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  • D'UN SIÈCLE À L'AUTRE, LES SOCIALISTES TOUJOURS VENDUS À L'ENNEMI

           Il y a des choses formidables chez Péguy. Surtout à partir de 1905, quand, conscient de la menace allemande et de l'approche de la guerre, il opère un virage, se détache des socialistes et se rapproche des nationalistes (Notre patrie étant le premier jalon de ce second Péguy).
               Je reparcours aujourd'hui L'Argent suite, qui est paru il y a exactement un siècle, le 27 avril 1913 (dans les Cahiers de la quinzaine, XIV, 9). Une partie du pamphlet est consacrée à invectiver les socialistes, et en particulier ces deux fameuses figures que sont Jean Jaurès et Lucien Herr, que nombreux aujourd'hui à gauche regardent comme des totèmes, des sources d'inspiration, des autorités morales incontestables. Parmi d'autres griefs, Péguy leur reproche non seulement d'être aveugles face à l'impérialisme allemand, mais  aussi de mentir pour occulter cette réalité, et plus encore : d'être carrément des traîtres. Ainsi : « Alors comment se fait-il qu'on nous parle toujours des autres [victimes de l'impérialisme] et qu'on ne nous parle jamais de ceux qui demeurent nos frères [= les Alsaciens-Mosellans]. / Pour Jaurès l'explication est extrêmement simple. Il est pangermaniste. (Il faudrait l'en féliciter, s'il était né sujet allemand.) Il est un agent du parti allemand. Il travaille pour la plus grande Allemagne. » (Pléiade tome III, 1992, p. 932).
          Mais je suis surtout tombé sur un paragraphe fascinant par sa contemporanéité. Péguy égrène les belles notions qui ont été détournées, trahies, infectées par la coterie Herr-Lavisse-Jaurès. Il y a le dreyfusisme, le socialisme, l'État, le laïcisme, la République, la force révolutionnaire et l'internationalisme.

    « L'internationalisme enfin qui était un système d’égalité politique et sociale et de temporelle justice et de mutuelle liberté entre les peuples est devenu entre leurs mains une sorte de vague cosmopolitisme bourgeois vicieux et d'autre part et très particulièrement et très proprement un pangermanisme, un total asservissement à la politique allemande, au capitalisme allemand, à l'impérialisme allemand, au militarisme allemand, au colonialisme allemand. » (p. 945).

          Déjà sous cette forme, la phrase est troublante par son actualité, vu comme le nouveau gouvernement socialiste multiplie les signes d'allégeance à l'Allemagne et s'incline totalement devant la conception allemande de l'Europe, François Hollande n'ayant d'ailleurs rien eu de plus pressé à faire, le jour même de son investiture (!), que de prendre un avion pour Berlin afin d'aller soumettre ses lettres de créance à la chancelière. Cependant, un siècle après 1913, la puissance mondiale dominante n'est plus l'Allemagne, mais les États-Unis d'Amérique. La phrase mérite donc d'être transposée :
        L'internationalisme est devenu entre leurs mains une sorte de vague cosmopolitisme bourgeois vicieux et d'autre part et très particulièrement et très proprement un panaméricanisme, un total asservissement à la politique états-unienne, au capitalisme états-unien, à l'impérialisme états-unien, au militarisme états-unien, au colonialisme états-unien.
              Saisissant, non ? Alors que se multiplient les signes qui annoncent que le quinquennat de Hollande sera aussi atlantiste que celui de son prédécesseur, voire plus encore, on ne peut manquer de s'interroger sur la continuité qu'affichent les socialistes dans leur mentalité de colonisés intellectuels, économiques et géopolitiques. Le « cosmopolitisme bourgeois vicieux » semble désigner Dominique Strauss-Kahn ou Jack Lang, mais c'est anecdotique. Bien plus importante est l'idée que les socialistes, parce qu'ils se veulent progressistes et modernes, s'aplatissent toujours devant le système de pensée dominant et la grande puissance qui l'incarne, qui le promeut, qui l'étend. Les socialistes de 1913 se comportaient objectivement en agents d'influence de l'Allemagne, au nom d'un chimérique idéal pacifiste et internationaliste. Les socialistes de 2013, au nom d'un idéal presque identique, se comportent objectivement en agents d'influence des États-Unis, du capitalisme états-unien, de la culture états-unienne. 
              Et cependant Péguy exagérait. Autant il avait raison de souligner les illusions de Jaurès et des siens quant au pacifisme et à l'antimilitarisme du S.P.D. (à peine un an plus tard, les socialistes allemands devaient donner raison à Charles Andler et Péguy en ne faisant rien pour empêcher la guerre et en votant sans sourciller les crédits militaires), – autant il faut bien reconnaître que les socialistes français, il y a un siècle, firent de même : ainsi René Viviani, Alexandre Millerand, Albert Thomas, loin de manquer à l'Union sacrée, se distinguèrent-ils dans leurs fonctions ministérielles pendant la Grande Guerre. Or, peut-on aujourd'hui imaginer les Hollande, les Ayrault, les Valls, les Fabius, les Kouchner, les Moscovici, les Vallaud-Belkacem s'engager dans une guerre contre l'Allemagne ? ou une guerre contre les États-Unis ?!!  Contre les islamistes du Mali, contre la Syrie d'Assad, contre n'importe quel dictateur qui met du sable dans les rouages du nouvel ordre mondial, contre la Russie, oui, on l'imagine très bien. Mais contre les États-Unis, pas une seconde. Et je ne parle même pas d'une guerre militaire, mais simplement d'un bras-de-fer diplomatique, d'une tension assumée, d'une résistance proclamée, comme de Gaulle en donna l'exemple dans les années 60, ou plus près de nous le Venezuela de Chavez et l'Iran d'Ahmadinejad. Lutter pied-à-pied contre la World Company, fût-ce sur le terrain économique et le terrain culturel ? Pensez donc !... Dailleurs plusieurs de nos bons socialistes, à commencer par Hollande, ont participé au programme « Young Leaders » de la French-American Foundation. C'est dire si ce sont des agents états-uniens à bien meilleur titre que Jaurès ne fut un agent allemand...

