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Fausse nouvelle : la grosse presse tombe dans le panneau de la mort d'un journaliste russe
Comme il s'agissait de s'en prendre à Poutine, la presse a sauté à pieds joints :
En insistant lourdement sur la piste russe :"Opposé à l’annexion de la Crimée, en 2014, et à la guerre menée par Moscou dans l’est de l’Ukraine, il s’était mué en critique virulent du régime de Vladimir Poutine. Il avait fui la Russie en février 2017 après avoir reçu des menaces de mort, consécutives à une violente campagne sur Internet et sur les télévisions russes, où il était désigné comme un traître et un fasciste et son visage livré en pâture aux téléspectateurs. « Cela fait dix ans que j’ai peur, expliquait-il au moment de son départ. Quand tu es dissident en Russie, on peut te tuer, on peut t’emprisonner... »Il s'agissait d'une fausse nouvelle, mise en scène par le gouvernement ukrainien :
"Les autorités ukrainiennes ont annoncé, mardi 29 mai, la mort du journaliste russe, critique du Kremlin, Arkadi Babtchenko, ajoutant que le meurtre avait été "commandité par les services spéciaux russes". Mais retournement de situation, mercredi 30 mai. Le journaliste en question est apparu, bien vivant, lors d'une conférence de presse du chef de la Sécurité d'Etat ukrainienne. Le gouvernement urkainien a expliqué avoir mis en scène le meurtre pour déjouer un assassinat commandité par la Russie. "Grâce à cette opération, nous avons réussi à déjouer une provocation cynique et à documenter les préparatifs de ce crime par les services spéciaux russes", a déclaré le chef des services ukrainiens de sécurité Vassyl Grytsak, aux côtés du journaliste, précisant que cette "provocation" consistait à assassiner ce dernier."
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JEAN-FRÉDÉRIC POISSON : « L’UNION EUROPÉENNE FAIT UN VÉRITABLE COUP D’ÉTAT EN ITALIE ! »
L’Italie occupe le devant de la scène politique ; le Mouvement 5 étoiles et la Lega, grands vainqueurs des dernières élections, ont présenté un candidat au ministère des Finances italien, Paolo Savona, connu pour ses positions ouvertement anti-euro. Candidature refusée par le président de la République italienne qui, sous la pression de l’Union européenne, a choisi Carlo Cottarelli, ancien responsable du FMI, pour gérer les affaires courantes avant la tenue d’élections anticipées.
Réaction de Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, au micro de Boulevard Voltaire.
http://www.bvoltaire.fr/l-union-europeenne-veritable-coup-detat-italie/
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Jérôme Bourbon Rivarol ou la Presse indépendante de droite
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Editorial de la 1ère UDT du Pays Réel, par le Père Joseph, O.F.M
« Pour la reconstruction d’une France catholique et française »
Chers amis,
Nous sommes très heureux de vous inviter à la première université du Pays réel, organisée par Civitas, qui se tiendra du 16 au 18 août 2018 près de Poitiers. Nous vous convions à ne pas manquer ce rendez-vous qui sera d’une haute importance pour tous ceux qui aiment la France, qui sont décidés à ne pas la laisser aux mains des bradeurs et des liquidateurs, pour tous ceux qui ont déjà retrouvé des raisons d’espérer ou qui désirent en retrouver.
Si nous nous adressons d’abord aux jeunes, nous souhaitons la présence de tous ceux qui sont résolus de combattre avec nous la secte maçonnique dont le but immuable est de sectionner définitivement les racines chrétiennes de la France.
Aussi notre université d’été, aux antipodes d’un langage convenu, s’emploiera à démontrer comment et pourquoi l’idéologie au pouvoir des droits de l’homme constitue un poison mortel. Sous couvert de liberté, elle a fabriqué un peuple d’esclaves manœuvré par une poignée d’oligarques, imbéciles ou pervers, pour qui la France n’est pas une terre mais une idée que l’on triture à sa guise.
Loin de nous contenter de stigmatiser la guerre que mène le pays légal contre le pays réel (1), nous vous exposerons aussi le programme de nos réponses théoriques et pratiques pour la reconstruction d’une France catholique et française.
