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  • Autriche : des officiers entrent publiquement en dissidence

    Coup de théâtre dans les débats sur la sécurité ! Des officiers de haut rang lancent un avertissement : « La sécurité de notre pays et de sa population est gravement menacée »

    Personne ne s’y attendait pas. Pourtant, aujourd’hui, ils se font entendre. Les officiers de l’Armée autrichienne ont décidé de ne plus se taire ! Sur une plate-forme nouvellement créée, « L’Autriche défendue », ils alertent sur les dangers d’une politique de sécurité qui a complètement failli. En résumé : la sécurité serait « gravement » menacée, les milieux politiques fermeraient les yeux et l’armée seraient instrumentalisée politiquement, condamnée à l’inactivité et brisée économiquement.

    Dans un spot publicitaire publié le 20 janvier 2016, les officiers parlent clairement. Aux côtés du colonel Siegfried Abel et du chef de la Société des officiers autrichienne, le colonel Erich Cibulka, s’exprime également le général Günther Greindl. Ce dernier a participé activement à l’évolution de l’armée fédérale, a été représentant de l’Armée autrichienne auprès d’institutions internationales, est le fondateur et le président de l’Association des Peacekeepers [Casques bleus] autrichiens et chevalier de l’Ordre du Mérite pour les services rendus à la République autrichienne. Les activités des officiers devraient soumettre à une certaine pression le ministère de la Défense et le gouvernement fédéral.

    Dans leur vidéo, les officiers justifient leur action de façon exhaustive. « En tant que soldats de l’armée autrichienne, nous servons notre pays. Nous accomplissons notre devoir depuis des décennies avec fierté et conviction. » Pourtant, les dangers croissent de jour en jour. Le conflit Est-Ouest entre la Russie et l’Otan, le terrorisme en Europe pratiqué par « l’Etat islamique » et une immigration massive incontrôlée de millions d’êtres humains sur le sol européen caractérisent la situation actuelle. Il semblerait qu’une grande partie de la sphère politique ne prenne pas ces menaces en considération par ignorance ou clientélisme. Non seulement la destruction de l’armée a été planifiée, mais la « volonté de défense de la population » serait aussi systématiquement détruite et ridiculisée. En conséquence, les soldats auraient aujourd’hui l’obligation de parler et d’agir. En raison « d’une capacité de défense dégénérée » (textuellement), la « sécurité de notre pays et de sa population est gravement menacée ».

    Outre un renforcement de l’armée fédérale et de sa capacité de défense, ils demandent une sécurisation des frontières efficace. Les soldats ne se tairont plus longtemps. Et ils sont tous d’accord : « Nous voulons une Autriche souveraine et ayant les moyens d’agir. Nous voulons assurer l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants. »

    Source : Médias-Presse-Info

    http://la-dissidence.org/2016/01/24/autriche-des-officiers-entrent-publiquement-en-dissidence/

  • Remigration !

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    La Suède, l’un des pays à la politique migratoire la plus attractive d’Europe, est soumise à une telle submersion qu’elle est en train de revoir précipitamment ses positions. Question de survie. Le gouvernement parle aujourd’hui d’affréter des charters pour renvoyer 80 000 migrants !
    La pompe aspirante a fonctionné à fond dans la Suède multiculturaliste où une politique radicale de remplacement de la population est mise en œuvre depuis des années. (Le pays verse 2 300 euros à chaque demandeur d’asile, et procure des cours intensifs de suédois aux nouveaux arrivants). Selon l’OCDE, la Suède a le nombre de demandeurs d’asile par habitant le plus élevé du monde.

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  • La faillite totale de l'état de droit

    C'est l'analyse d'H16, relayée ici.

    "Un mardi de grèves en France, c’est, finalement, un mardi comme tant d’autres, plein d’inactions syndicales visibles. Et c’est aussi l’occasion de débordements violents. En plein état d’urgence, on peut se poser quelques questions.

