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  • Le scandale LuxLeaks, ou la victoire de l'escroc Juncker.

    C’est un procès qui est passé (presque) inaperçu, peut-être parce qu’il se déroulait au Luxembourg. Bien qu’un journaliste français ait été poursuivi dans cette affaire, le verdict n’a guère ému le pouvoir ni les partis politiques français qui, depuis quelques jours, ne cessent de déplorer le peu d’amour des citoyens envers l’Union européenne. Pourtant, il aurait dû, si la logique (ou la morale ?) avait été respectée : l’UE ne se veut-elle pas un modèle de justice et de transparence, un Etat de Droit (sans Etat propre d’ailleurs, mais plutôt un ensemble d’Etats) et la terre d’accueil de tous ceux qui fuient les traitements et les jugements inéquitables ? 

    En fait, le procès concernait ce que l’on appelle des « lanceurs d’alerte » qui avaient signalé un système de fraude généralisée qui a coûté des dizaines de milliards d’euros aux Etats de l’UE au profit de quelques multinationales et banques peu délicates et oublieuses de leur devoir fiscal de solidarité, mais aussi au profit du Luxembourg, membre de l’Union. Trois personnes étaient ainsi traînées devant le tribunal du Luxembourg au nom du « secret professionnel et du secret des affaires », et deux d’entre elles ont été condamnées pour « vol de données, fraude informatique et divulgation du secret des affaires », tandis que le journaliste français était acquitté : comme le signale Le Monde dans son édition du vendredi 1er juillet « Edouard Perrin n’a fait que son travail de journaliste (pour l’émission « Cash investigation » d’Elise Lucet), conclut le jugement du tribunal. Une vision que le parquet du Luxembourg ne partageait pas, estimant que « la liberté d’expression journalistique » ne devait pas primer sur le respect « du secret professionnel », quand bien même il serait le témoin de « pratiques douteuses ». » Ironie du propos du parquet, à l’heure où les administrations et les Etats, mais aussi les banques et les réseaux sociaux ne laissent plus rien de « secret » à la vie privée des familles et des personnes, malgré les protestations de nombreuses personnes qui souhaiteraient conserver un peu de discrétion, voire de pudeur, dans ce monde hyperconnecté…

    La condamnation des deux lanceurs d’alerte, elle, nous rappelle aussi que, dans cette Union européenne, ce qui compte d’abord, c’est le profit, l’Argent, les intérêts privés de quelques grandes sociétés ou des actionnaires, plutôt que le bien-être des peuples, la solidarité fiscale et la simple justice sociale. 

    Est-ce un hasard si cette affaire, débutée il y a quelques années et que l’on a nommée « LuxLeaks », avait « provoqué un vaste scandale qui avait touché jusqu’à Jean-Claude Juncker, l’ancien premier ministre luxembourgeois et actuel président de la Commission européenne » ? C’est ce qu’évoque un livre publié il y a peu sous la signature de Mme Eva Joly et intitulé « Le loup dans la bergerie », livre qui met en cause celui qui est effectivement le président de la Commission européenne alors qu’il devrait être, peut-être en prison, au moins à l’écart des institutions européennes si l’on veut qu’elles aient quelque crédit près des contribuables qui sont aussi des citoyens… 

    « Le jugement « LuxLeaks » est d’autant plus intéressant qu’il revient sur le débat qui avait opposé, en avril, la société civile à la directive sur le secret des affaires débattue à Strasbourg. Les ONG avaient vivement dénoncé un texte qui menaçait, selon eux, les lanceurs d’alerte. Le tribunal du Luxembourg semble leur donner raison. « La nouvelle proposition de directive sur le secret d’affaires adoptée par le Parlement européen entend encore resserrer le cadre de cette protection du lanceur d’alerte et augmenter la protection du secret d’affaires au niveau européen. » » Ainsi, non seulement la Commission européenne est présidée par un escroc notoire qui a coûté des milliards d’euros aux budgets nationaux des pays de l’Union, mais le Parlement européen, issu du vote des citoyens de l’Union (malgré une forte abstention récurrente), s’en fait le complice en durcissant la protection du secret d’affaires, non pour éviter l’espionnage industriel ou le délit d’initié, mais pour préserver les intérêts de quelques aigrefins de la Finance…

