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  • Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°448

  • [Éditorial de L’AF n° 2941] Des évêques plus mondialistes que catholiques ?

    Encensé par Libération (du 13 octobre) qui y voit « un texte qui fait du bien », et plus généralement par la presse de l’oligarchie, nous avions tout lieu de craindre le dernier opus du Conseil permanent de la Conférence des évêques de France (CEF), sous le titre "Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique".

    D’autant que sa sortie en libraire avait été précédée par un entretien, d’une niaiserie affligeante, de Mgr Pontier, président de la CEF, dans Le Monde (du 14 octobre) — une page et demie ! Grand apôtre du vivre-ensemble « au ras du terrain », l’archevêque de Marseille qui, comme les socialistes de Terra Nova, voit dans chaque migrant ou presque une chance pour la France — « Ce sont aussi des talents qui nous arrivent » ...et dont nous dépouillons leur pays d’origine —, a « un peu honte » quand, contrairement au Liban, voire la Grèce et l’Italie, il ne voit pas notre pays « manifester le minimum d’accueil  ». Il n’a pas, en revanche, « un peu honte » de déconsidérer la Manif’ pour tous du dimanche suivant : car pour Mgr Pontier, le mariage pour tous, et, nous supposons, ce qui va avec, à savoir le prétendu droit à l’enfant, ne « tracassent » qu’ « un certain nombre de Français », qui, en manifestant, « donnent l’apparence d’une “militance excessive”  ». Il y a donc eu à Paris, ce dimanche, 200 000 militants excessifs !

    Ces propos illustrent bien la teneur de l’opus épiscopal : il faut désormais avaliser les évolutions de la « société », terme qui, selon la vulgate communautariste et mondialiste auquel ce texte emprunte son vocabulaire, est employé comme synonyme de « nation » ou de « pays ». Et si la question de l’identité est posée, c’est, là aussi, uniquement pour constater que, entrés dans une société « pluriculturelle  », nous devons positiver.

    Libération a raison sur un point : le diagnostic « n’est pas vraiment neuf », qu’il s’agisse du discrédit de la classe politique, de l’individualisme, du consumérisme et du matérialisme ambiants, de l’éclatement de la société en différents communautarismes, de « la question du sens » au sein d’une « société en tension » et du « contrat social à repenser ». Non, ce qui est intéressant, c’est ce que ce texte révèle de l’état d’esprit de nos évêques, du moins de ceux qui composent la commission permanente de la CEF, ce « pays légal » épiscopal censé s’exprimer au nom de tous. D’autant que leur parole sur le politique est rare, ce qui devrait donner d’autant plus de poids à un texte qu’ils destinent non seulement aux catholiques mais à tous les citoyens français. Ou plutôt non : « aux habitants de notre pays ». Or la différence n’est pas mince.

    Il pourrait en effet paraître paradoxal, alors que ce texte a été publié en complément de celui de juin dernier visant à donner « quelques éléments de réflexion » pour « 2017, année électorale », qu’il ne s’adresse pas en priorité aux citoyens. C’est qu’il s’agit bien, selon le titre d’un rapport commandé par le Gouvernement qui avait fait scandale en 2013, et dont ce texte n’est finalement que la version cléricale, de « faire société commune dans une société diverse », à savoir, comme l’affirment les auteurs du document épiscopal, de « gérer (sic) la diversité dans notre société », le christianisme ne devant plus être sollicité que pour « partager son expérience doublement millénaire et sans renouvelée d’accueil et d’intégration de populations et de cultures différentes dans la naissance d’une identité qui ne nie pas les autres appartenances ». Ou quand l’annonce du message évangélique est réduite à la valorisation d’une chrétienne attitude dans la gestion du vivre-ensemble. Du reste, cette attitude ne « doit pas être une confrontation de vérités, mais une recherche ensemble, en vérité », c’est-à-dire, en bon français, et non plus en sabir estampillé CEF, une recherche, certes emplie de sincérité, mais neutre au plan des vérités évangéliques, puisque toutes les idées se valent dans un relativisme dont on croit que sortira la paix sociale — comme si la société, comme la nature, n’avait pas horreur du vide. Du reste, « liberté, égalité, fraternité », « ces trois mots sont une change pour notre pays » (Mgr Pontier). Au pays enchanté des valeurs républicaines, qu’a-t-on encore besoin de parler d’évangélisation ?

