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  • La chute du prix du pétrole fera-t-elle éclater une énième bulle ?

    ÉCONOMIE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    À 35 $ le baril, le prix du pétrole a été divisé par 3 en deux ans. Cette baisse pose de graves problèmes aux pays producteurs d’hydrocarbures.

    Les pays producteurs de pétrole ont assis leur sécurité extérieure et leur paix intérieure sur les exportations de pétrole…
    À l’exception de la Russie et de quelques petites monarchies du golfe persique, les économies de ces pays sont très peu diversifiées. D’après les Échos, l’équilibre budgétaire public correspond à un prix de 80 $ le baril en Arabie saoudite, 110 en Russie et en Algérie et 150 $ au Venezuela.

    À moins de 35 $ le baril, les États pétroliers sont dans une situation critique
    Peu endettée et disposant encore d’importantes réserves, l’Arabie saoudite disposerait encore de quatre à cinq années de déficit devant elle. C’est peu, mais l’Algérie est déjà au pied du mur. D’après Bernard Lugan, ses réserves en dollars n’offrent que 18 mois d’autonomie budgétaire. Faute de pouvoir acheter la paix sociale, le pays pourrait connaître une profonde déstabilisation dans une région déjà explosive.

    Quant au Venezuela, il a atteint le bout du système. Déjà en proie à l’insécurité, à une inflation galopante et à des pénuries, il est acquis qu’il fera défaut sur sa dette publique, en 2016.

    La baisse du prix du pétrole pourrait également faire des dégâts aux États-Unis
    Depuis 2008, les banques ont massivement financé le développement de l’industrie du gaz et du pétrole de schiste. Avec un point mort compris entre 50 et 65 $ le baril, les sociétés sont en perte. Les créances douteuses dans le secteur ont quintuplé, en 2015 et représentent 34 milliards de dollars. Les banques se rassurent en rappelant n’avoir conservé dans leurs livres qu’une partie de leurs engagements.

    Cela n’est pas sans rappeler la crise des « subprimes »
    En effet, la dissémination de ces crédits douteux dans l’économie avait alors entraîné un mouvement de défiance générale. Les financements interbancaires s’étaient taris, entraînant une crise de liquidité fatale à la banque Lehman Brothers en 2008. C’est l’économie mondiale qui avait alors été menacée.

    http://fr.novopress.info/

  • Dehors

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  • Sarkozy annonce l’arrivée de 10 millions d’immigrés et ajoute : « Ne pas avoir inscrit l’identité chrétienne dans la constitution européenne était de la lâcheté »

    Nicolas Sarkozy était ce mercredi à Anvers, invité à donner une conférence lors de la réception de Nouvel An du Voka, l’organisation patronale flamande.

    Présenté par Bart De Wever, bourgmestre d’Anvers et président de la NVA, Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, a évoqué l’avenir de l’Europe.

    Au cours de cette conférence, Nicolas Sarkozy a déclaré : « Ne pas avoir inscrit l’identité chrétienne dans la constitution européenne était de la lâcheté« .

    Sarkozy a également affirmé : « Schengen est mort. Il fallait d’abord une politique d’immigration commune« . Et d’ajouter : « 10 millions de personnes en marche vers l’Europe, qui peut imaginer que c’est acceptable ?« 


    Nicolas Sarkozy expose sa vision de la politique économique, ce soir à Anvers

    http://www.medias-presse.info/sarkozy-annonce-larrivee-de-10-millions-dimmigres-et-ajoute-ne-pas-avoir-inscrit-lidentite-chretienne-dans-la-constitution-europeenne-etait-de-la-lachete/46895

  • Cologne: la chaîne publique allemande s’excuse pour ne pas avoir couvert les faits

    La chaîne publique allemande ZDF a présenté ses excuses pour avoir tardé, à l’instar de la plupart des grands médias nationaux, à évoquer les agressions sexuelles sur des femmes survenues le soir du Nouvel An à Cologne, ce qui suscite des critiques du public.

    Le fait que le journal de 19h lundi soir « n’ait pas au moins mentionné les incidents était une négligence », écrit la rédaction du journal télévisé sur ses comptes Facebook et Twitter. Ne pas en parler lundi soir « était (…) clairement un jugement erroné », reconnait ZDF, dont la page Facebook est émaillée de commentaires de spectateurs mécontents: « ma confiance dans (cette chaîne), pour laquelle je paie des impôts, s’amenuise de plus en plus », écrit l’un deux, alors que d’autres s’étonnent que ZDF « passe sous silence depuis un certain temps certaines choses ».

    (…) Plus globalement, le peu d’écho avant mardi des médias sur cette affaire est également mis en question. Le site spécialisé sur les médias, Meedia, a ainsi relevé qu’il a fallu « quatre jours » pour que l’affaire soit « relatée de façon exhaustive au niveau national ». « Lorsque l’on regarde (la presse nationale), il n’y a rien jusqu’à lundi sur ces incidents », poursuit Meedia. « Il a fallu quatre jours pour que la grande machine médiatique ne s’enclenche », épingle encore le portail.

