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  • Les services de renseignements se préparent à une attaque à la voiture piégée

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    "D’après les informations de Valeurs actuelles, la menace terroriste est montée d’un cran ces derniers jours en France. Les services de renseignements se préparent à plusieurs scénarios d’attaques. L’État islamique, qui dispose de plusieurs camps d’entraînement en Europe (notamment dans les Balkans) est en train de former des commandos qui pourraient mener des attentats suicide avec un nouveau mode opératoire provoquant un maximum de dégâts. En utilisant des outils numériques à la pointe de la technologie, l’organisation terroriste est aujourd’hui prête à envoyer des convois de véhicules en opération suicide : une première voiture, au blindage renforcé, conduite à distance et chargée d’explosifs aurait pour objectif de faire un maximum de dégâts, suivie d’un second véhicule transportant des djihadistes chargés de tuer le plus grand nombre de civils. Et enfin, un troisième véhicule dont la mission est de “terminer le travail” et de récupérer les commandos.

    Parmi les cibles privilégiées par l’organisation terroriste pour faire ces “bains de sang”, des églises remplies de fidèles le dimanche, des écoles, des centres commerciaux et des lieux touristiques. Les services de police et de gendarmerie s’attendent à des attaques multiples, à plusieurs endroits du territoire français au même moment, dont le seul objectif est d’ « essayer de mettre la France à genoux », comme le confie un haut fonctionnaire de la Place Beauvau.

    Autre crainte des services : des opérations de type “cheval de Troie” avec des migrants qui pourraient se servir de leur présence dans des camps en France pour s’organiser, s’entraîner et passer à l’acte en un temps record, au nez et à la barbe de la police et de la gendarmerie. Pour cette raison, le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve a décidé en urgence la création d’antennes du GIGN dans plusieurs villes de province et a renforcé l’organisation et la décentralisation des unités du Raid. Les unités d’élite de la police et de la gendarmerie se préparent à faire face à tout type d’attaque et « s’attendent à l’inattendu », comme l’écrivait il y a quelques jours Europol dans un rapport. Déjà hier, de manière inédite, le Raid est intervenu dans le camp de migrants de Grande-Synthe, dans le Nord, où une fusillade a éclaté. Ce matin, ce sont six lycées parisiens qui ont été fermés après la réception d’appels anonymes faisant état d’une attaque d’un commando muni « de bombes et de fusils d’assaut kalachnikov pour faire un maximum de victimes. » La menace est prise en compte avec la plus grande gravité au plus haut sommet de l’État, qui s’attend au pire."

    Un homme avec deux armes et un Coran a été arrêté jeudi dans un hôtel du parc d'attractions Disneyland Paris (Seine-et-Marne).