Nous ne vous dissimulons pas notre espérance de persuader ceux qui nous ferons l’honneur de leur présence que nous disposons des réponses vraies. Ce n’est point là une prétention exorbitante mais c’est au contraire l’affirmation humble de ceux qui savent que « la civilisation n’est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées. Elle a , elle est, c’est la civilisation chrétienne, c’est la cité catholique. Il ne s’agit que de l’instaurer et de la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l’utopie malsaine, de la révolte et de l’impiété ». (2)
Connaître, enseigner les principes de l’ordre naturel et surnaturel, nous soumettre et les mettre en pratique : tel est notre programme et telle est aussi notre force. Là se trouve l’explication de la surprenante dynamique d’un mouvement privé de tous les moyens humains pour réussir mais qui progresse peu à peu sur l’échiquier politique. Rejoindre le pays qui ne veut pas mourir et découvrir le Catholicisme vrai, c’est aujourd’hui bien possible par l’intermédiaire de Civitas.
Nous nous adressons aux patriotes, aux catholiques, aux hommes de bonne volonté. Nous misons sur notre langage de vérité pour convaincre vos intelligences, sur notre enthousiasme pour stimuler les vôtres et sur la grâce de Dieu pour toucher vos cœurs.
Quiconque a l’espérance du redressement de notre pays et est fermement disposé à y apporter sa quote-part est le bienvenu à notre université d’été pour nous y entendre et, s’il le veut, s’associer à notre œuvre de reconstruction que nous confions au Coeur Douloureux et Immaculé de Marie.
Père Joseph (3), O.F.M.
Morgon, le 5 mai 2018, en la fête de saint Pie V, Pape et Confesseur.
(1) Thème de cette première UDT : « Les droits de l’homme contre le Pays Réel »
(2)Saint Pie X in « Notre charge apostolique »
(3)Ex-abbé Régis de Cacqueray-Valménier
Toutes les informations pratiques sont sur le site de la 1ère UDT du Pays Réel : www.udt-du-pays-reel.com
. Vous inscrire à la 1ère UDT du Pays Réel : http://udt-du-pays-reel.com/?page_id=6
http://www.medias-presse.info/editorial-de-la-1ere-udt-du-pays-reel-par-le-pere-joseph-o-f-m/92529/
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Mai 68 • LʼEmpire U.S. contre-attaque [5]
Par Rémi Hugues
Dans le cadre de la sortie de son ouvrage Mai 68 contre lui-même, Rémi Hugues a rédigé pour Lafautearousseau une série dʼarticles qui seront publiés tout au long du mois de mai.
LʼU.N.E.F.
La grande centrale du syndicalisme étudiant français, lʼU.N.E.F., entretenait des « relations bilatérales continues et cordiales »[1]avec lʼUnited National Student Association (U.S.N.S.A.), un syndicat étudiant américain né en août 1947 à Madison, dans le Wisconsin. Ses fondateurs, Alice Horton et Bill Ellis, lʼont créé en vue dʼen faire la branche américaine de lʼUnion internationale étudiante (U.I.E.), première organisation internationale étudiante à voir le jour, le 17 novembre 1946 à Prague, notamment sous lʼimpulsion de lʼU.N.E.F.
Or, suite au coup de Prague de 1948, Al Lovenstein, président de lʼU.S.N.S.A., organise à Stockholm une conférence qui amène à la création de la Conférence internationale étudiante (C.I.E.). Celle-ci devient ainsi lʼinternationale étudiante pro-américaine quand lʼU.I.E. tend à être son pendant pro-soviétique. À partir de ce moment-là lʼU.S.N.S.A. devient une antenne de la C.I.A., qui sʼen sert pour « obtenir des informations sur les activités internationales des syndicats étudiants »[2] LʼU.S.N.S.A. reçoit de généreux subsides de la part de la C.I.A. Le service de sécurité extérieure américain « finance secrètement une partie du programme de sa commission internationale. »[3] Son soutien financier sʼélève à 200 000 $ annuels.
Grâce à cette collaboration, lʼU.S.N.S.A et la C.I.E. disposent de « ressources financières importantes qui leur permettent dʼêtre omniprésentes sur la scène internationale »[4]. Mais cette collaboration suscite un scandale quand elle est révélée publiquement. Jean Lamarre évoque « la divulgation en 1967 par la revue Ramparts du soutien financier que la Central Intelligence Agency (CIA) accordait à lʼU.S.N.S.A depuis le début des années 1950 »[5].