    Source via FDS

    http://www.contre-info.com/cologne-la-chaine-publique-allemande-sexcuse-pour-ne-pas-avoir-couvert-les-faits

  • Ce que le réchauffisme pollue

    Dans sa livraison de janvier, le mensuel La Nefconsacre un dossier à la COP21, en en soulignant notamment les limites. Abordant le sujet du réchauffement climatique, Christophe Geoffroysouligne que c'est

    "loin d’être le seul problème écologique qui menace la planète – et c’est une autre faiblesse des grandes réunions comme la COP21 de polariser l’attention sur ce seul aspect, alors que l’écosystème forme un tout."

    Néanmoins, il tombe dans le travers du réchauffisme en ajoutant :

    "Dès lors, que veulent prouver les climato-sceptiques en niant l’origine humaine du réchauffement et en se moquant du souci écologique ?"

    Mais les climato-sceptiques (et même, pour être plus exact, les CO2-sceptiques) se moquent-ils vraiment de l'écologie ?

    Distinguer les sujets

    1. Le réchauffement climatique est-il vraiment global et universel ? Car constater qu'il a fait plus chaud en décembre 2015 en France ou, comme Denis Sureau, que les vignerons français sont confrontés à une évolution du climat, ne prouve certainement pas que le réchauffement soit général ni fatal. Le climat est par nature changeant, cyclique et il faisait plus chaud en Europe au Moyen-Age (les Romains faisaient pousser des vignes et des citronniers jusqu'au nord du Mur d'Hadrien en Angleterre ).
    2. En admettant que ce réchauffement global est réel, il est utile de s'interroger sur sa nocivité. Encore une fois, il faisait plus chaud en Europe au cours du Moyen-Age et cela n'a pas provoqué de catastrophisme angoissant comme aujourd'hui...
    3. Enfin, la cause de ce potentiel réchauffement. Est-ce vraiment l'homme qui est responsable des évolutions du climat ? Sur cette question, la libre réflexion de vos blogueurs, de 2007, est toujours d'actualité.

    Et c'est sur ce dernier aspect que le bât blesse le plus. En 2011, Georges Dilliger, qui n'est pas climato-sceptique mais est CO²-sceptique, avait déjà répondu à la question de Christophe Geoffroy, dans un ouvrage sur le sujet. S'interrogeant sur les profits réalisés par certains lobbies profitant de la campagne d’enfouissement ou de « séquestration » du CO2, Georges Dillinger mettait en cause la fixation des esprits sur une thèse non prouvée, qui permet de relativiser d’autres en jeux écologiques importants, comme la pollution et le manque d’eau, la détérioration des sols, la déforestation, la régression de la diversité biologique ou, comme on peut le constater dans l’actualité, les ravages de la malbouffe. Pour Stanislas de Larminat, réduire le CO² ne sert à rien... sinon peut-être à maintenir le continent africain en état de dépendance.

    En dénonçant l'idéologie du réchauffisme, ce luxe de pays développé, il ne s'agit donc pas de sauver un système, puisque c'est ce même système qui tente de survivre à coups de milliards (avec des taxes en tout genre comme la taxe carbone) tout en voulant empêcher le développement des pays pauvres.

    Etre CO²-sceptique, ce n'est pas se moquer de l'environnement.

    En 2008 déjà, Benoît XVI plaidait pour "une écologie de l'Homme" fondée sur le respect de la distinction entre hommes et femmes, prenant le contre-pied de l'idéologie du genre. Lorsque l'Eglise catholique prend la défense de la Création, oeuvre de Dieu,

    "elle ne doit pas seulement défendre la terre, l'eau et l'air (...) mais aussi protéger l'homme contre sa propre destruction [...] si les forêts tropicales méritent notre protection, l'homme (...) ne la mérite pas moins [...] Une écologie de l'homme, justement comprise, est nécessaire [...] parler de la nature de l'être humain comme homme et femme et demander que cet ordre de la création soit respecté ne relève pas d'une métaphysique dépassée [...] L'homme veut se faire seul et disposer seul de ce qui le concerne, mais en agissant ainsi il vit contre la vérité, il vit contre son créateur".

    Et l'encyclique Laudato Si du pape François nous appelle à cette écologie intégrale :

    "Une écologie intégrale implique de consacrer un peu de temps àretrouver l’harmonie sereine avec la création, à réfléchir sur notre style de vie et sur nos idéaux, à contempler le Créateur, qui vit parmi nous et dans ce qui nous entoure, dont la présence « ne doit pas être fabriquée, mais découverte, dévoilée»."

