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Bruno Gollnisch souhaite une clarification du FN sur la politique familiale et l’accueil de la vie
Dans un entretien accordé à Charlotte d'Ornellas, Bruno Gollnisch souhaite avant tout une réconciliation totale et générale incluant Marie-Christine Arnautu et Jean-Marie le Pen. En restant membre du Bureau Politique, il souhaite exprimer sa sensibilité en vue d'une clarification des propositions du FN en matière sociétale, sur la politique familiale, l’accueil de la vie ou encore la politique fiscale.
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Documentaire Machines de Mort Engins modernes
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Claude Lévi-Strauss et Mai 68
Qu'aurait pensé Claude Lévi-Strauss de Nuit Debout ?
Pour l'imaginer, voici un extrait du livre De Près et de loin, un long entretien du grand ethnologue avec Didier Éribon.
Claude Lévi-Strauss évoquait dans ce passage mai 68 mais ses propos s'appliquent parfaitement à ce mouvement créé et encadré par l'extrême-gauche qu'est Nuit Debout.
Didier Éribon : Comment avez-vous vécu mai 68 ?
Claude Lévi-Strauss : Je me suis promené dans la Sorbonne occupée. Avec un regard ethnographique. J'ai également participé avec des amis à quelques séances de réflexion. Il y a eu chez moi une ou deux réunions.
D.E. : Mais vous n'avez pas pris position dans le courant des événements ?
C.L.-S. : Non. Une fois passé le premier moment de curiosité, une fois lassé de quelques drôleries, mai 68 m'a répugné.
D.E. : Pourquoi ?
C.L.-S. : Parce que je n'admets pas qu'on coupe des arbres pour faire des barricades (des arbres, c'est de la vie, ça se respecte), qu'on transforme en poubelles des lieux publics qui sont le bien et la responsabilité de tous, qu'on couvre des bâtiments universitaires ou autres de graffiti. Ni que le travail intellectuel et la gestion des établissements soient paralysés par la logomachie.
D.E. : C'était quand même un moment de bouillonnement, d'innovation, d'imagination... Cet aspect-là aurait dû vous séduire.
C.L.-S. : Je suis désolé de vous décevoir, mais pas du tout. Pour moi, mai 68 a représenté la descente d'une marche supplémentaire dans l'escalier d'une dégradation universitaire commencée depuis longtemps. Déjà au lycée, je me disais que ma génération, y compris moi-même, ne supportait pas la comparaison avec celle de Bergson, Proust, Durkheim au même âge. Je ne crois pas que mai 68 a détruit l'université mais, plutôt, que mai 68 a eu lieu parce que l'université se détruisait.
D.E. : Cette hostilité à mai 68 n’était-elle pas une rupture totale avec vos engagements de jeunesse ? [Durant l'adolescence et au début de sa vie d'adulte, Claude Lévi-Strauss a été un fervent socialiste, passionné par Marx.]
C.L.-S. : Si je veux rechercher les traces de cette rupture, je les trouve beaucoup plus tôt, dans les dernières pages de Tristes Tropiques. Je me souviens m'être évertué à maintenir un lien avec mon passé idéologique et politique. Quand je relis ces pages, il me semble qu'elles sonnent faux. La rupture était consommée depuis longtemps.
Didier Éribon, De Près et de loin, Odile Jacob, 1998 ; rééd. 2001, pages 115-117.http://www.ventscontraires.fr/2016/04/claude-levi-strauss-et-nuit-debout.html
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Profanation de Verdun : Du réveil de la mémoire tribale gauloise à la guerre civile
La victoire que représente l’annulation du “concert de rap” prévu le 29 mai par le gouvernement socialiste est un événement très profond qui marque un tournant dans la conscience collective des masses “gauloises” de France.
Certaines personnes – pourtant sympathisantes et quoique réjouies – ont parfois réagi en qualifiant ce point d’inflexion de “petite victoire”. C’est une erreur d’appréciation.
