activité. Là est l’essence de la crise écologique actuelle contrevenant ainsi à ce qu’il faudrait faire pour réaliser une véritable politique écovertueuse.

    Dans la littérature anglo-saxone, ce phénomène est résumé par l’expression d’effet Nimby (Not in my back yard – pas dans mon dos). Cela revient à rejeter les pollutions issues d’une activité donnée dans un autre espace, loin et inconnu, pollutions pouvant mettre en péril l’activité. Nous avons formalisé cette situation en distinguant l’Environnement du SurEnvironnement dans un modèle philosophique associant d’autres termes.

    Or, une véritable politique environnementale exclut de recourir au lointain et à l’inconnu pour évacuer ses miasmes. Ce principe constitue un des fondements d’une politique écologique sincère. Les spécialistes parlent d’économie bouclée, de localisme, etc., pour résumer cela à l’origine de l’écoconception, de l’écologie industrielle, etc., toutes constitutives d’une approche écosystémique de nos sociétés. Cela impose un profond changement de paradigme.

    Vision holiste versus vision réductionniste.

    Beaucoup des éléments à charge concernant le véhicule électrique ne sont envisageables que dans un cadre écosystémique. Cela illustre la différence fondamentale entre une approche écologique, fondamentalement holiste, et les méthodes d’analyse en cours aujourd’hui d’essence réductionniste. En effet, la promotion du véhicule électrique est justifiée par la volonté de diminuer la pollution dans le centre des grandes villes. C’est tout à fait louable pour les personnes y vivant. Le véhicule électrique leur garantira un air débarrassé des produits de combustion des moteurs thermiques. Mais comme le rendement thermodynamique des moteurs électriques, ainsi que la complexité de leur cycle de vie produisent plus d’entropie, cela signifie qu’ils génèrent plus d’impacts environnementaux que les véhicules thermiques, mais en les externalisant des lieux de circulation auxquels ils sont destinés. Cela revient à surpolluer la banlieue, la campagne et la nature pour la diminuer dans les centres-villes. Les ours polaires vont en souffrir.

    Seule une approche holiste permet d’entrevoir ce paradoxe entretenu au nom de la protection de l’environnement. Evidemment cela est dénoncé par les environnementalistes sincères considérant que la diminution d’un impact local ne doit pas être fait au prix de l’augmentation ailleurs. Ce raisonnement est à l’origine de la définition résumant les enjeux actuels par la nécessité d’intégrer les SurEnvironnements dans nos pratiques sociales. Or, le véhicule électrique est, au contraire, la manifestation de postures à l’origine de la crise écologique actuelle ; une forme d’égoïsme, alors qu’il faudrait être écoïste.

    Prix et impact environnemental.

    Le véhicule électrique, en effet, est vendu à un prix très largement supérieur à celui des véhicules thermiques. Et encore, le service offert est loin d’être égalé. L’autonomie est très faible. L’espace disponible dans le véhicule l’est aussi car au lieu de passagers ou de bagages, on transporte des batteries. Donc, toutes choses étant égales par ailleurs, le véhicule électrique est beaucoup moins utile et efficace qu’un véhicule thermique.

    Le prix d’un véhicule électrique étant plus élevé, cela signifie que l’impact écologique de son cycle de vie est lui aussi plus élevé. Le cycle de vie intègre tout ce qui contribue à l’existence, à la vie et à l’obsolescence de l’artefact dans le temps et dans l’espace. Ceci n’est envisageable que par référence à une approche économique reposant sur la notion de valeur écosystémique, subsumant toutes les autres conceptions de la valeur : valeur-travail, valeur d’échange, valeur d’utilité, valeur symbolique, etc.

    Cette affirmation repose sur la proportionnalité entre prix et impact écologique. Celle-ci est issue d’une mise en perspective du prix d’un artefact selon une approche écosystémique reposant sur l’identification de l’écosystème à une structure dissipative. Schématiquement, le maintien en non-équilibre thermodynamique d’une structure passe par la dissipation de flux d’informations, d’énergie et de matières. Plus le système considéré est complexe, plus la quantité et la nature des flux est importante et diversifiée. Dans les écosystèmes artificiels, la circulation monétaire correspond à ces transferts d’énergie, de matières et d’informations entre les composantes de l’écosystème. Or, la dissipation de ces flux est à l’origine d’une production d’entropie qui, comme mentionné ailleurs, est proportionnelle à l’impact environnemental d’une chose pendant son cycle de vie. Là est un principe de fonctionnement des écosystèmes fondamental: la proportionnalité entre production d’entropie et complexité du système dissipatif en référence.

    Or, à valeur d’utilité égale, à ce jour, un véhicule électrique est plus cher qu’un véhicule thermique, obligeant les Etats à les subventionner pour déclencher leurs achats. Cela signifie donc que nonobstant la démonstration purement thermodynamique du faible rendement énergétique de ces véhicules, leur cycle de vie est lui aussi à l’origine d’une production d’entropie supérieure à celle d’un véhicule thermique.

    En conclusion sur le véhicule électrique.

