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  • Comment Poutine a gagné la guerre sans la faire

    6a00d83451619c69e201bb0987c2eb970d-800wi.pngThomas Flichy de La Neuville et Eloi Minjoulat-Rey signent un petit ouvrage de géopolitique intitulé Et la Russie sortit du tombeau, aux éditions Terra Mare. Le nouveau président des États-unis a récemment entamé des pourparlers avec la Russie. Les auteurs montrent que ce rapprochement russo-américain n’a rien d’inhabituel. Déjà, en 1863, la marine impériale russe était accueillie en grande pompe à New York. La Russie soutenait alors l’Union contre la Grande-Bretagne.

    Cherchant à se désenclaver, la Russie s'est aussi rapprochée de la Turquie pour accentuer sa présence navale en Méditerranée orientale. Poutine a cherché à constituer un angle russe en Syrie, Égypte et Libye tout en s’implantant au Maroc. Au Levant, Vladimir Poutine s’est imposé comme le pivot des négociations. Mais la Russie ne s’arrête pas là puisqu'elle négocie également avec Israël, l’Arabie Saoudite, l’Inde ou encore le Japon, de façon à mettre fin à l’unilatéralisme américain. Dans cette affaire, c'est l'Union européenne qui risque de se retrouver bien isolée. Extrait :

    "Hier, la France décidait de suspendre certaines exportations agricoles vers la Russie. Aujourd'hui, la Russie, fortifiée par ce jeûne forcé, est en passe de redevenir la grande puissance agricole qu'elle avait été avant 1917 : ses exportations agricoles lui rapportent davantage que les ventes d'armes. Pour M. Obama, qui a soutenu avec une grande constance les groupes djihadistes du Moyen-Orient à l'encontre de la Russie, le bilan de fin de règne est pour le moins amer : non seulement les Etats-Unis ont échoué à se rapprocher efficacement de l'Iran, mais encore, ils ont perdu leur seule carte maîtresse dans la région : la Turquie."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marine Le Pen : l’Union européenne “est une passoire à gros trous” pour les produits comme pour l’immigration

    Après François Fillon, Jean-Luc Mélenchon ou encore Benoît Hamon, Marine Le Pen était d’être l’invitée ce lundi de la matinale spéciale présidentielle de 7h30 à 9 heures.

    Si Marine Le Pen est élue, elle proposera dans un délai de six mois un référendum sur le maintien dans la zone Euro. Avec un enjeu très clair. “Si c’est non, je partirai“, assure-t-elle.

    Les Français auront choisi un modèle de gouvernance imposé par l’Union européenne et 70% de mon projet ne pourrait pas être mis en œuvre. Et je leur laisserai la possibilité de se choisir un nouveau président.

    Pour Marine Le Pen, “il est évident que la France a un héritage chrétien. C’est une réalité. Et cet héritage appartient à tous les Français, quelle que soit leur croyance“, assure Marine Le Pen.

    Il faut accepter l’intégralité de l’histoire de France. C’est l’héritage chrétien, romain, grec. C’est une structuration de notre pensée, de nos institutions. C’est refuser de faire le tri dans cette histoire. On ne trie pas, comme le font certains, comme M. Macron. C’est avoir des codes communs, se scandaliser pour les mêmes choses.

    Par ailleurs, Marine Le Pen condamne avec fermeté les prières de rue de musulmans de Clichy-La-Garenne privés de lieux de culte.

    Je trouve ça profondément scandaleux. C’est une violation de la loi et une provocation. On peut réclamer des choses, mais quand on ne les obtient pas, on n’organise pas des manifestations de ce type.



    Marine Le Pen : l'Union européenne "est une… par Europe1fr

    https://fr.novopress.info/

  • Contre-attaque trumpienne : Devin Nunes déclenche « Obamagate »

    Obama, dont les proches disaient qu’il allait « maintenant » intervenir dans le discours public, est resté coi.

    Cela fait plus de quatre mois que Soros, Pelosi et leurs sicaires « maïdanisent » Donald Trump. Des centaines de millions investis, destinés à convaincre l’opinion que le président Trump sera de toute façon déposé.

    Les fuites sur les rencontres (légales) du général Flynn avec l’ambassadeur de Russie avaient ainsi causé la perte de celui qui prévoyait un coup de balai dans le secteur du renseignement et de l’espionnage, et qui prônait une association géostratégique avec deux anciens empires : la Russie et la Turquie. Fuites qu’Obama avait favorisées en modifiant, la veille de son départ, les règles de partage des données entre les agences de renseignement (afin de compliquer toute enquête ultérieure sur les fuiteurs). Effectivement, ça fuitait comme à Gravelotte ! Puis l’attaque du 1ermars – au lendemain du remarqué discours de Trump au Congrès – visa le ministre de la justice Jeff Session. Accusé de traîtrise pour avoir rencontré l’ambassadeur russe dans le cadre de ses fonctions sénatoriales, il dut sauver sa peau en acceptant de se désister dans toute enquête de son ministère portant sur « les ingérences russes ». Le FBI en roue libre…

    Or, depuis le 4 mars, plus de fuite majeure ! Obama, dont les proches disaient qu’il allait « maintenant » intervenir dans le discours public, est resté coi.

