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  • Génération identitaire dans la rue le samedi 28 mai à Paris

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    Les militants de Génération identitaire seront dans la rue le samedi 28 mai à Paris. Génération identitaire appelle en effet à une manifestation autour du mot d’ordre : « On est chez nous ! »

    Dans un communiqué, l’organisation explique :

    « L’année 2015, entre attentats islamistes et invasion migratoire, a marqué un tournant dans l’histoire contemporaine de notre pays. Depuis trop longtemps, les Français se taisent, sont petit à petit remplacés, et meurent sous les balles d’enfants de l’immigration. Il est temps d’afficher notre détermination à continuer à vivre sur notre terre, selon nos lois, nos valeurs, dans le respect de notre identité. Face à l’urgence, l’heure n’est plus à l’attentisme. Montrons au pouvoir socialiste que les Français sont toujours là, et que l’on est encore chez nous ! »

    Le rendez-vous est fixé le 28 mai place Monge, à partir de 15 heures.

    http://fr.novopress.info/

  • Retour sur le colloque « Je suis royaliste, pour quoi pas vous ? » de l’Action Française

    Le colloque de l’Action Française, le samedi 7 mai dernier, a réuni plus de 500 participants. Il proposait un débat de haute volée entre royalistes avisés et républicains intelligents.

     

    On pouvait compter parmi les 20 invités le constitutionnaliste Frédéric Rouvillois, le rédacteur en chef du service politique de Valeurs actuelles Geoffroy Lejeune, le philosophe Yves-Marie Adelein, le député Marion Maréchal-Le Pen, le maire de Bézier Robert Ménard (en duplex) et le vice président de Debout La France Dominique Jamet.

    Lors d’une première table ronde ont été abordés les constats et l’analyse des causes de la crise du système actuel, avec l’élargissement du fossé entre le pays légal et le pays réel comme l’avait prédit Charles Maurras en son temps. L’Homme révolté de 1789 a-t-il accouché d’un Homme libre ? La crise anthropologique est-elle irrémédiable ? Peut-on vivre la « fraternité » dans une société qui a tué le(s) père(s) ? Que reste-il du lien État-Nation ? [....]

    La suite sur Le Rouge & Le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Retour-sur-le-colloque-Je-suis

  • François Hollande et Nicolas Sarkozy ont tous les deux promis d'inverser la courbe du chômage

    La campagne électorale de 2017 risque d'être difficile pour François Hollande et Nicolas Sarkozy avec de telles traces vidéos rassemblées par Marianne :

    "Inverser la courbe du chômage, la promesse est devenue emblématique de son quinquennat. Et pourtant, voici ce que dit aujourd'hui à ce sujet François Hollande, qui était l'invité ce mardi 17 mai de la matinale d'Europe 1 :

    "(...) moi je ne vais pas faire des prophéties, c'est une bataille, c'est un combat (...) La bataille n'est pas gagnée, elle ne le sera que lorsqu'on aura sur plusieurs mois une baisse continue du chômage et ça serait tout à fait téméraire, prétentieux et presque mensonger de dire : 'Ecoutez, on a presque 1,5% de croissance au maximum en 2016 et on va pouvoir diminuer massivement le chômage'. Non, ce sera une bataille".

    AH BON ? Il serait donc mensonger d'affirmer qu'avec "seulement" 1,5% de croissance (prévue en 2016, soit la meilleure perspective depuis 2012), une diminution massive du chômage est exclue ?! Pourtant, la prévision de croissance pour 2013 n'était que de 1,2% quand le président Hollande avait lâché cette phrase sur TF1 le 9 septembre 2012 : "Je pense que nous devons inverser la courbe du chômage d'ici un an". Un objectif qu'il avait maintenu en mai 2013, comme le rappelle notre vidéo ci-dessous.

    Quant aux "prophéties" dont il se garde aujourd'hui, il avait lui-même lâché celle-ci le 24 avril 2012, dans la dernière ligne droite avant la présidentielle au 20 heures de TF1 : "Moi je dis que la courbe du chômage s'inversera"… Mais ces archives, le candidat qui a de plus en plus de mal à se cacher aimerait sans doute les voir disparaître avant 2017 - tout comme un certain rival…


    Quand Sarkozy et Hollande promettaient de... by Marianne2fr

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/fran%C3%A7ois-hollande-et-nicolas-sarkozy-ont-tous-les-deux-promis-dinverser-la-courbe-du-ch%C3%B4mage.html