Dans les années 1960, lʼU.N.E.F., en situation de crise aiguë, avait précisément besoin dʼargent. Ses effectifs avaient fondu, ce qui avait provoqué une situation de banqueroute. Elle était en outre minée par des jeux dʼappareil, entre une aile modérée – lʼentrisme du Parti socialiste unifié (P.S.U.) – et une aile radicale – lʼentrisme trotskiste –.
La Fédération des étudiants révolutionnaires (F.E.R.) sʼingénia à « provoquer une certaine terreur dans la direction, en faisant, de temps à autre irruption à son siège, 15, rue Soufflot, pour menacer, et parfois molester, ses dirigeants. Peu avant Pâques, la situation est telle que la direction de lʼU.N.E.F. est obligée de se réunir à Bois-Colombes, cité universitaire et à municipalité communiste. Venus saboter la réunion et prendre de force la direction de lʼU.N.E.F., les militants de la F.E.R. tombèrent à la fois sur un service dʼordre policier classique et les ʽʽgros brasʼʼ du P.C.F. La F.E.R. bat en retraite […]. Quelques jours plus tard, à Pâques, la F.E.R. se venge à la Sorbonne, en contraignant Perraud, président de lʼU.N.E.F., à démissionner, ʽʽà cause de sa mollesse, de son incapacité et de ses échecs.ʼʼ À cette occasion, Jacques Sauvageot, vice-président, prend la tête de lʼU.N.E.F., en attendant le prochain congrès prévu alors pour juillet à Caen. »[6]
Entre temps eurent lieu les événements de Mai 1968, où Sauvageot occupa un rôle majeur puisquʼil fit partie du groupe assurant la direction du mouvement. Il avait obtenu son poste à la tête de lʼU.N.E.F. suite à un coup de pression des trotskistes de la F.E.R., le mouvement de jeunesse de lʼOrganisation communiste internationaliste (O.C.I.), fondé et dirigé par lʼouvrier du livre encarté à F.O. Pierre Lambert (son vrai nom étant Boussel).
À la fin du mois de mai, la veille du meeting du stade Charléty, F.O., ce syndicat piloté par les Américains, avait participé à la coalition qui avait tendu la main aux trotskistes de la direction du mouvement de contestation dans le but de soutenir le projet de remplacer de Gaulle par lʼ « atlantiste »[7] Pierre Mendès France. Le 27 mai « des ambassadeurs du PSU, de la CFDT, de FO, des ʽʽpersonnalitésʼʼ se sont rencontrés en présence de Mendès. Krivine aurait reçu un carton dʼinvitation. À lʼordre du jour : un gouvernement de transition qui accorderait sa place au ʽʽcourant de maiʼʼ. »[8]
Alain Krivine appartenait à une autre obédience du trotskisme français que lʼO.C.I. Il animait la Jeunesse communiste révolutionnaire (J.C.R.), « quʼon prononce en Sorbonne la ʽʽJcreuʼʼ »[9], qui avait été fondée le 2 avril 1966. Dans une logique dʼouverture, la J.C.R. incitait ses militants à adhérer également au sein de lʼU.N.E.F. À Nanterre, dʼoù est parti Mai 68 avec le Mouvement-du-22-mars, son représentant est aussi membre de la J.C.R. : « Lʼannexe nanterroise du syndicat étudiant est à peu près aussi déliquescente que le bureau national et nʼattire que les mandataires de factions rivales qui sʼétripent en dʼinterminables assemblées générales où la victoire revient au plus endurant. Le bureau est ʽʽtenuʼʼ par un trotskiste mélomane, Jean-François Godchau, membre de la JCR dʼAlain Krivine. »[10]
En réalité, comme lʼaffirme Claude Paillat, durant la crise de Mai, celle-ci a occupé la fonction dʼinfrastructure organisationnelle de lʼU.N.E.F. « Il est évident quʼau cours des événements de mai-juin, lʼU.N.E.F. était tellement désorganisée, affaiblie par ses dissensions, ses dettes, son recul aux élections de facultés, quʼelle nʼétait plus capable dʼassurer la moindre action. Cʼest donc principalement la J.C.R. qui soutient, conseille, prépare le travail de lʼU.N.E.F. »[11] Lors de la création du Mouvement-du-22-mars, puis lors de la première émeute de grande ampleur, le 3 mai à la Sorbonne, J.C.R. et U.N.E.F. étaient effectivement présents.