    Le problème de la COP21 et du réchauffisme en général, c'est de croire encore que l'on peut sauvegarder l'environnement sans respecter la personne humaine. Dans le dernier numéro de L'Homme Nouveau, le père Yannick Bonnet écrit, à propos de la manipulation des médias :

    "L’important, bien sûr, c’est de sauver la planète ! La profonde stupidité de ce slogan échappe à l’esprit de nos jeunes, qui ignorent qu’avant la présence des hommes, ladite planète avait subi des percussions violentes de météorites colossaux, des éruptions volcaniques ravageuses et des variations de températures et de niveau des océans, considérables. Et personne ne nous explique comment l’on contrôlera les variations d’émissions énergétiques du soleil, comment on évitera les chocs de météorites et comment on domptera le volcanisme. Comment se fait-il que si peu de nos contemporains ne soient pas frappés par le fait que ce discours dominant « pue » l’orgueil et une volonté sous- jacente de domination mondiale, servie par des moyens financiers incontrôlés ?

    En décembre, Stéphanie Bignon, éleveur dans le Brionnais, appelait simplement à respecter les saisons et les personnes :

    "Sauver le climat quand on ne respecte pas les saisons c’est du volontarisme révolutionnaire. La réalité de l’échelon local est méprisée au profit de l’idéologie et de la toute-puissance du Régime globalisateur. Le propre de l’idéologie est de s’intéresser à l’universel, au global sans partir du particulier. [...]

    Mais il faut aller jusqu’au bout du raisonnement et réaliser que tout de nos vies est décidé à notre place (naissance, éducation, mariage, mort…) par un système de plus en plus jacobin et mondial auquel toute formation politique doit faire allégeance pour exister. [...]"

    L'idéologie (monocausale, étatique, révolutionnaire...) du réchauffisme nous empêche de nous pencher sur les vrais sujets environnementaux. Pour en sortir, il faut d'abord retrouver notre liberté, cesser de confier à l'Etat nos faux-problèmes : ce n'est pas la COP21 ni la COP22 qui règleront la température de la Terre... Les idéologues du réchauffisme nous polluent car ils veulent maintenir leur volonté de puissance, leur étatisme, en nous culpabilisant. C'est à nous de changer nos modes de vies. D'être des dissidents dans tous les domaines. Sur le plan médiatique avec ce blog et les autres contre-médias, sur le plan scolaire, en soutenant les écoles libres, nées de l'initiative privée. Et pour lutter contre le gaspillage et apprendre à user avec mesure de chaque chose, rien de mieux qu'une bonne éducation, les familles nombreuses en savent quelques chose. Pas besoin de l'Etat et de son tri sélectif. De façon similaire, il existe déjà de nombreuses initiatives privées et locales dans le domaine de l'alimentation (panier des familles, livraisons directes entre éleveurs/producteurs et consommateurs,...) et même commercial, grâce notamment à l'essor d'internet, qui permet par exemple la vente en direct et le recyclage (adieu les grandes surfaces made in China, bienvenue aux marchés privés -notamment scolaires- et aux Gens de confiance...).

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/ce-que-le-r%C3%A9chauffisme-occulte.html

  • Les collabos de l’immigration jettent le masque

    1243865473.jpgSur l’affaire des “migrants”, en fait celle concernant les vagues d’immigrés illégaux à l’assaut del’Europe, la grosse presse, largement subventionnée, gorgée d’argent public et de recettes publicitaires, nous sert jusqu’à la nausée son brouet libéral-libertaire, européiste, mondialiste et cosmopolite, celui que refusent un nombre croissant de lecteurs à mesure que croît le décalage entre ce que les Français y voient ou lisent et la réalité qu’ils perçoivent et vivent au quotidien. Il s’agit, bien entendu, selon nos grandes âmes par procuration, d’accueillir avec enthousiasme l’Autre, celui venu d’ailleurs, nimbé de toutes les vertus et paré de toutes les supériorités dont pourraient et même devraient se réjouir des peuples vieillissants et fatigués qu’ils auraient pour mission de régénérer. Heureusement, pour faire pièce à ce déferlement totalitaire d’un conte mièvre destiné aux esprits les plus fragiles, nombreuses sont les sources d’information alternative, sites internet, blogues et quelques courageux journaux résistants à opposer un autre son de cloche.

    L’épisode migratoire intensif subi par la France et un certain nombre de nations européennes et son aggravation subite depuis le mois d’août dernier ne doivent évidemment rien au hasard, pas plus que l’imposition foudroyante, y compris, hélas, dans les milieux hostiles à cette immigration illégale et qui devraient se garder de dangereuses dérives sémantiques, du terme “migrants” qui n’a rien à voir avec les tics langagiers que nous imposent régulièrement les media.