    Remarquons simplement, nous qui ne nous intéressons dans ces colonnes qu’à l’humble bien positif de la cité, que le document avalise, voire revendique, finalement comme une « richesse », cette crise de l’identité nationale, qui entraîne la rupture du lien originel entre le christianisme et la France, qu’une laïcité agressive n’a cessé de distendre depuis plus d’un siècle et que le mondialisme, conçu par nos évêques eux-mêmes comme le nouvel horizon de l’humanité, est en voie de rompre définitivement. C’est là que la confusion entre société et nation est active, puisqu’elle vise, en encourageant l’immigration, à rendre inéluctable l’éclatement culturel et donc à placer « l’idée d’une Nation homogène » au rang des accessoires obsolètes — le concept de nation devant s’effacer derrière celui de société plurielle. Car si l’immigration n’est pas sans poser déjà de graves questions à notre communauté de destin, les évêques anticipent, dans l’esprit de Terra Nova, en déclarant qu’il conviendrait d’ores et déjà, face à l’affirmation de différences communautaires ou identitaires, « de redéfinir ce que c’est d’être citoyen français et de promouvoir une manière d’être ensemble qui fasse sens » — charabia qui signifie simplement l’acceptation d’une société multiculturelle dans une logique communautariste. Et pour bien enfoncer le clou d’affirmer que « le danger serait d’oublier ce qui nous a construits », c’est-à-dire notamment le christianisme, mais dont l’action est manifestement révolue, « ou, à l’inverse, de rêver du retour à un âge d’or imaginaire ». Plus explicite encore, Mgr Pontier, dans Le Monde, évoque une « supposée identité fermée, éternelle, que tout le monde aurait partagée dans le passé ». Voilà à quoi certains de nos évêques ramènent aujourd’hui le baptême de Clovis, et par là-même de la France, aux promesses duquel, en 1980 au Bourget, saint Jean-Paul II demandait aux Français s’ils étaient demeurés fidèles, déjà, sans susciter l’enthousiasme d’un bon nombre de nos évêques. N’osa-t-il pas aller jusqu’à qualifier la France de « fille aînée de l’Eglise » ? Il est vrai : « Dieu nous préserve aussi des saints ! », s’exclame le doyen de Blangermont devant le jeune curé d’Ambrecourt, dans le Journal d’un curé de campagne de Bernanos…

    Pour le rapport socialiste de 2013, il convient de « faire évoluer la société française [...] afin de permettre à toutes les personnes qui résident en France de vivre ensemble, de participer à une “société des égaux”, d’être (re)connues dans leur diversité, [...] simplement pour leur présence sur le territoire national ». Le texte épiscopal ne dit pas autre chose, en s’adressant aux « habitants de notre pays  », et non aux Français, tous ces « habitants  » étant destinés à partager une citoyenneté devenue le prête-nom d’un vivre-ensemble riche d’ « identités plurielles », ...et heureuses ? Et dans la dénonciation de « postures racistes réciproques », comment ne pas voir un écho à la définition européenne de l’intégration comme « processus dynamique à double sens d’acceptation mutuelle de la part de tous les immigrants et résidents des États membres » ? Ne sommes-nous pas tous des migrants, après tout ?