Nous vivons une restructuration complète de l’ordre du monde. Son fait central est la fin de la domination occidentale entamée en 1492 avec la fin de reconquête de l’Espagne par Isabelle la Catholique et la découverte des Amériques par Christophe Colomb. Avec ce reflux généralisé de l’Occident et son “redimensionnement” à l’échelle de son foyer originel, l’idéologie universaliste héritée de l’hégémonie européenne se désagrège à mesure que les populations de souche se retrouvent en situation défensive, combattues par des cultures étrangères hostiles.
Au premier rang desquelles se trouve la “superstructure culturelle” qu’est l’islam invasif.
Les masses de souche européenne, en France, commencent à saisir ce bouleversement en prenant conscience qu’une guerre culturelle se déroule sur le sol de leur pays, portée par des envahisseurs agressifs et conquérants. Les tenants de l’ordre en place – les élites issues de l’ancien monde – accompagnent ce mouvement de colonisation à rebours avec les outils conceptuels de l’ordre révolu. D’où le recours incessant à la pensée magique via le registre moralisant autour des “valeurs de la république” et de son dogmatisme lénifiant.
La mémoire tribale gauloise se ravive
Verdun est la plus grande bataille de toute l’histoire des Français, seulement équivalente de par l’ampleur des pertes à la campagne de Russie menée par Napoléon. Certes la bataille de la Somme dépasse, de par le nombre de morts, celle de Verdun avec 430 000 tués britanniques, français et allemands. Mais la bataille de Verdun n’a impliqué que l’armée française face à l’armée allemande tandis que celle de la Somme mobilisait essentiellement les troupes britanniques. Les Français ont perdu, en 10 mois, 160 000 tués et 200 000 blessés sur un champ de bataille de 25 kilomètres carrés. De par la stratégie adoptée par le général Pétain, la plupart des soldats français ont du passer par cet enfer.
Compte tenu du nombre de victimes, de l’ampleur de la mobilisation et des souffrances inouïes endurées par les soldats, Verdun est devenue un “Golgotha” de la mémoire collective française.
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Significations des Pelerinages - Orages d'acier - 15/05/2016
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Russes meilleurs que les Américains ?
Tandis que l’on entend sur les médias « consensuels » régulièrement les chancelleries de la coalition mettre en garde Vladimir Poutine sur le caractère soi-disant dangereux pour l’issue de la guerre de ses interventions en Syrie, ce sont les chrétiens d’Irak qui ont été chassés de Mossoul et dont pas une famille n’a échappé aux massacres perpétrés par l’Etat Islamique , qui apportent une note discordante à la chanson occidentale. Nous le savions, mais il est intéressant de l’entendre de la part de ceux qui sont aux premières loges.
ODLes chrétiens irakiens suivent de près l’évolution de la guerre en Syrie. « En trois mois, les Russes ont libéré une partie de la Syrie, alors que nous sommes toujours loin de Mossoul » , s’est plaint un prêtre irakien auprès du père Vigneron, après la libération de Palmyre.
Et de citer Mgr Jacques Hindo, évêque de Hassaké, dans le nord de la Syrie : « Depuis que les Russes ont bombardé les combattants de Daech, ceux-ci ont rasé leur barbe et certains se sont même déguisés en femmes pour fuir. »
Situations complexes
Les chrétiens d’Irak ne comprennent pas « l’inefficacité des frappes » de la coalition occidentale en Irak et soupçonnent un double jeu, notamment à cause des liens unissant les États-Unis et la Turquie.
« Les puits de pétrole de Mossoul sont exploités normalement par Daech et le pétrole part par camions citernes à la queue leu leu vers la Turquie » , souligne Rodolphe Vigneron. Quant aux Turcs, ils bombardent les Kurdes, alliés et protecteurs des chrétiens chassés de Mossoul.
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#JEANNE2016 : DISCOURS DE VINCENT VAUCLIN
Voici le texte de l’intervention de Vincent Vauclin lors du rassemblement unitaire en hommage à Sainte Jeanne, le 08 Mai 2016 à Paris.
« Réinventer le Nationalisme »
Mes chers amis, mes chers camarades, merci à tous, merci d’être venu aujourd’hui à ce premier rassemblement unitaire en hommage à Sainte Jeanne, Martyre et Patronne de la Nation.