     
  • Les mouvements nationalistes interdits de Family Day : un remake du mauvais procès fait à Civitas par la Manif pour tous !

    Les organisateurs du grand rassemblement de défense de la famille traditionnelle l’ont fait savoir haut et fort : «S’ils viennent, ils seront autre part. Nous ne les voulons pas avec nous. Nous désapprouvons absolument leur manière d’agir et d’expression, qui sont totalement en-dehors de notre manière de penser et d’agir.» Fin de non recevoir pour les mouvements nationalistes, Casa Pound et Forza Nuova, interdits de Family Day.

    Les deux mouvements ont annoncé leur présence samedi prochain au cirque Massimo où se tiendra la grande manifestation, ce qui n’a donc pas l’air de plaire aux organisateurs. Si Casa Pound, mouvement révolutionnaire et identitaire, émet des réserves «sur la nature confessionnelle du Family Day » son vice-président, Simone di Stefano, a bien affirmé qu’il y sera : « Nous y serons et serons bien visibles », non pour combattre « certaines formes de cohabitation qui regardent aussi les personnes de même sexe » mais pour lutter contre l’adoption par les couples homosexuels, la GPA et l’idéologie du genre, le mouvement nationaliste Forza Nuova a réellement un discours catholique : il veut être présent pour«témoigner de l’existence de Vérités immuables : la famille comme pierre essentielle dans l’organisation d’un peuple» et pour lutter contre «le nouveau monde promut par les Lgbt qui passe par l’abolition du dualisme homme/femme, naturel/antinaturel, moral/immoral. »

    Le secrétaire national de Forza Nuova, Roberto Fiore, a déclaré par communiqué de presse :« En partant de l’hypothèse que personne ne peut parler au nom d’un million et demi de personnes, je me permets de rappeler que Forza Nuova a toujours participé à ces initiatives, sans aucune réserve, et qu’aussi pour samedi prochain il a tous les papiers en règles. Nous participerons au Family Day avec nos familles et nos enfants, fermement convaincus de pouvoir ainsi soutenir la structure fondamentale de notre société. Ce n’est plus le temps de la « pax democristiana » (la paix démochrétienne) mais d’une grande collaboration entre nous tous. »

    Tout ceci a un goût de réchauffer : remake italien du mauvais procès intenté à Civitas par laManif pour tous au moment des grands mouvements populaires contre la loi Taubira.

    C’est un fait incontestable : sous toutes les latitudes, ceux qui tiennent un discours ferme et sans compromis, authentiquement catholique, sont devenus les parias non seulement de la gauche laïcarde mais aussi de la droite molle, qui en Italie, se fait appeler démocratie-chrétienne !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/les-mouvements-nationalistes-interdits-de-family-day-un-remake-du-mauvais-proces-fait-a-civitas-par-la-manif-pour-tous/48183

     

  • L'Action Française Provence s'invite aux voeux de Jean-David Ciot - À BAS LES VOLEURS !