    Ce texte aurait mérité un 10 sur 20 s’il avait été la dissertation sans personnalité d’un potache auquel son professeur d’instruction citoyenne avait demandé de réfléchir sur le vivre-ensemble. Malheureusement il exprime, du moins officiellement, la pensée de nos évêques, manifestement soumise à la logique du mondialisme, prélude au village planétaire. Il n’est pas certain que, là aussi, le pays réel soit en accord avec le pays légal.

    François Marcilhac - L’Action Française 2941

    - Conseil permanent de la Conférence des évêques de France - Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique - CERF- MAME - BAYARD, 4 euros
    - Faire société commune dans une société diverse

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-AF-no-2941-Des

  • La guerre civile ethnique se prépare – par Guillaume Faye

    Le samedi 8 octobre 2016, à Viry–Châtillon, en banlieue parisienne, dans une de ces zones de non-droit qui se multiplient, deux voitures de patrouille ont été attaquées, vitres brisées, et incendiées au cocktail Molotov et les policiers volontairement bloqués à l’intérieur. La tentative d’homicide est évidente. Les policiers ont été gravement brulés et l’un d’entre eux demeurait entre la vie et la mort.

    Le 17 octobre, par une évidente contagion, des pompiers, attirés après des incendies volontaires, puis des policiers ont été pris dans un guet-apens à Mantes-la–Jolie, avec jets de pierres et de cocktails Molotov. Représailles après la saisie de 35kg de résine de cannabis la semaine précédente ? En tout cas, l’ambiance était insurrectionnelle, impliquant une centaine d’émeutiers. Du mobilier urbain a été détruit, des voitures de police endommagées et une annexe de la mairie vandalisée. Ce genre d’épisode se multiplie quotidiennement, se banalise, devient endémique, jusqu’à ne plus être maîtrisable.

    La fronde policière contre l’État

    Patrice Ribeiro, président du syndicat Synergie–Officiers parle, à propos du guet–apens de la Grande Borne, d’une « tentative de meurtre d’une sauvagerie inouïe ». Selon Céline Berthon, du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), majoritaire, « il s’agit d’une tentative d’assassinat en bande organisée ». Gravissime, le syndicat Alliance a organisé une « grève du zèle » le 11 octobre dans tous les commissariats de France. Les fonctionnaires de police, dégoutés, affrontent l’État, dont la haute hiérarchie semble les mépriser. Et, hors syndicats, des centaines de policiers surchauffés ont spontanément manifesté sur les Champs–Élysées dans la nuit du 17 au 18 octobre, souvent pendant leurs heures de service, à deux pas du ministère de l’Intérieur où soufflait un vent de panique. Le mouvement de fronde s’est amplifié dans les autres villes de France, et le patron de la police, J–M. Falcone, a été hué par ses fonctionnaires qu’il rappelait à l’ordre. Ce début de lâchage de l’État par sa police, qui désobéit aux ordres, y compris syndicaux, est un symptôme annonciateur du chaos de la guerre civile. Les déclarations du ministre de l’Intérieur, le pitoyable et incompétent Cazeneuve, minimisant les agressions, auront été la goutte qui fait déborder le vase.

    La réalité de cette guerre civile ethnique qui se prépare est confirmée par la forte hausse des policiers blessés en mission, dont aucune statistique officielle ne fournit l’origine des auteurs, pourtant parfaitement connue : 544 policiers blessées en moyenne par mois. Au premier trimestre 2016, 3267 policiers et gendarmes ont été blessés en opération (+14% par rapport à 2015). En 2015, 6.854 gendarmes ont été victimes d’agressions physiques ou verbales. Et 5736 policiers ont été blessés en service. Sans parler des pompiers… Depuis dix ans, la progression est constante.