    En effet, à moins que vous ne soyez militant écolo ou que vous planquiez quelques dosettes de stupéfiants dans une cave, auxquels cas vous auriez pu avoir la visite inopinée et musclée de la police en pleine nuit, vous n’avez probablement pas constaté directement de différence entre l’état d’urgence actuel et l’état disons « de pas urgence » ou d’affaissement, selon le point de vue, qui prévalait encore le 12 novembre.

    Pourtant, en toute bonne logique, la déclaration solennelle de cet état d’urgence par un chef de l’Etat à la voix mal assurée et par un premier ministre tremblotant aurait dû entraîner des conséquences directes palpables pour le citoyen lambda, notamment en terme de sécurisation du territoire français. Oh, certes, on a vu exploser le nombre d’assignations à résidence ou de perquisitions musclées, pas toujours suivies d’effets concrets. Mais au-delà de ces exemples, force est de constater que le pays est toujours aussi peu sécurisé.

    Et il n’y a pas besoin d’éplucher beaucoup l’actualité pour le constater : en quelques heures de manifestations, les chauffeurs de taxi ont amplement prouvé par l’exemple que cet état d’urgence est une vraie plaisanterie. En substance, une petite troupe déterminée peut complètement bloquer le trafic routier sur des axes majeurs de la capitale française, et peut même mettre le feu à des pneus, le tout pendant plusieurs heures avant que la police n’intervienne. À ce propos, un djihadiste pourrait tirer de ce constat plusieurs enseignements à commencer par le fait qu’être armé d’un tracteur, d’une caravane ou d’une enseigne lumineuse « Taxi » permet d’aller plus loin et plus longtemps qu’avec une kalachnikov et qu’à condition de brûler des barils de gaz neurotoxiques plutôt que des pneus, l’attentat pourrait alors provoquer beaucoup de dégâts, le tout sans que les forces de l’ordre n’interviennent trop tôt.

    Toujours dans le cadre de cet étrange état d’urgence au laxisme étonnant, on pourrait aussi évoquer les tensions qui s’accumulent à Calais.

    Sans même rentrer dans l’épineux débat de savoir s’il faut ouvrir ou fermer les frontières, force est de constater que les demandeurs d’asiles en France ne sont pas gérés. Notez bien : ils ne sont pas « mal gérés », ou « insuffisamment », ils ne sont pas gérés du tout. On pourra arguer qu’ils ont probablement dû remplir moult cerfas colorés, mais ce n’est pas une gestion si ces papiers s’empilent sans bouger. Bref, ils ne sont réellement gérés ni côté sanitaire, ni côté juridique, ni dans l’indispensable volet policier qui devrait normalement être le cas, état d’urgence ou pas (et à plus forte raison en état d’urgence). Sangate fermé, la gestion de la frontière anglaise généreusement déléguée au contribuable français, cela fait maintenant des années que la situation s’enkyste gentiment sans qu’aucune autorité ne semble vouloir y changer quoi que ce soit.

    En somme, comme pour les récentes manifestations de taxi, on assiste à une faillite complète, totale, absolue de l’état de droit. 

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    Paula Corbulon

  • Révolution culturelle

    Après la publication des chiffres cataclysmique d’un chômage, celui du rapport de la Fondation Abbé Pierre  qui enregistre 15 millions de personnes touchées par la crise du logement sur notre territoire, le désespoir, la révolte,  des éleveurs et des  chauffeurs de taxi  qui manifestent actuellement,  Bernard Cazeneuve  présentait hier les chiffres de la délinquance 2015. Premier enseignement, la présence  accrue des forces de l’ordre depuis les attentats a entraîné, assez logiquement, une  baisse sensible de certaines catégories d’actes délictueux,  principalement dans les grandes agglomérations où elles sont les plus présentes et les plus visibles. Les «vols avec armes ont baissé » de 13,7% , les «vols violents sans arme»  de 9,4%,  «les vols sans violence contre des personne » (690 000)  de  1,4%, les cambriolages de logement  (234 000 ont été enregistrés en 2015)   de 0,9%,  les vols liés aux véhicules (170 000)   de 0,9 %  également. Ce chiffre est bien évidemment lié aux attentats,  les homicides ont augmenté de 16,1%  mais au-delà, les violences ordinaires continuent elles aussi de croître. 213 000 «crimes ou délits de coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans et plus en France métropolitaine», dont une majorité de femmes parmi les victimes, ont été comptabilisés en 2015. Il est aussi  précisé que « les vols violents» et  «les  vols liés à l’automobile » sont presque systématiquement le fait de mineurs, entre 15 et 17 ans. Last but not least,Bernard Cazeneuve s’est attardé sur  «l’augmentation actes racistes, antisémites, anti-musulmans». «En 2015 il y a eu 806 actes antisémites commis en France, un nombre en  légère diminution  (5,3%) par rapport à une année 2014 déjà très préoccupante. Le nombre des actes anti- musulmans (429) est en très forte hausse (+ 223%) et celui des actes racistes (797) croît également, quoique de façon plus modérée mais qui reste significative (+17,5%). Le nombre des atteintes aux lieux de culte et aux cimetières a également cru de façon globale (+22,8%).» Le racisme antifrançais, antiblanc,  lui, n’est toujours pas comptabilisé.

