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  • Le FNJ lance une grande campagne d’adhésion sur internet !

    Communiqué de presse de Gaëtan Dussausaye, Directeur national du Front National de la Jeunesse :

    Le Front National de la Jeunesse, premier mouvement jeune de France, lance ce mercredi 18 février une grande campagne d’adhésion sur les réseaux sociaux.

    Retrouvez tous les éléments sur :
    Facebook : https://www.facebook.com/FNJ.officiel
    Twitter : https://twitter.com/FNJ_officiel
    Le site internet du FNJ : http://www.fnjeunesse.fr/

  • La presse polonaise choque les biens pensants

    La presse polonaise ne dénonce pas le voile islamique mais le viol islamique de l'Europe et cela choque nos bobos, restés bien silencieux lors des viols et agressions sexuelles en Allemagne :

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    Michel Janva

  • Le «Je suis Romain !» de Maurras

    « Je suis Romain, parce que Rome, dès le consul Marius et le divin Jules, jusqu’à Théodose, ébaucha la première configuration de ma France. Je suis Romain, parce que Rome, la Rome des prêtres et des papes, a donné la solidité éternelle du sentiment, des mœurs, de la langue, du culte, à l’œuvre politique des généraux, des administrateurs et des juges romains.
    Je suis Romain, parce que si mes pères n’avaient pas été Romains comme je le suis, la première invasion barbare, entre le Ve et le Xe siècle, aurait fait aujourd’hui de moi une espèce d’Allemand ou de Norvégien.
    Je suis Romain, parce que, n’était ma romanité tutélaire, la seconde invasion barbare, qui eut lieu au XVIe siècle, l’invasion protestante, aurait tiré de moi une espèce de Suisse.
    Je suis Romain dès que j’abonde en mon être historique, intellectuel et moral. Je suis Romain parce que si je ne l’étais pas je n’aurais à peu près plus rien de français. »