    On assiste à deux mouvements parallèles : augmentation des populations immigrées qui fournissent presque 100% des délinquants violents et baisse de la réponse pénale. Mme Taubira, ancienne ministre de la Justice, ver dans le fruit, en bonne militante subversive, aura servi à quelque chose. La situation explosive des prisons, où la majorité des détenus sont des délinquants musulmans, est un facteur aggravant. Les réponses pénales à toute cette criminalité sont ridiculement basses, parce que le corps judicaire est atteint par cet islamo–gauchisme de collaborateurs dont Mme Taubira ou Edwy Plenel sont d’éminents représentants. Et parce qu’il y a un manque criant (volontaire) de places de prison.

    Invasion territoriale intérieure

    En Europe, il n’y a qu’en France (« douce France »…disait la chanson bien anachronique de Charles Trenet) où ce genre de faits atteint une telle intensité. Mais les autres pays voisins connaîtront la même situation dans peu de temps, si rien ne change, si le déversement migratoire à majorité musulmane continue –ce qui est la vraie clé du problème.

    Les auteurs des agressions, des bandes organisées de voyous cagoulés, visent à protéger et à marquer leur territoire, dans ces zones de plus en plus en plus nombreuses où le droit français, la fameuse ”République” comme les Français de souche ont disparu. Ils voulaient aussi interdire à la police de pénétrer dans des quartiers où le trafic de drogue (notamment le cannabis marocain) atteint une dimension considérable.

    On parle de « zones de non droit » ; certes, mais ce sont aussi des zones envahies, portions du territoire national occupées par l’immigration extra-européenne à majorité musulmane. Y prospèrent en parfait parallélisme la délinquance et la radicalisation islamique, sous direction salafiste. Ces zones gagnent chaque année du terrain, dans les banlieues, les villes et, demain peut-être dans les terres rurales. La France est rongée de l’intérieur, avec la complicité de l’État, qui s’ingénie à imposer des ”migrants” –clandestins illégaux mais entretenus– dans les petites communes, derniers refuges des Français de souche. Cette évidence est à a fois connue de tous et dissimulée par les discours de l’idéologie d’État.

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  • Polémia : Deuxième Forum de la dissidence

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    Q: Polémia organisera le Deuxième Forum de la dissidence samedi 19 novembre à Paris, pourquoi ?

    ♦ Parce qu’il n’est plus possible d’attendre sans rien faire le grand soir électoral. C’est tous les jours qu’il faut livrer la bataille et non une fois tous les cinq ans dans ce qui n’est trop souvent qu’un simulacre médiatique.

    Q: En quoi consiste la dissidence?

    ♦ A décrypter, à réagir, à désobéir aux décisions inacceptables.

    Q: C’est-à-dire ?

    ♦ Lutter contre l’implantation d’un foyer de clandestins africains dans une petite ville de la France profonde.

    ♦ S’opposer à l’organisation d’un concert de rap (Black M) pour se « divertir » à l’occasion du centenaire de la Bataille de Verdun.

    ♦ Maintenir un arrêté anti-burkini malgré les cris d’orfraie du préfet et du tribunal administratif.

    ♦ Contester des « installations » de non-art contemporain (en fait, d’art financier) dans des hauts lieux du patrimoine.

    ♦ Bref, résister, mobiliser, ne pas plier !

    Q: En quoi est-ce le rôle de Polémia ?

    ♦ Polémia a une fonction d’avant-garde.

    ♦ Dès sa création, en 2002, nous avons abordé la question de l’islamisation et ce sous plusieurs angles : le voile islamique, l’islam et les femmes, mais aussi le caractère insupportable de l’abattage halal et sa quasi-généralisation. En bref, l’incompatibilité de l’islam et de la France.

    Q: Polémia s’est aussi beaucoup investi dans la critique de la tyrannie médiatique.

    ♦ Là aussi nous avons été à l’avant-garde, avec les Journées de la réinformation et la cérémonie des Bobards d’0r. Nous avons ainsi sapé la confiance dans la presse mainstream et déblayé le terrain pour les médias alternatifs.

    Q: Et maintenant ?

    ♦ Le moment est venu de penser et d’encourager la dissidence de terrain et, pour tout dire, la résistance.