    Une question identitaire dont s’est emparée ces dernières années l’ex militant d’extrême gauche et soutien de SOS racisme  Alain Finkielkraut,  qualifié aujourd’hui de néo réac, voire  pire,  du fait de ses critiques du «muticulturalisme», qui était  reçu hier sous la coupole.

    Une arrivée à l’Académie Française qui suscita la polémique, beaucoup de membres du microcosme germanopratin ne lui pardonnant pas d’affirmer désormais que  l’idéologie antiraciste a  pris le relais de l’intolérance communiste. En avril 2014, il fut élu par ses pairs  dés le premier tour par 16 voix sur 28, bénéficiant notamment du soutien explicite de Pierre Nora, Michel Déon, Max Gallo, Hélène Carrère d’Encausse, Jean d’Ormesson. Pour autant,  ses  détracteurs à l’Académie (Dominique Fernandez, Angelo Rinaldi, François Weyergans,  Michel Serres…)  l’avaient accusé de proximité avec le FN,  de  xénophobie  et d’homophobie. Le délicat Dominique Fernandez,  fils du journaliste et  écrivain  d’origine mexicaine  Ramon Fernandez,  militant  communiste passé à la collaboration avec l’Allemagne  hitlérienne, avait même qualifié M. Finkielkraut « d’immonde», comme la Bête du même nom,  dans un entretien à la revue littéraire Transfuge.

    Symboliquement,  l’épée d’académicien d’Alain Finkielkraut  est  gravée de  cette belle sentence du grand Charles Péguy : «La République Une et indivisible, notre royaume de France » et, en hommage à ses parents et à ses racines juives, d’ un Aleph, première lettre de l’alphabet hébraïque. Le pommeau est constitué par   une tête de  vache, une  référence  à Nietzsche, plus précisément à cette réflexion du philosophe de Sils-Maria,   dans La généalogie de la morale:  «pour pouvoir pratiquer  la lecture comme un art, une chose avant toute autre est nécessaire, que l’on a pratiquement oublié de nos jours (…),  une chose qui nous demanderait  presque d’être de la race bovine et certainement pas un  homme moderne, je veux dire être capable de ruminer.»

    En fait de rumination,  M. Finkielkraut a filé dans son discours –publié in extenso sur le site du Point- ses thèmes habituels (ses obsessions diraient  ses adversaires). Comme cela est d’usage,  il a aussi fait l’éloge de son  prédécesseur dont il occupe le siège,   le dramaturge et romancier d’origine belge Félicien Marceau (décédé en 2012),   condamné par contumace à la Libération à 15 ans de prison pour collaboration lorsqu’il était reporter à Radio Bruxelles entre 1940 et 1942. Refusant tout simplisme et manichéisme sur cette période pour le moins compliquée, qui,  après les   horreurs de la  boucherie de 14-18, avait vu émerger dans l’entre-deux guerres, notamment chez les intellectuels, un   fort courant antibelliciste,  pacifiste,  le nouvel académicien   a qualifié d’ «exorbitante»   la condamnation de Marceau, lequel  s’était vu accordé  la nationalité française par le  général de Gaulle.

