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25 août : projection de La Rébellion cachée à Guérande
Pour organiser une projection de ce « docufilm que les catholiques attendaient » dans votre paroisse, contactez rebellion.rabourdin@gmail.com
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Zoom d’été : A la rencontre de Romaric Sangars
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NE PAS SE TROMPER D’ENNEMI (2) : L’HÉRITAGE CALAMITEUX DE BARACK OBAMA
Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.
Faute de désigner clairement un ennemi, le mandat de Barack Obama a été calamiteux. Il a, en fait, rapatrié l’ennemi, en donnant la priorité au combat de l’Amérique contre elle-même, en privilégiant le progressisme à l’intérieur et donc la lutte contre le conservatisme sociétal et social, tout en prétendant exporter les valeurs américaines de tolérance à l’extérieur. Le conservatisme, voilà l’ennemi, tel est le slogan qui peut résumer son action et qui a tellement plu à notre microcosme national dont Macron est le fleuron. Cela a conduit à encourager la renaissance de l’islam et à imaginer sa compatibilité avec la démocratie lors du discours du Caire et à s’opposer systématiquement à la Russie qui, par un incroyable retournement, est devenue la championne du conservatisme, le paradigme du patriotisme identitaire. La pression à l’intérieur comme à l’extérieur pour que des droits soient reconnus en fonction de la pratique sexuelle, par exemple, restera une marque de l’ère Obama, que l’on considère davantage comme un signe de décadence au pays de Poutine.
Les « principes de progrès, de tolérance et de justice communs à l’islam et aux États-Unis » évoqués par le président des États-Unis au Caire suffisent à souligner son degré d’ignorance ou de mauvaise foi. Rien, dans l’histoire de l’islam, ne vient étayer ce discours séducteur et mensonger. Depuis, les Occidentaux savent à quoi s’en tenir, puisque les islamistes font régner, partout où ils le peuvent, la régression, le fanatisme et la ségrégation entre hommes et femmes, croyants ou non-croyants. La haine et la violence barbare et sans limite qu’elle engendre désignent clairement l’ennemi : notre civilisation, sous ses deux formes pourtant très distinctes : chrétienne et hédoniste. Il faut être aveugle pour ne pas voir que nous sommes la cible. Malgré l’écrasement, bien tardif et poussif, de l’État islamique, le mal s’est répandu sous de multiples formes. Jamais l’image de l’hydre n’a été plus adaptée. Or, Washington s’est concentré avec mollesse sur une seule tête, pendant qu’il en nourrissait ou en caressait d’autres.
Étrangement, ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental. Il s’accentue même depuis l’élection de Donald Trump. Celui-ci doit avoir une idée plus lucide de l’ennemi, mais il est obligé en permanence d’éviter les mines semées par son prédécesseur, et que renforcent parfois ses « amis » adeptes du politiquement correct. Obligé de communiquer prioritairement par les réseaux sociaux, il est constamment en butte à l’inquisition médiatique et à la mobilisation des organisations gauchistes, spécialistes des manifestations musclées. Harcelé continuellement par les soupçons sur les relations de son entourage avec la Russie dont on se demande bien comment elle aurait pu, si peu que ce soit, modifier le résultat des élections, il navigue à la godille, bombardant les Syriens un jour, suspendant l’aide aux rebelles le lendemain, et approuvant de mauvais gré de nouvelles sanctions contre la Russie le surlendemain. Le Congrès, pour une fois largement républicain avec un président du même parti, est loin de le soutenir. On se demande parfois si, dans les rédactions occidentales, et pour le microcosme qui définit et impose l’idéologie du politiquement correct, Trump n’est pas l’ennemi absolu, en tant que symbole vivant du conservatisme populaire, « élu des ploucs », pensent-ils très fort, tandis que l’islamisme ne serait que la conséquence passagère et excusable de tout ce que l’Occident a fait subir au reste du monde. À domicile, ce combat aveugle et suicidaire se pare du voile moralisateur de l’antiracisme. (À suivre.)
http://www.bvoltaire.fr/ne-se-tromper-dennemi-2-lheritage-calamiteux-de-barack-obama/
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L'enfer du Pacifique - Ils ont filmé la guerre en couleur
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La petite histoire : 1940 : le rôle oublié des Français de Dunkerque
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Jean-Marie Le Pen a terminé le 1er tome ses mémoires
Environ 500 pages dans lesquelles il retrace les souvenirs de son enfance jusqu'à la fondation du Front national, en 1972.