  • « Ordre moral nauséabond »…

    L’événement a frappé les esprits, c’était un magistral coup de communication, une manifestation de force tranquille, une affirmation d’appartenance à une civilisation face à la barbarie. Nous parlons bien sûr du concert de musique classique  voulu par Vladimir Poutine et Bachar el Assad, qui s’est déroulé le 5 mai dans la ville antique de Palmyre, libérée fin mars de l’occupation sanglante des brigades internationales djihadistes. Valéri Guerguiev, ami du président russe, mais surtout chef  d’orchestre mondialement (re)connu, directeur du théâtre Mariinski, qui a souvent organisé des concerts dans des lieux ravagés par la guerre ou  sinistrés par des catastrophes naturelles  était à la baguette. La lumière de Bach, Chtchedrine, Prokofiev comme antidote à l’hiver islamiste, à la nuit mondialiste…

    Russie qui est pourtant toujours dans le collimateur des progressistes qui lui reproche (aussi) sa défense et son respect des valeurs patriotiques et qu’ils ont voulu punir à travers le concours de l’Eurovision. Il a été  remporté samedi par l’Ukraine, via la chanteuse Jamala, et sa chanson « 1944″. La  jeune femme,  une musulmane de Crimée, appartenant à l’ethnie turcophone Tatar,  y évoque les persécutions (bien réelles)  subies par les Tatars sous Staline, déportés en Asie centrale car accusés de collaboration avec l’envahisseur allemand. Une Crimée rattachée arbitrairement, par  un décret de Khrouchtchev, à l’Ukraine en 1954  mais revenue comme le voulait l’écrasante  majorité de ses habitants – ils  l’ont dit par référendum– dans le giron de la Russie en 2014.

    Les Tatars (injustement traités par Moscou  selon  le Parlement européen et les Etats-Unis…) ne partagent pas le sentiment pro-russe des  habitants de la Crimée et la récompense donnée à Jamala est bien évidemment un message politique. Le site Sputnik l’assure, dans les faits c’est le chanteur représentant  la Russie, « Sergueï Lazarev, qui était d’ailleurs le favori annoncé du concours », qui a « (remporté) le vote du public européen. Mais le vote du jury, si on peut parler de jury (fut) tout autre. Au final, c’est la représentante ukrainienne qui (a remporté)  le concours alors qu’elle n’a pas gagnée ni au niveau du public, ni même au niveau de ce fameux jury (deuxième dans les deux cas) avec une chanson ouvertement politisée (…). Les organisateurs de l’Eurovision ont donc violé une autre règle du concours: celle qui interdit toutes chansons politiquement engagées. »

    « Une victoire donc tirée par les cheveux et arrangée vraisemblablement par le clan des désireux de récompenser les élites ukrainiennes pour leur bon travail dans l’intégration atlantiste. » En terme d’intégration –à la pensée dominante, au politiquement correct- le ministre de  la Culture,  Audrey Azoulay  n’est pas la dernière.  Samedi, lors de son passage au Festival de  Cannes,  elle a dénoncé   « un ordre moral nauséabond »,  responsable de  l’annulation d’un concert du rappeur Black M, en marge de  la cérémonie de commémoration de la bataille de Verdun (voir notre article publié hier).

    « N’acceptons jamais cela. Ce n’est pas la première fois que l’autocensure succède à ces coups de forces inacceptables. » « Les démocraties en Europe sont confrontées à la violence, à la montée de l’extrême droite, à la radicalisation d’une partie de leurs enfants, à la radicalisation aussi du débat public (…). Il est important, ici à Cannes, de réaffirmer nos valeurs et de défendre la liberté de création » a affirmé Mme Azoulay devant un parterre de professionnels du cinéma.

    Valeurs au nombre desquelles figurent bien évidemment le respect dû aux femmes, la lutte contre les violences dont elles sont victimes, et plus encore,  la dénonciation de  la pédophilie,  valeurs cardinales de la gauche ( ?), mais qui  sont mises sous le boisseau quand les circonstances l’exigent.  La semaine dernière, le  maître  de  cérémonie  lors de l’ouverture du festival,  l’acteur de la Comédie française Laurent Lafitte, a fait  scandale par cette pique  prononcée en présence et à l’intention  de   Woody Allen:  « Ça fait plaisir que vous soyez en France parce que ces dernières années vous avez beaucoup tourné en Europe, alors que vous n’êtes même pas condamné pour viol aux Etats-Unis. »

    Une allusion directe à deux affaires sordides qui collent aux basques de deux chouchous dumicrocosme.  A savoir le binational franco-américain  Roman Polanski,  accusé en 1977 de crime sexuel sur une mineure de 13 ans,  Samantha Geiger, préalablement droguée. Incarcéré pendant un mois et demi, libéré sous caution avant son jugement aux Etats-Unis, le cinéaste  s’était  réfugié en France qui a refusé de l’extrader. M. Polanski avait accepté de plaider  coupable pour rapports sexuels illégaux avec une mineure  contre l’abandon des charges  de viol, de sodomie, de fourniture d’alcool et de drogue.