    Les milieux libéraux entonnent en chœur, avec la gauche, les refrains connus du déficit démographique qu’il convient de combler au plus vite, d’un système social qu’il nous faudrait consolider en accueillant la misère du monde — cherchez l’erreur —, de la nécessaire solidarité à mettre en œuvre et du grand cœur qu’il convient de porter en bandoulière tout en affichant une exaltation bienveillante devant un fléau de grande ampleur qu’il faudrait feindre de prendre pour une inégalable opportunité. C’est un véritable festival dans lequel il n’est pas toujours aisé au néophyte de distinguer les authentiques collabos des véritables tartufes. La télévision et la presse libérale comme de gauche, fidèles et dociles à leurs commanditaires aura une fois de plus joué son rôle, pilonnant sans répit, sans le moindre sens de la nuance.

    LA GROSSE PRESSE MOBILISÉE POUR UN VÉRITABLE LAVAGE DE CERVEAU

    Paris-Match, magazine à grand tirage reste l’un des titres-phare de l’empire de presse Hachette Filipacchi Media (HFM), filiale de Lagardère Active possédant des filiales aux États-Unis, au Japon, en Espagne et en Italie, éditant et commercialisant 260 titres dans 34 pays. Ce magazine grand public affichait en couverture de son numéro du 10 septembre une fillette au regard triste, tenant à la main un chapelet, islamique bien entendu, et juchée sur les épaules d’un père visiblement fourbu et le regard baissé, avec pour titre « Accueillez-nous . Le grand défi de l’Europe ». Pas moins de 24 pages étaient consacrées au problème des “migrants”, accompagnées de photos suggestives destinées à attendrir le chaland.

    La couverture du magazine Le Point ne faisait pas non plus vraiment dans la dentelle avec son gros plan sur le visage souriant d’Angela Merkel barré du titre « L’incroyable Madame Merkel. Si seulement elle était française… ». Il s’agissait alors de la Merkel 1, celle de l’ouverture inconditionnelle des frontières de l’Allemagne. On sait que l’hommasse teutonne, Merkel 2, se ravisa bien vite, quelques jours après, non en raison d’une quelconque velléité de bon sens ou d’intérêt national mais plus prosaïquement sous la pression de la partie la moins avachie de la population. Ses premières déclarations en faveur d’un accueil inconditionnel des immigrés illégaux avaient pourtant rencontré un large écho positif dans la population mais les nuées ne mirent pas longtemps à se dissiper et la réalité tangible de la submersion lui fit, en quelques jours, rétablir le contrôle aux frontières, nonobstant les laxistes accords de Schengen qui, depuis 1985, les suppriment au sein de la Communauté européenne.

    Quant à l’Obs, sa couverture du 3 septembre affiche sur fond noir le visage de Miran, présumé kurde iranien et restaurateur en France, barré d’une énorme titre manuscrit « J’ai été migrant ». Le dossier consacré au sujet constitue une véritable anthologie de témoignages d’immigrés à l’intégration irréprochable. Rien, ni personne n’y manque, de Zukhra, hôtesse d’accueil et étudiante en art, aux Maliens Cissé Seydou et Galadio Cissé, réciproquement épicier et restaurateur, en passant par Madina, tchétchène et traductrice et enfin Haytam, inscrit dans une classe préparatoire scientifique à Orsay, ce dernier ayant l’outrecuidance de déclarer : « c’est en France que j’ai découvert la pauvreté ». Il y a vraiment des ordres d’expulsion qui se perdent.

    Dans le journal économique Les Échos, propriété du milliardaire Bernard Arnault — première fortune de France et quatrième fortune mondiale —, dont le patrimoine professionnel seul est estimé à 35 milliards d’euros, le chroniqueur Éric Le Boucher s’en donne à cœur joie dans un article au titre prometteur : « L’immigration sera la chance de nos économies. » En bon laquais déférent de la ploutocratie, Éric Le Boucher nous assène ses vérités et surtout celles de ses maîtres. De but en blanc, il commence son article par un péremptoire « Les économistes ne sont jamais d’accord entre eux, sauf sur un sujet : les bienfaits de l’immigration. » Cette première phrase résume et donne le ton de l’article. Reprenant l’antienne des immigrationnistes, il relativise les chiffres, tempère les analyses et se veut rassurant en affirmant que « l’immigration apparaît “massive”, mais ne l’est pas tant que ça. On compte 230 millions d’immigrés dans une population mondiale de 7,2 milliards, soit 3,2 %. C’est peu ». Ce collabo de choc feint d’ignorer qu’une bonne partie de cette population mondiale n’accueille aucun immigré et que l’immigration de prédation converge essentiellement vers les économies les moins atones. Après avoir plaqué méthodiquement dans son billet l’essentiel des poncifs immigrationnistes, notre plume servile conclut que « tout cela devrait conduire à beaucoup relativiser l’angoisse d’invasion et, puisque l’immigration reste, somme toute gérable, à mener des actions de long terme pour profiter de ses bienfaits et éloigner ses inconvénients ». Il n’omet évidemment pas le mensonge éculé des vieux pays dont le système social a besoin d’être conforté par les immigrés. Gageons que ce rampant ne doit guère fréquenter les guichets des C.A.F., de la Sécurité sociale, ni du Pôle Emploi. Pas plus d’ailleurs que les mairies, les centres sociaux, les transports en commun, les hôpitaux et autres lieux où cet individu serait amené à réviser en accéléré ses belles certitudes remplacistes. Gloser sur l’immigration à Saint-Germain-des-Prés ou dans le seizième s’avère nettement plus plaisant et moins risqué.