  • A Calais comme à Quimper : le double fiasco de la gauche collaborationniste

    Cette fin de semaine, ce qu'il reste de la gauche et de l'extrême gauche a tenté de mobiliser pour soutenir l'arrivée massive de populations étrangères sur notre sol. En effet deux manifestations étaient organisées par l'ensemble des partis de gauche, une dizaine de collectifs grassement subventionnés, les associations anti-racistes et les quelques groupuscules d'extrême gauche encore existants.
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    Autant le dire tout de suite, ces mascarades qui devaient prouver au monde entier que la France "accueillante et généreuse" était toujours là ont tourné au fiasco total.
    A Calais la manifestation, essentiellement composée de migrants surexcités et d'islamistes belliqueux qui n'hésitèrent pas à agresser de paisibles riverains, ressemblait plus à un mauvais carnaval tropical qu'à autre chose. Nos observateurs locaux n'ont d'ailleurs pratiquement pas repéré de Calaisiens ou d'habitants de la région parmi les quelques blancs que l'on distinguait à peine au milieu du cortège bigarré.
    A Quimper, il en allait a peu près de même. Sauf que les quelques dizaines de manifestants afro-arabo-gauchistes étaient concurrencés par un magnifique rassemblement organisé par les nationalistes bretons du mouvement ADSAV. Ceux-ci montrèrent ainsi qu'il en était terminé avec l'image de région soumise aux diktats du politiquement correct qui caractérisait jusqu'à maintenant la Bretagne. Ils étaient en effet près de deux cents dans les rues de la capitale de la Cornouaille pour relever l'honneur de leur terre et défendre l'identité de leur peuple.
    Les 6 et 7 février prochains, dans plusieurs villes de France, des nouvelles manifestations patriotiques auront lieux. Et par la suite ce mouvement qui s'amorce un peu partout prendra une ampleur que nous souhaitons importante. Nous entrons dans une période de reconquête. Celle-ci n'a qu'une issue possible : la victoire totale des forces nationalistes et identitaires ou bien il en sera définitivement terminé avec notre liberté et notre civilisation européenne.
    Synthèse nationale apporte son soutien à toutes les initiatives qui sont prises dans ce sens par les uns et par les autres, même si nous ne partageons pas forcément toutes les positions des organisateurs de chacune d'entre elles. Il en va de notre avenir. Mobilisation générale !

    Roland Hélie

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/01/24/a-calais-comme-a-quimper-le-double-fiasco-de-la-gauche-colla-5749666.html

  • « Ne poursuivez pas David Daleiden ! » La pétition de soutien à celui qui a révélé le trafic d'organes de fœtus de “Planned Parenthood”

    Mardi, un « grand jury » du Texas saisi d'une enquête à l'encontre du Planning familial à la suite des vidéos cachées qui ont révélé un infâme trafic d'organes de bébés avortés, a décidé de classer sans suite les accusations. Dans le même mouvement, il a décidé de l'inculpation, de la mise en examen de deux militants du Center for Medical Progress, David Daleiden et Sandra, pour avoir proposé d'acheter des organes fœtaux alors que la loi du Texas l'interdit. Leur but était pourtant de révéler et de dénoncer ce trafic auquel le Planning semblait vouloir consentir avec empressement dans la dizaine de vidéos mises en ligne l'an dernier.
    LifeSiteNews a mis en ligne une pétition de soutien à David Daleiden : c'est par là
    Soulignant l'horreur des pratiques mises au jour par Daleiden et son équipe, la pétition dénonce la décision de faire passer le jeune homme devant le tribunal alors qu'il s'est contenté d'avoir recours « aux méthodes acceptées du journalisme d'investigation infiltré ».
    Les signataires demandent au grand jury de Harris County de retirer les « accusations absurdes » à l'encontre de David Daleiden et de porter leur attention sur « les pratiques inhumaines de Planned Parenthood, qui utilise les corps des bébés qu'ils ont tués pour en tirer du profit ».
    David Daleiden a rendu un insigne service aux enfants à naître : il ne faut pas le laisser seul face à une justice aberrante.

  • Livre : Ordre Nouveau : Alain Renault

    Fondé en novembre 1969, il constitue pendant son existence la principale formation nationaliste de la période.
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    Lors de son 2e Congrès des 10 & 11 juin 1972 et dans la perspective des élections législatives, il adopte une stratégie qui donne naissance au Front National dont Jean-Marie Le Pen deviendra le président.

    Son histoire revêt donc une importance plus grande que les affrontements avec les gauchistes qui ont assuré sa renommée médiatique. Le Mouvement Ordre Nouveau est dissous, en même temps que la Ligue Communiste, par décret du Conseil des ministres du 28 juin 1973.

    Son histoire, ses idées, son programme, ont fait l’objet des deux ouvrages publiés successivement par le Mouvement, en juin 1972 et en juin 1973 dont l’intérêt suscite cette réédition.