    Quant à Woody Allen (M. Lafitte a dit ensuite qu’il n’était pas au courant…) c’est l’actrice Mia Farrow, qui a partagé  la vie du cinéaste  jusqu’en 1992,  qui a  affirmé que  sa  fille adoptive,  Soon-Yi Previn,  avait eu des relations sexuelles  avec ce dernier, lequel  a fini par l’épouser en 1997 malgré leur 35 ans de différence d’âge.  Surtout, l’autre  fille adoptive du couple, Dylan Farrow,  a dénoncé  en 1992, 21 ans après les faits,  les abus sexuels dont elle aurait  été  victime de la part de Woody Allen, qui l’aurait violé  quand elle avait  sept ans.  Le Bulletin d’André Noël rapporte  les propos de  Dylan Farrow: Il y aura des conférences de presse, et un tapis rouge que mon père va fouler avec sa femme (ma sœur) (Soon-Yi Previn). Il va avoir ses stars à ses côtés (…). Ils peuvent faire confiance à la presse pour ne pas leur poser de questions dérangeantes. Ce n’est pas le moment, ce n’est pas l’endroit, ça ne se fait pas. »

    « Quelle fut la réaction de l’auditoire à Cannes en présence du nouveau ministre de la culture? Lafitte fut sifflé et quelques jours plus tard, il a dû s’excuser pour avoir rappelé des faits connus, mais dont on ne doit pas parler, comme le dit le fils de Woody Allen. » « La notoriété et le talent de ceux qui les commettent leur assurant l’immunité et la bienveillance du pouvoir politique et médiatique. »  « Parmi ceux qui ont hué Laurent Lafitte, il y avait des politiques et des journalistes qui demandent qu’on en finisse avec le harcèlement sexuel et exigent que toute la lumière  soit faite sur leurs agissements, tout comme ils condamnent la pédophilie. Tartuffe pas mort. »

     On le voit, poursuit cet article, évoquant l’affaire Baupin, Sapin, les 17 anciennes ministres qui  ont signé une tribune dans le JDD pour dénoncer le harcèlement sexuel, « ce sont-là des faits autrement graves que le harcèlement sexuel, baisers volés et mains baladeuses, dont des femmes adultes sont victimes, ce qui est évidemment condamnable (…). Mais il n’est pas question de ces femmes qui, dans le monde politique et journalistique, ont usé et usent de leurs charmes pour obtenir tel ou tel poste ou autre… prébende : elles sont connues, pour la plupart d’entre elles, de la classe politico-médiatique. Cela, certes, ne dédouane pas pour autant les hommes harceleurs mais rappelle simplement que le vice n’est pas l’apanage des hommes et la vertu le monopole des femmes. »

    Une évidence, de même que  le vice, les harcèlements, les comportements de prédateurs ne sont  pas  le  monopole  de certains grand bourgeois,  politiciens,  ou stars du septième art. C’est aussi en substance ce que rappelait Florian Philippot lundi sur I télé,  en évoquant le cas du fondamentalisme islamique. Il ne s’agit pas d’affirmer stupidement que tous les musulmans, les immigrés non européens ont un comportement déplacé,  non respectueux, répréhensible avec les femmes européennes. Mais il est évident que l’islamisme radical est une menace particulièrement directe, en Europe même, sur la liberté des femmes. De même, plus largement constate Bruno Gollnischl’immigration massive impose dans certains quartiers,  notamment aux jeunes Françaises,  certains codes vestimentaires, une  limitation de leur liberté de circulation, un couvre-feuImmigration-invasion qui est aussi responsable  d’une explosion des  violences faites aux femmes. Encore un sujet  tabou qu’au nom de son idéologie du vivre-ensemble, multiculturaliste  et immigrationniste, l’ordre moral nauséabond du Système (s’) interdit d’évoquer.