On peut noter, enfin, quʼun syndicat étudiant américain autre que lʼU.S.N.S.A, le Students for a Democratic Society (S.D.S.), fondé par Tom Hayden, a concouru à lʼexaltation de la colère étudiante contre le gouvernement quand elle nʼétait quʼà ses prémices. Le 28 mars 1968, le doyen Grappin, à cause de lʼoccupation la tour de la faculté de lettres de Nanterre, décide de suspendre les cours et de fermer pour quelques jours lʼuniversité. Quand Nanterre est rouverte, ils sont mille deux cents jeunes à se rassembler pour écouter Karl Wolf, président de la branche allemande S.D.S., venu soutenir la contestation étudiante.
Les « enragés » de Mai 1968, qui se réclament du communisme le plus intransigeant, nʼeffrayent en rien les autorités américaines. Ce qui est pour le moins paradoxal. Au contraire elles voient dʼun bon œil cette révolte estudiantine contre le pouvoir gaulliste.
Vincent Nouzille écrit que « lʼambassadeur Shriver donne pour consigne à ses équipes dʼaller au contact de ce mouvement étudiant imprévisible. Lui-même, un libéral passionné par les courants de protestation aux États-Unis, se rend plusieurs fois rive gauche afin de prendre la mesure des manifestations. La résidence de lʼambassadeur, près de lʼÉlysée, se transforme en lieu de rencontres informelles, ouvert du matin au soir à de longues discussions entre professeurs, étudiants, fonctionnaires du ministère de lʼÉducation et diplomates. Un de ses conseillers, Robert Oakley, est chargé de monter un ʽʽcomité de jeunesseʼʼ parallèle à lʼambassade pour dialoguer avec des leaders étudiants ou politiques »[12]. En quelque sorte un comité de parrainage destiné à la jeunesse contestataire de France, si utile aux Américains, que de Gaulle exaspère au plus haut point.
Lʼextrême-gauche
Lʼalliance entre U.N.E.F. et révolutionnaires professionnels est visible durant la crise de mai-juin 1968. Par exemple, à lʼintérieur du Mouvement-du-22-mars ou lors de la première nuit dʼémeute dans le Quartier latin. Également, lorsque le mouvement sʼessouffle, suite à lʼannonce de la dissolution de lʼAssemblée nationale entraînant la tenue dʼélections législatives ainsi quʼà la grande marche pro-de Gaulle du 30 mai, le syndicat étudiant et les gauchistes entendent continuer les manifestations, dénonçant le principe du vote comme étant le moyen le plus efficace de museler les réelles aspirations populaires, un piège à cons en somme. « LʼUNEF est seule, le 1er juin, à organiser un défilé de Montparnasse vers Austerlitz. La CGT désavoue, le PC aussi, la CFDT sʼexcuse, le PSU se divise. Cohn-Bendit, Geismar, Sauvageot, Krivine, suivis de vingt mille obstinés, traversent le quartier Latin, drapeaux rouges et noirs en tête, et rodent leur nouveau slogan. ʽʽÉlections, tahisons !ʼʼ »[13] (Dossier à suivre) •
[1] Jean Lamarre, « Les relations entre les mouvements étudiants américain et français dans les années 1960. Une méfiance cordiale », Vingtième siècle, n° 129, janvier-mars 2016, p. 130.
[2] Ibid., p. 129.
[3] Idem.
[4] Idem.
[5] Ibid., p. 127.
[6] Claude Paillat, Archives secrètes. 1968/1969 : les coulisses dʼune année terrible, Paris, Denoël, 1969, p. 67.
[7] Hervé Hamon, Patrick Rotman, Génération. Les années de rêves, Paris, Seuil, 1987, p. 555.
[8] Ibid., p. 554.
[9] Ibid., p. 302.
[10] Ibid., p. 389.
[11] Claude Paillat, op. cit., p. 59-60.
[12] Vincent Nouzille, Des secrets si bien gardés. Les dossiers de la Maison-Blanche et de la CIA sur la France et ses présidents (1958-1981), Paris, Fayard, 2009, p. 199-200.
[13] Hervé Hamon, Patrick Rotman, op. cit., p. 560.