    Charles Maurras – Dilemme de Marc Sangnier

    http://reconquetefrancaise.fr/le-je-suis-romain-de-maurras/

  • Syrie: Israël allume le front de Quneitra, ses milices battues de nouveau

    Lésé par les changements sur le terrain en Syrie en faveur de l’armée syrienne et ses alliés, Israël tente tant bien que mal de reprendre le dessus dans le sud, où les milices qu’il soutient ont subi d’importants revers. Mais sa nouvelle tentative de mardi s’est à son tour soldée par un revers cuisant.
    Selon le journal libanais al-Akhbar, citant des observateurs informés, des mouvements suspects avaient été détectés ces derniers jours sur le front de la province de Quneitra en particulier.
    Au moment où mardi matin, 12 milices combattant dans le cadre de l'Armée syrienne libre (ASL) ont annoncé le lancement d’une bataille qu’ils ont baptisée « Si vous retournez, nous retournerons », dans le but de prendre le contrôle de plusieurs positions de l’armée syrienne. Ces milices lorgnent surtout la localité Cheikh Miskine, conquise par l’armée la semaine passée, ainsi que la localité avoisinante Atma.
    Des sources sécuritaires syriennes ont confié pour al-Akhbar que cette bataille était attendue depuis bien longtemps, mais la décision de la déclencher a été prise depuis trois jours. Et pour cause : « la situation sur le terrain incommode Israël qui tente d’ouvrir une brèche en direction de la province ouest de Damas. Alors que les milices veulent à tout prix réaliser une victoire morale pour s’attirer le soutien des Etats » impliqués dans la crise syrienne, explique ces observateurs.
    Surtout que les réconciliations battent leur plein à Deraa et Quneitra.
    Mais comme la bataille était prévue, elle a été avortée avant son déclenchement.
    Les miliciens étaient en train de s’attrouper dans la région al-Jaaila, (ouest de cheikh Miskine) lorsque des avions russes et syriens les ont bombardés. Il y a eu au moins 26 tués dans leurs rangs, et 40 blessés. D'autres miliciens sont tombés dans une embuscade de l'armée, essuyant des pertes dans leurs rangs.
    Selon al-Akhbar, ces milices, en l’occurrence Bataillon al-Hamzé, Jaïch al-Ababil, Jaïch al-Yarmouk, Front des révolutionnaires de Syrie, et Bataillon al-Fourkane sont tous considérés par les puissances occidentales comme étant des "factions modérés". Alors que la milice wahhabite pro saoudienne Jaïch al-islam a fait part à la bataille, la branche d’Al-Qaïda en Syrie le front al-Nosra et le mouvement al-Mathanna étaient absents, remarque al-Akhbar. Ils ont du battre en retraite après leur perte de la localité de Cheikh Miskine, laquelle constituait leur principale voie d’approvisionnement.
    Les pertes des milices s'étaient accentuées vers le dernier trimestre de 2015, lorsque les forces gouvernementales et leurs alliés avaient réalisé une opération-éclair au cours de laquelle elles ont reconquis le triangle de la province de Damas-Deraa-Quneitra, qui est vital pour la sécurité de la capitale. Les milices étaient alors parvenues à réaliser quelque progression dans la province de Quneitra et à y assiéger des localités loyalistes, et quelque région de Deraa. Mais elles se sont rétractées après l’échec de la campagne baptisée « Tempête du sud » sur les portes de la ville de Deraa.
    Sachant que les milices soutenues par les puissances occidentales sont directement commanditées par les services de renseignements israéliens Amane, elles ont reçu ces derniers jours des munitions et des armes de leur part. Sans compter les trois camions conteneurs chargés d’armements en provenance de la Jordanie qui ont traversé samedi dernier la frontière. « Mais cette quantité est nettement inferieure à ce qui avait été envoyé dans le passé», constate une source sécuritaire. « Lors de la bataille de Bosra al-Cham et de l’aéroport al-Tahaalat, ce sont 40 camions conteneurs qui avaient été dépêchés », ajoute-t-elle.
    Depuis un mois, l’armée syrienne avait bombardé un convoi d’ânes transportant des armes sur le versant de la montagne al-Cheikh. Ce convoi était sorti de l’observatoire de l’armée d’occupation israélienne installé sur la montagne de Jabal al-Cheikh.
    « Ce que l’armée syrienne est entrain de reconquérir ces derniers temps, il sera presque exclu qu’elle le perde de nouveau », croient savoir les observateurs, conclut al-Akhbar.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVVZVlFVlLpiJcWLa.shtml

  • Allemagne : les internautes se détournent de Facebook

    Les internautes allemands sont de plus en plus nombreux à se détourner du plus grand réseau social mondial et sont à la recherche de solutions alternatives. En ces temps de surveillance et de censure à grande échelle, les moyens de communication et sources d’information décentralisés prennent de plus en plus d’importance.

    Après que, sur mandat de la société Arvato, filiale à cent pour cent du groupe Bertelsmann, et de la Fondation Amadeu-Antonio, Facebook eut mis en œuvre les premières mesures de censure, de plus en plus d’utilisateurs se sont vus contraints d’échapper à Facebook, devenu une pieuvre tentaculaire avide de toutes les informations possibles.

    L’alternative la plus appréciée leur est offerte par le réseau social russe VK[1] et le projet de sources ouvertes Diaspora.

    Même la messagerie-App Whatsapp de Facebook est de plus en plus impopulaire et est remplacée par les Apps Threema[2] et Signal, équivalents quant à leur convivialité et leur fonctionnalité WhatsApp. Autre avantage de ces applications : leur « cryptage de bout en bout » rend impossible la lecture des contenus par le serveur. Cette caractéristique est bien sûr une épine dans le pied pour tout organe de contrôle, raison pour laquelle ont eu lieuplusieurs tentatives pour les criminaliser. Le responsable régional de l’Office de la protection de la Constitution de Thuringe a même demandé publiquement que soient insérées dans de tels programmes des portes dérobées, afin qu’en cas de besoin les communications puissent être déverrouillées, lues et évaluées[3].

    Source : http://www.info-direkt.eu/die-grosse-facebook-flucht.

    [1] https://vk.com et https://diasporafoundation.org (en de nombreuses langues, y compris le français).