    http://gollnisch.com/2016/05/18/ordre-moral-nauseabond/

  • Attentats du Bataclan : “Je suis dégoûté, les Français ne blâment pas l’islam, ils ont plus peur que je promeuve la xénophobie” (Chanteur des Eagles of Death Metal)

    Jesse Hughes, le chanteur du groupe qui se produisait au Bataclan lors de l’attaque terroriste du 13 novembre,  se déclare catholique, il est pour le port d’arme, pour Trump et pour le droit à la vie.
    Ne s’embarrassant pas de politiquement correct, il se livre dans une interview sans fard (et dans un langage très fleuri) à Takimag, dont voici quelques extraits :

    « Un jour après, au stade, les musulmans ont sifflé la minute de silence et nous n’en avons pratiquement pas entendu parler dans la presse. J’ai vu des musulmans faire la fête dans la rue pendant les attaques. Je l’ai vu de mes propres yeux. En direct ! Comment savaient-ils ce qui se passait ? Il devait y avoir une coordination. » […]

    « J’ai été à Paris après les attaques et j’étais dégoûté de voir le manque de colère. Ils ne blâmaient pas l’islam. En fait, beaucoup blâmaient les juifs. Ils semblaient beaucoup plus inquiets à notre sujet, de peur que nous fassions la promotion de la xénophobie, que blâmer les terroristes. » […]

    « Ils savent qu’il y a tout un tas de gosses blancs là qui sont stupides et aveugles. Vous avez ces jeunes blancs qui vivent bien, qui ont grandi dans un environnement gauchiste depuis la maternelle, inondés de notions pompeuses qui ne sont que du vent. Regardez où ça les mène maintenant.»

    Par ailleurs, Jesse Hughes renouvelle ses assertions selon lesquelles les terroristes ont bénéficié de la complicité d’agents de sécurité du Bataclan, et ont cherché à épargné les musulmans présents.

    Traduction et entretien complet : Breizatao

    http://www.contre-info.com/attentats-du-bataclan-je-suis-degoute-les-francais-ne-blament-pas-lislam-ils-ont-plus-peur-que-je-promeuve-la-xenophobie-chanteur-des-eagles-of-death-metal

  • Jusqu’où faudra-t-il descendre dans l’abjection ?

    Dr Bernard Plouvier

    Il y a quelques années, un premier ministre de la VeRépublique, le socialiste Lionel Jospin faisait l’apologie des mutins de 1917, sans trop réfléchir aux conséquences des actes de ces nobles consciences si le mouvement s’était généralisé, en un moment où l’armée allemande était encore puissante et fort motivée. On peut comprendre que la tradition pacifiste et antimilitariste des Jospin s’exprime de façon privée. Le faire publiquement, lorsqu’on est aux affaires demande à la fois plus de subtilité, davantage de connaissances historiques et sociologiques, en un mot : de réflexion.

    On pouvait préférer un Mitterrand qui, en dépit de ses innombrables tares, refusait de souiller l’État dont il avait la charge en lui reconnaissant la moindre responsabilité dans la Shoah… il fallut attendre Chirac pour que l’on assiste à cette ignominieuse repentance.

    L’ennui avec une descente aux enfers, c’est qu’elle induit une surenchère perpétuelle dans l’ignominie. En 2016, on imagine de faire venir à Verdun un rappeur musulman très engagé dans l’islam conquérant et la haine anti-Blancs, pour… au fait dans quel but ?

    On comprend bien qu’à une année d’élections qui vont remettre en question l’attribution d’une grande partie des sinécures dorées de la Ripoublique, les socialistes au bilan catastrophique ratissent au plus large et ne veulent laisser passer aucune voix musulmane.

    Un autre but, pour nos féaux de la globalo-mondialisation, serait de prôner plus que jamais le pacifisme & l’antimilitarisme, en ridiculisant les anciens combattants, de Verdun et d’ailleurs, de 14-18 et de toutes les guerres… et vas-y que je te désinforme un peu plus sur la Guerre d’Algérie et la repentance pour la colonisation. Il y a un public de gogos pour ces âneries qui, en dépit de leur fausseté historique, font toujours recette. Item, donc, des voix de bobos à engranger.