    Alain Renault : Adhérent d’Ordre Nouveau de janvier 1970 à la dissolution. Secrétaire de section, puis membre du Comité Exécutif « délégué à la Province » à partir de juin 1971, membre du Conseil National, puis du Secrétariat Permanent. Rejoint le Front National en 1974, membre du Comité Central, puis du Bureau Politique, Secrétaire général adjoint, puis Secrétaire général jusqu’en 1980. Adjoint de François Duprat aux Cahiers Européens de 1974 à 1978. Rédacteur à Militant et à Défense de l’Occident de 1978 à 1982. Collaborateur de la revue Synthèse nationale. A collaboré au National, Item, Écrits de Paris, Rivarol, Minute, Le Crapouillot, Le Guide de l’Opposition…
    Co-auteur des Fascismes Américains et de l’Album Le Pen.

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  • La City de Londres, capitale de la mafia planétaire !

    Depuis 2007, la crise ne fait que s’accentuer. La récession s’impose et les États étouffent sous le poids de l’endettement. Cependant, il existe un monde parallèle qui agit comme une sève pour irriguer la gouvernance mondiale en formation : les paradis fiscaux. Ils sont définis par le journaliste économique Nicholas Shaxson comme un « lieu qui se propose d’attirer des activités économiques en offrant à des particuliers ou à des entités un cadre politiquement stable permettant de contourner les règles, les lois et les réglementations édictées dans les autres pays ». Appelés aussi « juridictions du secret », ces paradis fiscaux s’emploient à manipuler les mouvements d’argent internationaux. 
    On dénombre environ une soixantaine de ces « juridictions du secret » au cœur de la globalisation, qui se subdivisent en trois groupes : 
    1) Les paradis fiscaux européens comme le Luxembourg, le Liechtenstein ou Monaco ; 
    2) Les États-Unis, ses États fédérés (en particulier le Delaware) et les dépendances sous influence américaine (les îles Vierges, Panama, …) ; 
    3) la City de Londres organisée en 3 cercles concentriques : les dépendances de la Couronne (Jersey, Guernesey et l’île de Man), les quatorze territoires britanniques d’outre-mer (les îles Caïmans, les Bermudes, Gibraltar…) et des États entretenant des relations étroites avec l’ancien colonisateur : Hong Kong, Singapour, Dubaï…). Ces centres offshore combinent le secret bancaire et la non-imposition
    La capitale britannique est constituée de deux villes. La première est un vaste centre urbain de plusieurs millions d’habitants dirigé par un maire disposant de peu de pouvoirs. La deuxième est un espace de 3,16 km², appelé « City of London Corporation » ou « Square Mile », subdivisé en 25 quartiers appelés « wards » dont seuls quatre sont réellement habités, tandis que les autres regroupent les bureaux. Dirigée par un Lord-maire, véritable ambassadeur de tous les services financiers, la City est dotée d’un gouvernement (le « Guildhall »). Outre les 9.000 résidents de la City à voter, les représentants d’entreprises (23.000 personnes) ont aussi le droit de vote. Ainsi, Goldman Sachs, la banque Narodny de Moscou ou encore la Bank of China participent à la vie « démocratique » de la City. Ajoutons que des citoyens d’honneur anglais et étrangers appartiennent à ce corps électoral très particulier. Nous pouvons relever les noms de George Bush, Jr. et de Vladimir Poutine. La famille mondialiste est très variée. 
    La City est un véritable État dans l’État disposant d’un pouvoir total sans avoir de compte à rendre au Parlement de Westminster. Cette politique est rendue possible entre autres grâce au rôle du remembrancer (« remémoreur »), véritable lobbyiste et non-élu, qui est un relais entre la City de Londres et le Parlement anglais. Il est chargé de vérifier que les représentants du gouvernement ainsi que les différents ministères n’élaborent pas de mesures pouvant contrer la toute-puissance et l’indépendance de la City. Il est vrai que celle-ci concentre des intérêts jalousement gardés. Sur ce petit territoire, on trouve près de 550 banques, la moitié des assureurs de la planète — plus que ceux de New York, Paris et Francfort réunis — un volume d’affaires journalier cinq fois supérieur au PNB anglais, la moitié des entrées en bourse dans le monde et près de 80 % des hedge funds (fonds spéculatifs) européens. Comme l’a résumé joliment le député anglais Tony Benn, la City « est une île offshore amarrée sur la Tamise »
    Sachant que la quasi-totalité des investissements internationaux se fait via les centres offshore, en profitant au passage d’avantages fiscaux et de contraintes juridiques bien allégées, les multinationales s’en donnent à cœur joie. Pareille à une araignée au milieu de sa toile, la City de Londres régente tous ces flux financiers. La dérégulation des marchés qui s’est accélérée à partir des années 1980 a conduit à des volumes financiers colossaux transitant dans les paradis fiscaux. Selon l’économiste John Christensen, ils sont évalués à plus de 20.000 milliards de dollars. Une telle situation montre clairement que les politiques n’ont plus le pouvoir et que la finance a en main des atouts majeurs pour imposer un monde se rapprochant de l’idéal orwellien.
    Source