    Q: Comment ?

    ♦ De trois manières :

    D’abord, en légitimant des actions de contestation des autorités (ministres, préfets, police, juges), ce qui n’est pas forcément naturel pour tout le monde !

    Ensuite, en valorisant les actions existantes : ainsi Marie-Claude Bompard, maire de Bollène, nous fera part de son opposition au préfet sur le mariage de personnes de même sexe. Robert Ménard, maire de Béziers, de son combat de tous les jours contre le politiquement correct malgré les embûches administratives, judiciaires et médiatiques.

    Enfin, en échangeant entre acteurs des expériences sur l’opposition à la construction de mosquées ou à l’abattage halal.

    Q: Mais encore ?

    ♦ Nous montrerons aussi par des témoignages qu’il suffit souvent qu’une seule personne se lève pour briser le consensus mou de la soumission.

    Q: Des raisons d’être optimistes ?

    ♦ En ouverture, la dissidence des Hongrois qui se sont levés pour protéger les frontières de l’Europe. Un modèle pour la France.

    ♦ En clôture, la résistance corse, terre de tradition, où les musulmans agressifs ne font pas la loi. Un modèle pour le continent.

    Une conclusion ?

    ♦ Rendez-vous samedi 19 novembre à partir de 13 heures, à Cap 15, quai de Grenelle, à Paris (Métro : Bir-Hakeim).

    Polémia, 20/10/2016

    http://www.polemia.com/polemia-deuxieme-forum-de-la-dissidence/

  • Marie Talleu - La Manif Pour Tous à Paris - 16 octobre 2016

  • Mosquée de Bordeaux : Le Front national dénonce Alain Juppé et Vincent Feltesse

    Ce matin, le journal Sud-Ouest consacre un dossier au projet de « mosquée-Cathédrale » soutenu par le maire de Bordeaux, Alain Juppé, et porté par les islamistes de l’UOIF, proches des Frères Musulmans. 
    Dans un communiqué de presse, Le Front national a vivement réagi à ce dossier qui fait couler beaucoup d’encre depuis de nombreuses années. 
    « Contre l’avis unanime des habitants de la Bastide et d’une majorité de bordelais, Alain Juppé et Vincent Feltesse, figures bordelaises de l’UMPS, parrainent et poussent l’implantation d’un grand centre religieux islamique à Bordeaux. Adversaires de façade aux prochaines municipales, l’islamisation de bordeaux les réunit dans «consensus» clair selon les mots du candidat socialiste. 
    Ce projet fou de 20 millions d’euros d’une islamisation au grand jour rencontrera l’opposition non seulement de la population du quartier, mais celle déterminée du Front National. 
    Trop c’est trop. Les bordelais auront l’occasion de dire leur rejet de ce projet lors des élections municipales de 2014 aux cotés de la liste municipale du Front National, qui défendra les valeurs de civilisation qui fondent notre pays et notre société ».
    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Qui se cache derrière le Groupe SOS, qui reloge les clandestins de Calais dans les petits villages?

    Une entreprise tentaculaire aux ramifications mondialistes qui marchandise la santé des Français avec de l’argent public, installe désormais les clandestins de Calais dans nos villages, avec la bénédiction des Préfets.

    Les dirigeants du Groupe SOS ? Un ancien patron de boites de nuit marseillais, un jeune loup adepte des think-thanks atlantistes, et un médecin qui participe à un rapport interministériel sur les LGBTphobies dans les maisons de retraite, Ordo ab Chaos…

    Les 14 000 étrangers en situation irrégulière de la jungle calaisienne vont être disséminés partout en France.

    La jungle de Calais va être entièrement démantelée.

    Ce qui est une très bonne nouvelle pour les Calaisiens, qui souffrent depuis longtemps de la situation. Mais ces clandestins ne vont pas être reconduits aux frontières (les frontières, cela n’existe plus), ils vont être dispersés partout sur le territoire métropolitain. Le plan de l’Empire s’accélère.