    D’autant que Môaaa Président d’un État surendetté n’a rien trouvé de mieux que de donner son accord pour financer un Musée de l’esclavage… où l’on omettra probablement d’insister sur les fournisseurs, ces « rois nègres » qui vendaient des Noirs aux marchands d’esclaves musulmans et/ou juifs, qui les revendaient à des exportateurs juifs ou chrétiens (vers l’Ouest : la Traite transatlantique) ou des exportateurs juifs et surtout musulmans (pour la Traite vers l’Est : péninsules arabique et indienne, Moyen-Orient, Insulinde etc.). Item : les voix des DOM-TOM entrent en urnes.

    De la même façon, nul ne réagit à l’organisation, au sein de la contestation potacho-estudiantine, de cellules racistes, c’est-à-dire strictement réservées aux extra-européens de souche. Cela se passe en France, l’An 2016, où divers clowns ministériels distribuent en permanence des leçons fort stéréotypées (et en un français parfois approximatif) sur la tolérance, le « vivre ensemble », l’intégration-assimilation et – suprême confiserie - : les sacro-saints Doits de l’homme… dont la déclaration fut rédigée, en 1776, par le richissime planteur virginien Thomas Jefferson, qui était un esclavagiste, qui jamais ne reconnut son bâtard mulâtre. L’étude historique est une perpétuelle source de petites joies. Ohé, les fêtards de gauche, c’est encore un grand anniversaire à mettre en scène : 240 années de désinformation !

    Que les socialistes de salon, alliés aux écologistes bobos et aux dinosaures marxistes, fassent dans la pire démagogie, cela n’étonnera personne : ils jouent dans leur cour et restent fidèles à leur registre. N’en subissant eux-mêmes, ni par leurs proches, aucune conséquence directe, ils se moquent des incendies de voitures, du vandalisme des biens publics et privés, des vols, viols et assassinats perpétrés de façon pluri-hebdomadaire par des « jeunes », fruits pourris de cette immigration d’origine extra-européenne qu’ils favorisent ouvertement et dont ils assurent la promotion par la très antidémocratique « discrimination positive ».

    En revanche, si la majorité de la Nation autochtone, c’est-à-dire de souche européenne, ne réagit pas très vigoureusement par une sanction d’élimination aux scrutins de 2017, la France passera, une fois de plus, à la traîne de la Grande-Bretagne, et nul ne pourra s’étonner si un musulman devient maire d’une grande ville. La veulerie se paie très cher.

    Il est inutile d’hurler : « Au secours Jeanne ! ». Il suffit de se souvenir de notre plus grand fabuliste : « Aides-toi et le ciel t’aidera ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/05/17/jusqu-ou-faudra-t-il-descendre-dans-l-abjection-5802971.html

  • Journal du Mercredi 18 Mai 2016 : Social / Loi travail : des mobilisations toujours plus violentes

  • Terre & Peuple Magazine n°67 - Le message de nos ancêtres

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    Communiqué de "Terre & Peuple - Wallonie": Terre & Peuple Magazine n°67 Le message de nos ancêtres

    Le numéro 67 de TERRE & PEUPLE Magazine est centré autour du thème 'Le message de nos ancêtres'.

    Pierre Vial, dans son éditorial, en appelle au pays réel pour jeter à bas un pays légal qu'on ne peut que mépriser, parce qu'il trahit les aspirations élémentaires du peuple.  Contre le dévoiement du système, les urnes ne sont d'aucun remède.  L'alternance gauche-droite n'est même plus un trompe-l'oeil.  Suivons le modèle des moutons enragés de notre monde paysan, trop longtemps châtré par un pseudo-syndicalisme.

    Introduisant le dossier central sur le message à nous transmis par nos ancêtres,Pierre Vial encore, cite le Colonel Driant (volontaire de guerre à 61 ans tué à la tête de ses chasseurs), dans un de ses romans, 'L'invasion noire' : « La paix éternelle n'est qu'un mythe, une utopie.  Et ne le regrettons pas car, s'il n'y avait pas tout cela, s'il y avait la paix régnant pour toujours, vous verriez s'installer auprès d'elle le pouvoir exclusif de l'argent. »  Et il conclut en citant Dominique Venner qui nous indique nos responsabilités : « Celle d'abord de ne pas se taire. »