    [2] https://threema.ch/de / https://whispersystems.org/

    [3] http://www.heise.de/security/meldung/Crypto-Wars-3-0-Thueringens-Verfassungsschutzchef-fordert-Hintertueren-in-Krypto-Messengern-3095311.html

    http://www.medias-presse.info/allemagne-les-internautes-se-detournent-de-facebook/49512

  • Révolte des agriculteurs, est ce la faute de l’Europe ?

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Alors que des manifestations importantes d’agriculteurs se sont déroulées en Bretagne, on peut se demander ce que fait Stéphane Le Foll. Il n’a pas obtenu ce qu’il demandait lors du dernier conseil européen des ministres de l’Agriculture. L’Allemagne, qui concurrence fortement l’agriculture française avec ses fermes-usines, s’est opposée aux demandes françaises. Elle veut continuer à prendre des parts de marché à la France en ayant des règles sociales moins sévères.

    http://fr.novopress.info/198394/revolte-agriculteurs-ce-faute-leurope/

  • Le nationalisme est un réalisme pragmatique

    « La politique c’est l’art de guider la nation. »
    (J. Haupt – Le procès de la démocratie).

    « La dialectique et l’émotion, la sèche analyse intellectuelle et la frénésie de l’esprit sentimental ».
    (P. Bourget – Banquet de l’Appel au soldat de 1904).

    La philosophie politique se doit d’être pragmatique sur la nature des hommes et des sociétés, mais encore faut-il pour ça ne pas se tromper sur celle-ci. Ici, nous ferons donc abstraction des délires abstraits d’un Jean-Jacques Rousseau et son « contrat »sur lesdites sources « d’inégalités » sociales…

    Ce pragmatisme, on l’observe chez des auteurs comme Paul Bourget (1852-1935), fondateur de l’École du Traditionalisme français. Une pensée qui lie la science avec la politique.

    D’abord romancier expérimental, il devient moraliste et porte un intérêt pour la psychologie, pour enfin épouser les domaines de la science, de la foi catholique et des réalités naturelles, de l’Ordre naturel. Ses analyses relèvent de l’expérimental, toujours basé sur les lois biologiques, tout comme chez Charles Maurras ou encore le docteur Alexis Carrel, et il établit donc des recherches scientifiques dans le domaine philosophique et politique. Ce qui explique pourquoi il revendique que :

    « Ce n’est pas une construction idéologique qu’il faut entreprendre, ce sont des observations qu’il faut dégager. C’est proprement l’application de la méthode scientifique à la vie morale et sociale. »
    (Quelques témoignages).
    « La politique c’est, la recherche des lois naturelles de la Cité par voie d’observation. »

    (Études et portraits).

    L’idée est de dire qu’il est possible d’avoir des idées contre la nature, mais qu’il est impossible de contourner cette réalité. Mettre la main au feu brûlera toujours.

    À partir de son livre Le Disciple il condamne philosophiquement le scientisme, le matérialisme et le naturalisme. Il refuse tout ce qui a été dénaturé ou déstructuré par la révolution anti-française de 1789, et devient par conséquent un fervent défenseur de l’identité et de la famille, comme structure de base, en mettant en avant les lois rationnelles de la vie en société :

    « Notre individu ne peut trouver son ampleur, sa force, son épanouissement que dans le groupe naturel dont il est issu. »
    « L’organe local de cette race est la nation, plus profondément la région, et plus profondément encore la famille. Ou plutôt nation, région, famille ne font qu’un. »
    (Discours de 1904 au banquet « l’Appel au soldat » organisé parl’Action française, en présence de Maurice Barrès).

    Voilà pourquoi le regretté Jacques Ploncard d’Assac a relaté cet auteur comme l’un des maîtres à penser du nationalisme français dans son livre Doctrines du nationalisme.

    « Rassemblons des faits pour avoir des idées. »
    (Maxime de Buffon).

    « Le saint, qu’il prie pour nous ; le savant, qu’il nous instruise ; c’est le prudent qui doit nous gouverner.»
    (R.P. Sineux – Initiation à la théologie de saint Thomas d’Aquin).

    Pragmatisme, c’est dire que la valeur pratique est le principe du vrai, il s’agit certes d’un terme moderne, mais il était déjà contenu par le passé dans la vertu de prudence. L’idéologie est au systématique ce que le pragmatisme est à la prudence. Ce qui écarte tout type de pensée toute faite, automatique.