    « J’ai découvert que j’aimais la France le jour où j’ai pris conscience qu’elle aussi était mortelle», un amour « que j’ai essayé d’exprimer dans plusieurs de mes livres et dans des interventions récentes ». « Cela me vaut d’être traité de passéiste, de réactionnaire, voire pire », a  déclaré Alain Finkilekraut. Un amour  qui n’allait pas de soi, il y a encore quelques années.  Il a été beaucoup reproché à ce sioniste militant, qui n’en dénonce pas moins  le rendez-vous annuel duCrif  qu’il qualifie de  «tribunal dînatoire», d’une « convocation du gouvernement »,  son  entretien dans le journal israélien Haaretz du 19 novembre 2005. Évoquant les déportations de membres de sa famille à  Auschwitz, il avait ainsi  déclaré  au  sujet de la France : «Ce pays mérite notre haine.»

    Une haine qu’il aussi longtemps exprimé vis-à-vis du FN, avant de mettre de l’eau dans son vin. Lors du choc de la présidentielle de 2002, il  disait  que « bien sûr,  il faut ne passer aucun compromis avec les hommes de l’appareil du FN qui sont racistes, nostalgiques, rancis » quand bien même « leurs électeurs doivent être l’objet de toute notre attention. Il faut leur tendre la main, les réintégrer ». En octobre 2013 dans Le Point, il jugeait encore  Marine Le Pen  «infréquentable.»

    A l’écouter, invité le 29 mars 20215 de « l’esprit de l’escalier »  l’émission d’Elisabeth Lévy (Causeur) sur RCJ, l’évolution peut paraître assez sensible.  Alain Finkielkraut y a délivré un  brevet d’honorabilité  au FN («c’est un parti populiste et bonapartiste mais pas fasciste»)  et à sa présidente.  Marine disait-il, «est républicaine», «n’est pas antisémite», ne considère pas  «les juifs» comme des «ennemis», «dénonce l’antisémitisme», dit que la shoah est un crime. Bref,   «elle est  en rupture avec la tradition  antisémite et  antirépublicaine, de l’extrême droite.».

    Une fois posé ce distinguo entre le FN et l’extrême droite (mot valise qui regroupe des réalités bien différentes, il devrait le savoir), M.  Finkielkraut exposait cependant le feu roulant de ses critiques, caricaturales et  non  argumentées. Elles  éclairent  l’impasse dans laquelle se trouve cet essayiste (il n’est pas le seul dans ce cas)  qui aimerait à l’évidence  que d’autres formations politiques, moins diabolisées que le FN,  portent ses idées identitaires (au sens large). Le problème pour lui c’est que sur les questions migratoires proprement dites, il n’y en pas.   

    Aussi, l’auteur de L’identité malheureuse s’est-il évertué à  se défendre de  toute complaisance vis-à-vis du Mouvement national,  en  affirmant que le FN est  « un parti démagogique »,  défendant un « protectionnisme» aberrant, s’insurgeant de son  «opposition entre un peuple sain et de élites forcement  pourris et incompétentes» (sic). «La venue au pouvoir  du FN serait un coup très dur, politique et économique, pour la France.»

    Autre point de rupture et  non des moindres,  M. Finkielkraut  dénonçait la  politique étrangère prônée par le FN «pour s’extirper de la logique euroatlantique.» En  octobre 2013, il jugeait pourtant sévèrement, dans Le Figaro,  l’UE bruxelloise : «l’Europe n’est plus une construction, ni une civilisation, mais une maison de redressement, et ses commissaires sont des pions aigres et vindicatifs qui, juchés sur les tabourets de ce qu’ils croient être la mémoire d’Auschwitz, font la leçon aux peuples européens.»

    Pour autant, interrogé par Elisabeth Lévy, il s’offusquait  ce que «le FN préconise un axe Paris Berlin Moscou» qu’il jugeait impossible et disait tout le mal qu’il pensait d’une  alliance avec la Russie de Vladimir Poutine.