    Pour situer la tradition indo-européenne, Jean Haudry rappelle que nos ancêtres ont longtemps refusé de l'écrire, limitant l'utilisation de l'écriture aux matières qui ne méritent pas d'être retenue 'par coeur' (telle la comptabilité).  La coutume des ancêtres était une réalité vécue dans la transmission d'idéaux, formulés ou non.  Certaines formules sont banales (les chevaux rapides), mais d'autres sont insolites (la gloire intarissable) et probantes lorsqu'il s'agit de reconstruire le formulaire commun.  Comme les trois fonctions duméziliennes, la triade pensée-parole-action est notionnelle, mais elle comporte en plus des racines étymologiques.  Elle est passée de l'Iran à la Grèce et ensuite à Rome pour aboutir à la chrétienté dans le confiteor (...que j'ai péché en pensées, en paroles, en actions).  D'autres coutumes n'ont pas laissé d'expression formulaire, tel le jeûne que s'inflige le créancier frustré, afin d'exercer une pression morale sur le débiteur, pratique qui se retrouve en Inde et en Irlande.  La mythologie comparée est une autre voie de reconstruction.  De même l'homologie entre les unités de temps, jour, mois, année, cycle cosmique.  Vestige de l'habitat circumpolaire, la mythologie exprime principalement le désir du retour de la belle saison, l'Aurore de l'année, notamment le groupe formulaire de notions 'traverser l'eau de la ténèbre hivernale'.

    Llorenç Perrié Albanell impute à la société de consommation la destruction du tissu communautaire, en masquant au peuple les symboles qui lui véhiculaient jusqu'ici la tradition, les blasons régionaux, les fêtes traditionnelles.  On éduque les jeunes générations à devenir citoyen du monde, à oublier notre histoire, la sagesse de nos contes et de nos légendes, le lointain ayant la priorité sur le prochain.

    Pierre Vial épingle l'urticaire que déclenche la formule lapidaire des célèbres manuels scolaires d'Albert Malet « nos ancêtres les Gaulois » chez de pauvres hères qui n'ont la plupart du temps ni histoire ni ancêtres dont se glorifier.  Il relève que l'hebdomadaire Libération dénonce comme « fascistes » les aventures d'Astérix et de son village de résistants aux envahisseurs étrangers !  Il rappelle que le monde celtique s'étendait, au IIIe siècle AC, de la Galatie (en Asie Mineure) à l'Ecosse et à l'Andalousie.  Il cite Venceslas Kruta et Myles Dillon pour illustrer l'intrépidité au combat des paysans-guerriers celtes et leur sens élevé de l'honneur.

    Robert Dragan prend appui sur le grand romancier français Maurice Genevoix (1890-1980) pour réveiller notre mémoire, celle du monde de nos ancêtres « qui s'est moins modifié de 1600 à 1900 que dans le dernier demi-siècle ».  Genevoix évoque ses propres racines : « C'était là le quartier des miens, parents, oncles, grands-parents, un vieux quartier nommé la Croix-de-Pierre à cause d'une croix de Rogations, presque sans âge, voisine elle-même d'un monument plus ancien encore, une tombelle, un tumulus.  Ce tertre rond, ce Mont-aux- Prêtres, couvert de vignes perpétuait le souvenir des prêtres gaulois, des druides dont le grand sanctuaire national -on le sait depuis Camille Jullian- était à quelques kilomètres de là dans une île boisée de la Loire. »  Il dépeint ensuite un monde enraciné, qui a su inventer les équilibres qui font la civilité, et par conséquent la civilisation.  Cet enracinement entraîne l'individualisation des races.  Il cite les vignerons qui côtoyaient les mariniers de la Loire : « Deux races, l'une endormie, plutôt lente, sentencieuse, l'autre ouverte, liante, expansive, quelque peu braillarde ; l'une voyageuse, dénouant les amarres de ses bateaux, l'autre rivées à ses maisons basses, comme la chèvre à son piquet. »  Mais « tous les quartiers bord à bord, solidaires, s'accommodant les uns aux autres. »  Les frontières de ces sédentaires sont celles de la tribu gauloise, la cité comme l'ont dénommée les Romains.  « La première vertu citadine est la sociabilité.  On enseignait la politesse aux enfants pour mieux les intégrer. »  Cette urbanité est à l'origine de l'extrême gentillesse qui caractérisait le peuple français, la civilisation française.  Elle n'a été possible que parce que d'autres veillaient aux vraies frontières, aux limites de la paix de l'empire.  Robert Dragan cite à ce propos 'Le coeur rebelle' de Dominique Venner : « Pendant plus de mille ans, les vraies frontières de la France ont été défendues sur l'Ebre, l'Oder ou le Danube.  La France n'a pas eu à se soucier de monter la garde face au 'Désert des Tartares'. »

    Pierre Vial souligne l'importance, pour notre longue mémoire, des contes populaires de l'Europe dont la tradition a été durant des siècles, voire des millénaires, uniquement orale.  Ce n'est qu'au XVIIIe siècle avec Perrault et aux XIXe avec les Grimm et avec Andersen qu'ils ont été enfin transcrits.  Il n'est pas insignifiant que les forces d'occupation alliées en Allemagne aient interdit la publication des contes des frères Grimm jugés responsables pour partie du national-socialisme.  Les spécialistes (Van Gennep, Saintyves, Bettelheim) ont démontré que l'objet de ces récits n'était nullement fantaisiste, mais éducatif.

