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  • Effroyable prédiction de Poutine concernant l’Europe et la crise des migrants

    Vladimir Poutine a présenté deux voies possibles pour l’Union Européenne par rapport à la crise des migrants
    L’une d’elle serait de défendre par la force physique et l’armée les frontières de Schengen, la deuxième serait de laisser venir les migrants clandestins et avec eux des terroristes, ce serait alors la fin de l’Union Européenne ce qui pourrait induire/amener la troisième guerre mondiale et même un nouvel holocauste. 
    Selon le président russe, le plus important serait d’en finir avec l’arrivée des migrants au sein de l’UE et de dire clairement aux migrants, par les dirigeants de l’UE, de cesser de venir en Europe car ils seront rejetés.
     « Si les politiciens de l’UE ne se réveillent pas à temps, en moins d’une année l’enfer se déchaînera en Europe
    Pour les migrants qui fuient la guerre, ils devront être gardés dans des camps de réfugiés en Turquie jusqu’à ce que la guerre soit finie Syrie. 
    Selon Poutine, si les politiciens de l’UE ne se réveillent pas à temps, en moins d’une année l’enfer se déchaînera en Europe. 
     
     

  • Les trois leçons de Cologne (article paru dans L’Action Française n°2925 du 04 février 2016)

    En un mois, les agressions sexuelles de Cologne ont plus fait “bouger les lignes” que n’importe quel discours de bon sens sur l’incapacité de l’Europe à réellement supporter un afflux massif d’immigrants. Un symbole a chassé l’autre, et le corps précis d’Aylan Kurdi a été balayé par mille ombres allemandes, qui ont fait de Cologne le visage brumeux et nocturne du danger migratoire. Cologne a tout d’abord permis de dresser, à charge et à décharge, le véritable portrait de l’immigration. Ensuite, Cologne a permis de mettre à jour les contradictions des humanistes, écartelés entre deux causes. Enfin, les nations européennes, et l’Union elle-même, ont révélé leur incapacité à traiter de façon cohérente et unanime le problème. Trois leçons majeures.

    1) Révélations

    Les agressions sexuelles de Cologne ont eu un effet de dévoilement extraordinaire à plusieurs niveaux, en faisant voler en éclats le mythe d’un “immigré bon sauvage”, fuyant un mal dont il n’était que l’innocente victime, apportant à l’Occident le trésor de son cœur et de sa science, en pointant du doigt l’étrange traitement médiatique et politique du phénomène. Quel est le portrait du vrai migrant ? Les immigrés présents en Allemagne sont majoritairement des hommes, musulmans, seuls ou isolés, qui ont laissé leur famille derrière eux (ils n’ont pas droit au regroupement familial tant que nombre de formalités ne sont pas remplies), venus surtout pour des raisons économiques (le site Atlantico déclare que « selon l’agence Frontex, 60 % des migrants arrivés en Europe en décembre 2015 sont des migrants économiques et non des réfugiés politiques ») – et donc venus de pays qui n’ont rien à voir avec des zones de guerre. Pour dédouaner les Syriens des agressions, l’Allemagne a ainsi révélé que nombre d’immigrés interrogés ou arrêtés étaient en fait algériens ou marocains, ce qui au passage écorne le mythe d’une intégration réussie. Car que se passe-t-il à Düsseldorf, juste à côté de Cologne ? Le quartier dit du “Maghreb” recèle des bandes criminelles, qui sévissent aussi à Dortmund et Essen, et dont les membres viennent du Maroc et de l’Algérie. Un quartier où la présence des Maghrébins date des années soixante-dix… Un quartier criminogène : « à Düsseldorf, 40 % des jeunes Marocains et Algériens deviennent criminels au cours des douze premiers mois de leur séjour en Allemagne, contre 0,5 % pour les Syriens » (Libération, citant l’étude “Casablanca” de la police de Düsseldorf, menée en 2014).

    Bref, un immigrant n’est pas d’emblée un citoyen comme un autre par le seul fait qu’il réside en un endroit : il apporte avec lui toute (la richesse de) sa culture, qui n’est pas celle de son lieu de résidence – sauf à habiter dans des ghettos (et encore). On s’en doutait, mais pourquoi diable cet argument est-il aujourd’hui brandi pour absoudre les immigrés ? Il y a désormais, officiellement, une sociologie différente de l’immigré allemand. Il n’est plus cette statuette vertueuse et désirable, il a repris un poids de réalité conséquent. Le voilà mal intégré, désireux de faire venir sa famille, qui l’a envoyé en mission pour ce faire dans une perspective d’immigration économique sociale. Le voilà ghettoïsé, volontairement ou non. Le voilà clandestin et malfaiteur, volontairement ou non. Le voilà inadapté. Les journaux le découvrent, le révèlent, le considèrent avec étonnement, et même un peu d’indignation. Les politiques sont surpris, et déclarent, dans les villes, les régions et les pays, qu’il lui faut bien se comporter ou qu’il devra repartir (car l’immigré se retrouve nanti d’un pays d’origine, bien identifié, facilement repérable). Le voilà individualisé, en somme : là où Aylan avait réussi à indifférencier tous les immigrants, les viols de Cologne ont réussi à leur rendre leur individualité, à fragmenter les représentations. Désormais, il y a les intégrés et les autres, les coupables et les innocents, les hommes et les femmes, les légaux et les clandestins, les désirables et ceux dont on ne veut plus. Le temps de l’illusion économique et morale est fini. [....]