  • Au revoir Christiane, bonjour tristesse

    Les chiffres du chômage sont tombés : près de 3,7 millions de demandeurs d’emploi de catégorie A, plus de six millions toutes catégories confondues;  une évolution dramatique occultée mercredi par le départ du ministre de la Justice. «La démission de Christiane Taubira», notait hier Marine Le Pen, «est une bonne nouvelle pour la France, après une action publique à la tête du ministère de la Justice absolument désastreuse pour notre pays. Le laxisme inouï de sa politique pénale, notamment, a si fortement dégradé notre situation sécuritaire et affaibli l’autorité de l’Etat que cette démission apparaît aujourd’hui comme un soulagement.» Un soulagement partagé en  effet  par une très  grande majorité de Français qui ont constaté avec  effarement pendant trois ans et demi  les actions de cette ex militante indépendantiste,  symbole de toutes les dérives d’une gauche sociétale faisant primer l’idéologie sur le réel. Son remplaçant, le député PS du Finistère, Jean-Jacques Urvoas, s’en accommodait parfaitement  lorsqu’il  déclarait en août 2012 que « (Mme Taubira) a raison quand elle rappelle que si nos prisons sont pleines, elles sont vides de sens». Phrase ampoulée, bien dans le style de l’ex garde  des Sceaux,  mais  qu’il est  particulièrement mal à propos de reprendre à son compte quand on se drape dans le rôle du « Monsieur Sécurité» du PS. Si les prisons sont pleines (et nous manquons de places de prison)  malgré le laxisme pointé par Marine,  c’est parce que notre  pays est ravagé par une insécurité record qui  découle certes  du délitement des familles, des échecs dans l’éducation, de l’instruction de la jeunesse, mais aussi d’une échelle des peines incohérente, pas assez dissuasive, d’une  immigration anarchique et des échecs de l’assimilation. Des vérités qu’il serait bon de reconnaître.

    Fidèle de Manuel Valls et fan absolu de Mylène Farmer (et non pas l’inverse mais ça ne manque déjà pas d’inquiéter !) Jean-Jacques Urvoas, jusqu’alors  président de la commission des lois de l’Assemblée,  se signale depuis assez longtemps à notre attention. Il fut ainsi au nombre des zélés socialistes et autres officines dites antiracistes a vouloir que la justice  tape plus lourdement sur les élus coupables de soi-disant «dérapages» (suivez leur regard…), afin d’imposer une pensée normalisée,  le  politiquement  correct aux Français  dans le débat public.

    Avant de se voir refiler le bâton boueux de la formulation de la  loi sur la déchéance de la nationalité, le président de la commission des lois Urvoas fut  aussi le rapporteur  à l’Assemblée nationale de la loi sur le renseignement. Et notamment de la surveillance d’internet qui légitime un flicage généralisé des Français et évince le   juge et la justice en matière d’écoute.

     Adopté l’année dernière en surfant alors sur l’émotion suscitée par  les assassinats de janvier 2015 à Paris,  la dangerosité pour nos libertés de ce  texte législatif fut pointée à l’époque par  la présidente du FN.

     «A chaque fois qu’on est face à un danger terroriste, au lieu de se concentrer sur les gens qui sont dangereux, on considère qu’il faut surveiller l’intégralité des citoyens. Je pense que ça peut faire l’objet de dérives qui sont dangereuses et je crois surtout que c’est totalement inefficace. Marine avait implicitement relevé que «  cette loi de surveillance d’internet ne viserait pas à lutter contre le terrorisme mais en réalité à tenter d’empêcher la diffusion des idées » nationales et patriotiques  qui suscitent l’hostilité de la Caste au pouvoir.  Or, poursuivait-elle, « Je pense que nous sommes tous attachés à la démocratie et que nous devons tous défendre la liberté de la diffusion des idées » Bref,   Jean-Jacques Urvoas n’a pas  été choisi au hasard,  et il y a tout  lieu de penser qu’il partage , si ce n’est les  pulsions totalitaires, du moins  les obsessions  inquiétantes d’un Manuel Valls.

     Il s’agit de  trouver le bon équilibre entre  respect  des libertés et protection des Français, ce que Charles  Péguy relevait déjà  dans une célèbre formule reprise il y a peu par Eric Zemmour : « Si l’Etat est fort, il nous écrase. S’il est faible, nous périssons. »

    Or, force est de constater  le rejet par les Français de ceux qui incarnent ce  Système, mais un rejet couplé avec une forte demande d’autorité.   Le CEVIPOF a rendu public il y a quelques jours sa grande enquête annuelle sur « la confiance des Français », réalisée fin  décembre 2015 auprès d’un panel de  2.000 personnes.