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Célia

    Pour m'occuper, il m'arrive d'écouter des chansons, de la variété française au rap américain, du celtique au reggae marseillais, bref j'écoute de tout, mais vraiment de tout. De temps en temps, je me rappelle des moments de ma vie ancrée au fond de moi et qui ressurgissent. Un vieux tube du collège m'a rappelé l'amitié que j'avais noué avec une camarade du collège. 
       J'étais dans le sud, dans une petite ville et je m'étais liée d'amitié avec une fille habitant pas loin de l'école. Elle était en troisième et moi en quatrième, pour moi c'était une grande, j'étais impressionnée comme toutes les filles à cet âge. c'était les modèles du collège, on n'avait pas cette qualité. On avait fini par être dans la même classe en seconde, on faisait parti du même groupe "catho", on était même allé faire une retraite ensemble avec mes autres copines. Je me souviens elle portait un cheiche blanc, elle écoutait Glorious, elle venait d'avoir la Foi. Elle s'appelait Célia.
       En seconde, elle m'avait envoyé une lettre. Cette lettre, je l'ai toujours. Je la conserve précieusement dans un cahier de mots. De temps en temps, je la relis. Je me dis que cette lettre est intemporelle. Elle m'est utile pour toute la vie surtout dans les moments difficiles, là où je désespère. 
    En voici quelques extraits : 
    " Apprends à t'épanouir dans tous les milieux, même ceux qui ne te plaisent pas. C'est là que tu puiseras la joie et le contentement ! Là est le bonheur, et crois-en mon expérience ce bonheur vaut la peine d'être vécu! "
    " Aime-toi et on t'aimera... Prouve aux autres que tu es aimée et que tu les aimes aussi. Le chemin risque d'être long, pénible et douloureux, mais ne te décourage jamais ! Tu y arriveras... promesse de guidouille ! :) "
    " Fais pas la tête, sens la puissance de l'Amour de Dieu jaillir en toi (c'est si grand que tu ne le vois pas ^^), tu t'épanouiras !
    Si tu as de la peine occupe toi des autres, tu verras que tu te sentiras mieux car, pour moi, s'occuper des autres c'est s'occuper aussi de soi... Réfléchis y tu trouveras pourquoi ! " 
       C'est fou, à chaque fois que je lis cette lettre, je suis de plus en plus étonnée. Comment as-t-elle pu lire dans mes pensées ? Mais ce qu'elle dit c'est parfaitement vrai... C'est pourquoi je me permets de vous le faire partager. La joie en Dieu c'est ma force, c'est celle qui m'aide à vivre. Cela prend du temps de s'aimer, ce n'est pas toujours facile mais quand quelqu'un de confiance nous le dit c'est plus facile, non ? 
       Aujourd'hui, Célia est au ciel du moins je l'espère. Elle est partie rejoindre les Anges un soir d'Août 2013, fauchée par une voiture... Je n'ai jamais pu lui dire au revoir car je n'avais plus contact avec elle. Parfois, je m'en veux mais c'est comme ça, c'est la vie.
       Merci Célia, tu m'as aidé, tu avais un grand cœur, tu avais tout compris à l'Amour de Dieu ! Puisse un jour te revoir entre Jésus, Marie et Joseph, avec les Anges, un jour dans les Cieux.
    La Fenotte En Colère

  • TROIS BANQUES FRANÇAISES ACCUSÉES DE SPÉCULER SUR LA FAIM DANS LE MONDE

    Deux ans après un premier rapport pointant du doigt quatre banques françaises qui spéculaient sur la faim dans le monde, l'ONG dresse un nouveau bilan. Le Crédit Agricole s'est retiré de ce genre de fonds mais BNP Paribas, BPCE et la Société générale, non.

    L'ONG Oxfam France vient de publier la seconde édition de son rapport lancé en 2013 sur les établissements bancaires français qui spéculent sur la faim dans le monde à travers des fonds de placement spécialisés dans le secteur des matières premières agricoles. Parmi les quatre établissements financiers pointés du doigt en 2013, le Crédit Agricole «semble bien avoir respecté ses engagements et cessé toute activité spéculative sur les marchés agricoles, mais refuse toujours de prendre des engagements fermes dans la durée», note Oxfam dans son dernier rapport sur ce sujet.

    En revanche, «trois groupes bancaires français proposent toujours à leurs clients des outils permettant de spéculer sur les prix des matières premières agricoles: BNP Paribas, Société Générale et BPCE via Natixis, toujours selon Oxfam. Le montant total des fonds gérés par celles-ci s'élève aujourd'hui à au moins 3,561 milliards d'euros», contre 2,58 milliards en 2013. Un montant en augmentation de 38% en 2 ans malgré le retrait du Crédit Agricole.

    En France, la Société Générale «est aujourd'hui la banque française qui spécule le plus sur la faim» et ce malgré «un important effort de transparence», a indiqué Clara Jamart, d'Oxam France ce lundi matin sur France Info. L'établissement gère selon elle un montant total de fonds actifs dans ce domaine estimé à 1,359 milliard d'euros.

    Spéculation galopante

    Pour sa part, BNP Paribas totaliserait 11 fonds pour un montant de 1,318 milliard d'euros, et «n'a tout simplement pas respecté ses engagements». Enfin le groupe BPCE, via sa filiale Natixis, aurait un unique fonds de 884 millions d'euros. Oxfam dénonce le fait que ces «activités toxiques mettent en péril le droit à l'alimentation de centaines de millions de personnes» et que «la spéculation galopante aggrave la volatilité des prix alimentaires» rappelant qu'une personne sur neuf dans le monde ne mange pas à sa faim.