    Ces quelques arguments liminaires obligent à des raccourcis incompatibles avec l’ampleur du sujet. Dont acte. Ils ont cependant le mérite d’appeler l’attention sur ces arguments relativisant des certitudes incontestables dorénavant. Qui ose montrer du doigt un véhicule électrique ? C’est le but de cet article appelant à relativiser leurs vertus écologiques. A charge au lecteur voulant aller plus loin de se rapprocher d’une littérature plus élaborée.

    Celle-ci aboutira à la conclusion que le cycle de vie d’un véhicule automobile mû par un moteur électrique est plus « entropique » que, toutes choses étant égales par ailleurs, celui d’un véhicule mû par un moteur thermique. Certains aspects seront améliorés dans le temps par des effets d’échelle ou des améliorations technologiques. En revanche, sauf à changer les lois de la Thermodynamique et les principes de fonctionnement des écosystèmes, il est et restera plus impactant environnementalement.

    Un bon indicateur sera l’évolution de son prix de vente débarrassé de toutes les subventions et avantages divers pour créer le marché.

    D’autres arguments à charge ou à décharge sur la pollucivité du véhicule électrique sont envisageables. Néanmoins, ces quelques arguments ont pour but de montrer qu’en changeant de paradigme et en s’appuyant sur des connaissances peu diffusées, certes, mais validées, paradoxalement, le véhicule électrique apparaît comme un véhicule plus polluant que le véhicule thermique. Faisant fi des arguments bio-physico-chimiques, le seul argument du prix suffit à s’en convaincre dès lors que sa proportionnalité aux impacts environnementaux générés dans son cycle de vie s’impose. Mettre le nez à la sortie d’un pot d’échappement qui n’existe plus dans un véhicule électrique ne suffit pas pour évaluer correctement ses vertus écologiques. Un peu de recul est nécessaire.

    Encore faut-il s’extraire des modèles dominants en en adoptant d’autres plus pertinents au regard des défis que nos sociétés globalisées du troisième millénaire ap.JC doivent relever. L’Ecologie envisagée comme la science de référence permettra alors de subsumer toutes les conceptions contemporaines issues du paradigme classique.

    Une certitude en conclusion.

    Le véhicule électrique est bien une création de la Modernité car sa justification repose sur le recours à un SurEnvironnement pour exister. Or, la PostModernité devra se construire sans recourir à des SurEnvironnements. Ceci pour une raison simple : il n’y en aura plus dans un monde saturé d’humains et sur-artificialisé.

    Frédéric Malaval, 6/11/ 2015

    http://www.polemia.com/le-vehicule-electrique-panacee-ecologique/

  • Les AFC des Pays de Loire interrogent les candidats

    Les questions sont en ligne ici. Extraits :

    "Questions N°1 – Soins Palliatifs

    Au-delà de ses compétences propres, le Conseil Régional s’est investi sur le domaine de la Santé en l’intégrant[1] dans un Schéma Régional « Formations, Santé, Social et Territoires ». Ce dernier intègre le souci de la qualité de vie des personnes âgées et a soutenu la création de Maisons de Santé et d’un Gérontôple[2] visant à soutenir les initiatives en faveur du « bien vieillir ». 

    Sur le sujet connexe du « bien mourir », la France, notamment notre région (voir ici[3]), est très en retard sur le développement des soins palliatifs au point mort depuis 2012.Un Conseil Régional, en lien avec son Agence Régionale de Santé, peut donner une impulsion décisive au développement des soins palliatifs sur son territoire, par exemple en soutenant et accompagnant les acteurs qui œuvrent dans ce domaine.

    1.1Êtes-vous prêts à intégrer le soutien au développement des soins palliatifs dans le cadre des actions de la Région sur le domaine de la Santé?

    1.2 Si oui, quels moyens concrets envisagez-vous de mettre en place pour soutenir et développer les soins palliatifs sur la région ?

    Questions N°2 – Accueil de la Vie / Soutien aux mères en difficulté

    Ce schéma régional Formations, Santé, Social et Territoires intègre notamment le soutien et la promotion du Mouvement du Planning Familial (ici[1] page 69). 

    Au niveau International, ce Mouvement s’est fait connaitre aux Etats Unis par le scandale[2] du trafic d’organes de fœtus avortés. En France des enquêtes[3] ont démontré que les centres de planification confiés au Planning Familial portent souvent une vision militante pro avortement et aident peu ou pas les femmes enceintes faisant le choix de garder leur enfant. 

    2.1 Vous engagez vous à stopper le soutien du Conseil Régional aux associations qui, par leur caractère militant, négligent les alternatives à l’avortement et, de ce fait, ne laissent pas la pleine liberté aux femmes en difficulté de faire un vrai choix ?

    2.2 D’une manière globale êtes-vous prêt à promouvoir une politique de santé respectueuse de la vie à naître  notamment au travers de l’accueil et du soutien aux femmes enceintes en difficulté ?

    Question N°3 – Promotion de l’idéologie du Genre

    Le conseil régional finance des centres d’Information sur les droits des femmes et des familles. 

