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  • [Revue de presse] La Décroissance n°103 -octobre 2015

    journal123_gd.jpgRéférence connue des lecteurs du Cercle Non Conforme, le mensuel La Décroissance, une fois de plus, ne mâche pas ses mots contre les tenants de la croissance, surtout quand elle est mâtinée d'écologie, et de développement durable. Et ce dès la Une, où le mensuel s'attaque au grand rassemblement mondial et médiatique qu'est la COP 21, qui doit se tenir à Paris. La Décroissance l'intitule « La COP des malfaiteurs »... Et plusieurs articles continuent cette attaque en règle. Dès les pages 2 et 3 avec l'article intitulé « L'écologie, bouée de sauvetage du système ». L'article, qui n'est vraiment pas tendre, indique que ce sont « les coupables [qui] font la morale ». « Pour cette caste qui se caractérise par l'enflure, le sauvetage de la planète constitue à cet égard une extraordinaire aubaine. La COP 21 devient une sorte de concours d'indécence mondiale des pompiers-pyromanes. » « A cette fin, un service d'ordre féroce est et sera assuré avec zèle par les grands médias et les journalistes. » La suite de l'article attaque même la politique étrangère de la France depuis Sarkozy et BHL, continué par Fabius et Hollande, vu comme des fauteurs de guerre...

    Le journal en profite pour attaquer ses habituels têtes de Turc, comme Yann Arthus-Bertrand, appellé « gremlins de l'écologie » (pages 5-6).

    Mais surtout ce numéro se singularise par une attaque en règle de la gauche, y compris de l'extrême gauche du système (Mélenchon ou le NPA). Mélenchon et le Front de Gauche subissent le feu de La Décroissance dans l'article « Pour un regroupement de groupies ? » (page 5). Article qui critique vertement l'appel aux classes moyennes que ferait selon son auteur Mélenchon et le Front de Gauche : « Mélenchon n'imagine pas que la rupture – que par ailleurs il préconise – avec la logique de la domination capitaliste, implique une autre stratégie que le rassemblement d'une classe moyenne complètement inféodée au système » Dans la suite de l'article, l'auteur reproche à Mélenchon de ne pas rendre les classes populaires « visibles ». Toujours dans l'attaque de la gauche, pages 6 et 7, à lire l'entretien « Les intellectuels de gauche ont été les instigateurs de cette défection des classes populaires » dont les termes rappellent un article d'« Eléments » expliquant comment cinéma et comiques depuis les années 70 se moquent ouvertement des classes populaires. Certains termes de l'entretien évoquent directement la « common decency » chère à Orwell et développée en France par Jean-Claude Michéa. Cette importance accordée aux classes populaires se retrouve également dans l'article « Ecologie et climat : l'enjeu des classes populaires » (page 11).

    Moment très savoureux, la bande-dessinée pages 10 et 11 « Nana la décroissante » qui tombe à bras raccourcis sur le site confusionnisme.info, site délirant de gauchistes qui jouent les flics de la pensée.

    Ensuite un débat de haute tenue est à lire et à étudier pages 14 et 15 « Vers une guerre entre bioconservateurs et bioprogressistes ? ». Avec parmi les intervenants le philosophe Fabrice Hadjadj, qui est membre de la revue « Limite » dont la sortie est évoquée avec quelques pointes d'ironie par Vincent Cheynet page 14.

    A noter pour finir que La Décroissance recommande d'acheter les hors série du journal Le Point « Eloge de la vie simple »...

    Une nouvelle fois, La Décroissance s'inscrit dans les revues indispensables.

    Arnaud /C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Droit-de-l’hommisme et immigrationnisme

    Fiche de lecture de Bernard Mazin, essayiste.

    ♦ Le triptyque engagé d’Aymeric Taillefer

    « Le libéralisme triomphant et pleinement développé a transformé le monde en société de consommation dont l’ordre moral est le droit-de-l’hommisme. »


    Dans son excellent dernier ouvrage Le Mur de l’Ouest n’est pas tombé, Hervé Juvin a cette formule lapidaire, mais ô combien juste (p. 203) : « La piété pour l’immigration, l’hystérie des droits de l’homme, la terreur contre la liberté d’expression ont le même but et la même fonction : interdire aux sociétés de faire histoire et de choisir l’histoire qu’elles font. »

    Les éditions Godefroy de Bouillon, dont on ne saurait trop saluer, avec d’autres, les courageux efforts pour diffuser la pensée non conformiste, ont publié, sur une période qui s’étend de février 2013 à mai 2015, trois ouvrages d’Aymeric Taillefer, qui s’emboîtent comme des poupées russes, du registre de l’analyse générale vers celui de l’énoncé de la posture idéologique personnelle de l’auteur, et qui viennent comme un écho amplificateur détailler les menaces qui pèsent dans les trois domaines cités par Hervé Juvin.