    Un rapport qui n'est pas du goût des spécialistes des matières premières agricoles. «L'argument il n'y a que 3% des denrées agricoles qui correspondent effectivement à des livraisons physiques, les 97% restants étant liées à des opérations de couverture et d'arbitrage sur les marchés à terme, ne tient pas la route. L'agriculteur ne va pas à aller livrer son blé à la bourse, s'insurge Michel Portier, gérant du cabinet Agritel, spécialisé dans la gestion du risque des prix des matières premières agricoles. La volatilité est du au fait que l'on a des produits météo sensibles, il faudrait réduire les accidents climatiques et éventuel géopolitiques. Il n'y aurait plus de spéculation».

    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/02/24/20002-20150224ARTFIG00004-trois-banques-francaises-accusees-de-speculer-sur-la-faim-dans-le-monde.php

    Via http://www.europe-identite.com/ecologistes/626-trois-banques-francaises-accusees-de-speculer-sur-la-faim-dans-le-monde.html

  • Dédicace à Paris : Emmanuel Albach sur les volontaires français dans la guerre du Liban

    livre que l’on peut aussi commander en ligne ici.

    dedicace-albach

  • Alep 2016 : Vivre avec les derniers chrétiens

    Un reportage au plus près du terrain dans la ville d’Alep, assiégée par les sicaires de l’Etat Islamique. Les derniers chrétiens présents survivent dans des conditions difficiles avec le soutien d’ONG (Croix Rouge, SOS Chrétiens d’Orient). Un excellent document de nos confrères de Boulevard Voltaire.

  • Les agriculteurs ne veulent pas l’aumône, mais une juste reconnaissance de leur labeur

    À nouveau, ils bloquent les voies et occupent les places bretonnes.

    Ras le bol d’être pris pour des imbéciles par des politiques aux paroles éphémères, qui ne trouvent comme seul remède à toute une filière en détresse qu’une énième rallonge à un plan de soutien de très court terme.

    Quand enfin, parmi les costards-cravates aux pompes bien cirées, quelqu’un comprendra-t-il qu’ils ne réclament pas l’aumône ?  

    Ce qu’ils veulent, ils ne cessent en vain de le dire : ils veulent une juste reconnaissance de leur labeur et un juste prix pour leur produit. « Les éleveurs français veulent pouvoir rivaliser à armes égales avec les autres producteurs européens », comme cela était écrit ce jeudi dans la presse locale. Rien de plus, rien de moins.
     
    De paysans, ils sont devenus des chefs d’exploitation croulant sous les contraintes et la paperasse. En permanence, ils doivent s’adapter à de nouvelles règles. La moindre mise aux normes les endette pour des années. La réforme 2013 de la PAC (politique agricole commune) favorisant les importations étrangères est venue compliquer un équilibre déjà précaire.

    Leurs charges n’ont cessé de croître, leurs marges de se réduire au point que la plupart ne peuvent plus en vivre. Ce drame montre une France démunie, livrée à elle-même, face à de cruelles distorsions de concurrence au sein de l’Union européenne, tant sociales et fiscales qu’environnementales.

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  • Et la dissolution du CESE, c'est pour quand ?

    Le CESE, c’est :

    • Un budget de 40,9 millions d’euros en 2015 (dont 2,5 millions pour la seule location du palais art-déco d’Iéna) ; 233 conseillers indemnisés 3786,76 euros brut par mois ; un président indemnisé 7573,52 euros brut par mois ; 139 administrateurs ;
    • Nomination pour 5 ans renouvelable une fois, soit à la discrétion des organisations représentatives qui envoient des représentants, soit à l’initiative du gouvernement (personnes qualifiées) ;
    • 130 membres sur les 233 sont des représentant paritaires ;
    • Rémunération des agents du CESE : 48.000 euros net par an en moyenne : 37.500 euros brut par an pour la catégorie C, 57.950 pour la catégorie A, 102.000 pour les administrateurs et 150.000 pour la numéro 2, Annie Podeur ;
    • Autres avantages : 54 jours de congé par an ; multitudes d’absences autorisées 
    • À peine une vingtaine d’avis et de rapports par an. Très peu de saisine gouvernementale et parlementaire, échec de la formule de la pétition.