     En octobre 2014 l’un deux organisait une formation[4] pour les professionnels intervenant auprès des enfants de 0 à 6 ans visant à intégrer « l’approche genre » dans sa pratique professionnelle, approche consistant ni plus ni moins à déconstruire tous les repères fondamentaux nécessaires aux enfants. 

     Par ailleurs en mars 2015 sous le prétexte d’une lutte contre les discriminations, une campagne soutenue par le conseil régional intégrait des ateliers à destination des enfants faisant la promotion de l’idéologie de genre (Ici page 15[5]). 

     Enfin le budget 2014 du conseil régional prévoyait un financement de 467 000€ à une équipe de chercheurs sur le thème du genre. [6]

    1. Vous engagez vous à veiller à ce que le Conseil Régional n’apporte aucun soutien aux structures promouvant explicitement ou implicitement l’idéologie de l’indifférenciation sexuelle (« théorie du genre ») ou tout autre idéologie visant à la déconstruction des repères fondamentaux qui permettent la construction affective des enfants ?

     Questions N°4 – Education Affective

    Le Conseil Régional supervise des programmes d’action éducative dans les lycées notamment sur l’éducation affective [7] et agrée dans ce cadre des associations pour intervenir dans les écoles. Parmi celle-ci on retrouve à nouveau le Planning Familial et d’autres structures qui relayent des messages similaires. A l’inverse des associations promouvant une vision de l’amour respectant toutes les dimensions de la personne ont été refusées[8] par le Conseil Régional sous des prétextes fallacieux. 

    Par ailleurs dans le cadre de ses actions en faveur des jeunes le Conseil Régional a mis en place pour les 15-30 ans un Pass Contraception [9]qui cherche ouvertement à court-circuiter le rôle des parents, premiers et principaux éducateurs de leurs enfants (« Aucun retour n’est fait à vos parents. » sic !). 

    Pour assurer la promotion de celui-ci, le Conseil Régional a détourné les fichiers d’un autre de ses dispositifs (le Pass Culture) pour faire parvenir des messages[10] relayant une vision d’une sexualité de divertissement déconnectée de sa dimension affective, faisant fi de la notion de respect et d’engagement qu’implique une telle relation.

    4.1 Vous engagez vous à ce que les politiques de santé publique à destination des jeunes ne contournent pas les parents qui, en tant que premiers éducateurs de leurs enfants, ne doivent pas être coupés et spoliés de la relation essentielle de confiance qu’ils bâtissent avec leurs enfants?

     4.2 De même, vous engagez vous à refuser l’intervention dans les lycées des associations dont les interventions au titre des programmes d’éducation affective se limitent à des questions techniques ordonnées à l’absolu du plaisir, c’est à dire qui ne concernent ni l’éducation ni l’affection? [Lire la suite]

    Synthèse des résultats prévus 30 novembre.

    Michel Janva

  • Régionales : discours de Barbara Mazières, secrétaire départementale du FN49, au meeting d’Andard

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    Barbara Mazieres

    Merci d’être venus si nombreux accueillir notre présidente, Marine Le Pen, ici, en Maine-et-Loire.

    Je suis très heureuse, justement parce qu’accueille ici, en votre nom à tous, Marine Le Pen.

    Marine Le Pen, c’est vous qui m’avez donné envie de continuer en politique. Vous incarnez le dynamisme sans la démesure, une résistance tournée vers l’avenir.

    Vous avez porté le Front national à des niveaux historiques. Vous incarnez pour tous l’espoir de la victoire.

    Vous êtes l’espoir de la France. Vous êtes le rempart à la mort programmée de notre pays et des valeurs de notre civilisation.

    Vous nous donnerez la victoire, je l’espère, bientôt au plan national.

    Mais cette victoire de 2017 passe par l’implantation de terrain notamment ici, dans cette terre angevine qui fut si longtemps rétive à notre mouvement. Je suis très attachée à ce terroir, un terroir agricole, mais aussi industriel. Je sais que beaucoup de nos concitoyens souffrent, et je souhaite que nos candidats les défendent. Je souhaite que nos candidats prennent la défense de nos familles attaquées, de nos entreprises, qui seules produisent des richesses, et sont trop souvent matraquées, de nos viticulteurs et de nos agriculteurs, qui façonnent notre territoire, et portent le nom de l’Anjou à travers le monde.

    Le Front national est proche de nos concitoyens, proche du terrain. Tous ensemble, nous gagnerons. Nous nous employons à cela avec tous nos responsables de circonscriptions et tous nos militants.

    Pascal Gannat, qui conduit la liste pour une région Bleu Marine, travaille depuis des mois à rencontrer nos concitoyens, trop souvent ignorés de la presse et des bobos parisiens !

    Pascal, avec Aymeric Merlaud, le Maine-et-Loire est derrière toi. Tu sais que tu peux compter sur le soutien de notre fédération.

    Vive la France, vive l’Anjou et vive Marine !

    http://fn-49.fr/?p=514