    Le premier d’entre eux est consacré à l’idéologie « droit-de-l’hommiste », cette idéologie dominante dont Aymeric Taillefer décortique avec une grande précision et beaucoup d’esprit d’à-propos les « valeurs », les instruments et les objectifs. Le droit-de-l’hommisme a pu être accusé de dériver vers un « totalitarisme doux » : l’auteur montre bien que cette « douceur » n’est plus qu’un faux-semblant, qui cède désormais la place à une tentation répressive de plus en plus visible.

    L’analyse repose sur l’idée que le droit-de-l’hommisme est une névrose religieuse, autrement formulé : il serait « l’islamisme du Christianisme, en ce sens qu’héritier de ce dernier, par le truchement des Droits de l’Homme, il en expose la caricature sans la profondeur, la religiosité dénuée de toute spiritualité… »

    Je laisse aux théologiens et aux exégètes de la pensée chrétienne le soin de trancher si cette idée que les droits de l’homme font intrinsèquement partie de l’héritage du christianisme est recevable. Pour ma part, j’avoue être assez réticent à l’égard de cette notion d’idéologie « christianiste », qui serait une sorte d’hérésie comme l’islamisme serait une déviation de l’islam.

    Il reste que l’idée que le droit-de-l’hommisme, sous ses multiples avatars, serait une forme de névrose religieuse n’est pas dénuée de pertinence. Elle rejoint en partie la thèse, déjà ancienne mais toujours valide, de Jules Monnerot sur le caractère millénariste des idéologies révolutionnaires.

    En filigrane de l’ouvrage, on trouvera également l’idée que « le libéralisme triomphant et pleinement développé a transformé le monde en société de consommation dont l’ordre moral est le droit-de-l’hommisme. » Cette assertion nous est familière, à travers les écrits de penseurs aussi divers qu’Hervé Juvin, Alain de Benoist ou Jean-Claude Michéa. Mais elle n’est pas toujours saisie dans toutes ses implications, car nous avons encore du mal à admettre qu’il n’y a pas d’incompatibilité entre notre conviction que la liberté d’entreprise et de propriété est nécessaire, et la conscience que la logique de « l’hyperlibéralisme » nous mène à la destruction des valeurs que nous chérissons.

    Au final, le lecteur résistant à la zombification des esprits sera reconnaissant à Aymeric Taillefer pour le puissant tableau qu’il nous campe de la redoutable police de la pensée dont nous sommes les cibles désignées. En dépit de quelques imperfections factuelles, et de points de vue parfois trop définitifs, il se sentira en symbiose avec un auteur que l’on peut classer sans hésitation dans la catégorie, de plus en plus nombreuse, des « nouveaux dissidents ».

    Son second opus, La Psychose immigrationniste, analyse la vision droit-de-l’hommiste appliquée au domaine plus particulier de l’immigration, notamment musulmane. Il est donc étroitement complémentaire du premier.

    Se gardant de toute interprétation caricaturale, Taillefer, dans la première partie du livre consacrée à la « réification de l’immigré non européen », apporte un éclairage personnel sur les différents volets de l’idéologie immigrationniste : repentance, victimisation, sanctification de l’immigré à des fins politiques, etc.

    La seconde partie, intitulée « Le Droit-de-l’hommisme à l’épreuve de la Nation religieuse (Islam) », met en parallèle les grands préceptes des théologies islamique et chrétienne du Nouveau Testament, et n’a pas de mal à démontrer, à l’instar d’un René Marchand, que le mariage morganatique de l’islam et de l’idéologie dominante ne peut que déboucher sur la destruction pure et simple de notre culture et de nos valeurs.

    On pourra parfois reprocher à l’auteur d’abuser du wishful thinking, ainsi p. 90 : « Le lecteur comprendra que c’est à l’apostasie que nous appelons les Musulmans, nos frères humains ». Vaste programme ! On lui pardonnera également quelques erreurs, par exemple à propos de « l’escroquerie du droit du sol ».

    Mais on saura gré à Aymeric Taillefer, à l’heure du nouveau « Camp des Saints » et du « Padamalgam », d’apporter une contribution stimulante à la réflexion sur les multiples pièges sémantiques à désamorcer pour préserver notre identité.

    J’avoue avoir été moins convaincu par le troisième et le plus récent panneau du triptyque Anarchiste de droite / Précis de survie. L’objectif en est louable, puisqu’il s’agit rien moins « dans un monde asservi par le commerce cosmopolite » que de chercher les moyens de « préserver ces deux biens précieux que sont l’enracinement et la liberté ».

    Mais la réinterprétation de l’histoire millénaire de la France à travers une succession de « cycles », eux-mêmes subdivisés en « siècles » connaissant des phases d’aurore, d’ordre et de déliquescence, pour séduisante qu’elle soit, tourne parfois un peu court. On sent que l’auteur a eu parfois du mal à faire entrer son propos dans sa grille d’analyse. Qui trop embrasse mal étreint, et un peu plus de modestie eût été de bon aloi.

    Surtout, le long plaidoyer de Taillefer en faveur d’un « anarcho-royalisme » et d’une « aristocratie guerrière et plébiscitaire » me paraît largement empreint de déni de réalité : comment adhérer à des affirmations péremptoires telles que « le crédit extraordinaire, quoique que toujours minoritaire, du royalisme en France » (p. 72) ou « Il n’existe qu’une solution, qu’une digue au déferlement nihiliste. La Restauration de la Monarchie capétienne est ce garde-fou » (p. 181).

    On regrettera en outre que l’auteur, dans son propos sur « les Lois Fondamentales relatives aux trois Ordres », ne fasse aucune allusion au modèle indo-européen des trois fonctions, donc bien antérieur à la monarchie capétienne, mais qui offre d’intéressantes, et toujours actuelles perspectives sur l’évolution des sociétés occidentales.

    Pour autant, la lecture de ce nouveau Que faire ? est toujours roborative, même si l’on n’en partage pas toutes les conclusions. Elle met en avant le versant « lyrique » de la personnalité de l’auteur, ce qui est d’autant plus sympathique que son triptyque est, sur le fond, bien orienté et témoigne de la richesse et du foisonnement de « l’anti-pensée unique ».

    Bernard Mazin, 2/11/2015

    Aymeric Taillefer :

    Droit de l’hommisme : une névrose religieuse, 02/2013, 319 p.
    La Psychose immigrationniste, 10/2013, 248 p.
    Anarchiste de droite / Précis de survie, 05/2015, 218 p.
    Les trois ouvrages aux éditions Godefroy de Bouillon.

    Hervé JuvinLe Mur de l’Ouest n’est pas tombé, Editions Pierre-Guillaume de Roux, 05/2015, 277 p.

    http://www.polemia.com/droit-de-lhommisme-et-immigrationnisme/

  • In Memoriam La colonne

  • Crise migratoire, la ruralité mise au pas

    Le 27 octobre 2015 sera à noter dans les annales. A l'instar d'autres dates symboliques concernant les « progrès » de la submersion migratoire que connaît notre continent depuis plus de quarante ans...

    Que s'est-il passé ce jour ?

    Le 27 octobre 2015, aux environs de 10h du matin, six autocars transportant près de 292 « migrants » évacués sur « volontariat »  de la Jungle de Calais ont pris la route. En sus de Villeurbanne ou encore de Istres, trois lieux de destination sont à inscrire dans nos esprits : Guerche, Arry et Mauzac-et-Grand-Castang. Trois villages de quelques centaines d'habitants. Un en Bretagne, un en Lorraine et le dernier dans le Périgord.

    Ces « migrants », certains ayant vécu pendant près d'un an à Calais, ont été convaincus par diverses structures associatives de renoncer au mirage britannique pour se maintenir en France. Seront étudiées au cas par cas les possibilités de maintien sur le territoire français, qui n'en doutons pas, seront trouvées.

    Il s'agit bien évidemment d'un test, d'une première vague. Bernard Cazeneuve a affirmé que, dans un premier temps, près de 2000 personnes allaient bénéficier de ces mesures de délocalisation mais nous pouvons affirmer dès à présent que ce sera bien plus.

    Trois éléments sont à considérer.

    Premièrement : La volonté étatique, explicitement affirmée, est de diffuser, comme en intraveineuse,  l’immigration clandestine à travers l'ensemble du territoire et particulièrement dans le monde rural.