    Et pour cause : par une série de pirouettes twittoresques, Trump accusait, le 4 mars, Obama de l’avoir mis sur écoute, en questionnant la légalité. Dénégations de l’entourage d’Obama sur un ton rappelant le juridisme clintonien, suivies d’une massive campagne médiatique présentant le président comme un menteur. 

    Un « menteur » qui a su faire oublier l’affaire Session pendant un mois et qui a neutralisé (les fuiteurs devenant nerveux) sa mise à mort prévue le 20 mars dernier, lors de la première session publique du House Intelligence Committee de la Chambre des représentants, en présence des patrons du FBI et de la NSA précisément. La réunion « bipartisane » a, certes, permis à Comey (FBI) de « révéler » que la campagne Trump était sous enquête depuis juillet 2016, a fait comprendre qu’il n’avait aucune intention de mener une enquête sur l’illégalité des fuites anti-Trump et que les accusations de Trump sur ses écoutes par Obama n’étaient pas fondées. Ce ne fut pas la catastrophe prévue, mais tout de même, ce fut un coup dur pour Trump qui passait officiellement au statut d’accusé pour les mois à venir.

    Or, deux jours après, Devin Nunes, le président dudit House Intelligence Committee (!) change la donne. Il organise une série de conférences de presse (dont une à la Maison-Blanche), explique qu’il dispose de « sources » en provenance de lanceurs d’alerte semble-t-il écœurés par le comportement de leurs hiérarchies. Qui allèguent que les agences de renseignement (donc Obama) auraient potentiellement détourné la loi en trouvant des moyens légaux d’utiliser l’appareil d’État pour détruire un opposant politique, leur permettant de ratisser des informations sur Trump et son entourage, informations sans importance pour la sécurité nationale mais constitutive d’un terreau de rumeurs potentielles, et surtout sans rapport avec la Russie. Nuance importante : ici, le ministre Jeff Session peut agir en pleine capacité et lancer une enquête indépendante au sein de son ministère avec convocation d’un grand jury, tout en mettant Comey au pas… pour lancer le cas « Obamagate » et associés. Vastes perspectives…

    http://www.bvoltaire.fr/contre-attaque-trumpienne-devin-nunes-declenche-obamagate/

  • Marine Le Pen défend les racines chrétiennes de la France

    C'était ce matin sur Europe 1


    Marine Le Pen : "Être français, c'est accepter... par Europe1fr

    Extrait : 

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marion Maréchal-Le Pen sera dans le Loiret le mardi 28 mars en réunion publique à Saint Jean le Blanc. Entrée Gratuite.

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  • La Guyane s’invite dans la campagne - Journal du lundi 27 mars 2017

  • Selon un sondage, une majorité d'Européens veulent une interdiction de l'immigration venant des pays musulmans

    Un sondage mené par le think tank britannique Chatham House révèle que 55% des Européens veulent que l'immigration en provenance de pays musulmans soit stoppée. 
    Une étude réalisée par le think tank britannique Chatham House, également connu sous le nom de Royal Institute of International Affairs, démontre que 55% des Européens veulent une interdiction de l'immigration venant des pays de confession musulmane, rapporte The Independent. 
    Les Français favorables à une interdiction 
    Le sondage, réalisé auprès de dix pays européens avant que le président américain Donald Trump ne signe son décret interdisant l'entrée sur le territoire des Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans, révèle en outre que huit sur dix des pays consultés sont opposés à cette immigration. 
    Dans le détail, la Pologne est le pays où cette opposition est la plus forte, avec 71% des Polonais favorables à cette interdiction. Viennent ensuite l'Autriche (65%), la Hongrie (64%), la Belgique (64%) et la France (61%). Les Britanniques, eux, sont 47% à être favorables à ce genre de blocage.
    L'Espagne, plus fort taux de désapprobation 
    A noter que seuls 16% des Français se disent opposés à une telle mesure, contre 32% des Espagnols. L'Espagne est le pays interrogé où l'idée d'une interdiction de l'immigration musulmane rencontre le plus faible taux d'approbation (41%). 
    L'étude des résultats par catégorie d'âge démontre que les personnes les plus âgées sont les plus favorables à une interdiction de l'immigration des musulmans, tandis que les moins de 30 ans y sont les plus opposés.