    Plus de 14 000 personnes seront ainsi réparties par régions puis départements. Vont être épargnés la Corse suite à la rixe sur la plage de Sisco cet été, et l’Île de France, suite aux récentes tensions à Forges-les-Bains dans l’Essonne1. Une bonne raison de résister, qui prouve une fois de plus que le gouvernement à peur et essaie d’agir au maximum dans l’ombre.

    Depuis quelques jours, un petit village de l’Hérault bouillonne de colère. Sur les 207 clandestins qui vont être installés dans le département, 87 doivent être logés à Saint-Bauzille-de-Putois, une bourgade de 1 800 habitants.

    L’attention de la presse se focalise sur la manière dont est gérée la situation. Le gouvernement impose aux communes, via les préfets, sans discussions préalables et sans l’accord des représentants locaux, ces fournées d’immigrés. Ces étrangers résidant illégalement sur notre territoire sont relogés par les préfets, qui sont supposés être en charge des intérêts nationaux, et du respect des lois, c’est à dire que ce sont les hauts fonctionnaires qui organisent l’implantation sur le territoire d’étrangers hors-la-loi, une situation orwellienne ! C’est une véritable déclaration de guerre de l’Etat à sa population.

    Le maire du village de Bauzille-de-Putois, Michel Issert, parle de « diktat de la Préfecture », et enrage d’avoir été « mis devant le fait accompli, sans concertation »2.

    Mais un détail de cette affaire, qui commence à faire du bruit, à été très peu commenté. Les clandestins doivent être installés dans un centre de loisirs qui porte le doux nom de Lutins Cévenols, et dont on apprend qu’il est géré depuis quelques années par SOS solidarités.

    Le Groupe SOS : le géant du secteur sanitaire et social, une structure tentaculaire et boulimique, inconnue du grand public.

    SOS solidarités ? Mais qu’est-ce que c’est ? Une énième association de bénévoles ?

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  • [COMMUNIQUÉ] NOUVELLE AGRESSION DES "ANTIFÂ" CONTRE L’ACTION FRANÇAISE PROVENCE : UNE FEMME ENCEINTE MATRAQUÉE !

    Ci-dessous le communiqué de L’Action française Provence sur la lâche agression des nervis "antifâ", qui n’ont pas hésité, avec le courage qui les caractérise, à "intervenir" après le départ de la majorité des participants à la réunion et à matraquer les femmes, dont une est enceinte.

  • Trump remporte le second débat présidentiel haut la main !

    Je suis peut-être l’une des rares personnes de mon entourage à avoir apprécié la performance de Donald Trump lors du premier débat qui l’opposait à Hillary Clinton le 26 septembre dernier.
    Contrairement au public de ses meetings et tout acquis à sa cause, il devait ce soir-là convaincre qu’il n’était pas le fou furieux incapable de se contrôler que les médias décrivent de lui à longueur d’articles, de reportages, de débats et de flash info. Confronté à deux adversaires – le modérateur et sa concurrente – interrompu inlassablement sur des questions sans intérêts, il a su faire preuve du calme, de la patience et du self control qu’on attend d’un homme qui prétend accéder à la fonction qu’il brigue. J’ai été aussi surprise par sa performance que par celle du médecin de Mme Clinton, qui elle, avait pour principal défi de faire taire les inquiétudes suscitées par son état de santé.
    Bien qu’elle ne se soit pas écroulée ni étouffée en cours de débat, sa condescendance naturelle, son sourire digne des pires caricatures d’elle-même et cette façon détestable de manquer de respect à son interlocuteur qui a très bien fait de ne pas en faire autant à son égard lui ont couté cher dans les sondages. Contrairement à ce que la presse nous a annoncé, le grand gagnant de ce premier round fût lui. Et je n’en suis pas surprise.

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