    Pour lire la suite, acheter l’Action française 2000 au numéro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-trois-lecons-de-Cologne

  • Retour vers la Quatrième République...

    Le remaniement ministériel de jeudi est l'exemple même de ce qu'il aurait fallu éviter si l’État et la politique voulaient garder quelque crédit aux yeux de nos concitoyens... Il n'a été, en définitive, que le retour assumé par le chef de l’État aux us et coutumes de la Quatrième République, défunte de ses errements (et de ses principes aussi) en 1958, et que nos socialistes molletistes (référence à Guy Mollet, et non aux œufs du même nom...) contemporains semblaient regretter au point, pour le président de la République, de ne gouverner que par « ententes et compromis ». Ainsi, l'entrée au gouvernement d'un radical de gauche, dont la qualité politique principale est surtout d'être le dirigeant d'un vieux parti-témoin de la République, et celles de présumés écologistes qui confondent « remaniement » et « reniement » (en particulier Mme Cosse, exemple caricatural de l'arrivisme et de la combinaison), montrent bien l'ampleur de l'hypocrisie d'une certaine Gauche dont les principes sont grands et la vertu, elle, bien petite...

    Dans l'opinion publique, et je parle aussi de celle qui ne se contente pas de s'exprimer dans les urnes, c'est, non pas l'incompréhension, mais plutôt ce désaveu méprisant à l'égard d'une classe politicienne qui, visiblement, n'entend rien et ne veut rien comprendre : alors que l'on demande des hommes d’État, il n'y a que des individualités et des calculateurs... La faute à ces derniers, ou, bien plutôt, la faute à un régime qui, au-delà de quelques uns de ses serviteurs qui sont aussi bons commis (dans le sens honorable du terme) du Bien commun, oublie le sens même de l’État et de son service ?

    Si le général de Gaulle, issu d'une tradition monarchiste pour laquelle il importait d'abord de servir et non de « se » servir, avait voulu en finir avec la Quatrième République, c'était pour restaurer l’État et le libérer de la pression des partis et, au-delà, de la Finance, cette « fortune anonyme et vagabonde » qu'il exécrait au plus haut point. Son jugement à l'égard du dernier président de la Troisième République, Albert Lebrun, pour lequel il éprouvait « compassion et cordialité », serait sans doute encore plus sévère à l'égard de nos politiciens et gouvernants actuels que cette simple reconnaissance désolée qui condamnait l'ancien « fantôme de la Troisième République » et, plus encore alors, cette dernière disparue dans la défaite de juin 1940 : « Au fond, comme chef de l’État, deux choses lui avaient manqué : qu'il fût un chef ; qu'il y eût un État », soupirait de Gaulle...

    En somme, en quelques mots et en restant poli à l'égard de ceux qui occupent la tête de ce « semble-État » qu'est devenue la Cinquième République, tout est dit : pour hier, certes, mais encore plus, désormais, pour aujourd'hui...

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Les Républicains et la loi Taubira : petit résumé

    LR tient aujourd'hui son Conseil National. Luc Chatel, qui avait introduit l''idéologie du genre à l'école, a été élu à 55% président du conseil national, fonction honorifique abandonnée fin 2015 par Jean-Pierre Raffarin. Il était opposé à Michèle Alliot-Marie.

    Un lecteur nous propose un petit résumé de la position des candidats déclarés à la primaire LR (pour mémoire, il n'est pas besoin d'être membre du parti pour voter à cette primaire) :

    LesCandidatsLoiTaubira

    Michel Janva

  • Au Soudan un esclave chrétien coute 300 euros, une fillette 250 euros.

    KTO du 03/02/2016.

    ” Au Soudan, un garçon peut coûter 300 euros, une fillette, 250 ” rapporte le père Antonio Aurelio Fernandez, président de Solidarité Internationale Trinitaire. Cet organisme, fondé en 1999 par les Pères Trinitaires, soutient les personnes persécutées dans le monde à cause de leur foi, notamment les enfants soudanais chrétiens vendus par des marchands d’esclaves islamiques. Il vient nous livrer son témoignage dans Eglises du Monde. Une émission réalisée en partenariat avec l’Aide à l’Eglise en Détresse.