    Nous retrouvons là, souligne Bruno Gollnisch,  une des principales critiques adressées par les souverainistes de gauche, de droite  ou d’ailleurs à cet ami de BHL,  à savoir son   soutien constant à toutes les guerres menées par l’Otan et les Etats-Unis depuis la première guerre d’Irak en 1991. Cette année là, il écrivait d’ailleurs que «ceux qui proclament aujourd’hui que nous sommes asservis aux Américains sont ceux qui préconisent une politique de conciliation. On peut appeler ça une sorte de pétaino-gaullisme. » On le voit, sur le chemin de sa révolution culturelle,  l’ex mao militant de la Gauche prolétarienne  a encore de la route  à parcourir, mais souhaite-t-il l’emprunter jusqu’au bout ?

    http://gollnisch.com/2016/01/29/revolution-culturelle/

  • Conférence de François Billot de Lochner sur la liberté d'expression (galette des rois du SIEL)

  • La guerre civile en Europe planifiée

    Comme l’a récemment soulevé le journaliste de guerre Arnold Karskens dans le journal NRC, repris par 7sur7 à propos de la situation en Europe dans les mois à venir, « Tous les éléments sont présents pour un soulèvement de foule ». Il y fait le parallèle entre des troubles possibles en Europe et les Printemps arabes.

    Depuis les attentats de Paris de janvier 2015, une certaine tension est palpable en Europe. Cette tension s’est amplifiée avec les attentats du 13 novembre. Le dernier événement qui est venu pourrir un peu plus ce climat déjà tendu est celui des vols, attouchements et viols ayant eu lieu la nuit de la Saint-Sylvestre dans plusieurs villes d’Europe, particulièrement en Allemagne.

    Les Musulmans sont identifiés comme les ennemis et les prémices d’une guerre civile sont observables. La Finlande a vu se créer sur son sol des groupes d’autodéfense citoyenne et des débordements sont prévisibles.

    « Printemps européen »

    Le lien fait par Arnold Karsken entre la situation européenne et les Printemps arabes est très intéressant car il nous amène à nous poser la question de la cause des troubles qui menacent la paix en Europe. Les soulèvement populaires dans le cadre des Printemps arabes nous ont d’abords été décris comme spontanés mais peu à peu, il est apparu comme claire que ces soulèvements étaient en fait soutenus par les Etats-Unis par l’entremise du Qatar. (Explication ci-dessous de Naoufel Brahimi El Mili, professeur à Science Po Paris et auteur du livre Le printemps arabe : une manipulation  ?) Alors si il est indéniable que les Printemps arabes étaient soutenus voir pilotés de l’extérieur, qu’en est-il d’un éventuel « Printemps européen » ?

    Immigration massive

    L’immigration massive sans précédent des derniers mois et  qui sera l’une des cause d’un éventuel conflit a été soutenue par des ONG, souvent américaines et ayant leur ramifications dans la haute finance à Wall Street. L’ONG Open Society de George Soros ne se cache pas et dit soutenir « les associations oeuvrant à apporter des solutions relatives à la sécurité et au bien entre migrants légaux et illégaux ».

    Crise économique

    A noter que le même George Soros joue les oiseaux de mauvaise augure en venant nous prévenir d’une possible crise financière semblable à celle de 2008 lors d’un récent discours à Colombo. L’un des ingrédients important pour le déclenchement d’un conflit est la mauvaise santé économique d’un pays ou d’une région, souvenons-nous du Krach de 1929 et de la crise économique qui s’en est suivie qui allait être l’une élément déclencheurs de la Seconde guerre mondiale. Une telle déclaration de la part de Soros peut avoir une influence sur les marchés, même si elle était injustifiée car il est très écouté par les milieux financiers. Ce n’est évidemment qu’une hypothèse mais l’on peut imaginer un George Soros ayant parié sur la baisse des index européens et asiatiques. Dans ce cas, son soutien aux ONG favorisant l’immigration ne serait finalement qu’un investissement. De plus, les conflits sont une aubaine pour les banques car les pays ravagés par les conflits doivent contracter des dettes afin de financer leur reconstruction.