    Réaliser un tour d’horizon complet de la grosse presse serait fastidieux et répétitif puisque une quasi-unanimité de celle-ci met en demeure nos contemporains d’ouvrir grandes les frontières et de profiter de cet horizon indépassable de félicité que représentent la submersion migratoire et la disparition de nos peuples autochtones. Les apôtres du suicide collectif semblent tout émoustillés et ragaillardis par le déferlement massif de la misère du monde aux quatre coins de l’Europe. […]

    Pour lire la suite, cliquer sur ce lien

    http://lacollaborationaujourdhuienfrance.hautetfort.com/

  • Quelques conseils pour survivre à la tempête qui vient !

    Si quelqu’un s’était endormi à Paris, Londres ou Berlin en 1790, et réveillé en 1820, le monde politique ou diplomatique lui serait apparu comme parfaitement bizarre, tant les cartes avaient été rebattues.

    Si une autre personne s’était endormie en 1890 et réveillée en 1920, le choc aurait été encore plus profond, avec la disparition de la Russie et de l’Autriche-Hongrie, le retour de la Pologne, l’émergence de l’URSS, l’effondrement de la Chine, l’inexorable montée des États-Unis comme puissance dominante, tout cela et bien d’autres choses encore étant bien sûr la conséquence de l’inimaginable guerre civile européenne qui avait fait des millions de morts de 1914 à 1918.

    Imaginons pour finir qu’un troisième individu se soit endormi vers 1990.

    Déjà, l’Union Soviétique a disparu tandis que la Chine éternelle ré-émerge pour tenter de redevenir la première puissance économique mondiale. Parallèlement, l’ordre artificiel établi au Moyen-Orient en 1920 est en voie de destruction et le monde moderne voit surgir à son immense stupéfaction une nouvelle guerre des religions, voire des civilisations, comme l’avait très bien vu Huntington. Et tout un chacun de se poser des questions sur un futur qui tout à coup apparaît comme bien incertain.

    De ces trois exemples, j’avais tiré, il y a déjà plusieurs années, la conclusion que la plupart des institutions humaines avaient une durée de vie d’environ 70 ans et qu’après cette période, celles qui n’avaient plus de raisons d’être avaient tendance à disparaître.
    Et donc l’histoire semblait passer de 70 ans de stabilité à 30 ans de troubles, suivis de 70 ans de stabilité et ainsi de suite depuis le début de l’ère industrielle.

    Si cette hypothèse est la bonne, nous serions en plein milieu d’une époque de troubles qui aurait commencé vers 1990…

    Malheureusement, ces effondrements institutionnels se passent rarement dans le calme et la sérénité. Qui plus est, les vraies ruptures se produisent souvent très brutalement car, comme le disait Lénine, « il y a des semaines où il se passe plus de choses que pendant toutes les années qui les ont précédées ».

    Et donc, nous nous trouverions dans le paradoxe logique d’Asimov quand des institutions que chacun croit stables se voient confrontées aux tempêtes du changement : « Que se passe-t-il, demandait Asimov, quand des forces infinies s’attaquent à un objet inamovible ?»

    A cette question, pour moi, la réponse est toujours la même : l’inamovibilité, cela ne peut exister conceptuellement, car le non mouvement c’est la mort, et la deuxième partie de la question est donc fausse. Car le mouvement l’emportera toujours sur la stabilité, comme nous l’avons fort bien vu avec l’exemple de l’Union soviétique. Et plus l’objet apparaît comme inamovible et plus sa disparition entraînera de désordres.

    A l’évidence, nous sommes dans une telle situation aujourd’hui et chacun doit donc prendre en compte cette réalité, à son niveau.

    Et c’est pourquoi j’ai intitulé mon précédent article « Le Mur de Berlin va-t-il tomber à nouveau ?», tant le Mur de Berlin apparaissait comme un objet inamovible.

    Voila qui paraît inquiétant, mais ce n’est pas la bonne réaction. Car la première chose dont il faut se persuader est bien sûr que ne sont pas en jeu que des forces destructrices.

    Prenons quelques exemples.

    90% des enfants seront scolarisés d’ici peu dans le monde. Pour la première fois dans l’histoire la quasi totalité de la population mondiale saura lire et écrire d’ici 10 ans.