    Alain Cagnat remet sa tête entre ses deux oreilles au premier ministre Valls, qui avait déclaré : « La nation corse, je ne sais pas ce que c'est. »  Désormais, il saura.  Il saura que les Corses ont résisté à de multiples envahisseurs et ne se sont jamais laissé soumettre.  Phorkys, premier roi légendaire de Corse, était fils de Gaïa, la déesse-mère.  Une présence humaine est attestée sur l'île depuis plus de 9.000 ans et la Dame de Bonifacio est née en -6750 AC.  La légende locale, non sans analogie avec les mythes berbères, rapporte que la bergère ligure Corsa a suivi son taureau qui nageait volontiers jusqu'à l'île.  Mais on raconte aussi que le Troyen Cor y a rejoint la Cartaginoise Sica.  Il y a également la divinité solaireGarganu, qu'on retrouve au mont Gargan que le chrtianisme allait rebaptiser Mont Saint-Michel.  Vers -3000, l'île se couvre de dolmens et de menhirs.  Leur île étant située au carrefour de la Méditerranée occidentale, les Corsi y côtoient des Phéniciens, des Etrusques, des Ligures, des Cathaginois.  Ce sont les Phocéens (marseillais) qui vont la coloniser, fondant Aleria en -564, introduisant la vigne, exploitant les mines.  Vers -250, les Romains chassent les Grecs.  Les Corsi, qui se révoltent, sont férocement réprimés.  Après l'effondrement de l'Empire romain, les Germains qui ont dévasté la Corse en sont chassés par les Byzantins.  Charlemagne s'empare de l'île en 774, pour en faire don au Pape.  A partir de cette époque, elle est sans cesse ravagée par les Maures, qui massacrent ceux de ses habitants qui ne sont pas commercialisables comme esclaves.  Les Corses se réfugient alors dans leurs montagnes, où ils installent leurs pieve, petites redoutes villageoises.  En 1016, les Pisans et les Génois débarrassent la Corse des Mauresques.  Les Génois, plus brutaux, prennent le contrôle des côtes où ils établissent des comptoirs commerciaux, laissant l'intérieur aux signori fidèles à Pise.  Au XVe siècle, les Génois confient la gestion de l'île à l'office de Saint Georges, une banque privée qui exploite abusivement et de manière brutale les Corses, qui ne s'en débarrasseront qu'en 1562.  Dès le début du XVIe siècle, les Barbaresques reprennent leurs razzias, parfois avec l'appui des Français : François 1er ravagera l'île, car les Génois sont les alliés de Charles-Quint.  Celui-ci, au Traité du Cateau-Cambrésis, rend la Corse à Gênes, qui la conservera jusqu'en 1729, quand les Corses se révolteront et proclameront leur indépendance.  Les Génois reprendront le contrôle avec l'aide de la France. Pasquale Paoli, qui est alors élu chef de la Nation, édicte une constitution.  Louis XV envoie trente mille hommes et le traité de Versailles octroie la Corse à la France. La Révolution française donnera raison à Paoli, qui revient triomphant en 1790.  La Terreur n'épargnant pas la Corse, Paoli appelle les Anglais à l'aide.  Ceux-ci chassent les Français, mais annexent l'île.  Les Français reviendront deux ans plus tard avec Bonaparte qui va réprimer sévèrement les indépendantistes.  Aujourd'hui, ce sont eux qui sont au pouvoir sous la bannière Corsica Nazione.  Le nouveau président a prononcé son discours d'intronisation dans sa langue natale et, de préférence à la Marseillaise, il a fait chanter à son assemblée le Dio Vi Salvi Regina.  Les Corses sont des insoumis.  Agressés par des petites frappes immigrées, ils les ont prévenus : « Prenez garde à la fureur des Corses. »  Comme le recommande Elisabeth Badinter, « Il ne faut pas avoir peur de se faire traiter d'islamophobe.  Et surtout, NE BAISSEZ PAS LES YEUX.