Parution prévue en janvier ou février 2018.
L'écriture du tome 2 est bien avancée. A tel point qu'il pourrait également être publié dans le courant de l'année 2018.
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Les iconoclastes, de Cromwell à Daech Conférence de Robert Steuckers à Lille
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Joie contagieuse
Une jeune femme de 21 ans a filmé la réaction de son petit frère à chaque fois qu'elle rentrait à la maison et passait le chercher à l'improviste. David, âgé de 15 ans et atteint de trisomie 21, est tout simplement surexcité lorsqu'il voit débarquer sa grande sœur.
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QUELLE GUERRE ?
Pieter Kerstens
Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Contre qui ? Combien ?
Autant de questions auxquelles les responsables politiques répondent inlassablement et sans variante : « nous sommes en guerre contre le terrorisme ! ».
De Nice à Londres, de Stockholm à Barcelone, en passant par Berlin, les tueries barbares se succèdent.
On nous parle de voitures « folles » ou de camions « béliers ». Les conducteurs sont « déséquilibrés », sous l’emprise de médicaments ou alors totalement « bourrés ». La piste psychiatrique est maintenant systématiquement privilégiée…
En conclusion, depuis 2 ans, de plus en plus de piétons sont des victimes malheureuses des accidents de la circulation.
Mais, prudence, prudence, on doit absolument sanctifier le « Vivr’ensemble ».
Il ne faudrait tout de même pas jeter de l’huile sur le feu… Et c’est pourquoi la mafia politico-médiatico-financière impose dès lors une langue de bois, alors que pour toutes ces tueries, les assassins sont dans une très large majorité des musulmans et que la comédie atteint le grotesque quand la presse Internet/TV /Radio nous diffuse les témoignages des voisins ou de la famille vantant les qualités (il était « si gentil », « travailleur », « sans problèmes », « timide ») de chacun des terroristes, sans que les journaux écrivent leurs prénoms : Saïd, Mohamed, Hassan , Abdeslam, Younes, Abdul ou Fayçal…
Quand NKM avait prise une claque à Paris durant la campagne des législatives, TOUS LES MEDIAS se sont empressés de diffuser le nom, le prénom et l’adresse du coupable, qui a été jugé en 4ème vitesse : mais lui, ce n’était pas un rebeu !
Les gouvernements nous prennent pour des imbéciles.
Si tous ne s’en rendent pas encore compte, les électeurs restent chez eux, écœurés par les bassesses et la veulerie des pourriticards du « politiquement correct ».
Une réaction des mougeons * n’est pas à exclure. Certains d’entre eux ouvrent lentement les yeux et découvrent que depuis des années nos gouvernants, nos politiques, nos institutions et la majorité de nos concitoyens font preuve de déliquescence morale, de décadence intellectuelle et d’un aveuglement prononcés.
Une minorité grandissante estime nécessaire la restauration des valeurs ancestrales qui ont permis à l’Europe de diffuser sa culture et de défendre sa civilisation, par-delà les mers et au travers des siècles, à l’opposé de ce que l’on nous apprend.
Un peuple qui se respecte, venge ses morts.
Et ce n’est pas avec des pleurnicheries, des repentances, des fleurs, des devoirs de mémoires, des flagellations, des bougies, des culpabilisations et des doudous que l’on se débarrassera des fanatiques musulmans qui tuent nos enfants !
*½ mouton ½ pigeon « En marche ».