À l’heure où certains font le choix de la division et du sectarisme, nous avons su montrer, aujourd’hui et grâce à vous, que les patriotes français peuvent se rassembler et parler d’une seule voix, dans l’intérêt supérieur de la France et des Français d’abord.
Je pourrais faire un discours pour évoquer l’épopée héroïque de Jeanne, ses combats, ses espérances, et ses victoires, mais aussi sa fin tragique… Mais ils sont déjà nombreux avant moi à avoir évoqué, souvent avec brio, cette épopée.
Le passé est une source d’inspiration considérable, à condition qu’il éclaire nos choix futurs, qu’il inspire notre combat, qu’il guide nos pas.
Je n’irais pas par quatre chemins : Les défis considérables que nous avons à relever, conjugués aux échecs récurrents qui jalonnent l’histoire du nationalisme français ces 50 dernières années, nous obligent à repenser l’intégralité de notre logiciel, de notre praxis et de notre stratégie. Il n’est en effet plus temps de se contenter de porter le témoignage d’une fidélité, tout à fait louable par ailleurs, à ceux qui nous précédèrent dans ce combat et qui, de fait, ont échoué pour mille et une raisons sur lesquelles il est inutile de revenir.
Si nous voulons véritablement vaincre, agir sur le réel, ce qui est tout de même l’objet de la politique et le sens de notre engagement, nous devons impérativement réinventer notre nationalisme, actualiser les vecteurs de notre militantisme, repenser notre stratégie.
Bref, forger intelligemment une nouvelle force de frappe politique, médiatique, culturelle, et même esthétique, capable de désorienter l’ennemi, de neutraliser son système de défense et de séduire nos contemporains.
Précisons-le d’emblée : il n’est nul besoin pour cela d’accepter de quelconques compromis sur le plan de la doctrine ni de céder aux sirènes du politiquement correct, dans l’espoir naïf qu’une simple « dédiabolisation » suffirait à rendre nos aspirations audibles et notre victoire acquise.
Il s’agit au contraire d’affirmer haut et fort la cohérence de notre radicalité sous des formes nouvelles et adaptées à l’époque. Car la modernité est passée, qu’on le veuille ou non, et rien ne semble aujourd’hui capable de la contenir, et certainement pas des incantations figées ni des attitudes éculées venant d’une époque définitivement révolue.
Nous ne sommes ni des vétérans du 6 Février 34, ni des anciens de la Division Charlemagne, ni de vieux briscards de l’Algérie Française. Il ne s’agit pas de vivre dans une mythologie passéiste, muséographique et sclérosante, mais au contraire de forger notre propre mythologie militante, en partant à la fois de ce qui nous a précédé, mais aussi de ce que nous sommes, de ce que nous voulons, et de ce que nous faisons, ici et maintenant.
Nous sommes les enfants d’une France déclassée, vacillante au bord de l’abîme, nous sommes la génération sacrifiée, frappée par le chômage et la précarité, abrutie par la télévision, la drogue, et l’idéologie libertaire, livrée pieds et poings liés à la mondialisation libérale et au cosmopolitisme niveleur.
Mais nous sommes aussi la génération connectée, résolument tournée vers l’avenir, pétrie de paradoxes et d’espérances, aspirant à une rupture profonde et parfaitement capable de renverser la table, d’imposer ses codes, d’inoculer au corps social une nouvelle vision du monde pour redresser notre pays.
Nous sommes à l’avant-garde d’une révolution conservatrice inéluctable dont il s’agit de précipiter l’avènement, en domptant pour les réorienter tout ce que la modernité a pu utiliser comme vecteurs.
Ainsi est-il essentiel de décloisonner le milieu nationaliste français, quitte à bousculer ses conservatismes et à brusquer certains de ses représentants autoproclamés qui depuis trop longtemps confinent leurs groupes respectifs dans une prostration folklorique aussi inefficace que sectaire, en décalage total avec le réel et les aspirations de notre génération.
Je pose la question : Qui d’autre que nous, pour renouveler notre combat ? Qui d’autre que nous, pour innover, pour opposer une alternative véritable à la tyrannie des partis, des loges et des lobbies ? Personne évidemment, nous sommes en première ligne.