    Notre ami Yann a interviewé l'animateur du groupe musical Frakass, qui vient de sortir un dernier album, 'Le Sang perdu'.  Il s'inscrit dans la veine de réaction à la dégénérescence contemporaine, bien dans la ligne du renouveau païen auquel invite le mythe du Ragnarok, le crépuscule des dieux.  Quand on lui demande l'album du groupe qu'il préfère, il refuse de n'en citer qu'un ou alors 'Voluspa', parce qu'il est dédié à la naissance de Damien, le petit garçon du batteur.  Le prochain titre sera 'Gundestrup', du nom du fameux chaudron ancestral.

    Roberto Fiorini réclame au Medef, le syndicat patronal, le million d'emplois qui avaient été promis en échange des dizaines de milliards perçus, citant Charles Pasqua : « Les promesses n'engagent que ceux qui y croient. »  Il avertit contre la stratégie qui vise à fragiliser toujours plus les travailleurs salariés et il évoque à ce sujet le NAIRU (Non-Accelerating Inflation Rate Unemployment), indicateur économique libéral qui désigne le taux de chômage suffisant pour dissuader la main d'oeuvre de faire valoir des prétentions (+ ou - 10%).  92% des offres d'emploi sont des contrats précaires.  Tous les chômeurs ne sont pas des fainéants.

    Pierre Vial poursuit son étude fondamentale de la révolution.  Dans ses premières années, la Révolution française a installé un pouvoir de notables aux yeux de qui le peuple était une masse malléable.  Cependant, la crise économique qui a sévi en 1788 a entraîné la précarité alimentaire, la paupérisation rurale et le chômage dans les villes.  L'achat du pain représentait alors 50 à 90% des dépenses des classes populaires.  La survie de 40% de la population dépendait de la charité.  De nombreuses régions étaient infestées de brigands, pas toujours impopulaires.  La rumeur suggérait des complots visant à affamer le peuple et des manipulations tramées par les aristocrates.  Cela attisait des flambées de révolte, réactions contre le capitalisme exploiteur et contre l'Etat coercitif.  Le roi se révèle alors impuissant à assumer son rôle de père nourricier.  Paris, dans sa masse de populations écrasante (700.000 habitants), faisait se côtoyer des dirigeants opulents et des affamés, dans un mélange explosif que maniaient les agitateurs agités des cafés du Palais-Royal.  Nombre de Garde-Française passèrent alors du côté de l'émeute.  L'Assemblée constituante, prévue pour mettre sur pied une société parfaite, devait fatalement créer la désillusion.  La vente des biens de l'Eglise était censée garantir l'émission d'assignats, qu'une spirale inflationniste déprécia à peine un an plus tard.  La Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790 aurait dû marquer la fin de la révolution. Une fraction seulement du peuple français prenait fait et cause pour elle.  Le reste était le terreau de la contre-révolution.  Le clergé était divisé.  Les prêtres réfractaires, souvent soutenus par la population, réveillaient la haine viscérale des anti-cléricaux.  Les paysans s'organisent contre les profiteurs.  Les clubs et les sociétés populaires véhiculent des mots d'ordre agressifs.  Y sévissent des journalistes excités, dont Marat, l'ami des opprimés.  Une minorité très déterminée forme une avant-garde révolutionnaire.  L'absence du pouvoir fortifie les radicaux.   Dans les campagne, la révolution est perçue comme une entreprise de déracinement venant des villes.  De 1791 à 1793, la guerre contre l'Europe se double d'une guerre civile, tandis que l'économie continue de se dégrader, l'échec de la fuite du roi.  La constitution enfin achevée, elle a été présentée à Louis XVI qui l'a approuvée, mais il était déjà trop tard pour que le geste calme le jeu.  L'Assemblée est divisée : entre les Feuillants royalistes et les Jacobins anti-monarchistes, le Marais des timorés, la Gironde pragmatique et modérée.  Quand le roi lui propose, pour reprendre la main, de déclarer la guerre à l'Autriche, il ouvre la boîte de Pandore.  Mais l'armée est en piteux état et lorsque le duc de Brunswick menace de détruire Paris si Louis XVI n'est pas rétabli, il signe en fait l'arrêt de mort du roi.  Les Tuileries sont envahies, ses défenseurs massacrés, l'Assemblée vote la suspension du roi et se reforme en Convention.  Danton fait incarcérer la famille royale.  C'est dans ces conditions qu'a lieu la plus que surprenante victoire de Valmy.

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