    Pour comprendre l’histoire tragique du Soudan où les chrétiens du sud ont dû lutter pendant 30 ans pour résister à l’islamisation depuis l’imposition de la charia en 1983, regarder ces deux autres émissions 1 et 2.

    http://islamisation.fr/2016/02/05/au-soudan-un-esclave-chretien-coute-300-euros-une-fillette-250-euros/

  • Valls 3 : c’est parti pour le dernier tour !

    C'est le dernier remaniement du quinquennat. François Hollande vient d’annoncer la nomination de Jean-Marc Ayrault au ministère des Affaires étrangères, en remplacement de Laurent Fabius. Celui qui avait été éjecté de son siège en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Jean-Marc Ayrault, reprend des galons en étant nommé ministre des Affaires étrangères, poste abandonné par Laurent Fabius qui devient président du Conseil constitutionnel. Ce qui est extraordinaire en politique, c’est que tous les sièges sont éjectables mais qu’il est toujours possible de revenir et dans de meilleures conditions, surtout si vous avez accepté de partir avec fair-play.

    Absents du précédent gouvernement, les écologistes signent un retour remarqué avec Emmanuelle Cosse, Jean-Vincent Placé nouveau secrétaire d'Etat chargé de la Réforme de l'Etat, et Barbara Pompili qui devient secrétaire d'Etat chargée des Relations internationales sur le climat. Quelques petits nouveaux auront à faire leurs preuves.

    Le nouveau gouvernement Valls compte 38 ministres et secrétaires d'Etat, en plus du Premier ministre, contre 32 dans le gouvernement précédent. Le gouvernement souligne la parité (quel intérêt ?) : 19 hommes, 19 femmes. La parité est aussi respectée au niveau des 18 ministres et 20 secrétaires d'État. Applaudissez, c’est le moment : et une fois encore puisque tous ces élus ont été choisis pour leur expérience. Autrement dit, avant ? bien que royalistes, il nous faut nous intéresser à la politique politicienne républicaine de notre pays, pour ne pas nous laisser rouler dans la farine, même de haute qualité. En sachant que seules leurs carrières comptent, si éphémères soient-elles !

    Voici la liste complète du gouvernement Valls III

    Ministre des Affaires étrangères et du Développement international: Jean-Marc Ayrault
    Ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer: Ségolène Royal
    Ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche: Najat Vallaud-Belkacem (hélas, elle est toujours là !)
    Ministre des Finances et des Comptes publics: Michel Sapin
    Ministre des Affaires sociales et de la Santé: Marisol Touraine (impossible de la décrocher)
    Ministre de la Défense: Jean-Yves Le Drian
    Garde des sceaux, ministre de la Justice: Jean-Jacques Urvoas
    Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social: Myriam El Khomri
    Ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales: Jean-Michel Baylet
    Ministre de l'Intérieur: Bernard Cazeneuve
    Ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Fôret, porte-parole du gouvernement: Stéphane Le Foll
    Ministre du Logement et de l'Habitat durable: Emmanuelle Cosse
    Ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique: Emmanuel Macron
    Ministre de la Culture et de la Communication: Audrey Azoulay
    Ministre de la Famille, de l'Enfance et des Droits des femmes: Laurence Rossignol
    Ministre de la Fonction publique: Annick Girardin
    Ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports: Patrick Kanner
    Ministre des Outre-mer: George Pau-Langevin

    Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement: Jean-Marie Le Guen
    Secrétaire d'État chargée de l'Égalité réelle: Ericka Bareigts
    Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification: Jean-Vincent Placé
    Secrétaire d'État chargée de l'Aide aux victimes: Juliette Méadel
    Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes: Harlem Désir
    Secrétaire d'État chargé Commerce extérieur, de la Promotion du tourisme et des Français de l'étranger: Matthias Fekl
    Secrétaire d'État chargé du Développement et de la Francophonie: André Vallini
    Secrétaire d'État chargé Transports, de la Mer et de la Pêche: Alain Vidalies
    Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité: Barbara Pompili
    Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche: Thierry Mandon
    Secrétaire d'État chargé du Budget: Christian Eckert
    Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion: Ségolène Neuville
    Secrétaire d'État chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie: Pascale Boistard
    Secrétaire d'État chargé des Anciens combattants et de la Mémoire: Jean-Marc Todeschini
    Secrétaire d'État chargée de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage: Clotilde Valter
    Secrétaire d'État chargée des Collectivités Territoriales: Estelle Grelier
    Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire: Martine Pinville
    Secrétaire d'État chargée du Numérique: Axelle Lemaire
    Secrétaire d'État chargée de la Ville: Hélène Geoffroy
    Secrétaire d'État chargé des Sports: Thierry Braillard

    Il nous reste à surveiller tous ces élus pour voir ce qu’ils font de leur statut. Il serait de bon ton de les féliciter. Je n’en ai nulle envie et retourne à mes petits moutons.

    Solange Strimon

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/politique/1800-valls-3-c-est-parti-pour-le-dernier-tour