    Terrorisme

    Parmi les causes principales qui risquent de nous amener vers un conflit européen car elle ont créé la peur parmi la population est la haine produite envers les Musulmans par effet d’amalgame, les plus importantes se trouvent être les attaques terroristes de Paris de janvier et novembre de l’année dernière. De nombreuses zones d’ombre entourent ces attaques et il est possible de douter de leurs versions officielles. Prenons pour exemple la participation constatée aux attentats de novembres de tueurs de type caucasien ayant plutôt le profil et le modus operandi de membres d’un commando d’une armée régulière, d’une police ou d’un service secret. Toutes les organisations terroristes d’extrême-gauche de la période des années de plombs étaient dirigées ou au moins infiltrées par les services secrets, ce qui offre un précédent crédible à la situation actuelle des groupes terroristes se revendiquant islamistes.

    Evénements de la Saint-Sylvestre

    Derniers événements en date à nous rapprocher d’un possible conflit, les nombreux vols, attouchements et viols perpétrés par des personnes décrites comme arabo-musulmanes. Il ne fait aucun doutes que ces crimes ont eu lieu mais ce qui est plus douteux, c’est la spontanéité de ces actions. Toutes les conditions semblent avoir été méticuleusement réunies en amont afin de produire ces débordements. La chancelière Angela Merkel devait bien se douter qu’en créant l’appel d’air migratoire provoqué par son invitation à l’immigration, sachant que la plupart des migrants sont des jeunes hommes, cette immigration poserait problème un jour ou l’autre.  Angela Merkel a donc créé un terrain fertile pour l’émergence de crimes à connotation sexuelle. Au vu des premiers commentaires faits par des personnes proche du dossiers sur les débordement survenus à Nouvel an à Cologne, il semble que ces débordements aient été organisés. En atteste le commentaire du chef de la police Arnold Plickert qui a dit : « On n’a jamais vu un tel excès de violence et de manière si organisée. » (voir vidéo ci-dessous) Il suffit d’un petit groupe de meneurs qui peut pousser des masses à commettre des crimes grâce à l’effet de groupe. C’est d’ailleurs ce qui se produit souvent lors des manifestations de la gauche ou de l’extrême-gauche ou viennent se mêler des groupes de casseurs qui font dégénérer ces manifestations souvent à but pacifique. Preuve de la préméditation et planification des agissements des criminels, l’arrestation de « deux hommes, un Marocain et un Tunisien, [qui] ont été par ailleurs arrêtés à Cologne en possession de téléphones portables sur lesquels étaient consignées des vidéos des agressions sexuelles de Cologne, ainsi qu’une liste d’insultes et de menaces à caractère sexuel traduites de l’arabe en allemand. »

     


    Arnold Plickert : ""On n'a jamais vu un tel... par LaPravdaCH

    A noter aussi l’étrange présence d’un ressortissant américain parmi les premiers suspects arrêtés dans le cadre de l’enquête sur les débordements de Cologne. Il est bien possible que ce soient les mêmes ONG, liées au gouvernement américain et ayant aidé les immigrés à venir en Allemagne qui les poussent à présent à semer la zizanie dans leur nouveau pays d’accueil.

    Bénéficiaires

    Pour conclure, voyons à qui profitera la guerre en Europe si elle devait avoir lieu. Les Etats-Unis en seraient les grands bénéficiaires car l’Union Européenne et le les Etats européens en général sont d’importants concurrents commerciaux. N’oublions pas que dans sa guerre économique contre l’Europe, la fin justifie les moyens pour les USA. Nous pouvons prendre pour exemple l’Iran ou après avoir fait quitté le marché automobile de ce pays, les USA s’y sont précipités afin d’occuper ce marché. Il y a aussi l’exemple des sanctions envers la Russie que les USA ont imposées à l’Union Européenne alors que les échanges commerciaux entre les USA et la Russie ont eux augmentés. Un conflit en Europe éloignera évidemment l’espoir de voir un jour se créer une union eurasiatique qui bénéficierait autant à la Russie qu’à l’Europe, au détriment des Etats-Unis d’Amérique.

    Le second bénéficiaire serait Israël car tant que les Européens seraient embourbés dans des conflits internes, ils se désintéresseraient du sort des Palestiniens. De plus, l’amalgame fait par de nombreux européens entre terrorisme dit islamiste et islam les pousse plutôt à prendre parti pour Israël dans le conflit qui l’oppose aux Palestiniens. Si l’Etat hébreu décidait un jour d’étendre ses frontières, il n’y aurait que peu de protestations de la part des seuls pays qui pourraient peser contre cette décision et que sont les Etats européens. Il est intéressant de remarquer que le pays qui subit le plus les effets néfastes de l’immigration massive est l’Allemagne (voir l’article d’E&R), dont le gouvernement avait édicté des lois discriminatoires envers les Juifs dans les années trente, suivie par les pays scandinaves qui sont les plus sensibles à la cause palestinienne en Europe et qui se montrent les plus critiques face à Israël.

    Les peuples européens se réveilleront-ils à temps ou se laisseront-ils embarquer dans un conflit dont ils seront les premières victimes ? L’histoire nous le dira…

    Joseph Navratil

    http://www.lepouvoirmondial.com/

  • Migrants: incident droite-FN à la région NPDC-Picardie

    Le chef des élus FN au conseil régional Nord-Pas-de-Calais-Picardie a prononcé jeudi soir en séance une violente charge contre le président Xavier Bertrand (LR) à propos de la gestion du dossier des migrants, la majorité répliquant en entonnant la Marseillaise, a-t-on appris de sources concordantes.
    Philippe Eymery, président du groupe FN, a défendu peu avant 22H00 un "voeu" réclamant "le démantèlement des camps de migrants de Calais (Pas-de-Calais) et Grande-Synthe (Nord) et l'expulsion systématique de toute personne présente illégalement sur le territoire national", en raison des "effets dévastateurs de l'immigration clandestine".
    Pendant près de 12 minutes, celui auquel Marine Le Pen, battue par M. Bertrand (LR) en décembre 2015, a confié la direction du groupe FN, a prononcé une diatribe - qu'il a postée sur Twitter - contre la majorité Les Républicains-UDI, confondue avec la gauche dans "l'UMPS". Il s'est insurgé contre les "insultes, menaces, intimidations en tout genre" prononcées selon lui par M. Bertrand contre le FN.
    Dénonçant "des camps livrés aux mafias, aux trafics en tout genre, aux viols", il a lancé à M. Bertrand: "vous êtes co-responsables de cette situation (...) Un jour, l'Histoire vous jugera". Comparant le président François Hollande à un "roi fainéant", Philippe Eymery a encore affirmé au président de la région: "François Hollande vous a mis là où vous êtes aujourd'hui (...) Il tient la corde dont vous êtes le pendu".
    Indignés par ces propos, les élus LR-UDI entraînés par Gérald Darmanin, vice-président et bras droit de Xavier Bertrand, ont entonné la Marseillaise, selon un témoin.
    C'est la maire de Calais Natacha Bouchart (LR), autre vice-présidente, qui a répondu au FN par une déclaration dont "la grande dignité" a été saluée par ses colistiers sur Twitter.
    "L'extrême droite a montré une nouvelle fois son vrai visage", a déclaré M. Bertrand en concluant la séance.
    Pendant cette session d'une journée, les élus FN, utilisant les ressources du règlement intérieur, ont réclamé à moult reprises des suspensions de séance.
    En déplacement à Milan, Marine Le Pen, qui avait mené la campagne des élections dans la région en décembre, n'a pas participé à cette première session de l'assemblée régionale.
    Dans cette enceinte, la droite détient 116 sièges et le FN 54. S'étant retirée entre les deux tours du scrutin de décembre, la gauche est absente du conseil régional.

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuVuplFkpAuGXLxVrl.shtml

  • Pourquoi risquons-nous de perdre la guerre de races et de religions ?

    Dr Bernard Plouvier

    Il est évident que l’Europe occidentale, riche et de haute technicité, devrait pouvoir briller dans la guerre, encore larvée pour l’instant, lancée par les peuples du Sud et du Sud-Est contre elle. La supériorité en armes et en télécommunications n’est que trop évidente.

    Mais, ce n’est nullement ce qui permet à coup sûr de gagner une guerre. Après tout, en 1940, l’armée française avait davantage de chars et de meilleure qualité que ceux de la Wehrmacht. Il lui manquait autre chose. Certes, il lui manquait de bons avions de combat en quantité suffisante. Certes, l’état-major français, majoritairement peuplé de généraux trop vieux ou nommés par l’effet du favoritisme politique, avait oublié la méthode Pétain sur l’emploi combiné du char d’assaut et de l’avion de combat, exposée dans la Directive N°5 du 12 juillet 1918.

    Mais, il manquait par-dessus tout l’ardeur combative de la majorité des soldats français, qui n’avaient pas de défaite à venger (contrairement aux hommes de 1914), qui voulaient jouir des congés payés et d’un confort de vie qu’ignoraient leurs pères, qui considéraient enfin (et ils n’avaient pas tort) qu’aucune motivation d’ordre national n’avait commandé l’entrée en guerre.

    De nos jours, nos armes ultra-modernes doivent être approvisionnées en munitions coûteuses et l’on s’est aperçu à la fin de l’année 2015, au bout d’un mois d’utilisation d’une quarantaine d’avions ayant lancé moins de 700 bombes, que les arsenaux étaient presque vides, car d’autres dépenses avaient paru plus urgentes que l’accumulation de munitions, puisque les stratèges répétaient aux politiciens qu’il n’y avait plus de « péril aux frontières ». Ces choix, grotesques dans le contexte des années 1980 à nos jours qui était et demeure celui d’une immigration-invasion musulmane, furent politiques et les « maîtres » furent à l’image de leurs électeurs.

    Quand bien même nous disposons d’armes extraordinairement puissantes - l’arme atomique et son avatar, la bombe à neutrons -, quel homme politique oserait les utiliser en cas d’extrême besoin ? C’est une question de volonté politique, qu’aucun de nos « chefs » ne semble avoir.

    Nous risquons de perdre la guerre qui s’annonce, parce que la majorité de la population est aveulie, affaiblie physiquement et moralement. À quoi peuvent servir les beaux raisonnements sur l’effective grande qualité raciale des Barbares qui détruisirent la Rome corrompue au Ve siècle, quand l’on s’aperçoit que la propagande tiers-mondiste, l’hédonisme, la déspiritualisation, les sophismes distinguant l’islam de l’islamisme (en contradiction totale de la lecture du Coran), exercent leurs ravages sur les Nations d’Europe occidentale et scandinave ? En outre, la régénération physique et morale des Européens de l’Ouest, qui fut effectivement constatée grâce à l’apport génétique des Germano-Scandinaves, ne peut en aucun cas être comparée aux effets prévisibles de l’immigration actuelle.

    De bonnes armes bien approvisionnées en munitions, une logistique et des transmissions impeccables, des renseignements de qualité et rapidement utilisables, notamment ceux qui sont fournis par les satellites et les moyens de géolocalisation, tout cela est très utile… mais pas suffisant pour « gagner » une guerre. Pour vaincre, il faut une mentalité de combattant, rude, discipliné, frugal et impitoyable. Où voit-on de telles qualités en notre Europe occidentale et scandinave, dans laquelle des cuistres parlent de guerre à pertes humaines nulles : le « risque zéro », une curiosité guerrière inédite, made in USA ? Face à des capons et à des femelles, des hommes sous-doués, mais assurés de mener « le bon combat » et de gagner ainsi leur place « au paradis d’Allah », ne peuvent que l’emporter. À la force matérielle, il faut obligatoirement ajouter la force morale et l’esprit de sacrifice. 

    Il semble que les qualités morales qui définissent le véritable combattant existent en Europe de l’Est. Après les Germains, régénérateurs d’une Europe romanisée amollie, on pourrait espérer que des Slaves bien dirigés viennent régénérer la jeunesse autochtone d’une Europe occidentale qui ne demanderait que cela. Mais ceci est une histoire qui ne s’écrit pour l’instant qu’au futur et au conditionnel.  

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