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Joris Hébrard, maire FN du Pontet : "Je crains que nous allions vers de graves événements"
Au Pontet, dans le Vaucluse, des militants turcs ont saccagé un kiosque à journaux, arrachant des affiches publicitaires du « Point » qui titrait « Le dictateur » sur une photo de leur président vénéré. Joris Hébrard, le maire FN, réagit dans Minute :
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L’Italie s’enfonce dans une crise politique majeure
EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
C’est une confrontation sans précédents entre les partis et les institutions représentées par le Président dont le rôle est de veiller à l’équilibre institutionnel du pays. Le Mouvement 5 étoiles a réagi en invoquant l’amendement 90 de la Constitution qui permet de mettre le chef de l’Etat en accusation devant le Parlement italien pour haute trahison ou atteinte à la Constitution.
Comment on est-on arrivé là ?Cela fait 85 jours que l’Italie se cherche un gouvernement, après les élections législatives du 4 mars. Les deux premiers partis, le Mouvement 5 étoiles et la Ligue, avaient décidé de s’allier le 17 mai, malgré leurs antagonismes. Il y a trois jours, ils nommaient Giuseppe Conte président du conseil, pour former un gouvernement. Or, le président Sergio Mattarella a rejeté dimanche soir sa proposition, refusant l’attribution du ministère de l’Économie à Paolo Savona, économiste eurosceptique. Devant ce refus, Giuseppe Conte a jeté l’éponge. Le président italien a désigné Carlo Cottarelli, incarnation de l’austérité budgétaire et ancien haut responsable du Fond Monétaire International, pour diriger le pays vers de nouvelles élections.
Les réactions se sont fait rapidement sentir
« L’Italie n’est pas un pays libre, c’est un pays occupé financièrement, pas militairement, par les Allemands, par les Français et par les bureaucrates de Bruxelles», a réagi Matteo Salvini de la Ligue. Pour Nicolas Dupont-Aignan, M. Mattarella a été « désigné non par les Italiens mais par l’ancienne majorité parlementaire du Parti Démocrate laminée aux élections. Il n’a aucune légitimité pour bloquer un ministre issu de la nouvelle majorité ». Le FN a dénoncé, lui, « un coup d’État » et un « fascisme financier » de l’Union européenne en Italie.
https://fr.novopress.info/210957/litalie-senfonce-dans-une-crise-politique-majeure/
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Zoom - Henri-Christian Giraud : l'énigme De Gaulle à Baden-Baden
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Nouveaux et anciens hybrides (délinquants radicalisés)
Le procureur François Molins ne cachait pas hier ses craintes en expliquant que 40 islamistes en lien avec des activités terroristes sortiraient des prisons françaises d’ici 2019. Les autres pays européens ont aussi du souci à se faire. Délinquant multirécidiviste, multi-condamné pour vols, agressions violentes, trafic de drogues , Benjamin Herman , incarcéré depuis 15 ans, a abattu hier à Liège (Belgique) lors d’une permission de sortie, aux cris de Allah Akbar, deux policières en les désarmant facilement (les patrouilles entièrement féminines ne sont-elles pas des cibles faciles?) et un passant. Il avait massacré la veille avec un marteau un toxicomane, un de ses compagnons de détention à son domicile.
Herman est un cas typique d‘hybride, c’est-à-dire de délinquant radicalisé, profil que l’on retrouve derrière la quasi totalité des auteurs d’attentats commis en France et en Europe. Hybridation qui ne manque pas d’inquiéter pour notre futur proche si l’on considère le nombre d’individus qui dans les quartiers pluriels seraient susceptibles de basculer à leur tour. D’autant que la violence n’a pas besoin d’être repeinte aux couleurs du djihadisme par des incultes bas de plafond pour être une réalité bien présente et en progression.
Elle est consubstantielle aux rivalités entre gangs pour le contrôle des trafics depuis des cités, les quartiers qui, malgré les milliards engloutis grâce aux impôts des Français, se transforment sous l’effet de la poursuite de l’immigration en favelas brésiliennes, les prédicateurs barbus en plus… Un chiffre suffit à le comprendre: alors que l’INSEE douchait hier les espoirs des macronistes en pointant une croissance en berne retombée à 0,2 % au premier trimestre, loin de ce qui était espéré par le gouvernement, l’INSEE publiait également aujourd’hui son estimation du chiffre d’affaire du trafic de drogue en France. Celui-ci a été intégré pour la première fois depuis ce mois de mai dans le calcul du PIB français, à l’image ce qui se fait dans les autre spays de l’UE. Un estimation réalisée à partir des données collectées sur la foi d’enquête auprès des ménages, et qui sont fournies par la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca). Cette activité rapporterait ainsi aux trafiquants près de 2,7 milliards d’euros par an ( 0,1 point de produit intérieur brut, PIB), trafics de stupéfiants qui servent aussi à financer de longue date les réseaux terroristes.