    La ruralité est, que nous le voulions ou non, notre dernier refuge, le lieu où nous pouvons encore envisager un avenir sérieux et durable pour nos familles (recours aux forêts, BAD, projets localistes, etc.). Or, cette décision de transfert voulu par les autorités, sans même prévenir les habitants des lieux, est un message explicite : « Bande de péquenots, vous n'y échapperez pas ! Nulle part vous ne trouverez la paix. »

    Deuxièmement : Cette décision est la preuve que la situation sur Calais n'est absolument pas maîtrisée. L'arrivée des froids ne doit pas être étrangère à cette dernière. La crainte de voir encore quelques milliers d'individus supplémentaires venant s'ajouter aux plus de 6000 présents terrorise littéralement les pouvoirs publics. Les associations sur site ne parviennent plus à gérer le flux et à travailler sereinement. La situation est explosive et dégénérera nécessairement dans les semaines à venir.

    Troisièmement : Il sera très intéressant de suivre, pour les secteurs concernés par cette mise sous perfusion migratoire, les évolutions des troubles et incivilités (vols, dégradations, viols, etc.) ainsi que celui du vote Front National. En s'attaquant à la France rurale et péri-urbaine, celle déconnectée des métropoles mondialisées et où les sentiments identitaires sont vivaces (malgré une tendance fréquente à voter bizarrement…), le système fait un pari audacieux et dangereux pour sa survie.

    Jacques Thomas / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

     

  • Calais : la colère anti invasion migratoire prend de l’ampleur

    Hasard ? Plus le nombre de « migrants » augmente dans la « New Jungle » de Calais, plus les agressions se multiplient et plus les Calaisiens en ont marre. En témoigne la dernière manifestation organisée par le collectif « Calaisien en colère », qui a doublé le nombre des manifestants par rapport à la dernière édition de leur marche contre « l’impact de la présence migratoire ».

    Il faut oser franchir le pas, accepter de se faire traiter de raciste et de facho par les médias officiels et les bonnes âmes de service, alors que l’on en peut simplement plus de voir sa ville envahie, l’insécurité grimper en flèche et les conditions de vie se dégrader à vue d’œil. Le chiffre des manifestants à avoir répondu à l’appel du collectif « Calaisien en colère » n’est donc que le pâle reflet du nombre de Calaisiens qui ne supportent plus les conséquences de l’immigration sauvage dans leur ville.
    Ils étaient 800 personnes selon les décomptes officiels, probablement près du double en réalité, à défiler pour dire « Stop à l’immigration clandestine ». Début octobre, c’étaient 300 manifestants selon la préfecture, un millier selon les organisateurs, qui battaient le pavé sur le même thème.

    Un défilé qui s’est déroulé sans incident, ni avec les militants immigrationnistes, ni avec les forces de l’ordre. En effet, si la mairie avait pris un arrêté interdisant le rassemblement, la préfecture a refusé de le suivre. D’ailleurs, la solidarité avec les pompiers et les forces de l’ordre était affichée sur les pancartes, faisant écho à la manifestation des soldats du feu mercredi dernier, qui s’estiment totalement débordés par l’invasion migratoire.
    Les discours des membres du collectif ont rappelé « le ras le bol de l’immigration de plus en plus agressive » et ont enjoint « l’Europe à aider les pays en guerre à la source », précisant que « Calaisiens en colère » était un mouvement « apolitique » et « non raciste » et qu’il espérait faire tâche d’huile dans tout le pays, demandant à ce que « Calais soit un exemple de protestation contre l’immigration clandestine au niveau national ».

    http://fr.novopress.info/194477/calais-colere-anti-invasion-migratoire-prend-lampleur/

  • Les Mythes de la Seconde Guerre mondiale

    Les-mythes-de-la-seconde-guerre-mondiale

    Tant de livres sont déjà parus sur la Seconde Guerre mondiale. Tout n’a-t-il pas déjà été dit ou écrit ? L’équipe de spécialistes de ce conflit réunie sous la houlette de Jean Lopez, directeur de la rédaction de Guerres & Histoire, et Olivier Wieviorka, membre de l’Institut universitaire de France, a entrepris l’apparente gageure de prouver le contraire et de tordre le cou à quelques idées reçues concernant cette guerre et ses belligérants.