    L’analyse et l’action doivent d’ailleurs aller de pair avec la prudence en politique, chose prônée par Aristote précurseur de la pensée réaliste, pour être ensuite reprise et perfectionnée par saint-Thomas d’Aquin, un grand Docteur de l’Église qui a accompli la pensée du philosophe grec de l’ère préchrétienne en y ajoutant sa partie surnaturelle. La prudence est aussi une vertu cardinale pour l’Église, celle dont dépend toutes les vertus morales.


    9782845191944_1_075146.jpg«
    Réfléchir avant d’agir. Peser le pour et le contre, mesurer à l’avance, autant qu’il est possible, les conséquences d’un acte ou d’une attitude, s’entourer d’un maximum de garanties pour parer à un échec et assurer la réussite, le cas échéant donner à d’autres les conseils opportuns pour éviter le mal et réaliser le bien…, tout ce qui concerne la part d’intervention de chacune des facultés, l’harmonieux équilibre à maintenir entre les diverses influences et le dosage des tendances opposées, tout cela est l’œuvre de la Prudence. (…)

    Quoi qu’il en soit, le prudent est bien celui qui voit clair, tant parce qu’il connaît les principes universels qui régissent l’agir humain, que parce qu’il sait en faire l’application judicieuse aux circonstances particulières ; celui qui voit loin même, capable de découvrir largement les effets dans leurs causes, de projeter sur l’avenir les clartés du présent, autant que de retenir les lumières de l’expérience pour en faire les flambeaux de nouveaux essais. (…)

    La Prudence prévoit afin de pourvoir ; elle guide le choix, puis commande l’action. Car les délibérations sans fin seraient hésitations plutôt que prudence ; et la vertu étant puissance d’action ne peut rester aux préliminaires, elle arrive sans tarder à la décision et à l’exécution ; l’imperium. La vertu de Prudence est la plus indispensable à quiconque est chargé de régir la société.»
    Révérend Père Raphaël Sineux – Initiation à la théologie de saint Thomas d’Aquin – La nature de la Prudence (extrait).

    « L’adéquation de l’intelligence à la réalité des choses. »
    (St. Thomas – Somme théologique). 

  • Les CRS parlent , la guerre civile est imminente

    VEUILLEZ LIRE, NE SERAIT-CE QUE POUR ETRE INFORMES DE CE QUE LES MEDIAS VOUS CACHENT…

    Voici le reportage « Journal d’un CRS » que vous ne trouverez nulle part ailleurs car totalement interdit !

    PAROLES DE POLICIER :  (Prenez le temps de lire jusqu’au bout)

    Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre sol. Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de

    «La Jungle» à Calais. Comme nous le prévoyons, attendez-vous à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation. Contre vous…

    Ce CRS raconte  :

    « Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas par jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’ils aient tous, je dis bien TOUS, des smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant), les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé… »

    Une honte de les garder sur notre sol !

    « La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires… De jour comme de nuit. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous sommes là et las.

    En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents… Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de priorité ni le code de la route… Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste. En d’autres endroits, nous jouons les «cônes de Lübeck», ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune. À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque !

    Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé, des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense. Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas ! Les réparations elles aussi coûtent une fortune.

    04:30  Réveil puis nous arrivons à l’heure du repas.

    13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre point. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner.

    15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service. La nuit prochaine, nous travaillons. Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour terminer (en théorie) à 07:00 du matin…

    Arrive l’heure de reprendre le service. Les mines sont fatiguées. Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit de plus en plus sur les visages, comme une écriture. Au rassemblement, la température de la journée est donnée : quelques grenades lancées, beaucoup d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée. En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des véhicules-recueil est active : « sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact. Ils lancent des barres de fer et des pierres. Un de chez nous est touché légèrement. Avons utilisé une dizaine de grenades MP7 [1]. » […] «Deux poids-lourds accidentés à cause de blocs de béton sur les voies rapides. Les avons dégagés. Demande renfort de 2 véhicules».

    Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté. Il lance des balles de caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très réglementée et contraignante. Il nous est rappelé également que dans le cadre de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo !