Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 21

  • La Bombe de Wikileaks dont vous n'avez jamais entendu parler (VF)

  • L’épopée des croisades

    Naguère célébrées comme un grand moment de l’histoire de France, aujourd’hui dénigrées au nom du multiculturalisme, les croisades ne sont plus au goût du jour. Refusant la légende dorée comme la légende noire, les historiens nous aident à comprendre cette grande aventure collective.

    « Le bilan des croisades est mince », affirme, dans un article critique, un récent Dictionnaire de l’histoire de France (Larousse, 2006). A l’inverse, l’Histoire de France publiée avant 1914 sous la direction d’Ernest Lavisse consacrait vingt-cinq pages aux croisades. En dépit de ses réserves sur l’action du pape et des seigneurs, « l’instituteur national » de la IIIe République, selon l’expression de Pierre Nora, ne craignait pas d’intégrer cet épisode aux gloires nationales : « La première croisade, c’est la France en marche ; il faut la suivre jusqu’en Orient ».

    Quel contraste avec aujourd’hui ! Sur fond de multiculturalisme et de mauvaise conscience européenne, les croisades sont souvent dépeintes comme une agression perpétrée par des Occidentaux violents et cupides à l’encontre d’un islam tolérant et raffiné… La vision d’autrefois, simplificatrice à l’excès, entretenait un mythe qui ne rendait pas compte de la réalité. Mais la repentance actuelle, érigée en système, ne constitue pas un meilleur guide historique. Les croisades forment un mouvement qui s’est étalé sur plusieurs siècles et qui a recouvert des épisodes contradictoires. Pour être comprises dans toute leur complexité, elles doivent par conséquent être abordées sans idées préconçues.

    Lire la suite

  • Cible et flèche de Philippe Delbauvre : Najat Vallaud-Belkacem

    L’une des dernières trouvailles de Najat Vallaud-Belgacem n’est autre que la prolongation de l’âge minimum pour la durée des études, passant dès lors de 16 à 18 ans.

    Dans le cadre de ma première thèse, j’ai eu l’occasion durant plusieurs années, d’enseigner, particulièrement dans le cadre d’un collège.

    Il faut savoir que bien des élèves qui rentrent en sixième ne maîtrisent pas les fondamentaux, notamment les mathématiques et le français. Ils sont d’ailleurs, cela à plus d’un titre, déstabilisés suite à leur arrivée en collège. C’est ainsi qu’ils ne sont plus dans l’établissement auquel ils avaient l’habitude. Ils n’ont plus un seul enseignant mais plusieurs, chacun d’entre eux disposant de son propre mode de fonctionnement. Ils rencontrent aussi des élèves dans leur classe qu’ils ne connaissaient pas à l’origine. Ensuite, alors qu’en primaire, ils étaient les « grands », ils deviennent les plus « petits » une fois présents en collège. Sans parler du bus ou de l’autocar qu’ils n’étaient pas habitués à prendre …

    Par voie de conséquence, cette arrivée en collège s’avère des plus déstabilisantes et ce sont, bien sur, ceux qui sont le plus en retard qui en pâtissent le plus. On demande donc à des élèves déjà en difficulté, d’extraordinaires capacités d’adaptation, ce qu’ils ne peuvent réaliser.

    Dépassés par les événement en école primaire, ils ont donc la tête sous l’eau en arrivant en collège. D’où leur rapide envie d’envoyer tout valser…

    Puis vient la puberté vers 14 ans qui, entre autres, les conduit à tout rejeter du modèle éducatif. Et c’est la spirale de l’échec pour tous qui se développe. Echec pour l’enfant lui même, pour ses camarades victimes du bordel qu’il institue en classe, et du professeur bien souvent dépassé.

    Naguère, l’instruction scolaire obligatoire s’arrêtait à 14 ans. Voilà qui évitait la plupart des maux dont souffre l’éducation nationale. On plaçait alors l’enfant en difficulté dans des centres spécialisés avec le plus souvent enseignements technique et professionnel, ce qui était plus conforme à l’état d’esprit de ces adolescents.

    Puis vint la scolarité obligatoire jusque 16 ans. Ce fut pour les ados en difficulté, deux ans de perdus. Encore une fois, pour eux mais aussi pour leurs professeurs et camarades de classe.

    Et la ministre de l’éducation nationale de vouloir porter la scolarité obligatoire à 18 ans. Cette fois-ci, ce ne sera plus deux ans de perdus mais quatre. Sans tenir compte qu’un adolescent de 18 ans est autrement plus difficile à maîtriser qu’un jeune de 14 ans…

    Le tout pour rien si ce n’est échec pour tous. Pas de doute, en haut, on ne pense pas !

    http://www.voxnr.com/4877/cible-et-fleche-de-philippe-delbauvre-najat-vallaud-belkacem

  • Islam en France : c'est le moment de dire la vérité

    Entretien de 40 minutes de Philippe de Villiers sur TV Libertés. Il y affirme que la France est en train de perdre son identité. Pour lui, si rien n’est fait, la voix du “muezzin couvrira le son des cloches de nos terroirs”. Philippe de Villiers met de côté son métier d’entrepreneur ou sa passion pour la politique, il se fait lanceur d’alerte. L’auteur a eu accès à de nombreuses informations qu’il divulgue pour que les Français sachent et prennent conscience de l’extrême gravité de la situation.

    Dénonçant une classe politique achetée (comme l'indique un autre livre récent) et qui pratique l’intelligence avec l’ennemi… montrant du doigt des media coupables d’instituer un couvre feu moral, l’auteur parle de remigration, de partition, propose d’inventer un nouveau roman national et lance un cri du coeur : la France doit rester la France. Elle n’a pas vocation à devenir la fille aînée de l’Islam. 

    Michel Janva

  • Revue de presse : le scan du jour du Figaro

    LE SCAN POLITIQUE - Dans la demeure familiale, Jean-Marie Le Pen, épaulé par son directeur de campagne, Lorrain de Saint Affrique, prépare la bataille des prochaines législatives. Visite.

    Dans le parc de Montretout à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), il règne le calme qui précède aux grandes batailles. La maison familiale des Le Pen, un temps l'épicentre de l'extrême droite française, abrite une poignée d'irréductibles. Des cartons empilés dans l'entrée contiennent les éléments d'un futur studio vidéo, les pièces du rez-de-chaussée sont aménagées en local de campagne. Sur un mur s'étale une relique: l'affiche de campagne de la présidentielle de 1988 barrée du slogan «Le Pen le Peuple». Les derniers grognards de Jean-Marie Le Pen préparent leur Waterloo, l'ultime combat politique que le patriarche a promis à sa fille. Il portera la bannière des comités Jeanne à l'occasion des élections législatives, un label politique qu'il réserve aux seuls représentants de «la vraie droite nationale». Une façon de s'insurger dans les urnes face à sa mise pied au sein du parti qu'il a fondé.

    Il n'y aura probablement ni pardon ni prisonnier dans l'affrontement qui s'annonce avec le FN. Lorrain de Saint-Affrique, directeur de campagne et ouvrier de l'ombre de cette aventure, s'en doute bien et ne s'en émeut pas. Âgé de 65 ans, ce vieux compagnon de route de Jean-Marie Le Pen fut son conseiller en communication de 1984 à 1994, avant de se voir frappé «d'exclusion perpétuelle». Le chroniqueur occasionnel des affres de la droite radicale aborde cet impossible défi avec délectation. On ne peut s'empêcher sentir autour de l'ancien conseiller régional, banni du FN pour s'être frontalement opposé à Bruno Mégret, comme un parfum de revanche. Aussi habile que retors, Saint Affrique s'en défend. «Le Pen m'a appelé à la sortie d'un plateau télé, après 20 ans de silence. Je suis venu retrouver une chaleur militante, revoir les vieux amis, les anciens combattants. Ce n'est pas désagréable», assure-t-il.

    La «part de joie cocasse» de la droite nationale

    Vice-président des comités Jeanne, Patrick Hays, est de ceux-là. Vétéran du 1er Régiment Étranger Parachutiste (REP), comme Jean-Marie Le Pen. «Il a quitté l'armée en 1962, ça dit quelque chose du personnage», relève Lorrain de Saint Affrique. Ancien secrétaire national frontiste aux Français de l'étranger, il a accompagné «le président d'honneur» dans son exil politique. Roger Holeindre, 87 ans, a lui aussi repris du service. Membre fondateur du FN en 1972, ancien député, il est passé au Parti de la France (PDF) de Carl Lang, et soutient la démarche de son vieil ami. «Si ce n'est pas drôle au sein la droite nationale, c'est que le chemin n'est pas le bon, qu'on est à côté de la plaque. Il faut que l'on rie, c'est dans notre philosophie. Il y a une part de joie cocasse inattendue dans notre courant, dont Jean-Marie Le Pen n'est pas exempt. Il a souvent le mot pour rire», sourit Lorrain de Saint Affrique. On s'offre donc à Montretout un dernier tour de piste entre vieux baroudeurs qui n'ont plus grand-chose à perdre.

    Car il y a surtout des coups à prendre dans cette équipée crépusculaire. «Ce n'est pas de tout repos depuis mon arrivée: j'ai été traité de “charognard obsédé par le fric” par Marine Le Pen. Ce n'est pas très aimable de la part de quelqu'un dont on a si longtemps partagé la table. Mais le plus désagréable reste tout de même les perquisitions de l'Office européen de lutte contre la fraude (Olaf). Ils ont tout fouillé et tout vidé: nos dossiers, nos boîtes mail, nos ordinateurs», déplore-t-il. Officiellement employé comme assistant parlementaire de Jean-Marie Le Pen à Bruxelles, il est visé par l'enquête du parlement Européen portant sur les soupçons de détournement financier au bénéfice du parti.

    Saint Affrique candidat aux législatives

    Peu importent les épreuves pour Lorrain de Saint Affrique, pourfendeur de la «dé-lepénisation» du parti. «Je n'ai surtout pas supporté ce que Marine Le Pen a fait à son père, j'ai eu une réaction physique. Il a été trahi. Je suis un peu inquiet pour elle. Elle était gaie, agréable. J'espère que son père ne nous quittera pas avant un moment sans quoi elle portera ce parricide toute sa vie». Le directeur de campagne sait viser la corde sensible de celle qu'il a connue adolescente: c'est l'une des raisons probables de son recrutement par Jean-Marie Le Pen. Mais pour la forme, il ne revendique aucun esprit de revanche dans la démarche des comités Jeanne. «Notre objectif est de constituer une réserve de voix au sein de la droite nationaliste, celle qui manque encore au FN pour gagner le second tour des élections. Nous voulons dissuader cette partie de la base qui se sent en rupture avec la ligne de Marine Le Pen de sombrer dans l'abstention», soutient-il, avec un brin de malice.

    Fragilisé par son grand âge - malgré sa volonté d'en découdre -, Jean-Marie Le Pen soutiendra ses champions sur le terrain «une à deux fois par mois». Et peut-être même à l'international, puisqu'une rencontre avec Donald Trump est envisagée, «si possible». Sans savoir encore où, Lorrain de Saint Affrique sera quant à lui bien candidat en juin 2017. À Montretout, on espère qu'il pourra compter sur 200 à 300 acolytes. «Je ne peux pas seulement envoyer les autres au feu, chez nous il est d'usage de montrer l'exemple. Et puis qu'ai-je à craindre? J'ai déjà candidaté à presque toutes les élections, et perdu presque à chaque fois», s'amuse-t-il, en ourdissant le coup d'envoi.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • i média S03E36 - Traitement médiatique de la manif pour tous, entre caricature et fausses fenêtres.

  • Sondage présidentielle 2017 : Juppé et Marine Le Pen gagnants, Hollande humilié

    Alain Juppé et Marine Le Pen seraient les deux grands vainqueurs du sondage BVA-Salesforce pour la presse régionale et Orange sur les intentions de vote pour la présidentielle de 2017.

    Marine Le Pen oscillerait entre 25% et 29% des intentions de vote (contre 33% à 39% pour le maire de Bordeaux). Jean-Luc Mélenchon apparait parfois comme le 3e homme – selon les scénarios – avec un résultant évoluant entre 12% et 15%

    François Hollande est complètement décroché. Il ferait 13% dans le meilleur des cas et 9% dans le pire scénario pour lui.


    Sondage présidentielle 2017 : Juppé et Le Pen… par Lopinionfr

    http://fr.novopress.info/201190/sondage-presidentielle-2017-juppe-et-le-pen-gagnants-hollande-humilie/

  • GPA : le gouvernement refuse de faire appel de la décision de la CEDH

    Huit heures après la fin du délai pour faire appel de la décision de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, les Gavroches dénonçaient ce matin, devant le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé, l’inaction de notre GouverneMENT concernant la GPA.

    6a00d83451619c69e201bb094896f7970d-800wi.jpg

    Michel Janva

  • EXCLU - Sarkozy à Assad : « On va mettre la Syrie à feu et à sang ! » (Rochedy)

  • SURREALISTE...

    15566001.jpg

    A Evry mardi soir, le directeur de la Police nationale

    reçu par les policiers en colère... 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/