    L’espérance de vie ne cesse d’augmenter et de nombreuses maladies sont en voie d’éradication complète ou partielle (poliomyélite, malaria, sida etc.)

    La mortalité infantile est en baisse partout.

    La communication et la conservation des connaissances a fait un bond en avant gigantesque quand nous sommes passés du livre à l’ordinateur.

    Il existe donc de nombreuses avancées extrêmement positives, et le fait que les universités ou les écoles en ligne vont plomber les systèmes officiels est certes une mauvaise nouvelle pour les mandarins de l’éducation nationale, mais pas du tout pour les enfants ou ceux qui veulent apprendre. Et déjà, les pousses vertes des nouveaux systèmes d’éducation sont en train de sortir de terre un peu partout et cela est une bonne, une très bonne nouvelle.

    Le problème est bien sûr que ces forces bienveillantes - ou non - vont déstabiliser des objets qui se considéraient « de jure » comme inamovibles, et que beaucoup de rentes de situation (par exemple les dockers du port de Marseille) vont disparaître. Et donc, ces rentiers vont faire appel aux États qui sont censés les protéger et disposent du monopole de la violence légitime pour essayer d’empêcher la marée de monter (voir les taxis et Uber).

    La question pour le lecteur est donc : comment se préparer au niveau individuel, surtout quand le corps politique semble incapable de se réformer et de réformer un système devenu immobile tandis que le vent se lève ?

    La première réponse est d’identifier les perdants, et cela est facile.

    Comme le disait fort justement Marx, « l’infrastructure économique détermine la superstructure politique ».

    De 1800 à 1980, l’infrastructure économique était « pyramidale », un peu comme les armées napoléoniennes, et donc les grandes institutions étaient pyramidales.

    Or, les structures économiques sont en train de « s’aplatir » à toute allure (voir Google, Microsoft, le commerce sur le Net etc.), et certains États ont déjà commencé à s’adapter tels la Suède, la Suisse ou le Royaume-Uni.

    En revanche, ailleurs, des efforts gigantesques sont faits pour «monter» d’un cran et remplacer de « petits États » « par un seul grand État » et donc retarder l’inévitable échéance, en créant quelque chose de « too big to fail».

    De fait, une partie des forces politiques essaie de créer un objet étatique encore plus inamovible plutôt que de réformer. Il n’est pas besoin d’être grand clerc pour savoir qui va échouer et qui va réussir.

    Mon premier conseil est donc « méfiez vous de la taille». Dans le monde dans lequel nous vivons, la taille va devenir un handicap énorme.

    Que le lecteur pense aux dinosaures quand une comète a frappé la terre. Ils ont disparu en masse, alors même que les mammifères, qui existaient déjà et qui étaient très petits, se sont débrouillés pour survivre.

    Et donc mon conseil principal reste le même.

    Comme nous sommes certains que le mouvement va l’emporter, alors il est prudent pour chacun de rester aussi mobile que possible et d’essayer de limiter ses demandes personnelles sur les objets « inamovibles» dans la mesure du possible. Un paysan en Ukraine aujourd’hui est sans doute moins à plaindre qu’un fonctionnaire dans ce malheureux pays. Et il est sage pour chacun d’analyser avec soin ses relations avec son système soi- disant inamovible et de prendre les mesures en conséquence. Dans cet esprit, le mouvement «sortir de la Sécu» est sans doute sur une bonne voie.

    Cela vaut bien sûr aussi pour les placements.

    Avoir une partie importante de son patrimoine dépendant de systèmes inamovibles pourrait être une lourde erreur. En d’autres termes, et je me répète, les actions (parts de propriété) sont sans doute beaucoup moins dangereuses que les obligations, qui ne sont que des contrats qui ne valent que ce que le système juridique dominant permettra. Certes, mes actions pourraient être nationalisées, mais cela sera plus difficile que de déclarer que mon obligation d’État ne sera remboursée qu’à un tiers de sa valeur.

    Les temps troublés ont commencé et bien commencé, à mon avis du moins, et prendre des exemples historiques d’individus qui ont traversé ce genre de tempêtes et survécu serait peut-être utile.

    L’un d’entre eux m’a toujours beaucoup amusé : Sieyès, le Constituant, à qui on demandait ce qu’il avait fait pendant la Révolution française avait répondu :
    « J’ai survécu.»

    Rien à ajouter…

    Charles Gave

    http://francelibre.tumblr.com/

  • À bas leurs valeurs ! Vivent nos vertus ! par Michel GEOFFROY

    L’oligarchie n’a de cesse de nous vanter ses prétendues « valeurs ». Le mot est également repris malheureusement par une partie de la droite quand elle veut, par exemple, opposer sa conception de l’homme à celle de l’oligarchie cosmopolite. Mais que signifie vraiment le mot valeurs de nos jours ?