    De plus, comme le souligne l’article du quotidien Le Monde, « si ni le droit luxembourgeois ni le droit français ne protègent les lanceurs d’alerte, les juges (du tribunal du Luxembourg) estiment que le droit européen ne le fait, aujourd’hui, pas davantage » : n’est-ce pas incroyable ? Pourtant, c’est bien la réalité et celle-ci ne profite pas au plus grand nombre des Européens…

    Cette affaire et ce jugement sont terriblement révélateurs des failles, voire des fautes de l’Union européenne ou, du moins, des institutions qui la régentent. Tant qu’il n’y sera pas mis bon ordre, par l’action des Etats au travers du Conseil européen, ou par celle des parlementaires de Bruxelles et de Strasbourg (mais le veulent-ils vraiment ? Rien n’est moins sûr…), l’Union européenne apparaîtra toujours comme le règne des Puissants et de l’Argent-Maître, et elle ne sera pas aimée des peuples et des travailleurs, de ces gens honnêtes qui peuvent soutenir ou à l’inverse, par leur colère électorale, assommer les institutions et leurs servants, comme vient de le démontrer le récent vote des Britanniques…

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1325:le-scandale-luxleaks-ou-la-victoire-de-lescroc-juncker&catid=50:2016&Itemid=61

     

  • Quand le consul Marius a sauvé la civilisation face aux barbares il y a 21 siècles

    Une méditation pour le temps présent, où nous sommes, comme jadis, menacés par les barbares et par une nouvelle barbarie...

    En évoquant ce haut fait romain d'il y a vingt et un siècles, l'exploit du consul Caïus Marius, on parle aussi, en réalité, d'aujourd'hui, de notre présent et de ses immenses dangers....

    De sorte qu'en racontant ce qui s'est passé hier, c'est une allégorie de notre aujourd'hui qui transparaît.

    Notre aujourd'hui réel : inquiétude(s), doute(s), angoisse(s), défaitisme.

    Et notre aujourd'hui rêvé, et possible : l'espérance inébranlable, la foi en nos valeurs, la lutte et... la victoire !

    Cette évocation a été faite aux Baux, en public et en plein air, dans le cadre d'unRassemblement Royaliste, dans les années 1990.

    Caïus MARIUS from Lafautearousseau on Vimeo

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le GUD refait surface sur la toile...

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    Le Groupe Union Défense (syndicat des étudiants nationalistes) vient de lancer son nouveau site d'information. Un site bien fait et respectueux de l'esthétisme maison... Vous pouvez le consulter en cliquant ici.

     

  • Lundi 4 juillet, contre la célébration du Ramadan à la Mairie de Paris : RASSEMBLEMENT A 19 H AU TROCADERO

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    En savoir plus cliquez ici

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • "La région Ile de France est le 1er financeur de la marche (des fiertés) et elle en est fière"

    Valérie Pécresse semble complètement en phase avec la "marche des fiertés", qu'elle subventionne à hauteur de 25 000 euros. Elle instrumentalise la tuerie d'Orlando, derrière laquelle elle s'abrite pour expliquer pourquoi elle n'a pas osé dire non à un lobby qui représente si peu de Français mais sait si bien terroriser les autres. De quoi Madame Pécresse a-t-elle peur, maintenant qu'elle est élue ?

     

    Marie Bethanie

  • Turquie : les marches de l’islam de combat bientôt dans l’Union européenne ?

    L’Union européenne meurt d’elle-même, refusant de défendre l’Europe réelle.

    Depuis l’Antiquité, l’espace géographique qui correspond à l’actuelle Turquie est un endroit stratégique, zone tampon entre l’Occident et l’Orient. Aujourd’hui, je vais certainement être un peu provocateur en l’écrivant, mais la Turquie ne serait-elle pas devenue une marche occidentale de l’islam de combat ?

    Les derniers attentats, qui ont fait au moins 42 morts dans l’aéroport Atatürk d’Istanbul, n’ont toujours pas été revendiqués par l’État islamique, alors même que Binali Yıldırım, Premier ministre turc, estimait que tout laissait à penser que l’organisation terroriste en était coupable. Une attitude pour le moins étrange de la part d’un groupe prompt à assumer les pires exactions, notamment lorsqu’elles sont commises en Europe. Il faut comprendre que l’organisation n’emploie pas la même stratégie en Turquie que dans le monde occidental.

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  • Coût du logement social : et si on parlait de l’immigration ?

    30/06/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : Dans une étude récente de la fondation Ifrap consacrée au logement social à la française et intitulée Stopper la création de logements sociaux, le think tank libéral dénonce une politique trop coûteuse et peu efficace au détriment du secteur privé locatif, mais sans parler de l’immigration. « Les locataires les plus pauvres (premier décile de revenus) sont majoritairement logés dans le parc privé », s’indigne l’Ifrap, qui constate que si les logements sociaux sont de plus en plus nombreux en France (« Entre 1985 et 2011, on observe une augmentation de 53% du parc social »), ils ne permettent pas de subvenir à une demande qui a augmenté de 80 % en 13 ans. Cherchez l’erreur, et vous aurez une chance de la trouver dans les flux migratoires, non ?

    IFRAP-Logements-sociaux-248x350.jpgCombien coûtent les logements sociaux en France ? 40 milliards d’euros par an sont dépensés chaque année pour le logement social en France, soit 2,3 % du PIB, deux fois plus que dans les autres pays européens. Les logements sociaux représentent 17 % du parc de logements, soit deux fois plus que la moyenne européenne qui s’élève à 8,6 %. Ils représentent exactement 5,3 % en Italie et 4,6 % en Allemagne.

    Pourquoi se trouve‑t‑on dans une telle galère ? Selon l’Ifrap, cette situation est due en partie à l’article 55 de la loi SRU qui impose la création de 20 % puis de 25 % de logements sociaux dans les communes de plus de 3 500 habitants. « Se donner des objectifs de construction généraux sur tout le territoire n’a plus de sens », peut‑on lire dans l’étude qui dévoile un taux de vacance des habitations à loyer modéré alarmant. S’il s’élève en moyenne à 1,6 %, ce taux peut quasiment atteindre les 10 % dans certaines villes.

    Comment pourrait‑on régler le problème aujourd’hui ? Selon l’Ifrap, il faudrait favoriser l’accession à la propriété, par exemple en facilitant la vente des logements à leur occupant. Ce serait en effet d’excellente politique mais une autre mesure s’impose : réduire la demande de logements sociaux en réduisant… l’immigration.

    En Suisse, quand l’UDC calcule le coût de l’immigration, elle y intègre le coût de construction des logements, des écoles, des hôpitaux ou des routes pour subvenir aux besoins de cette population nouvelle. En France, jamais. Cherchez (encore) l’erreur.

    http://fr.novopress.info/

  • Comment Nicolas Sarkozy utilise Les Républicains pour préparer sa candidature à la primaire

    Le Conseil national des Républicains se réunit pour valider le projet du parti pour 2017. Une nouvelle occasion pour le président du parti de placer ses pions.
    Les sarkozystes évoquent la "clôture d'un cycle". Nicolas Sarkozy préside, samedi 2 juillet, le Conseil national des Républicains. Il doit y soumettre le projet de sa formation en vue de l'élection présidentielle de 2017. Et en profiter, au passage, pour façonner le parti à son image à quatre mois de la primaire de la droite et du centre. Nicolas Sarkozy n'est pas encore officiellement candidat, mais tous les coups sont permis.
    Une journée pour vanter son bilan
    Il ne s'est pas encore déclaré, mais Nicolas Sarkozy soigne son image à l'approche de la primaire à droite. A l'occasion du Conseil national des Républicains, le président du parti devrait donc vanter son action depuis deux ans. "Il va se féliciter d’avoir des fédérations en ordre de marche, des adhérents plus nombreux, des finances rétablies, des investitures attribuées et un socle de projet", explique un de ses proches au Monde.
    "Il a remis sa famille politique en ordre de marche, ça a été long, mais il engrange les fruits petit à petit", résume un député sarkozyste auprès de l'agence Reuters. Cet exercice d'autosatisfaction devrait lui permettre d'avancer ses pions, sur un plan tactique. "Nicolas Sarkozy veut apparaître aux yeux des électeurs de la droite comme celui qui a œuvré pour le collectif, quand ses rivaux ne seraient préoccupés que par leurs ambitions personnelles", décrypte encore le quotidien.
    Viendra ensuite le temps, d'ici au 26 août, de quitter la tête du parti et de se lancer dans la campagne officielle, mais après avoir convaincu les adhérents, qui seront présents à la Mutualité, à Paris. Cet exercice d'autocongratulation irrite déjà certains candidats déclarés à la primaire. Si François Fillon et Jean-François Copé prendront la parole, Alain Juppé et Nathalie Kosciusko-Morizet ne feront que passer. Bruno Le Maire sera quant à lui "absent", tout comme Henri Guaino, qui a "autre chose à faire".
    Un projet très sarkozyste
    La journée doit permettre au chef des Républicains de présenter le projet qui doit servir de socle à tous les candidats de la primaire. Or, comme l'explique Le Monde, ce texte porte la patte sarkozyste. Il a été élaboré par deux proches de l'ex-chef de l'Etat, dont Eric Woerth, secrétaire national du parti. Nicolas Sarkozy l'a lui-même reconnu, le 26 juin, sur France 2 : "Il m'engage", a-t-il fait savoir à propos de ce "projet commun".
    Et pour cause, le projet reprend les credo de Nicolas Sarkozy : autorité de l'Etat, refondation de Schengen, identité nationale, respect de la laïcité, recours au référendum, baisse simultanée des impôts et des déficits publics ou encore la volonté de revenir sur la loi interdisant le cumul des mandats.
    De multiples propositions qui ne font guère l'unanimité au sein des équipes d'Alain Juppé, Bruno Le Maire et François Fillon. Aucun ne se sent "concerné" par ce projet, affirme ainsi l'AFP, après les avoir contactés. Dans Marianne, l'entourage proche de son principal rival, Alain Juppé, explique ainsi que le texte n'est pour lui qu'une "contribution au débat". "Alain Juppé n'est pas engagé par son contenu", indique Gilles Boyer, directeur de campagne du maire de Bordeaux.
    Les moyens du parti pour faire campagne
    La candidature de Nicolas Sarkozy est un secret de polichinelle. Ses adversaires voient d'ailleurs clair dans son jeu : "C'est bien un candidat non-déclaré", a récemment souligné Jean-Pierre Raffarin sur France Info. "Je pense qu'avant l'été, ce serait sans doute raisonnable qu'il y ait une prise en compte des réalités. Les réalités, c'est que Nicolas Sarkozy est en campagne", a encore insisté le soutien d'Alain Juppé, invitant le chef des Républicains à annoncer sa candidature. Techniquement, il a jusqu'au 26 août pour s'annoncer.
    Car la double casquette du président des Républicains irrite les candidats déclarés. Nombreux sont ceux qui évoquent le besoin de transparence et pointent les injustices financières, analyse Europe 1. En effet, selon la radio, "tous les déplacements de Nicolas Sarkozy sont pris en charge par le parti, quand ses (futurs) rivaux à la primaire doivent, eux, puiser dans leurs cagnottes". François Fillon et Nathalie Kosciusko-Morizet ont ainsi fustigé "l'inégalité des moyens" entre les candidats, affirme Le Parisien.
    En privé, la réponse fuse du côté du président du parti, raconte Le Lab : "Si je fais des salles remplies de monde et que d'autres font des salles à moitié vides, c'est peut-être aussi qu'il y a une inégalité de talent", raille Nicolas Sarkozy. Comme il l'a déclaré au Figaro, en mai, l'ex-président ne se voit pas abandonner sa confortable position, pas illégale. "Il est hors de question de quitter la présidence du parti. Il faut un chef pour cheffer."
    Une mainmise pour écarter ses rivaux
    Pour ne rien arranger, les investitures en vue des élections législatives de 2017 tendent un peu plus les relations entre Nicolas Sarkozy et les autres candidats à la primaire. Notamment avec Alain Juppé. A la base, un accord avait été trouvé pour donner l'investiture seulement en cas de consensus. Elle était gelée le cas échéant, raconte Le Point. Sauf que plusieurs cas ont irrité le camp juppéiste, trois de leurs candidats ayant été écartés, à Lyon et Strasbourg, au profit de visages plus sarkozystes.
    Du coup, "comme les choses ne se passent pas comme elles auraient dû se passer, Alain Juppé ne se sent pas engagé par les investitures décidées par le parti et il reviendra dessus" s'il est désigné candidat au terme de la primaire, affirme le directeur de campagne du maire de Bordeaux dans Le Monde. Bruno Le Maire et François Fillon ont eux aussi fait savoir, dans Marianne, qu'ils reviendraient sur certaines décisions, s'ils sortaient vainqueur de la primaire.