    Quant aux Conseils économiques, sociaux et environnementaux régionaux (CESER), ils ne sont pas en reste :

    • 60 millions d’euros de budget global annuel, soit 2,3 millions par an chacunpour le moment (pistes pour d’éventuelles économies avec la fusion des régions) ;
    • Décret n° 2015-1917 du 30 décembre 2015 modifiant le code général des collectivités territoriales : « A titre transitoire, du 1er janvier 2016 au 31 décembre 2017, les conseils économiques, sociaux et environnementaux régionaux des régions regroupées en application de la loi du 16 janvier 2015 susvisée sont composés de l’ensemble des membres des conseils économiques, sociaux et environnementaux régionaux des régions qu’elles regroupent. » Donc jusqu’au 31 décembre 2017 au minimum la fusion des régions entraîne l’addition des conseils et de leurs membres en une seule entité ;
    • « CESER de France » regroupe aujourd’hui les 26 conseils des régions métropolitaines et d’outre-mer, ainsi que ceux de Nouvelle-Calédonie, de Polynésie française, de Mayotte (depuis janvier 2005), de Saint-Barthélemy et Saint-Martin (depuis janvier 2009) ;
    • Chacune des assemblées comprend entre 40 et 120 conseillers proportionnellement au nombre d’habitants ;
    • En cas d’absence complète : diminution de l’indemnité entre 50 et 55% ;
    • Rémunération entre 760,29 euros et 1330,21 euros brut mensuel.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/et-la-dissolution-du-cese-cest-pour-quand-.html

  • L’État français complice de groupes criminels de Jean Loup Izambert - TOME 1

    Des dirigeants politiques et hauts fonctionnaires à la tête de l’État français soutiennent des criminels et terroristes. Hier, ils ont protégé certains d’entre eux des recherches d’Interpol, aujourd’hui ils en soutiennent d’autres pour renverser le gouvernement syrien. De la « génération Mitterrand » à la « république exemplaire » de François Hollande, en passant par celle de Nicolas Sarkozy, 56 d’entre eux sont impliqués.

    Avant-propos : Au cœur de l’État, ils protègent et arment des criminels

    Chapitre 1 : « Confidentiel. À l’usage exclusif de la police et de l’autorité judiciaire »
    De François Mitterrand à François Hollande en passant par Nicolas Sarkozy, les relations de dirigeants français avec des groupes criminels n’ont cessé de se développer.

    Chapitre 2 : Frères musulmans, des dirigeants néocolonialistes
    L’organisation criminelle des Frères musulmans soutenue par Paris est au cœur des conflits contre les pays arabes laïcs.

    Chapitre 3 : Les deux faces de l’« opposition » anti-syrienne
    La répartition des rôles au sein des organisations qualifiées d’« opposition » par les dirigeants français.

    Chapitre 4 : Une « opposition » façonnée par des tueurs
    Les principaux dirigeants de l’ « opposition » sont tous liés aux Frères et/ou aux milieux atlantistes et sionistes.

    Chapitre 5 : Les « modérés » du président Hollande
    Les activistes anti-syriens présentés comme « modérés » par les dirigeants français sont impliqués dans des activités délictuelles et criminelles. Portrait de famille.

    Chapitre 6 : D’Alger à Damas, le même plan de subversion
    La stratégie de destruction de l’État et de la société par les organisations des Frères musulmans.

    Chapitre 7 : L’Élysée arme la main de l’ennemi
    Chronologie du crime d’agression de la présidence et du gouvernement français contre la République arabe syrienne.

    Chapitre 8 : Président ou trafiquant ?
    François Hollande a décidé seul, avec l’état-major de l’Élysée, d’armer des organisations terroristes. Quid de la Constitution, du droit européen et international ?

    56 - Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels de Jean Loup Izambert
    2015 - IS Edition 2015
    prix : 20,00 €

    http://www.lepouvoirmondial.com/