    Les valeurs sont le faux nez de l’idéologie dominante

    En réalité l’oligarchie nous présente son idéologie sous le couvert du mot « valeurs ». La manœuvre est double :

    — d’une part, capter une partie de l’héritage national à son profit : ce sont les fameuses « valeurs républicaines » dont elle nous rebat les oreilles;

    — d’autre part, placer son idéologie au-dessus de toute critique et de toute remise en cause, afin de placer celui qui les conteste au ban de la communauté nationale.

    Mais la manœuvre est grossière.

    En fait de « valeurs républicaines », on nous impose l’idéologie cosmopolite en faisant une lecture exclusivement orientée « droits de l’homme » des principes républicains.

    Les valeurs : un révisionnisme historique

    Il s’agit en fait d’un révisionnisme historique qui passe à la trappe le fait que les républicains français valorisaient, au contraire, la nation, la patrie et le pacte social que concluent entre eux les citoyens (et non les étrangers ou les résidents).

    On veut nous faire oublier que les républicains du XVIIIe puisaient leurs références autant et sinon plus dans l’Antiquité romaine que dans la lecture des œuvres, au demeurant ambiguës, de Rousseau.

    Les républicains de la IIIe République avaient, en outre, une conception unitaire de la nation : rien à voir avec la promotion actuelle du communautarisme ou avec le « droit à la différence » !

    Les valeurs : un hold-up sémantique

    Les « valeurs républicaines » d’aujourd’hui bafouent la citoyenneté et la nation, puisque l’oligarchie considère que les étrangers sont « chez nous chez eux » et qu’elle souhaite leur donner les mêmes droits politiques et électoraux que les citoyens français, alors qu’elle leur accorde déjà les mêmes droits sociaux, sinon des avantages supérieurs.

    Ces valeurs ne sont donc absolument pas républicaines, car il n’y a pas de res publica, justement, quand on détruit la souveraineté des citoyens et les fondements de la nation. Il s’agit d’un hold-up sémantique sur le mot république, alors que le Pouvoir adopte en tout une pratique contraire aux principes républicains.

    Ainsi, par exemple, quand il nous parle aujourd’hui de laïcité c’est pour faire tout le contraire de la laïcité républicaine : il ne s’agit pas de séparer l’État de l’Église, mais au contraire d’encourager les collectivités publiques à faciliter l’installation de mosquées en France !

    Les valeurs : un argument terroriste

    Quand l’oligarchie nous parle de « valeurs », non seulement elle ment, mais elle cherche une fois de plus à sidérer ses contradicteurs, par un argumentaire terroriste.

    Ses prétendues « valeurs » ne désignent que son idéologie libérale/libertaire/cosmopolite. Il est donc tout à fait légitime de les contester, comme il est légitime de contester, par exemple, le principe de l’indépendance des banques centrales européennes, qui constituerait, paraît-il, une valeur intouchable, au motif qu’elle figurerait dans un traité international.

    En procédant ainsi, l’oligarchie s’efforce de placer au-delà du débat démocratique les fondements de son pouvoir. C’est d’ailleurs exactement ce que déclarait le président de la Commission européenne : « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens (1). »

    Ce qui revient à constitutionnaliser en quelque sorte le pouvoir de l’oligarchie, en refusant, au surplus, au peuple le droit de changer de constitution !

    Les valeurs qu’on veut nous imposer sont mortelles

    Les « valeurs » de nos jours sont donc trompeuses. Mais elles sont au surplus mortelles pour la civilisation européenne. C’est d’ailleurs pourquoi les ennemis de l’identité européenne s’empressent de s’en réclamer.

    Car que range-t-on exactement aujourd’hui dans la catégorie de nos « valeurs » prétendues : l’avortement (qui serait un droit de la femme ), le mariage des homosexuels, la licence des mœurs (2), le refus de reconnaître la diversité humaine et notamment celle des sexes, la repentance permanente, l’accueil permanent des « réfugiés », c’est-à-dire en réalité des immigrants en Europe, la suppression de la peine de mort pour les criminels (mais pas pour les victimes), l’abolition des frontières, la perte de la souveraineté monétaire et financière des États au profit des banques et des marchés, le gouvernement des juges (3), l’idée que les étrangers doivent avoir les mêmes droits que les Français, même quand ils ne respectent pas nos lois (4), etc.

    Et bien sûr aussi le principe dit de non-discrimination en vertu duquel nous sommes censés renoncer à une liberté essentielle : la liberté de préférer vivre au milieu de nos semblables et de rester nous-mêmes.

    L’inversion des valeurs

    En fait, ces « valeurs » sont morbides car elles constituent l’inversion des principes sur lesquels repose toute société humaine. Ce qui explique aussi que seuls les Occidentaux décadents s’en réclament.