    Julie Rasplus Francetvinfo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuyZuVFVpZmrufqZXf.shtml

  • Au Québec, une animatrice virée car « trop caucasienne »

    FRANCE (NOVOpress avec OJIM)

    Après trois ans à la tête de l’émission « Montréalité » sur la chaîne MAtv, l’animatrice Katerine-Lune Rollet vient de perdre son poste au profit de quelqu’un issu d’une « minorité visible », rapporte le journal Présent.

    Selon ses propres dires, l’animatrice a été écartée car « trop caucasienne » et remplacée par une personne de couleur. Comme l’a confirmé Isabelle Larin, directrice de programmation de MAtv, dans le journal La Presse, c’est bien pour une question de couleur de peau que la décision a été prise. En effet, pour elle, l’émission « Montréalité » a vocation à être « la locomotive parfaite permettant d’illustrer la diversité montréalaise ».

    Ainsi, il faut « une nouvelle représentativité à la barre de l’émission ». Une mise à l’écart paradoxale pour Katerine-Lune Rollet, qui avait elle-même déclaré il y a peu : « Je suis tout à fait d’accord que notre télévision est beaucoup trop blanche et qu’il faut bouger. » Aujourd’hui, elle fait les frais de sa propre idéologie.

    Par le passé, la chaîne d’État Radio-Canada avait également ouvert des postes spécifiques pour les « non-Caucasiens ». Cette décision avait suscité un tollé, obligeant la chaîne à faire machine arrière. À l’époque, il s’agissait d’une approche de discrimination positive à l’embauche. Aujourd’hui, comme on vient de le voir avec MAtv, on remplace carrément des animatrices blanches par d’autres de couleur.

    Une politique d’épuration qui ne sera sans doute pas sans déplaire à Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, qui avait elle aussi, lors de sa prise de fonction, estimé que la télévision publique française comportait trop d’hommes blancs de plus de 50 ans et qu’il fallait que « ça change »…

    http://fr.novopress.info/