    Vingt-trois mythes, souvent fruits de la propagande, soit de l’Axe, soit des Alliés, passent ainsi à la moulinette. Chaque auteur prend soin de séparer le vrai du faux, loin de tout manichéisme.

    Non, les Britanniques n’étaient pas unanimement derrière Churchill avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Winston Churchill fut un temps la bête noire de l’establishment. Il devint Premier ministre par défaut. Au début du conflit, la presse anglaise tira à boulets rouges sur son gouvernement. Ce sont ses talents oratoires qui lui permirent dans un premier temps de gagner la confiance des Anglais. Et malgré son image de vainqueur, Churchill n’a plus le soutien de l’opinion publique lorsque viennent les élections de juillet 1945 qui l’écartent du pouvoir.

    Non, les cheminots français n’étaient pas majoritairement engagés dans la Résistance. L’engagement résistant fut essentiellement individuel. Le 27 décembre 1944, un ingénieur de la SNCF, Louis Armand, déclare en préfecture Résistance-Fer présenté à partir de 1947 comme un réseau « action » qui aurait regroupé les cheminots résistants sous le commandement de ce Louis Armand, ce qui fut largement dénoncé par les résistants cheminots eux mêmes mais continua de constituer un mythe entretenu par le film La Bataille du rail.

    L’armée italienne était-elle aussi mauvaise qu’on le croit ? Ce stéréotype négatif repose sur un fond de vérité qui s’inscrit dans une série de désastres militaires subis par l’armée italienne depuis 1848. Mais l’armée italienne connut aussi ses heures de gloire et de sacrifice durant cette Seconde Guerre mondiale. Les alpini se sont notamment illustrés lors de la retraite du Don en janvier 1943, se sacrifiant pour permettre l’évacuation du reste du contingent italo-allemand. 

    Ce n’est là qu’un bref aperçu de l’intérêt de ce livre et de la variété des sujets qu’il aborde. 

    Les Mythes de la Seconde Guerre mondiale, sous la direction de Jean Lopez et Olivier Wieviorka, éditions Perrin, 441 pages, 21 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

    http://www.medias-presse.info/les-mythes-de-la-seconde-guerre-mondiale/42391

  • Conférence Dextra : vendredi 6 novembre « Comment peut-on être de gauche ? »

     
    Chers amis,
    Nous aurons la joie et l'honneur de recevoir ce vendredi Adrien Abauzit qui nous entretiendra de :
     
    "Comment peut-on être de gauche ?"
     
    Adrien Abauzit est un jeune avocat, écrivain notamment 
    de "Né en 1984, Abécédaire pour une jeunesse déracinée".
    Il intervient sur de nombreux médias dissidents, tels que :
    Boulevard Voltaire, Agence Info Libre, La Gauche m'a tuer...
     
    Nous vous attendons nombreux et ponctuel pour cette conférence qui s'annonce très intéressante. 
     
    Nous vous rappellons que les adhésions sont à nouveau disponible au tarif de 20€ pour les chômeurs et étudiants, 40€ pour les pros.
     
    N'hésitez pas à partager l’événement !
     
    À vendredi !

  • Revoilà le kärcher

    Nicolas Sarkozy est interrogé dans Le Parisien sur la sécurité. Extraits :

    S"La République doit cesser de reculer partout. Nous proposons de tourner le dos à une politique pénale laxiste, en faisant de l’exécution des peines la priorité des pouvoirs publics. Car la refondation de l’autorité de l’Etat passe avant tout par l’autorité de la loi et de sa sanction. Il ne peut y avoir de zones de non-droit en République. Les Français ne l’acceptent pas. L’Etat doit réinvestir les territoires face aux trafics. Je propose que les trafiquants de drogue qui auront réellement effectué leurs peines de prison, soient interdits de séjour à leur sortie de prison dans le quartier où ils ont commis leurs méfaits. C’est une peine complémentaire automatique qui serait prononcée par la justice. La reconquête doit se traduire également par une présence policière continue la nuit. Des vigies de police doivent être organisées dans les quartiers les plus difficiles, pour lutter contre cette criminalité en constante progression [...]"

    Voilà qui nous rappelle les discours musclés de 2005 :

    «Mon travail, c'est débarrasser la France des voyous». «On va nettoyer au Kärcher la cité». «Que va-t-il advenir du magistrat qui a osé remettre en liberté conditionnelle un monstre pareil?».

    Pas sûr que les Français s'y fassent encore prendre.

    Michel Janva