    En effet, celui qui s’en tient à ces commandements refuse de défendre ses frontières et son territoire; il laisse les étrangers s’installer chez lui; il considère que les croyances de ces étrangers sont respectables et même meilleures que les siennes; il abdique sa souveraineté au profit des mécanismes abstraits du marché; il laisse le crime impuni, il ne fonde pas de famille et ne se reproduit pas. En fait, il est condamné à disparaître et c’est bien ce qui est en train d’advenir en Europe, dans le cadre du Grand Remplacement !

    Nous ne vivons donc pas dans un monde de « valeurs », comme veut nous le faire croire l’oligarchie occidentale, mais dans un monde où justement les valeurs ont été inverséesc’est-à-dire détruitesen Occident : elles n’incarnent pas le Bien mais assurent au contraire la promotion d’un Mal absolu : la fin de notre civilisation. 

    L’usage impropre du mot valeur

    L’usage actuel du mot valeur traduit lui-même cette inversion radicale : car à l’origine des langues européennes le mot valeur ne désigne qu’une chose : le courage du guerrier valeureux, face à la mort.

    La valeur relève ainsi de la seconde fonction (la fonction guerrière) et non du calcul marchand. Elle désigne ce qui dépasse la vie humaine et lui donne de la valeur précisément : l’honneur, la foi et la sauvegarde de sa communauté et de sa fratrie notamment.

    Nous sommes donc aux antipodes de la doxa libérale/libertaire qui considère que l’individu est en lui-même sa propre finalité ou qui estime qu’il faut fonder la société sur le vice (c’est-à-dire sur l’intérêt marchand et sur l’égoïsme individuel) et non sur la vertu !

    Les valeurs contre la vertu

    Précisément, la promotion bruyante de ces prétendues valeurs, sert de nos jours à faire disparaître toutes les vertus civiques qui non seulement s’enracinent dans notre identité européenne, mais permettent seules à une communauté d’exister et de se projeter dans l’avenir. Car ce que l’on promeut sous le terme de valeur constitue tout simplement l’antithèse de toute vertu.

    Le mot « valeur » est désormais en toutes choses suspect et devrait toujours s’écrire entre guillemets. Car il appartient à la langue de nos ennemis. Car il traduit le projet de nos ennemis.

    C’est pourquoi il ne faut pas employer ce mot, qui recouvre des marchandises frelatées et des intentions perverses.

    Nous avons besoin de vertus et non de valeurs

    Aujourd’hui les Européens n’ont que faire de valeurs, car l’heure n’est plus aux débats scolastiques.

    Nous avons, par contre, un urgent besoin de retrouver en Europe les vertus de nos ancêtres, notamment :

    le courage d’abord, y compris physique, de défendre notre civilisation, notre peuple et notre territoire, aujourd’hui menacés;

    la volonté de surmonter les obstacles à la survie de notre civilisation, au lieu de la lâche résignation à l’inacceptable;

    le dévouement à la chose publique, la préférence pour l’intérêt général sur les intérêts particuliers et l’engagement du citoyen dans la vie de sa cité, au lieu de s’en remettre en tout à l’État;

    la préférence charitable pour notre prochain dans le malheur et dans le besoin et la préférence pour nos concitoyens (et non la préférence pour les Autres);

    la tempérance, au lieu de s’abandonner au consumérisme compulsif;

    la foi dans l’avenir de notre civilisation;

    la fidélité à nos ancêtres et à leurs sacrifices (et non la repentance perpétuelle et manipulée);

    le sens de l’honneur et le respect de la parole donnée;

    le sens de la liberté, non comme une autorisation de licence, mais comme maîtrise de soi et de son destin;

    — la préférence pour la vérité (alors que le Système est aujourd’hui bâti sur le mensonge).

    Les « valeurs » ont la tromperie facile car elles ne sont qu’une rhétorique. C’est pourquoi les politiciens s’en parent si facilement de nos jours. Les vertus, elles, se démontrent par les actes car elles incarnent des principes de vie.

    L’avenir de l’Europe ne réside pas dans les mensonges mortels qu’on veut nous imposer. Il réside dans nos anciennes vertus, qui sont aujourd’hui en dormition : les vertus gauloises, les vertus franques et scandinaves, les vertus gréco-romaines et les vertus chrétiennes. Car ce sont ces vertus seules qui ont bâti notre civilisation et qui lui ont permis de rayonner.

    À bas leurs valeurs ! Vivent nos vertus !

    Michel Geoffroy

    Notes 

    1. Jean-Claude Juncker, le 29 janvier 2015.

    2. On dit libération des mœurs en novlangue.

    3. On dit indépendance de la justice en novlangue.

    4. On dit sans-papiers ou réfugiés en novlangue.

    • D’abord mis en ligne sur Polémia, le 26 novembre 2015.

    http://www.europemaxima.com/