C’est tout le sens de notre présence ici aujourd’hui : la figure de Jeanne d’Arc n’est pas le symbole d’un passé poussiéreux, et ne doit pas être l’objet de simples récupérations politiques à courte vue. Car pour nous, Jeanne incarne l’espérance, et l’offensive de la jeunesse indomptée, elle incarne la rupture et le défi lancé à l’Histoire. Jeanne est le symbole de l’insoumission Française, de notre fierté nationale.
Et aussi longtemps que nous combattrons, Jeanne vivra à travers nous.
Je vous remercie.
Vive la France, et Vive la Dissidence Française !
En vidéo :
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L'art contemporain, cette logorrhée architecturale qui inonde nos villes
Paris, ça vaut le détour, principalement pour les touristes qui peuvent s’émerveiller de son patrimoine millénaire. De la Sorbonne, en passant par Notre Dame, Le Louvre, la Tour Eiffel, le Panthéon etc...Le Panthéon, parlons-en, cette ancienne église dans laquelle l’État met désormais à l’honneur les grands hommes à qui la Patrie est reconnaissante ; essentiellement les grands hommes du compas et de l’équerre ; se voit affublée, durant sa rénovation, d’un horrible chapeau en tissu. Une grande toile illustrant bien la débilité de cette Mairie de Paris collabo trois points. Victoire ! Le projet débile a bien eu lieu : un photographe a pris mille visages en photos, et à la place d’un bâtiment pluri-centenaire, vous pouvez dorénavant admirer la tronche de la France multiculturelle.Mais on s’en fout ! Y’a que des gros cons bobos pour faire preuve de bons sentiments bas de gamme. Alors que les fractures françaises (cf Christophe Guilluy) ne cessent de s’agrandir, que les cyclistes et piétons préfèrent les casques audio pour ne pas avoir à se mélanger, que les relations sont aujourd’hui plus suivies par Internet qu’au bistrot, vous croyez vraiment qu’on a à foutre quelque chose de ce mille-feuilles de tronches de la « diversité » qui vous épie ?Si les Français croyaient vraiment à une communauté black-blanc-beur-jaune-amour-pétard-métissage, il ne serait pas nécessaire de les forcer à regarder ce projet de merde. Encore une propagande avortée, une fausse bonne idée des vomisseurs de bons sentiments qui pensent que, mélange sociétal et partouze dans leur 100m² du Marais, ont la même signification.En parlant de sexe, juste à côté du déversoir multiculturel temporaire du Panthéon, vous pouvez apercevoir une statue de gros bonhomme noir nu, devant lequel tant de touristes nunuches aiment prendre la pause; c’est vrai que poser devant la bite d’une statue difforme d’art moderne, c’est tellement plus classe que de prendre en photo le Panthéon ou la Sorbonne (plus vieille faculté d’Europe donc l’une des plus vieilles au monde).Cet art contemporain, cette logorrhée architecturale qui inonde nos villes, tels des WC bouchés après une gastro-entérite, il y en a malheureusement trop. Les Halles de Paris, le Quai Branly ou encore Beaubourg...Après avoir trop réfléchi à une réhabilitation possible de ces verrues urbaines, une solution m’est apparue. A l’ère du développement durable et du recyclage il n’est pas possible d’envisager la destruction pure et simple de ces épouvantails hors-sol. Il faut réhabiliter encore et toujours. Non loin du quartier parisien que nous appelons aujourd’hui encore « Beau-bourg », défiguré par l’œuvre d’un plombier accro aux champis, se dressait le gibet de Montfaucon, édifice de salut public. Ce gibet pouvait accueillir jusqu’à 50 pensionnaires et permettait de détendre un peu ceux qui auraient été tentés par la fauche le meurtre ou l’arnaque. Ce qu’on appelait la dissuasion…L’idée est simple, pourquoi ne pas réhabiliter le Centre Georges Pompidou en y pendant autour les enculés en tout genre ?1/ On dissuade ainsi les criminels que la justice actuel encourage par son laxisme;2/ On punit les corrompus et ceux qui ont les yeux plus gros que le ventre (à l’époque, les trésoriers et surintendants des Finances avaient souvent une cravate en corde à leur nom) ;3/ On associe l’ignoble de la pendaison à l’art contemporain, histoire de le remettre à la place qui lui est due, c’est-à-dire le dégueulasse.L'équipe d'Orages d'acierLien permanent Catégories : actualité, culture et histoire, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
Pourquoi Sens Commun demeure-t-il au sein des Républicains?