    88% des personnes interrogées exprimaient de  la lassitude.  67% estiment que la démocratie ne fonctionne pas bien ; 81% font part de  leur désenchantement à l’égard des politiciens (54% de la déception, 20% du dégoût, 5% de la détestation. 88%  des sondés estiment que «les responsables politiques ne se préoccupent pas de ce que pensent les gens comme eux». 82% ont une vision négative de la politique (39% de la méfiance, 33% du dégoût, 8% de l‘ennui). Cette impuissance  des partis au pouvoir,   comme le rejet des combines politiciennes, se vérifient aussi par le fait que  47% des sondés souhaiteraient un «homme fort » à la tête de l’Etat  qui ne se préoccuperait « ni du Parlement ni des élus.»

    Amour du prochain plutôt que l’amour du lointain ? Ce rejet des politiques épargnent les élus, les autorités de proximité, à, commencer par  les maires (63% de confiance), et 93 % des sondés  font, à des degrés divers, confiance à la famille. Dans la liste des « organisations » auxquelles ils font confiance, les Français plébiscitent, et ce n’est pas non plus anodin,   les hôpitaux, l’armée (+ 5 pts en un an), les PME et la police (+ 6 pts).   A contrario,  seulement 11% de nos compatriotes  croient que les responsables politiques se préoccupent de leur avis,  12% ont confiance dans les partis politiques, 24% dans les médias et 27% dans les syndicats.

    Bruno Cautrès, chercheur CNRS au Cevipof et coresponsable de l’enquête expliquait dans le JDD qu’ «il y a le sentiment, qu’on est dans des problèmes dont personne n’arrive à sortir. Il faut que quelque chose se passe ». « Le rejet de la politique et des politiques (est)  d’une violence d’autant plus troublante que les Français (…)  sont un des peuples les plus politisés d’Europe. Cautrès parle d’une transformation profonde mais négative du rapport des Français à la politique. À l’approche de la présidentielle, c’est un ultime avertissement. Pour tous, sans exception » relevait encore le JDD.

    Pour tous ceux qui ont mené notre pays au déclin certainement note Bruno Gollnisch. Mais  encore  une fois,  la pire des erreurs pour les Français  lassés, dégoûtés  de ce Système  seraient  de croire que la grève du vote, ou, par habitude, la reconduction de  l’alternance LR-PS,   serait  un bras d’honneur qui a du sens ou la solution à leur  problème.  Les Français en ont marre, alors qu’ils le prouvent en 2017 !

    http://gollnisch.com/2016/01/28/au-revoir-christiane-bonjour-tristesse/

  • L'Assemblée du Conseil de l'Europe reconnait que l'Etat islamique a commis un génocide sur les minorités en Irak

    L'Assemblée du Conseil de l'Europe reconnait, ce 27 janvier, que l'Etat islamique a commis un génocide sur les minorités en Irak. La campagne pour la reconnaissance du génocide se poursuit, pour obtenir cette même reconnaissance par le Parlement européen le 4 février. Une pétition a été initiée par l’ECLJ avec Grégor Puppinck, qui explique :

    "Le 3 février 2016, le Parlement européen va débattre du « Massacre systématique des minorités religieuses par le groupe "État islamique" ». A cette occasion, des parlementaires vont demander au Parlement et à l’Union européenne de reconnaître que les crimes commis par « l’Etat islamique » sont constitutifs d’un « génocide ». Néanmoins, lors d’un récent débat sur ce texte, le Haut Représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères, Fréderica Mogherini, a refusé d’employer la qualification de génocide.

    Le génocide a pourtant une définition précise en droit international. Il s’agit de crimes « commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux ». C’est l’intention spécifique de détruire un groupe en tout ou partie qui distingue le crime de génocide du crime contre l’humanité. Il est évident que c’est bien d’un génocide dont sont victimes les Chrétiens et les Yézidis iraquiens.

    Ce n’est pas seulement le Pape François qui dénonce ce génocide, mais aussi le Président du Congrès Juif Mondial, Ronald S. Lauder, ou encore l’ancien procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo. Un récent rapport du Commissaire aux droits de l’homme des Nations Unies a détaillé les atrocités commises par « l’Etat islamique ». La France et les institutions européennes n’ont pourtant pas encore eu le courage de qualifier ces crimes de génocide.

    Le droit international prévoit que sont punissables non seulement l’exécution en tant que telle de ce crime, mais aussi « l’entente en vue de commettre le génocide, l'incitation directe et publique, la tentative et la complicité ». Ainsi, tout individu, organisation ou État, où qu’ils se trouvent – y compris en Europe, dès lors qu’ils incitent publiquement à ces crimes ou en sont les complices, devraient aussi être poursuivis pénalement pour crime de génocide.