Faut-il le redire, tous les immigrés bien évidemment, y compris les clandestins, ne sont pas animés par la haine des Européens, ni attirés forcément par des activités délictueuses. Ils sont même invités par certains de leurs dirigeants à retourner chez eux. La rumeur qui circule actuellement sur les réseaux sociaux affirme même que le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a téléphoné à son compatriote Mamoudou Gassama, ce clandestin qui a bravement sauvé la vie d’un enfant samedi à Paris, non seulement pour le féliciter mais pour lui demander de rentrer au pays où il serait intégré dans l’armée malienne.
Ce qui est en tout cas certain c’est que le millier d’immigrés clandestins Somaliens, Érythréens, Soudanais, évacués ce matin par les forces de l’ordre de leur campement sauvage du bassin de la Villette (XIXe arrondissement de Paris), en attendant le départ des centaines d’ Afghans occupant dans la capitale le canal Saint-Martin et la porte de la Chapelle, ne seront pas expulsés du territoire national. Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb l’a confirmé aux Français en expliquant dans un communiqué que les migrants délogés seront hébergés « dans une vingtaine de sites de Paris et de la région parisienne. » Hébergement « temporaire » dans des gymnases, en attendant la dispersion-ventilation des immigrés hors-la-loi dans des centres d’accueil et des hôtels de province pour ne pas gêner les bobos qui votent Macron… avant des régularisations massives? Rappelons une donnée factuelle, le chiffre scandaleusement et dérisoirement bas des expulsions effectives (26 000 en 2017 selon les chiffres du ministère de l’Intérieur) , lesquelles ne concernent d’ailleurs très majoritairement les migrants en provenance d’autres pays européens comme le Kosovo, l’Albanie, la Roumanie… expulsés qui ont tôt fait de revenir chez nous dans cette Europe dans frontières.
Hébergement des clandestins qui se fait bien évidemment au détriment de la communauté nationale affirme Bruno Gollnisch, de cette France des oubliés qui souffre en silence et bascule dans une paupérisation teintée de résignation: 85% des Français les plus pauvres, c'est-à-dire dont les revenus sont inférieurs à 60% du salaire median, ne vivent pas dans les grands centres urbains ni dans les banlieues immigrées, mais dans la France périphérique, celle des villages, des bourgs, des petites villes.
Toutes choses qui ne tracassent pas outre mesure George Soros qui, fort du soutien officiel du commissaire européen Pierre Moscovici après qu’il ait été invité par le gouvernement de Viktor Orban à ne pas poursuivre, via son Open Society Foudation, ses activités délétères en Hongrie, distribue les bons points à Emmanuel Macron sur son blogue.
M. Soros a mis en ligne hier les remarques formulées par lui devant l’officine mondialiste European Council on Foreign Relations (ECFR). Il explique son souhait d’une remise en cause du Brexit via une nouvelle élection, son approbation de la feuille de route européiste et des fumeuses « consultations citoyennes » annoncées par le président français pour tenter de (re)légitimer l’Europe bruxelloise. Il s’inquiète dans les mêmes termes que l’ancien cadre de la banque Rothschild de la percée politique des opposants à l’immigration en Allemagne et de l’arrivée au pouvoir en Italie de la Ligue et du M5S. Le milliardaire américano-hongrois en profite pour réactiver la formule (ça ne mange pas de pain) d’un « plan Marshall » pour aider Afrique assorti de la libre circulation totale et sans frein de tous les «migrants » au sein d’une Europe sans frontières intérieures, rendant obsolète les répartitions obligatoires de clandestins dans chaque pays de l’UE par quotas…
Emmanuel Macron et Angela Merkel doivent continuer à marcher « dans les pas de Jean Monnet » et multiplier « les initiatives pro-européennes. » « Moi et mon réseau (Open Society) ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour aider soutenir ces initiatives » conclut-il. Autant de propos qui doivent être pris au sérieux car ils sont le fruit d’une idéologie délirante largement partagée au sein des hybrides euro-mondialistes des instances bruxelloises et par leurs affidés.
https://gollnisch.com/2018/05/30/nouveaux-et-anciens-hybrides/