Damien Lempereur, proche de Nicolas Dupont Aignan, se demande dans une tribune si la place de Sens Commun est vraiment au sein des Républicains. Il imagine sans doute que son mouvement politique Debout la France pourrait accueillir ces forces vives. Extraits de sa tribune :
"(...) Il n'en reste pas moins que le cri de Madeleine Bazin de Jessey, s'il résonne dans le champ métapolitique, aura bien du mal à influencer la ligne de son propre parti (...) Quelques jours après avoir découvert dans le livre de Nicolas Sarkozy que ce dernier s'asseyait joyeusement sur les engagements pris devant elle et les militants de Sens Commun,on comprend que Madeleine Bazin de Jessey ait manifesté sa protestation. Trop, c'était décidément trop.
Mais cette révolte pourtant légitime ne se bornera qu'à prendre date dans une tribune. C'est tout le drame et toute l'impasse de Sens Commun. En effet, qui sont - par exemple - les candidats à la primaire qui défendent aujourd'hui les idées portées par ce mouvement? Je ne prendrai même pas la peine d'évoquer les candidats «favoris», Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, François Fillon ou Bruno Le Maire (...). Nathalie Kosciusko-Morizet n'a quant à elle jamais (...) été une adversaire acharnée des évolutions sociétales promues par la «gauche» depuis l'élection de François Hollande. A contrario, Hervé Mariton a certes été le porte-parole talentueux au Parlement de la Manif pour tous, mais il est aussi un atlantiste assumé et un européiste acharné. En clair, il chérit les causes des conséquences qu'il pourfend à longueur de journées - et de gilets. Il reste Jean-Frédéric Poisson, député honnête et courageux, mais dont l'assise politique le condamne à jouer un rôle d'alibi conservateur au sein d'une primaire biaisée.
Pourquoi Sens Commun demeure-t-il par conséquent au sein des Républicains? Son rôle affiché n'est-il pas de faire bouger les lignes sur le plan politique après l'avoir fait sur le plan idéologique? La stratégie consistant à peser à l'intérieur de l'ex-UMP est évidemment vouée à l'échec. Avant même que la campagne présidentielle ne débute, Madeleine Bazin de Jessey et ses amis ont déjà l'assurance qu'ils seront floués s'ils s'engagent derrière le candidat Les Républicains qui sera désigné. C'est d'ailleurs le rôle des primaires: donner une impression de démocratie pour au final ramener tout le monde à la niche européiste et libertaire. En clair : privatiser le premier tour de l'élection présidentielle .
Il est pourtant l'heure! Chaque jour nous rapproche d'une recomposition politique qui devra concerner tous les patriotes de bonne volonté.Regardez bien autour de vous, chère Madeleine Bazin de Jessey. Il en est qui pourraient être des interlocuteurs plus ouverts à votre combat que ceux qui ne voient dans Sens Commun que l'opportun flotteur droit d'un parti finalement voué à jouer la présidentielle au centre. Vous pourriez participer à renverser la table politique. Celle-là même à laquelle vous préférez pour le moment être tranquillement attablée."
Même si son analyse des primaires LR est assez réaliste, Damien Lempereur devra être plus persuasif pour réaliser son hold-up au profit de NDA. Il faudrait déjà rendre plus dynamique et crédible le collectif Debout les familles et surtout clarifier le positionnement de Debout la France dont le candidat, Nicolas Dupont Aignan, qui justifiait son absence à la manifestation du 13 janvier 2013 de manière bien peu convaincante, ne peut être considéré ni comme un candidat pro-vie ni comme un candidat pro-famille comme le montre ce post.
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