    La reconnaissance d’un génocide impose aux États et à la communauté internationale l’obligation d’agir, pour prévenir le génocide autant que possible, pour défendre les communautés attaquées et pour juger et punir les responsables. Reconnaître le génocide, est donc la première étape fondamentale pour obtenir l’action de la communauté internationale.

    Quelques gouvernements et parlements européens ont déjà reconnu ce génocide ; il est temps que la France et les institutions européennes le reconnaissent aussi.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/lassembl%C3%A9e-du-conseil-de-leurope-reconnait-que-letat-islamique-a-commis-un-g%C3%A9nocide-sur-les-minorit%C3%A9.html

    Une pétition en ce sens a été initiée par le Centre Européen pour le Droit et la Justice, une organisation non gouvernementale accréditée auprès des Nations Unies."

  • LE VRAI RACISME, C’EST LA GAUCHE, OUVRONS LUI LES YEUX ! (par l’Imprécateur)

    Clémentine Autain se revendique comme « femme de gauche » et prétendre le contraire serait l’insulter, elle porterait aussitôt plainte. Dans l’Obs, l’hebdo moribond de la boboïe, elle commente le viol de centaines de femmes, 516 plaintes ont été déposées sans compter les centaines d’autres femmes qui n’ont pas voulu, ou osé, porter plainte, à Cologne dans la nuit du 31 décembre dernier, violées par plus d’un millier de jeunes migrants dont la police et les renforts appelés en urgence n’ont pu maîtriser la folie sexuelle.

    Elle condamne le fait, bien sûr, elle n’a pas milité pour rien au PCF stalinien et dans toutes les associations du type « chiennes de gardes » de la féminitude nationale et internationale pour rien. Cependant, l’objet réel de sa colère n’est pas dans ce multi-viol collectif mais dans la dénonciation qui en est faite par la droite qui, selon elle, n’aurait pas fait autant de bruit si les femmes violées n’avaient pas été des allemandes blanches mais des africaines brunes ou noires.

    Seulement, avant de critiquer le comportement supposé répréhensible de la majorité (ne l’oublions pas) de la communauté française, ce peuple dont le deux tiers se disent de droite, il faut balayer devant sa porte et regarder dans une glace son œil pour voir s’il n’y aurait pas une poutre disgracieuse pour le barrer.

    Quel hebdo ou journal de gauche, en tout cas pas L’Obs semble-t-il, quelle association prétendue « humaniste », quelle personnalité soi-disant « féministe » a dénoncé comme elle le mériterait la bande d’Aubervilliers, et elle n’est pas la seule dans le département, qui agresse sexuellement et systématiquement les jeunes femmes asiatiques à proximité des stations de métro ? Ce n’est pas nous qui le disons mais la police, il s’agirait de jeunes maghrébins. Si c’est la raison pour laquelle presse de gauche et associations humanistes et féministes de la même obédience politique restent silencieuses, il faut bien admettre qu’il s’agit d’un comportement typiquement raciste puisqu’elles auraient bondi si les agresseurs avaient été soupçonnés d’être blancs.

    En effet, en quoi consiste le racisme ? Selon les définitions qu’en donnent les meilleurs dictionnaires, le racisme consiste à stigmatiser ou excuser les comportements en fonction de la couleur de la peau de ceux qui les pratiquent. Dire de la justice dans certains états américains qu’elle est raciste est justifié quand elle exonère de toute responsabilité le policier blanc américain qui abat sans sommation un jeune noir au comportement douteux (comme de brandir un pistolet ou une kalachnikov en plastique). Mais nier que les Noirs sud-africains qui tabassent et tuent les migrants zimbabwéens fuyant la tyrannie et la misère socialiste (il se vante dans sa presse d’être socialiste) de Robert Mugabe et se réfugient en Afrique du Sud, soit un acte raciste, est raciste. Le silence de la presse française de gauche sur ce sujet des ratonnades sud-africaines noires contre les migrants noirs d’Afrique du Sud-Est est typiquement raciste. Surtout si l’explication donnée pour justifier ce silence coupable est que les auteurs d’actes racistes sont des noirs et à ce titre ne peuvent être accusés de racisme.

    De même, excuser par le silence les viols de masse de Cologne sous prétexte que leurs auteurs étaient de jeunes mâles d’origine moyen-orientale et africaine et les victimes de jeunes et moins jeunes blanches, ne pas parler des attaques de jeunes femmes asiatiques par les jeunes maghrébins du 9-3 sont des comportements racistes caractérisés.

    Il n’y a rien de raciste à faire le constat de faits, ni à les rapporter. Or il est évident que les comportements sociaux collectifs sont liés à plusieurs facteurs, dont l’éducation, les coutumes culturelles et les origines ethniques. La gauche est la première à établir des liens souvent totalement injustifiés entre l’origine et l’action répréhensible supposée.

    Exemple : hiérarchie catholique – prêtre, évêque, pape – égale pédophilie.

    Pourtant c’est le personnel de l’éducation nationale, et notamment les éducateurs EPS, qui doivent répondre devant la justice, malgré les fortes pressions exercées par le ministère pour que les parents retirent leur plainte, du plus grand nombre d’inculpations pour pédophilie. Attaque contre une personne de couleur égale skinhead blanc aux cheveux rasés, or les rapports de police et de justice sont formels, ces derniers sont l’exception qui confirme la règle : la plupart des agressions commises contre des personnes de couleur sont le fait d’autres personnes de couleur.

    Rappeler une autre évidence, reconnue par Jack Lang, président de l’IMA, dans un courrier adressé au gouvernement et une étude de la direction du personnel des Armées sur les comportements délictueux des militaires, évidence selon laquelle la majorité des délits est commise par des musulmans, est passible de poursuites entreprises avec diligence par les officines largement subventionnées pour ce faire.
    Et même, mentionner le fait que la communauté asiatique immigrée a des comportements plus citoyens, plus responsables et plus civils que d’autres dans la même situation de méconnaissance de la langue, de précarité financière, de recherche d’emploi et de logement est passible de poursuites.

    Pourtant, c’est un fait : les Asiatiques savent « vivre ensemble » avec les Français, ne critiquent pas leurs comportements culturels, manifestent une forme de reconnaissance à leur pays d’accueil, font des efforts pour parler français le plus vite possible, cherchent et trouvent du travail, s’intègrent au quartier où ils vivent, paient leurs impôts et cotisations sociales, ne revendiquent pas à tout propos leur double nationalité chinoise, vietnamienne, cambodgienne, laotienne ou autre, bref, « sont » français.
    Ce qui ne les empêche pas de pratiquer leurs religions (bouddhisme, shintoïsme…), d’avoir leurs commerces et associations culturelles, de se regrouper dans certains quartiers qui deviennent souvent des zones d’attraction touristiques sûres pour les autres Français.

    C’est pourquoi nous pensons représenter une opinion très répandue chez les Français en disant qu’ils sont favorables à l’immigration pour les populations fuyant la guerre et la misère, du moment que ces dernières respectent et suivent les règles qui sont établies dans le pays qu’elles ont choisi pour les accueillir. Or il est évident que seule une partie des musulmans, majoritaire sans doute mais il est interdit de faire les enquêtes statistiques qui le démontreraient, accepte de bon gré les règles qui nous permettent de vivre ensemble, entre Français. Être français signifiant que l’on a la nationalité française quelle que soit la façon dont elle a été acquise.

    Ceux qui n’ont pas cette nationalité ou ne la reconnaissent pas en en refusant les règles sont des étrangers, touristes, migrants de passage ou autres, et c’est leur droit de les refuser puisqu’ils ont les leurs, mais alors ils ne doivent pas prétendre aux droits que leur nationalité donne aux Français. Ce serait une injustice sociale puisque ces droits sont acquis en échange de devoirs.

    Prendre les droits et refuser les devoirs est une forme d’escroquerie sociale dont on sait que la gauche internationaliste s’accommode aisément, mais cela reste une escroquerie sociale et une autre forme du racisme intrinsèque à la gauche.

    Comme le montre le fait que la gauche « officielle » accepte les comportements parfois criminels et en tous cas asociaux de migrants que leur nombre rend agressifs et incontrôlables comme l’a démontré le viol collectif de Cologne. Cette gauche a tort, moralement et socialement, de croire qu’elle est du côté du « bien » en prenant leur défense parce qu’ils sont « de couleur ». La couleur ne fait rien à l’affaire et conforte aussi bien les Français que les migrants anciens ou récents dans leur méfiance pour ces migrants majoritairement musulmans d’origines africaines et moyen-orientales qui affichent trop clairement par leur comportement asocial et indiscipliné qu’ils n’ont aucune envie de vivre avec nous, d’accepter nos règles de vie commune (le « vivre ensemble ») et « ne sont là que pour mettre le bordel sur leur passage » (1). Comme le leur ont recommandé ceux qui les manipulent avec pour objectif de convaincre les Français de droite comme de gauche que seule la charia permettrait de rétablir et maintenir l’ordre dans nos pays européens.

    (1) C’est le sentiment exprimé par beaucoup de migrants de première ou seconde génération d’origine asiatique, mais aussi maghrébine, qui souffrent des comportements asociaux et antifrançais des migrants récents.

    L’Imprécateur

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